Chez Marianne - histoire érotique

<p>Aujourd'hui je suis invitée chez une vieille amie Marianne. Quand je dis vieille c'est façon de parler. Elle n'a que 25 ans et nous nous connaissons depuis l'école maternelle. Nous nous rencontrons souvent et parlons souvent de sexe. Ainsi nous savons quand nous avons fait l'amour la première fois, ou nos façons de nous masturber. Aucun interdit entre nous. Enfin presque.
J'avais un amant très bcbg qui était assez snob et baisait bien mais en étant toujours très poli. Trop poli pour moi. J'en parlais un jour à Marianne qui l'avait connu. Elle en gardait un excellent souvenir de bon baiseur. Son genre seul l'avait éloignée de lui. Elle me faisait une proposition un peu olé olé : Nous devions le rencontrer ensemble et lui faire croire que nous faisions l'amour toutes les deux sans admettre des garçons pendant nos baises.
J'avais rendez vous le soir même dans un café avec lui. Avec Marianne nous sommes arrivées très en avance et dès que nous l'avons vu nous nous embrassons sur la bouche comme de véritables gouines. J'éprouvais une drôle de sensation pendant ce baiser qui n'était finalement pas feint.
Toujours était-il que notre "ami" nous voyant se disait qu'il pourrait certainement profiter de notre "amitié" pour participer à nos jeux. Quand nous lui annoncions qu'il n'était pas question qu'un homme soit avec nous pendant nos baises, il en fut déçu et m'annonçait qu'entre nous c'était terminé. Ouf, bonne chose de faite.
Les rapports avec Marianne, eux avaient changés. Ce soit disant baiser m'avait quelque peu bouleversée. Je le disais à Marianne qui avouait qu'elle aussi avait été excitée.
Les semaines passent et enfin nous nous revoyons aujourd'hui avec Marianne. Depuis notre dernière rencontre nous avons baisé de ci de là, au gré de nos conquêtes. Nous sommes bien dans son séjour buvant un thé quand soudain nous reparlons de notre fameux baiser. Elle rougit un peu pour avouer qu'elle en garde un bon souvenir et que si je voulais....
Justement je pense comme elle et prenant mon courage à deux mains je m'approche d'elle et lui pose ma bouche sur la sienne. Elle me passe les bras autour du cou et en ouvrant la bouche sa langue pénètre dans la mienne. Le baiser est très long. Je suis excitée comme rarement : j'ai envie d'elle. Pourtant je ne suis pas attirée par les filles. Nous nous levons et continuons le même baiser. Serrées l'une contre l'autre nous avons les seins qui se touchent. C'est Marianne qui commence par me défaire les boutons de mon chemisier : elle passe une main et saisit un sein sous mon soutien gorge. Je sens mes seins gonfler. Je lui pose une main sur les fesses et la caresse. De moi même je me déshabille: elle en fait autant. Je peux la voir totalement nue: c'est une belle plante. Nous recommençons l'une contre: nos seins sembles se souder: le contact entre eux devient pour nous un véritable plaisir. Nos mains sont sur nos fesses: sa main commence à fouiller ma raie et cherche mon cul. J'adore cette façon de faire. Elle me rentre un doigt dans l'anus. Moi je cherche ailleurs: son con et son clitoris. Je le trouve mais ne le branle pas. Elle nous fait asseoir sur la banquette et nues nous pouvons enfin passer aux choses sérieuses: Nous avons écarté nos jambes: j'ai même une des mienne sous la sienne: nous nous branlons et bientôt nous nous faisons jouir. Heureuse l'une et l'autre nous sommes prêtes à recommencer. Nos baisers continuent: on dirait des jeunes mariés.
Elle est prête à me baiser avec un godemiché. Elle va dans sa chambre pour en prendre un. Je la suis et j'ai pris mon sac à main dans lequel j'ai moi aussi un gode dont je me sers de temps à autre. Comme nous sommes toujours nues nos préliminaires sont très courts.
Nous sommes allongées à coté et au lieu de me baiser, nous nous branlons chacune avec notre gode. Nous sommes couchées face à face: nous pouvons voir le con de l'autre et surtout le plus excitant, les godes rentrer et sortir des vagins. Nous commentons bien sur les mouvements de l'amie. Enfin c'est moi qui lui propose un 69. Elle reste en place: je n'ai qu'à me retourner pour avoir son con sur ma bouche et le mien sur la sienne. Pour une première fois, c'est parfaitement réussit même si au début le fait d'avoir sur la langue de goût d'un autre con nous semblait peu agréable. Nous y avons pris goût et recommencé plusieurs fois. Nous commencions à ressentir une légère fatigue. Nous nous sommes blotties l'une contre l'autre échangeant nos impressions quand le désir mutuel est revenu.
Elle m'a imposé sa position: Presque assises nos deux cons se touchaient et nous nous branlions jusqu'à l'ultime orgasme.
Satisfaites de notre baise nous nous promettons de nous voir souvent pour tirer un coup, même et surtout si avant nous faisions l'amour avec les garçons: nous sommes devenues bisexuelles parfaites.

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