chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1238)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1238)
chienne Vénus au Château – (suite de l'épisode N°1238) -
- C’est bien Ma chienne, je vois que tu as bien évolué au niveau de tes fellations, Je suis fier de toi…
Sur Ses mots, Monsieur le Marquis m’ordonna de venir dans Ses bras et en moins de deux, Maitre s’endormit. J’adorais ce moment-là, car c’est le seul moment où le Noble était sans défense et ça me donnait l’envie de le protéger et de veiller à Son bon sommeil et surtout à ce qu’il ne soit pas déranger pour rien. J’avais pris ce reflex depuis le tout début de ma relation avec Lui car Maître ne voulait pas être dérangé, que ce soit au travail ou dans Son sommeil. A mon tour, je m’endormis délicatement une fois installée à Ses pieds. Un moment que je savourais tellement car il était devenu rare que je dorme à Ses pieds depuis mon enlèvement… D’ailleurs, une nuit, le Châtelain m’avait fait dormir également à Ses pieds et durant la nuit une grosse crise de panique m’avais pris, j’avais perdu tout mes repères et ce fut quand Maitre me prit dans Ses bras que je me suis rendormis réconfortée et le lendemain matin je n’avais aucun souvenir de ce mauvais rêve... A mon réveil, Monsieur le Marquis était déjà parti, je me dépêchai donc pour aller Le rejoindre et vue l’heure, je savais où le trouver dans la grande salle à manger pour le petit déjeuner. Quand je voulus me mettre aux pieds de Maitre, Il me lança :
- Tu es encore chez mon ami donc tu es Crystal ici. Mais ne t’inquiète pas tu pourras bientôt retourner à ta place à Mes pieds, Ma chienne. Tu es libre de t’exprimer sans risque de sanction mais fait quand même attention à ce que tu pourrais dire !
- Je ferai Maitre, selon Vos exigences.
- Tu as plutôt intérêt car regarde cette chienne, Ma chère Crystal, me dit-t’il en me pointant du doigt la femme de L’Emir. Elle n’a durant tout le mariage pas su se tenir en Ma présence. J’ai vu avec mon ami pour qu’elle rentre avec nous ce soir… (Puis s’adressant à la femme de l’Emir)… Toi la chienne, même si tu as un tempérament dominant, tu vas devoir l’oublier quand tu es en Ma présence et surtout te faire oublier jusqu’au départ pour la France, dans Mon Château, mais tu sais, des chiennes rebelles j’en ai eu et elles sont devenues plus dociles que des agneaux… comme Crystal qui malgré ce que tu as pu voir, n’a pas toujours été aussi sage, n’est ce pas Crystal !
- Vous avez raison Monsieur le Marquis, il est vrai que j’ai eu du mal à comprendre où était ma place mais avec Votre éducation et aussi grâce à l’aide de Monsieur Walter, Votre Majordome et à Madame Marie, Votre cuisinière, j’ai appris et j’apprends encore comment me comporter, comme il se doit d’être pour Vous satisfaire en bonne chienne que je suis.
- Oui Ma belle, Je connais ton envie, ton besoin de soumission et tes capacités au fort potentiel…. Aller, mange maintenant Crystal.
Je ne me suis pas fait prier pour avaler mon petit déjeuner et Maitre me laissa passer la journée avec l’Emir pour profiter de lui et surtout pour que l’Emir profite de moi. Il m’avait prévu une superbe journée. Balade en hélicoptère, pique-nique royal en plein désert dans un oasis ombragé de rêve, un pur bonheur avec l’échange de notre premier baiser d’amour, un baiser passionné et suave. L’après-midi a été tout aussi magique, j’ai pu pour la première fois entrer dans sa chambre et quel chambre ! Des dorures partout, un lit à baldaquin comme dans les films. Nous avons, non pas baiser, mais passer une après-midi d’amour pur. On a passait de longs moments à faire l’amour, mainte et mainte fois. Et on s’est endormit dans les bras l’un de l’autre. Ce fut une des servantes de l’Emir qui nous réveilla car il était l’heure pour moi de repartir. Monsieur le Marquis, quant à lui, nous attendait avec la femme de l’Emir attachée en laisse.
- Mon cher Edouard, encore merci pour cette délicieuse rencontre et à toi ma belle. Il me tarde de te retrouver quand je viendrai en France chercher ma chienne. Prends soin de toi et fait honneur au Maitre auquel tu appartiens, dis l’Emir.
- Bien sûr, Votre Altesse, il me tarde aussi de vous retrouver - Crystal, à partir de maintenant, je ne veux plus que tu me vouvoies, nous commençons une relation et dans quelque temps, tu seras aussi à moi dans une relation vanille, si tout se passe bien.
- D’accord, mais pour le tutoiement, je vais avoir du mal, répondis-je à l’Emir.
- Aller il est temps de partir, Crystal monte dans la voiture et toi, la chienne, dans la cage de transport du coffre.
Une fois installée, je regarde avec tristesse le Palais où se trouvait l’homme pour qui mon cœur battait. Je sentais la fatigue prendre le dessus, Il faut dire que ce voyage et ce mariage m’avaient totalement épuisée. J’essayais de ne pas laisser le sommeil prendre le dessus. Et Maitre le vit et me caressa tendrement ma joue avec un regard si tendre et Dominant à la fois. Je savourais le contact doux de Ses doigts sur ma peau, je fermais les yeux et me laissais guider par Celui à qui j’appartenais.
- Je sais Ma chienne, tu es fatiguée mais je suis fier de toi car tu as su faire honneur à Mon éducation, qu’il est bon de te retrouver à ta place.
Je sentis alors Sa main se diriger sous ma culotte pour me la retirer et commencer à me branler mon clitoris comme Il savait si bien le faire, s’immisçant dans ma chatte trempée pour me faire lécher Ses doigts. Cela dura un long moment et je commençais à avoir du mal à me retenir de jouir. Une fois arrivés à l’aéroport, nous primes la direction du terminal P, car c’était celui pour les jets privés. Nous avons franchi la douane sans le moindre problème, et arrivée devant le Jet de Monsieur le Marquis, j’eus l’autorisation de monter dans l’avion. Et il fit monter la chienne de l’Emir dans la soute, sans un mot. Le Noble s’installa et me fit venir à Lui toujours tendre et attentionné. Nous avons passé une partie du vol à faire le point sur l’entreprise et des projets avenir ainsi que de celui de qui je suis tombée amoureuse.
- Ma chienne, je vois dans tes yeux la fatigue. Grimpe sur le siège et vient te coucher contre mes genoux, j’ai du travail de mon coté. Dort, c’est une exigence !
Je fis comme le Châtelain me dit et en moins de 5 minutes, épuisée, je dormais paisiblement. Maitre savait que cette fatigue était liée à mon activité professionnelle autant qu’à mes nuits avec l’Emir et que pour que je sois de nouveau en pleine forme, il me fallait du repos. Il ne me réveilla que pour manger et m’accorda le droit de me coucher dans le lit du Jet. Il ne m’utilisa pas et j’en étais triste mais je savais qu’il me ménageait car j’avais travaillé dur et que je me suis faite une bonne réputation dans les Emirats, surtout et aussi grâce aux faveurs de l’Emir. Arrivée à Lyon, j’aperçu la limousine de Monsieur le Marquis et Walter qui nous attendait :
- Bonjour Monsieur le Marquis, avez-Vous fait bon voyage ? Je vois que Vous avez trouvé une nouvelle acquisition- Oui Walter, j’ai fait bon voyage et cette chienne que tu vois dans cette caisse n’est autre que la nouvelle femme de Mon ami l’Emir, sanctionnée pour avoir été d’une vulgarité et d’une insolence envers Moi. Je te la laisse, fait en ce que tu veux mais qu’elle comprenne qui elle est et surtout qui Je suis...
- Très bien, Monsieur le Marquis. Que dois-je faire de Votre autre chienne ?
- Pour le moment, elle reste avec Moi. (Puis s’adressant à moi). Ma chienne, tu vas passer la journée à te reposer dans ton enclos car tu es visiblement épuisée et dans ton état, tu ne Me seras d’aucune utilité. Monte dans la voiture et couche-toi à Mes pieds.
Je fis ce que le Noble me disait le cœur lourd. Ses mots étaient durs et je dus retenir mes larmes. Je me sentais inutile et frustrée de ce qu’Il m’avait dit. C’est sans un mot que je me couchais à Ses pieds et m’endormis très vite. Une fois arrivée, le Majordome m’amena dans mon enclos et je pus voir que Maitre avait fait de nouvelles acquissions mais une des cages dans laquelle se trouvait une des soumises de Monsieur le Marquis était différente le nom me rappelait quelque chose, mais sur le moment je n’y prêtais pas attention.
- Te voila, rentre petite chienne, tu vas retrouver tes habitudes et non te comporter comme une princesse ici. Je sais que tu es destinée à épouser l’Emir chez qui tu as passé des vacances et travaillé, mais ici n’oublie jamais ce que tu es une chienne en cours d’éducation, un vide-couilles, un sac à foutre bonne à être baisée, utilisé pour le plaisir du Maitre ou le notre. En parlant de ça chienne, prends-moi en bouche, tu m’excite et j’ai envie de te baiser comme un vulgaire trou et que je jouisse rapidement, j’ai à faire après...
Je pris alors la grosse verge de Walter en bouche et il me baisa violement la bouche comme s’il me prenait ma chatte par de grands coups de reins puissants dans ma bouche m’empêchant de respirer par moment et ô combien je me sentais bien et excitée que des flots de cyprine coulaient de ma chatte affamée. D’un coup il me fit me mettre à quatre pattes et le Majordome s’enfonça dans ma chatte et me lima bestialement mon intimité affamée et trempé. En bonne femelle en chaleurs, je me cambrais encore plus pour qu’il puisse me prendre plus profondément et pour me frustrer d’avantage car je me connais et que plus je suis saillie profondément plus ma jouissance monte vite et plus j’ai du mal à me contrôler.
- Bonne chienne, voila cambre-toi bien pour que je te baise comme une grosse salope en chaleurs et je sais que tu es au bord de la jouissance à chaque coup de bite que je te fourre dans ta chatte de putain… tu es au supplice, ton corps est un appel à la baise, à la saillie, il ne demande que cela. Bonne salope et bonne catin de chienne
Sur ses mots, le Majordome lâcha sa semence de grand et ultime coup de reins et m’inonda la chatte de son sperme en de longs et saccadés jets.
- Maintenant, tu vas me nettoyer avec ta langue, ma verge et ensuite tu dors et repose-toi. Mais je vais rajouter une chose, c’est moi-même qui te portera tes repas et à chaque fois, tu te branleras ton clito pour t’arrêter à la limite de la jouissance. Et j’ai déjà vu avec Monsieur le Marquis pour ta prochaine séance qui aura lieu ce soir alors dors… Exécution !
Je ne me fis pas prier pour m’endormir et toute les 4 h, je fus réveillée par Walter qui avant de me donner de quoi manger me regardait me branler et lui aussi se branlait devant moi. Des fois il m’éjaculait dessus ou dans ma nourriture que je devais bien évidement manger mais jamais sans pouvoir jouir.
Le soir venu, on me conduisait dans un des donjons de Maitre pour cette séance de D/s. Le Majordome m’installa sur la table de gynécologie et il passa une bonne partie de la soirée à me branler à outrance, je dégoulinais littéralement de plaisirs, ça en devenais douloureux de ne pas pouvoir jouir mais c’était sa volonté et je devais me contenir. Mais au bout d’un certain temps, il me laissa jouir et même à volonté. Il fit rentrer une autre personne pour me branler pendant que Walter usait de divers martinets sur tout mon corps, un pur bonheur pour moi. Mais plus je jouissais plus ça faisait mal et je voyais aux yeux du Majordome qu’il me faisait découvrir la douleur par la jouissance. Je ne pouvais pas la retenir car ça m’aurait valu une sanction. Puis, il me banda les yeux et je sentis de nouveau qu’on me branlait vigoureusement tout en me doigtant profondément la chatte. Il ne me fallu que quelques secondes pour reconnaitre entre mille les doigts de Maitre, je me laissais alors aller au plaisir pour Lui et à un moment Il s’approcha et me glissa à l’oreille
- Va, Ma chienne, jouit pour Moi, tu vas remplacer Mes mains et me démontrer ta capacité à jouir encore et encore, malgré la douleur que tu as.
Je mis donc mes doigts sur mon clito et me branla et jouis encore et encore je ne serais dire combien d’orgasmes. J’avais tellement la douleur vive mais je continuais encore et toujours attenant l’ordre du Châtelain qui me libera de cette torture au bout de 30 minutes. Et par automatisme, je me prosternais à Ses pieds. Il me releva et prit possession de ma bouche d’un baiser tellement Dominant et passionnel, qu’a ce moment-là, la douleur disparue. Puis il me ramena dans mon Enclos ou je m’endormis paisiblement… Je me sentais heureuse et à ma place…
(A suivre …)
- C’est bien Ma chienne, je vois que tu as bien évolué au niveau de tes fellations, Je suis fier de toi…
Sur Ses mots, Monsieur le Marquis m’ordonna de venir dans Ses bras et en moins de deux, Maitre s’endormit. J’adorais ce moment-là, car c’est le seul moment où le Noble était sans défense et ça me donnait l’envie de le protéger et de veiller à Son bon sommeil et surtout à ce qu’il ne soit pas déranger pour rien. J’avais pris ce reflex depuis le tout début de ma relation avec Lui car Maître ne voulait pas être dérangé, que ce soit au travail ou dans Son sommeil. A mon tour, je m’endormis délicatement une fois installée à Ses pieds. Un moment que je savourais tellement car il était devenu rare que je dorme à Ses pieds depuis mon enlèvement… D’ailleurs, une nuit, le Châtelain m’avait fait dormir également à Ses pieds et durant la nuit une grosse crise de panique m’avais pris, j’avais perdu tout mes repères et ce fut quand Maitre me prit dans Ses bras que je me suis rendormis réconfortée et le lendemain matin je n’avais aucun souvenir de ce mauvais rêve... A mon réveil, Monsieur le Marquis était déjà parti, je me dépêchai donc pour aller Le rejoindre et vue l’heure, je savais où le trouver dans la grande salle à manger pour le petit déjeuner. Quand je voulus me mettre aux pieds de Maitre, Il me lança :
- Tu es encore chez mon ami donc tu es Crystal ici. Mais ne t’inquiète pas tu pourras bientôt retourner à ta place à Mes pieds, Ma chienne. Tu es libre de t’exprimer sans risque de sanction mais fait quand même attention à ce que tu pourrais dire !
- Je ferai Maitre, selon Vos exigences.
- Tu as plutôt intérêt car regarde cette chienne, Ma chère Crystal, me dit-t’il en me pointant du doigt la femme de L’Emir. Elle n’a durant tout le mariage pas su se tenir en Ma présence. J’ai vu avec mon ami pour qu’elle rentre avec nous ce soir… (Puis s’adressant à la femme de l’Emir)… Toi la chienne, même si tu as un tempérament dominant, tu vas devoir l’oublier quand tu es en Ma présence et surtout te faire oublier jusqu’au départ pour la France, dans Mon Château, mais tu sais, des chiennes rebelles j’en ai eu et elles sont devenues plus dociles que des agneaux… comme Crystal qui malgré ce que tu as pu voir, n’a pas toujours été aussi sage, n’est ce pas Crystal !
- Vous avez raison Monsieur le Marquis, il est vrai que j’ai eu du mal à comprendre où était ma place mais avec Votre éducation et aussi grâce à l’aide de Monsieur Walter, Votre Majordome et à Madame Marie, Votre cuisinière, j’ai appris et j’apprends encore comment me comporter, comme il se doit d’être pour Vous satisfaire en bonne chienne que je suis.
- Oui Ma belle, Je connais ton envie, ton besoin de soumission et tes capacités au fort potentiel…. Aller, mange maintenant Crystal.
Je ne me suis pas fait prier pour avaler mon petit déjeuner et Maitre me laissa passer la journée avec l’Emir pour profiter de lui et surtout pour que l’Emir profite de moi. Il m’avait prévu une superbe journée. Balade en hélicoptère, pique-nique royal en plein désert dans un oasis ombragé de rêve, un pur bonheur avec l’échange de notre premier baiser d’amour, un baiser passionné et suave. L’après-midi a été tout aussi magique, j’ai pu pour la première fois entrer dans sa chambre et quel chambre ! Des dorures partout, un lit à baldaquin comme dans les films. Nous avons, non pas baiser, mais passer une après-midi d’amour pur. On a passait de longs moments à faire l’amour, mainte et mainte fois. Et on s’est endormit dans les bras l’un de l’autre. Ce fut une des servantes de l’Emir qui nous réveilla car il était l’heure pour moi de repartir. Monsieur le Marquis, quant à lui, nous attendait avec la femme de l’Emir attachée en laisse.
- Mon cher Edouard, encore merci pour cette délicieuse rencontre et à toi ma belle. Il me tarde de te retrouver quand je viendrai en France chercher ma chienne. Prends soin de toi et fait honneur au Maitre auquel tu appartiens, dis l’Emir.
- Bien sûr, Votre Altesse, il me tarde aussi de vous retrouver - Crystal, à partir de maintenant, je ne veux plus que tu me vouvoies, nous commençons une relation et dans quelque temps, tu seras aussi à moi dans une relation vanille, si tout se passe bien.
- D’accord, mais pour le tutoiement, je vais avoir du mal, répondis-je à l’Emir.
- Aller il est temps de partir, Crystal monte dans la voiture et toi, la chienne, dans la cage de transport du coffre.
Une fois installée, je regarde avec tristesse le Palais où se trouvait l’homme pour qui mon cœur battait. Je sentais la fatigue prendre le dessus, Il faut dire que ce voyage et ce mariage m’avaient totalement épuisée. J’essayais de ne pas laisser le sommeil prendre le dessus. Et Maitre le vit et me caressa tendrement ma joue avec un regard si tendre et Dominant à la fois. Je savourais le contact doux de Ses doigts sur ma peau, je fermais les yeux et me laissais guider par Celui à qui j’appartenais.
- Je sais Ma chienne, tu es fatiguée mais je suis fier de toi car tu as su faire honneur à Mon éducation, qu’il est bon de te retrouver à ta place.
Je sentis alors Sa main se diriger sous ma culotte pour me la retirer et commencer à me branler mon clitoris comme Il savait si bien le faire, s’immisçant dans ma chatte trempée pour me faire lécher Ses doigts. Cela dura un long moment et je commençais à avoir du mal à me retenir de jouir. Une fois arrivés à l’aéroport, nous primes la direction du terminal P, car c’était celui pour les jets privés. Nous avons franchi la douane sans le moindre problème, et arrivée devant le Jet de Monsieur le Marquis, j’eus l’autorisation de monter dans l’avion. Et il fit monter la chienne de l’Emir dans la soute, sans un mot. Le Noble s’installa et me fit venir à Lui toujours tendre et attentionné. Nous avons passé une partie du vol à faire le point sur l’entreprise et des projets avenir ainsi que de celui de qui je suis tombée amoureuse.
- Ma chienne, je vois dans tes yeux la fatigue. Grimpe sur le siège et vient te coucher contre mes genoux, j’ai du travail de mon coté. Dort, c’est une exigence !
Je fis comme le Châtelain me dit et en moins de 5 minutes, épuisée, je dormais paisiblement. Maitre savait que cette fatigue était liée à mon activité professionnelle autant qu’à mes nuits avec l’Emir et que pour que je sois de nouveau en pleine forme, il me fallait du repos. Il ne me réveilla que pour manger et m’accorda le droit de me coucher dans le lit du Jet. Il ne m’utilisa pas et j’en étais triste mais je savais qu’il me ménageait car j’avais travaillé dur et que je me suis faite une bonne réputation dans les Emirats, surtout et aussi grâce aux faveurs de l’Emir. Arrivée à Lyon, j’aperçu la limousine de Monsieur le Marquis et Walter qui nous attendait :
- Bonjour Monsieur le Marquis, avez-Vous fait bon voyage ? Je vois que Vous avez trouvé une nouvelle acquisition- Oui Walter, j’ai fait bon voyage et cette chienne que tu vois dans cette caisse n’est autre que la nouvelle femme de Mon ami l’Emir, sanctionnée pour avoir été d’une vulgarité et d’une insolence envers Moi. Je te la laisse, fait en ce que tu veux mais qu’elle comprenne qui elle est et surtout qui Je suis...
- Très bien, Monsieur le Marquis. Que dois-je faire de Votre autre chienne ?
- Pour le moment, elle reste avec Moi. (Puis s’adressant à moi). Ma chienne, tu vas passer la journée à te reposer dans ton enclos car tu es visiblement épuisée et dans ton état, tu ne Me seras d’aucune utilité. Monte dans la voiture et couche-toi à Mes pieds.
Je fis ce que le Noble me disait le cœur lourd. Ses mots étaient durs et je dus retenir mes larmes. Je me sentais inutile et frustrée de ce qu’Il m’avait dit. C’est sans un mot que je me couchais à Ses pieds et m’endormis très vite. Une fois arrivée, le Majordome m’amena dans mon enclos et je pus voir que Maitre avait fait de nouvelles acquissions mais une des cages dans laquelle se trouvait une des soumises de Monsieur le Marquis était différente le nom me rappelait quelque chose, mais sur le moment je n’y prêtais pas attention.
- Te voila, rentre petite chienne, tu vas retrouver tes habitudes et non te comporter comme une princesse ici. Je sais que tu es destinée à épouser l’Emir chez qui tu as passé des vacances et travaillé, mais ici n’oublie jamais ce que tu es une chienne en cours d’éducation, un vide-couilles, un sac à foutre bonne à être baisée, utilisé pour le plaisir du Maitre ou le notre. En parlant de ça chienne, prends-moi en bouche, tu m’excite et j’ai envie de te baiser comme un vulgaire trou et que je jouisse rapidement, j’ai à faire après...
Je pris alors la grosse verge de Walter en bouche et il me baisa violement la bouche comme s’il me prenait ma chatte par de grands coups de reins puissants dans ma bouche m’empêchant de respirer par moment et ô combien je me sentais bien et excitée que des flots de cyprine coulaient de ma chatte affamée. D’un coup il me fit me mettre à quatre pattes et le Majordome s’enfonça dans ma chatte et me lima bestialement mon intimité affamée et trempé. En bonne femelle en chaleurs, je me cambrais encore plus pour qu’il puisse me prendre plus profondément et pour me frustrer d’avantage car je me connais et que plus je suis saillie profondément plus ma jouissance monte vite et plus j’ai du mal à me contrôler.
- Bonne chienne, voila cambre-toi bien pour que je te baise comme une grosse salope en chaleurs et je sais que tu es au bord de la jouissance à chaque coup de bite que je te fourre dans ta chatte de putain… tu es au supplice, ton corps est un appel à la baise, à la saillie, il ne demande que cela. Bonne salope et bonne catin de chienne
Sur ses mots, le Majordome lâcha sa semence de grand et ultime coup de reins et m’inonda la chatte de son sperme en de longs et saccadés jets.
- Maintenant, tu vas me nettoyer avec ta langue, ma verge et ensuite tu dors et repose-toi. Mais je vais rajouter une chose, c’est moi-même qui te portera tes repas et à chaque fois, tu te branleras ton clito pour t’arrêter à la limite de la jouissance. Et j’ai déjà vu avec Monsieur le Marquis pour ta prochaine séance qui aura lieu ce soir alors dors… Exécution !
Je ne me fis pas prier pour m’endormir et toute les 4 h, je fus réveillée par Walter qui avant de me donner de quoi manger me regardait me branler et lui aussi se branlait devant moi. Des fois il m’éjaculait dessus ou dans ma nourriture que je devais bien évidement manger mais jamais sans pouvoir jouir.
Le soir venu, on me conduisait dans un des donjons de Maitre pour cette séance de D/s. Le Majordome m’installa sur la table de gynécologie et il passa une bonne partie de la soirée à me branler à outrance, je dégoulinais littéralement de plaisirs, ça en devenais douloureux de ne pas pouvoir jouir mais c’était sa volonté et je devais me contenir. Mais au bout d’un certain temps, il me laissa jouir et même à volonté. Il fit rentrer une autre personne pour me branler pendant que Walter usait de divers martinets sur tout mon corps, un pur bonheur pour moi. Mais plus je jouissais plus ça faisait mal et je voyais aux yeux du Majordome qu’il me faisait découvrir la douleur par la jouissance. Je ne pouvais pas la retenir car ça m’aurait valu une sanction. Puis, il me banda les yeux et je sentis de nouveau qu’on me branlait vigoureusement tout en me doigtant profondément la chatte. Il ne me fallu que quelques secondes pour reconnaitre entre mille les doigts de Maitre, je me laissais alors aller au plaisir pour Lui et à un moment Il s’approcha et me glissa à l’oreille
- Va, Ma chienne, jouit pour Moi, tu vas remplacer Mes mains et me démontrer ta capacité à jouir encore et encore, malgré la douleur que tu as.
Je mis donc mes doigts sur mon clito et me branla et jouis encore et encore je ne serais dire combien d’orgasmes. J’avais tellement la douleur vive mais je continuais encore et toujours attenant l’ordre du Châtelain qui me libera de cette torture au bout de 30 minutes. Et par automatisme, je me prosternais à Ses pieds. Il me releva et prit possession de ma bouche d’un baiser tellement Dominant et passionnel, qu’a ce moment-là, la douleur disparue. Puis il me ramena dans mon Enclos ou je m’endormis paisiblement… Je me sentais heureuse et à ma place…
(A suivre …)
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