Chez le coiffeur
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-04-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Chez le coiffeur
Il doit être environ midi et demie lorsque Ludovic arrive précipitamment chez Suzyline, le confortable salon de coiffure de son quartier. Le patron quitte l’établissement par la porte arrière. Il est accueilli par une des employées, grande brune racée, visiblement sur le départ. Celle-ci l’aide à ôter son vêtement et l’installe dans le coin attente avec la presse hebdomadaire « people » habituelle. Il se laisse aller à la lecture des dernières frasques supposées des vedettes à la mode. C’est samedi. Il a juste enfilé un survêtement et des tennis, sous son habituel coupe vent de couleur sombre, déjà pendu au vestiaire, pour se rendre à son rendez-vous. Son esprit bat la campagne et il s’isole progressivement « dans sa bulle ». Une minuscule blonde aux cheveux courts et yeux clairs vient lui demander des nouvelles d’une voisine hospitalisée et de sa fille adolescente. Il répond distraitement. Le temps passe dans un silence quasi absolu.
Lorsqu’une voix fraîche et bien posée lui commande de s’installer pour le shampooing, il s’exécute sans lever les yeux. Il aime particulièrement cet instant et le doux massage du cuir chevelu qu’il impose. Il s’installe confortablement pour en profiter. L’eau tiède commence à couler sur son crâne. « Ça va? » dit la voix devenue plus rauque. Il répond par un grognement de satisfaction. Le shampooing commence avec plus de délicatesse et de douceur que d’habitude au point que le rose lui monte aux joues. La caresse sensuelle et maternelle ne tarde pas à mobiliser tout son être. Son corps entier est à l’écoute, les yeux fermés, les muscles pleinement détendus. Il essaie de deviner qui est celle qui le masse sans pouvoir en restituer l’image. Il s’efforce de mobiliser sa mémoire sans succès. L’attouchement continue de plus en plus voluptueux jusqu’au premier rinçage. Le corps de Ludovic est maintenant tendu de façon perceptible vers le plaisir du moment.
La coiffeuse quitte alors sa position pour fermer l’échoppe qui ne reçoit plus de client après treize heures. Elle entre dans le champ de vision de Ludovic qui découvre qu’il s’agit de la jeune Christelle, âgée d’une bonne vingtaine d’années. Il prend le temps, pour la première fois, de l’observer. Elle est de taille moyenne, brune aux cheveux courts. Vêtue d’un jean et d’un élégant sweet noir, elle dégage une impression de densité importante. Pourtant elle n’est pas grosse, plutôt musclée avec une taille peu marquée. Ses jambes sont charnues, rondes et régulières. La chute des reins attire le regard vers les fesses, bien séparées par une couture de pantalon intrusive. Elle laisse une sensation infantile malgré son âge. Lorsqu’elle se retourne, Ludovic apprécie les grands yeux noirs en amande, les joues rondes, le nez fin et court et la bouche bien dessinée qui surplombe un menton volontaire. Les épaules sont larges et massives. La poitrine haute et ferme est composée de deux seins ronds et bien séparés. De face la taille parait plus marquée et le bassin plus saillant. Le léger relief du sexe attire l’oeil. Ses joues deviennent rouges lorsqu’elle ressent l’examen de détail auquel elle est soumise. Elle reprend le shampooing d’une main plus désordonnée et hésitante qu’avant. La sensualité du geste ne cesse d’augmenter au point que Ludovic éprouve le besoin de saisir fermement l’intérieur de ses cuisses et de s’étirer.
Au deuxième rinçage, la jeune femme s’assoit légèrement sur l’accoudoir du fauteuil pour sécher sommairement les cheveux de son client. Son sein effleure à plusieurs reprises la joue de celui-ci. Ceci a pour effet d’achever de mettre leurs sens en révolution. Christelle ressent de plus en plus fortement l’excitation de sa « victime » et commence à la partager. Sa respiration oppressée en témoigne. Naturellement, son travail fait, elle s’accroupit devant lui et le débarrasse prestement de ses chaussures. Elle tend ensuite les bras jusqu’à la ceinture du survêtement le dénude brutalement jusqu’à la taille. Un sourire fleurit sur le visage de Ludovic visiblement satisfait. Il aide ensuite sa comparse à le défaire du reste de ses vêtements. Malgré une fermeté du geste presque professionnelle, il est profondément troublé par l’érotisme de la scène. Chaque mouvement crée une intimité grandissante entre les partenaires. Christelle recouvre le corps nu de la large blouse claire et la noue sur la nuque d’un geste précis.
Lorsqu’elle lui fait signe de gagner le fauteuil de coupe, il s’exécute. Son dos et ses fesses apparaissent à plusieurs reprises par la large échancrure. Ses jambes nues confirment la sensation impudique. Le froid du revêtement du fauteuil lui rappelle sa nudité lorsqu’il s’y assoit. Il trousse la blouse pour se sentir plus à l’aise, l’ourlet à ras du sexe. Pendant ce temps, Christelle finit de préparer ses outils. Au bout de quelques minutes, elle recherche le regard de son partenaire. Lorsqu’elle le trouve, elle commence à se défaire de ses vêtements avec une lenteur calculée. Ludovic ne perd rien de la scène grâce aux larges glaces situées devant lui. Tour à tour, les mocassins volent, le jean noir s’affaisse; le sweet passe au dessus de la tête de sa propriétaire. La haute culotte blanche est roulée artistiquement puis glisse le long des cuisses et des jambes. Le sexe épilé s’impose dans sa nudité, discret, presque enfantin. La poitrine ronde et lourde est libérée de son carcan d’un geste bref et élégant.
C’est dans cette absolue nudité, à peine troublée par de discrets bijoux dorés, qu’elle commence à se préoccuper de la chevelure de Ludovic. Chaque posture dévoile, dans la glace, un trait nouveau de son anatomie. Les aisselles, soigneusement dépourvues de toute pilosité, affirment la finesse de leur dessin. La taille, étirée par une nécessaire extension de tout le corps, apparaît plus fine qu’au premier examen. Les mouvements autour du fauteuil révèlent chaque aspect du sexe, des hanches ou des fesses. Le regard, concentré sur le travail en cours, trahit une émotion peu commune. Il s’évade parfois furtivement pour rencontrer les yeux de Ludovic. Ce dernier est tellement hypnotisé par ce ballet incessant qu’il en oublie de regarder la coupe. Aussi est-il surpris d’entendre soudain, à l’issue d’une dernière mise en forme par les fines mains enduites de gel: « et voilà! ». La phrase est suivie d’un très professionnel passage du miroir permettant de contempler l’ouvrage.
Il est procédé à un rituel mais langoureux brossage du cou pour éliminer les vestiges de la coupe. La blouse est prestement ôtée. Le pinceau descend alors vers le reste du corps, jusqu’à éliminer avec délicatesse les quelques vestiges occupant dos, bras, cuisses et jambes. L’image de leur nudité, dans un espace professionnel, ne peut que renforcer leur commune excitation. Christelle bascule légèrement le fauteuil vers l’arrière et, n’y tenant plus, enfourche son partenaire. Après un baiser fougueux et pénétrant sur la bouche, elle enfiche son sexe sur le pénis offert. Quelques somptueux mouvements de bassin plus tard, chacun exprime successivement son plaisir en donnant de la voix. Christelle s’effondre sur le corps de son amant, fourbue et ravie. Oseront-ils, un jour, raconter à leurs proches cette scène irréelle?
Lorsqu’une voix fraîche et bien posée lui commande de s’installer pour le shampooing, il s’exécute sans lever les yeux. Il aime particulièrement cet instant et le doux massage du cuir chevelu qu’il impose. Il s’installe confortablement pour en profiter. L’eau tiède commence à couler sur son crâne. « Ça va? » dit la voix devenue plus rauque. Il répond par un grognement de satisfaction. Le shampooing commence avec plus de délicatesse et de douceur que d’habitude au point que le rose lui monte aux joues. La caresse sensuelle et maternelle ne tarde pas à mobiliser tout son être. Son corps entier est à l’écoute, les yeux fermés, les muscles pleinement détendus. Il essaie de deviner qui est celle qui le masse sans pouvoir en restituer l’image. Il s’efforce de mobiliser sa mémoire sans succès. L’attouchement continue de plus en plus voluptueux jusqu’au premier rinçage. Le corps de Ludovic est maintenant tendu de façon perceptible vers le plaisir du moment.
La coiffeuse quitte alors sa position pour fermer l’échoppe qui ne reçoit plus de client après treize heures. Elle entre dans le champ de vision de Ludovic qui découvre qu’il s’agit de la jeune Christelle, âgée d’une bonne vingtaine d’années. Il prend le temps, pour la première fois, de l’observer. Elle est de taille moyenne, brune aux cheveux courts. Vêtue d’un jean et d’un élégant sweet noir, elle dégage une impression de densité importante. Pourtant elle n’est pas grosse, plutôt musclée avec une taille peu marquée. Ses jambes sont charnues, rondes et régulières. La chute des reins attire le regard vers les fesses, bien séparées par une couture de pantalon intrusive. Elle laisse une sensation infantile malgré son âge. Lorsqu’elle se retourne, Ludovic apprécie les grands yeux noirs en amande, les joues rondes, le nez fin et court et la bouche bien dessinée qui surplombe un menton volontaire. Les épaules sont larges et massives. La poitrine haute et ferme est composée de deux seins ronds et bien séparés. De face la taille parait plus marquée et le bassin plus saillant. Le léger relief du sexe attire l’oeil. Ses joues deviennent rouges lorsqu’elle ressent l’examen de détail auquel elle est soumise. Elle reprend le shampooing d’une main plus désordonnée et hésitante qu’avant. La sensualité du geste ne cesse d’augmenter au point que Ludovic éprouve le besoin de saisir fermement l’intérieur de ses cuisses et de s’étirer.
Au deuxième rinçage, la jeune femme s’assoit légèrement sur l’accoudoir du fauteuil pour sécher sommairement les cheveux de son client. Son sein effleure à plusieurs reprises la joue de celui-ci. Ceci a pour effet d’achever de mettre leurs sens en révolution. Christelle ressent de plus en plus fortement l’excitation de sa « victime » et commence à la partager. Sa respiration oppressée en témoigne. Naturellement, son travail fait, elle s’accroupit devant lui et le débarrasse prestement de ses chaussures. Elle tend ensuite les bras jusqu’à la ceinture du survêtement le dénude brutalement jusqu’à la taille. Un sourire fleurit sur le visage de Ludovic visiblement satisfait. Il aide ensuite sa comparse à le défaire du reste de ses vêtements. Malgré une fermeté du geste presque professionnelle, il est profondément troublé par l’érotisme de la scène. Chaque mouvement crée une intimité grandissante entre les partenaires. Christelle recouvre le corps nu de la large blouse claire et la noue sur la nuque d’un geste précis.
Lorsqu’elle lui fait signe de gagner le fauteuil de coupe, il s’exécute. Son dos et ses fesses apparaissent à plusieurs reprises par la large échancrure. Ses jambes nues confirment la sensation impudique. Le froid du revêtement du fauteuil lui rappelle sa nudité lorsqu’il s’y assoit. Il trousse la blouse pour se sentir plus à l’aise, l’ourlet à ras du sexe. Pendant ce temps, Christelle finit de préparer ses outils. Au bout de quelques minutes, elle recherche le regard de son partenaire. Lorsqu’elle le trouve, elle commence à se défaire de ses vêtements avec une lenteur calculée. Ludovic ne perd rien de la scène grâce aux larges glaces situées devant lui. Tour à tour, les mocassins volent, le jean noir s’affaisse; le sweet passe au dessus de la tête de sa propriétaire. La haute culotte blanche est roulée artistiquement puis glisse le long des cuisses et des jambes. Le sexe épilé s’impose dans sa nudité, discret, presque enfantin. La poitrine ronde et lourde est libérée de son carcan d’un geste bref et élégant.
C’est dans cette absolue nudité, à peine troublée par de discrets bijoux dorés, qu’elle commence à se préoccuper de la chevelure de Ludovic. Chaque posture dévoile, dans la glace, un trait nouveau de son anatomie. Les aisselles, soigneusement dépourvues de toute pilosité, affirment la finesse de leur dessin. La taille, étirée par une nécessaire extension de tout le corps, apparaît plus fine qu’au premier examen. Les mouvements autour du fauteuil révèlent chaque aspect du sexe, des hanches ou des fesses. Le regard, concentré sur le travail en cours, trahit une émotion peu commune. Il s’évade parfois furtivement pour rencontrer les yeux de Ludovic. Ce dernier est tellement hypnotisé par ce ballet incessant qu’il en oublie de regarder la coupe. Aussi est-il surpris d’entendre soudain, à l’issue d’une dernière mise en forme par les fines mains enduites de gel: « et voilà! ». La phrase est suivie d’un très professionnel passage du miroir permettant de contempler l’ouvrage.
Il est procédé à un rituel mais langoureux brossage du cou pour éliminer les vestiges de la coupe. La blouse est prestement ôtée. Le pinceau descend alors vers le reste du corps, jusqu’à éliminer avec délicatesse les quelques vestiges occupant dos, bras, cuisses et jambes. L’image de leur nudité, dans un espace professionnel, ne peut que renforcer leur commune excitation. Christelle bascule légèrement le fauteuil vers l’arrière et, n’y tenant plus, enfourche son partenaire. Après un baiser fougueux et pénétrant sur la bouche, elle enfiche son sexe sur le pénis offert. Quelques somptueux mouvements de bassin plus tard, chacun exprime successivement son plaisir en donnant de la voix. Christelle s’effondre sur le corps de son amant, fourbue et ravie. Oseront-ils, un jour, raconter à leurs proches cette scène irréelle?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique histoire
est elle reelle ?
est elle reelle ?