Chez Rita

- Par l'auteur HDS Lispyick -
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Chez Rita Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chez Rita
Je vous remercie de suivre mes aventures et j'espère que j'arriverai à vous faire voyager dans mon monde. Je vais vous présenter une histoire qui se déroule à travers des faits réels et de fantasmes.
Nous sommes rentrés de Thaïlande dimanche soir, après presque huit mois dans ce pays merveilleux où il fait bon vivre. Si je dois trouver un point négatif, c'est le sujet du libertinage, aucun club, quelques étrangers en vacances s'y adonnent. Nous avons eu deux rencontres avortées en raison du manque de calibre, trop petit et mou. Cependant, vous commencez à me connaître, j'aime découvrir de nouveaux corps, changer de partenaires, goûter des sexes qui bandent pour moi. Mon homme a assumé, ma dame buche a été très performante pour mon plus grand plaisir. L'usine à foutre n'a pas eu de mouvements sociaux, la production a été parfaite.
Néanmoins, il est temps pour moi de faire une soirée chaude pour rattraper le temps perdu, même si l'adage dit « un coup de perdu ne se rattrape jamais ».
Nous sommes jeudi, le décalage horaire n'est pas encore digéré, nos soirées sont très occupées, nous sommes invités tous les soirs chez des amis ravis de nous retrouver. J'ai demandé à Doudou de ne pas accepter d'invitation ce soir, donnant comme version officielle que nous devons nous reposer suite au décalage horaire. 
Nous allons profiter de cette soirée pour aller en club chez notre amie Rita, sachant que j'avais prévu un moment de débauche qui a échoué ce mardi, j'allais oublier de vous le raconter.
Ce mardi, nous sommes allés chercher nos armes et prendre possession de ma nouvelle carabine. Mon armurier a pour habitude de me chauffer à chaque fois, avec des mains baladeuses lors d'essais de vêtements ou d'armes, ce qui permet de vérifier que tout est bien adapté à ma morphologie, mon œil. Il est plutôt mignon, dame nature à du bien le gâter, vu ce que j'ai pu sentir quand il se colle à moi lors des essayages. Par ailleurs, j'ai prévenu Doudou que si l'opportunité se présente, je vais l'allumer et je me vois bien passé sous le bureau et également dessus. À notre arrivée, le magasin est rempli, nous sommes à huit jours de l'ouverture de la saison, les clients s'affolent pour les derniers préparatifs. Mon armurier préféré s'occupe de nous, pas comme je l'avais imaginé, nous demandant de revenir pour boire un verre et arroser ma dernière acquisition, une folie de mon homme pour me faire plaisir. Je suis déçue et mon bas ventre est en fusion après avoir quitté les lieux, promis, nous revenons vite pour arroser mon achat et plus si affinité.
Vous comprenez mieux ma frustration et l'envie de profiter du jeudi pour s'adonner enfin à une bonne partie de jambes en l'air. Je dois battre le fer quand il est chaud, j'appelle Rita.
– Coucou la belle, comment vas-tu ?
– Salut ma chérie, bien merci, vous êtes rentrés.
– Oui, dimanche soir.
– Qu'attendez-vous pour venir me voir ?
– Je t'appelle pour cela, je souhaite venir ce soir.
– Oh putain, tu es béni du ciel.
– Moi, béni du ciel, tu es tombée sur la tête.
– Non. Cependant, j'ai un de mes habitués qui a réservé le coin VIP pour ce soir. Il reçoit des clients potentiels, venant de Dakar, avec un possible gros contrat à la clé. Il souhaite les faire profiter d'une bonne soirée.
– Tu me prends pour une pute.
– Aucunement. Pour preuve, je n'ai pas l'intention de te payer. Nous éclatons de rire.
– Nous serons présents, s'ils me donnent envie, je m'en occuperai pour te rendre service.
– C'est surtout à ton cul que tu vas rendre service, salope comme tu es.
– Tu n'as pas changé, tu es toujours aussi aimable. Ainsi, je ferai comme si j'étais seule, Doudou restera à l'écart au commencement.
– Si tu n'as pas le temps de t'occuper de ton homme, je m'en chargerai volontiers.
– Tu es aussi salope que moi.
Suite de cet échange de politesse, nous nous quittons en fixant le rendez-vous à vingt heures. J'explique notre conversation téléphonique à Doudou, le fait de rester à l'écart comme un homme seul l'amuse beaucoup. L'après-midi, je me concentre sur moi-même, coiffeur puis esthéticienne. Mon homme me trouve tout simplement magnifique à mon retour, quel flatteur. Je suis impatiente que la soirée arrive, je me lance dans des essayages, Doudou me sort beaucoup de vêtements plus coquins les uns que les autres.
Pour finir, j'opte pour un string en latex ouvert, un soutien-gorge demi lune, et une robe à voile qui ne cache pas grand-chose pour terminer.
Nous nous dirigeons vers le club, situé à quelques kilomètres de chez nous. J'appelle Rita pour lui dire que nous serons un peu en avance, qu'elle nous ouvre et prépare un apéritif de bienvenue, elle proteste comme à son habitude.
Ainsi, elle nous ouvre la porte au premier coup de sonnette, vêtue d'une robe à voile identique à la mienne, normal, je l'ai acheté chez elle.
– Bonjour mes chéries, toujours aussi beau tous les deux et bien bronzés.
– Tu aurais pu choisir une autre robe, on dirait deux sœurs.
– Ne commencez pas à vous chamailler toutes les deux, lance Doudou.
– Mais non, on s'aime, dit Rita.
Nous nous prenons dans les bras, je lui roule un gros patin. Nos langues se titillent et s'enroulent, j'ai un frisson qui me parcourt toute la colonne vertébrale. Rita se dégage et va embrasser mon mari, une longue étreinte, Doudou profite de la situation pour lui peloter le cul.
– Je vais m'occuper de l'accueil, rejoignez le bar, Sandrine vous servira et c'est pour moi la tournée.
– La tournée, non les tournées seront offertes.
– Moi aussi, je t'aime Doudou, répond Rita en riant.
Nous nous installons au bar, trinquons à notre retour, nos mojitos sont toujours aussi délicieux. Les premiers clients arrivent, un couple, trois hommes seuls, nous sirotons tranquillement nos verres. Je suis amusée par les regards appuyés des hommes sur ma tenue, je dois être sur la bonne voie pour une soirée chaude. Elle transmet l'information que les VIP arrivent et doudou se décale en bout du bar. 
Un homme blanc, 1,80 m, chauve, la soixantaine, rentre, suivi par quatre grands gaillards à la peau d'ébène, ils sont tout simplement magnifiques. J'ai les tétons qui sortent, il faudrait être aveugle pour ne pas les remarquer sous mon voile. Alors, je m'aperçois qu'ils ont très bien vu, leurs yeux sont posés sur moi, je me tourne sur mon tabouret tout en leur souriant.
J'ai un homme blanc, que je nommerai Eric, qui vient vers moi directement.
– Bonjour Madame, comment une femme si charmante peut-elle être seule au bar ?
– Bonjour, je ne compte pas rester seule toute la soirée, surtout que j'ai pu remarquer que vous étiez accompagnés par quatre hommes charmants.
– Madame aime le noir.
– C'est des couleurs que j'apprécie, en particulier lorsque du rose apparait, car elles contrastent parfaitement.
– Madame est une connaisseuse.
– Appelez-moi Patricia.
– Eric, enchanté, puis-je vous proposer de nous rejoindre dans le carré VIP.
– Avec plaisir, je suis honorée de vous y accompagner.
Je me lève et emboite le pas de ma future proie, je lance un regard à Doudou qui me fait un pouce. 
Je découvre ce coin VIP, que Rita a mis en place lors de la fermeture annuelle du club. Un ruban délimite le lieu, constitué de trois banquettes rouges avec de petites tables et quelques poufs. Elle a aussi installé un grand lit rond, couleur rouge, dans l'angle, ce qui permet au voyeur de pouvoir admirer ce qui s'y passe sans gêner les protagonistes, j'ai hâte de me retrouver à cet endroit.
Je m'installe sur une des banquettes entre deux blacks, tous me saluent.
C'est le moment que Rita choisit pour venir avec une bouteille de champagne, Doudou l'accompagnant avec de petits fours.
– Je suis heureux que vous ayez fait connaissance de mon amie, lance-t-elle. Je vous présente son mari, mais je vais le garder pour moi ce soir.
Il dépose tout sur notre table et repartent main dans la main, oh la salope, elle me cherche, pensais-je.
Nous parlons de choses et d'autres, les genoux de mes voisins viennent se frotter au mien. Comme je ne réagis pas, ce sont les mains qui commencent à remonter le long de mes jambes vers mon entrecuisse. Je m'enfonce légèrement dans le canapé afin de leur faire comprendre de ne pas hésiter à monter plus haut. Un doigt trouve la fente de mon string, et s'y introduit doucement, trop doucement à mon goût, je saisis le poignet de l'homme et le tire vers le haut. Sans plus attendre, il m'a enfoncé un doigt, puis deux dans mon puits d'amour, qui n'est pas asséché vu ce qui coule. Il me doigte en accélérant, je vacille, l'orgasme arrive, je gicle et tremble de tout mon corps. Étant mal positionné pour m'occuper d'eux, je les invite à me suivre, ils ne se font pas prier.
Je rentre dans la cage à trou, gloryhole en anglais, un lieu que j'apprécie tout particulièrement. Je verrouille la porte derrière moi, car je suis sortie du carré VIP, vu le nombre de trous, d'autres queues se présenteront. J'enlève ma robe et mon soutien-gorge, pour éviter que des giclées de sperme viennent s'y écraser dessus. Je me lance à l'assaut, commençant à sucer les premières queues qui se présentent. Je n'ai aucun mal à retrouver les queues des blacks, je m'y arrête plus que sur les autres. Il est important de noter que les calibres sont largement au-dessus des autres, un véritable régal. Je passe de trou à trou, surprise, je reconnais, dame buche, le Doudou surveille sa petite femme.
Je retourne de l'autre côté pour reprendre mon tour de bite, je décide de finir un de mes premiers hommes. Je le pompe à fond, gorge profonde et l'homme tape la cloison pour annoncer sa jouissance, mais je ne le lâche pas. J'accélère la main pour le branler, il craque et les premières giclées de foutre s'écrasent au fond de ma gorge. Je le finis en le branlant sur mes seins, je jouis comme une folle, seule dans ma pièce. Je refais un tour de bite, ayant de plus en plus de mal de retrouver qui et qui, je décide de sortir.
Je retrouve mes cinq hommes, nous rejoignons le coin VIP, je ne suis vêtue que de mon string. Je me suis assise sur le lit, j'invite les hommes à me donner leurs queues à sucer, elles sont grosses les quatre barres sénégalaises. Je suis aux anges depuis le temps que j'attendais ce moment, elles sont délicieuses. Ils m'allongent sur le lit, un me broute le minou, l'autre me pince les tétons, les autres me frappent le visage avec leurs glands, puis s'enfoncent tour à tour dans ma bouche. Ils m'insultent de salope, de trou à bite, de blanche à black, cela m'excite encore plus. Je les supplie de me baiser.
Je me retrouve à quatre pattes, un s'enfonce dans mon cul sans me prévenir, cela me brule, mais rapidement le plaisir revient, il me laboure littéralement. Eric me baise la bouche pendant ce temps-là, je suis en apnée, et cherche ma respiration, pas facile vu le gourdin qui me lime l'intestin. Je ne renonce pas et mon entêtement aura raison de la résistance d'Eric qui se lâche dans ma bouche. Je garde bien tout dans ma petite gueule pour lui montrer son foutre et l'avaler sous ses yeux. L'autre sort de mon cul pour gicler dessus, je jouis comme une folle.
– Vous autres, vous avez l'intention de me baiser ou de regarder.
Les trois hommes qui n'ont pas encore joui me rejoignent, j'allonge le premier, je remonte le long de ses jambes avec ma langue, gobe les testicules une après l'autre, je les aspire puis les recrache. Un autre s'amuse en prenant le sperme de son collègue avec ses doigts, me l'enfonçant dans le cul. Je continue mon jeu de langue sur la belle bite qui est sous mes yeux, je dois faire un effort pour prendre son gland dans ma bouche, il est imposant. 
Je désire le sentir au fond de moi, je viens me placer au-dessus de ce pieu et me laisse descendre dessus. Il m'écarte, mais je suis tellement trempée que cela rentre comme dans du beurre. Je le chevauche comme une folle, c'est bon, je sens que je vais encore jouir rapidement. Le second me pousse en avant et vient me prendre le cul d'un trait. C'est une habitude chez eux, bon, je ne vais pas m'en plaindre. Il me lime, je hurle malgré le troisième larron qui m'investit la bouche. Il me prend par les cheveux et me pulvérise la bouche à chaque coup de rein. Je n'ai jamais été maltraité à ce point, mais j'apprécie. Je leur demande d'échanger leurs places, ils ne m'écoutent pas. 
Ils continuent de me prendre, j'apprécie ce moment, mes orgasmes sont de plus en plus rapprochés et violents, pour ne plus s'arrêter, mon corps tremble.
Ils s'arrêtent, se positionnent autour de moi, pour se branler et m'envoyer leurs liqueurs partout sur mon corps. Je n'ai même pas le courage de saisir une queue pour la prendre en bouche. Il est temps que je reprenne des séances de sexe pour retrouver l'endurance.
Ils m'arrosent de la tête aux seins, même les cheveux reçoivent, je repars dans un orgasme dont j'ai le secret.
Des applaudissements me font redescendre sur terre, derrière le ruban rouge une dizaine de personnes ont assisté au spectacle.
Doudou est venu me relever pour m'amener à la douche, j'ai l'impression que je suis passée sous un rouleau compresseur. Celle-ci me fera le plus grand bien.
Nous sommes retournés au bar, mon homme a retrouvé ma robe et mon soutien-gorge que je n'ai pas remis.
– Ma chérie, ça fait du bien.
– C'était épuisant, mais excellent. Il faut que je me repose un peu et j'y retourne.
– Tes amis sont partis, il est deux heures du matin.
– Déjà, je n'ai pas vu le temps passé. Doudou va s'occuper de moi.
Rita et Doudou éclatent de rire. 
– Laisse-le recharger ses batteries, j'ai eu un peu de temps pour les vider pendant la soirée.
– Salope.
– Je n'y crois pas, dit Doudou, elle s'est fait baiser toute la soirée, elle te dit salope.
– Oui, j'aurais bien aimé participer à votre baise, surtout que Rita sait bien me manger la moule.
– Je ferme dans une heure, attendez-moi.
Je suis trop fatiguée pour attendre une heure, nous avons pris rendez-vous pour un trio, ce sera une autre histoire.

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