Chloé 1

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Chloé 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Chloé 1
Le mardi de la deuxième semaine des vacances de Pâques, quelques jours après mon aventure avec Noémie, alors que j'étais entrain de réviser mon bac, ma mère m'annonça une bonne nouvelle : ma tante Isabelle et sa fille venaient passer le reste des vacances chez nous. Ma tante Isabelle était ma tante préférée, elle avait toujours été adorable avec moi, c'était d'ailleurs ma marraine. Elle avait une fille de mon âge, Chloé, avec laquelle je m'étais toujours très bien entendu. Dans notre enfance, nous jouions souvent ensemble, et jouissions d'une très forte complicité, d'autant plus que nous étions tous les deux fils et fille uniques. Lorsque j'étains enfant, je considérais Chloé plus comme la soeur que je n'avais jamais eue, que comme une cousine Cela faisait néanmoins quelques années, depuis le collège que Chloé n'était plus venue chez nous, car ma tante avait divorcé et Chloé avait vécu un temps chez son père, à l'autre bout de la France. Cependant Chloé était récemment revenu vivre chez sa mère, non loin de chez nous, et voulait profiter des vacances pour venir nous voir.

Le lendemain, ma mère et moi préparâmes la maison à l'arrivé d'Isabelle et Chloé. Nous n'avions que trois chambres dans ma maison, une chambre d'ami au rez de chaussée, celle de mes parents et la mienne à l'étage. Il fut donc décidé que Cholé dormirait dans ma chambre, elle prendrait mon lit, tandis que moi je dormirai sur un matelas posé à même le sol. Quant à sa mère, elle dormirait dans la chambre d'ami. Lorsque nous étions enfants, Chloé et moi dormions souvent ensemble, cela ne me posait donc aucun souci.

En milieu d'après midi, la sonette retentit : c'était sans doute Isabelle Chloé. Lorsque j'ouvris la porte, et découvrit Chloé, j'eus un choc : la dernière fois que je l'avais vue, nous étions tous les deux en 5ème, au collège. Chloé était alors une gamine rondouillarde au visage jouflu plus proche de l'enfance que de l'adolescence. Désormais, Chloé était devenue... une vraie bombe ! Elle avait grandi et m'arrivai au menton, elle avait perdu ses rondeurs enfantines et était désormais svelte sans être maigre pour autant, ses cheveux étaient attachés en queue de cheval, ce qui mettait en valeur son beau visage (qui n'était plus jouflu) et ses beaux yeux noisettes. Ajoutez à cela une poitrine plus que généreuse et des fesses sublimes mises en avant par son débardeur et son jean moulant, et vous comprendrez que j'eus monentanément du mal à la reconnaître. Je revins néanmoins rapidement de ma surprise et saluai chaleureusement ma cousine, tout en étouffant du mieux que je pouvais les pensées salaces qui s'insunaient en moi. Après avoir salué Isabelle (que je n'avais pas vu, ébloui que j'étais par Chloé), je les fis entrer et les laissai saluer chaleureusement mes parents. Nous passâmes le reste de l'après midi autour d'un gâteau, puis autour d'un jeu de société, dans une atmosphère de chaleureuse convivialité. Bref tout était comme autrefois lorsque Chloé et moi étions enfants, et où elle et sa mère venaient régulièrement. Si ce n'est qu'à l'époque, je n'avais pas besoin de résister à l'envie de plonger mes yeux dans le décoleté de Chloé tout en luttant contre les fantasmes qui m'habitaient. Malgré mon trouble, du au sex-appeal de Chloé, je parvins à rester naturel le reste de la journée. Après le dîner, nous regardâmes tous ensemble un film, avant que tout le monde n'aille se coucher.

La nuit fut une véritable épreuve pour moi, car je dormais à moins d'un mètre de ma cousine. De plus, je n'avais rien à faire pour m'occuper l'esprit, ce qui était la porte ouverte à tous les fantasmes qui m'assaillaient depuis que je l'avais revue. Empoissoné par mon désir grandissant, je ne pouvais m'empêcher d'échafaudder des stratégies qui me permettraient de parvenir à mes fins et de séduire et baiser Chloé. Je repoussai néanmoins ces idées, une par une : Chloé était ma cousine, il serait aussi immoral de coucher avec elle que de coucher avec ma soeur (si j'en avais eu une) ou ma mère. Penser à la baiser était déjà ignoble, alors passer à l'acte serait innomable.

C'est avec ces pensées (peu réjouissantes) que je finis par m'endormir.

Le lendemain, nous nous levâmes très tôt, car la mère de Chloé et la mienne avaient décidé de nous emener visiter un musée. Après la visite du musée, nous rentrâmes à la maison pour déjeuner, et ma mère me dit :

"Chéri, Isabelle et moi on va faire du shopping, on rentrera tard ce soir parce qu'on aimerait bien aller au ciné, et dîner au restaurant. Ton père m'a appellée, il rentrera vers 19h, alors toi et ta cousine attendez le pour dîner. Vous pourrez utiliser la piscine vers 16 heures le temps que l'eau chauffe. Ce serait bien que vous fassiez des crêpes, comme ça on en mangera au dessert. On ne rentrera tous pas tropt tard, ne faîtes pas de bêtise"

"Ok maman, pas de problème ! Répondis je."

Chloé et moi étions un peu fatigués de nous être levés tôt ce matin, par conséquent, elle me proposa de bronzer au soleil sur les chaises longues en attendant l'heure à laquelle nous pourrions nous baigner. Le projet me plut, même si j'apréhendais de voir Chloé en maillot de bain : mon désir deviendrait difficile à combattre et à dissimuler.

Ce fut encore pire que ce que j'avais imaginé : lorsque Chloé enleva son peignoir et révéla son corps superbe, son ventre plat, ses fesses rebondies, et ses seins si gros qu'on en venait à se demander comment son bikini rose pouvait les retenir sans craquer Je fus atteint d'un brusque coup de chaud qui n'avait rien à voir avec la chaleur printanière... Je tentai néanmoins de me discipliner et de ne pas laisser le désir monter en moi, me rappelant avec force que Chloé était ma cousine et que rien ne pourrait jamais se passer entre nous.

Je me mis moi aussi en maillot de bain, et nous allongêames chacun sur une chaise longue l'un à côté de l'autre.

Une heure passa ainsi, durant laquelle nous restâmes là, à nous dorer au soleil, somnolant à moitié, lorsque Chloé me dit :

"Tu veux pas me mettre de la crème solaire dans le dos ? Parce que le soleil tape."

"Ok pas de soucis dis je, en sentant mon désir revenir"

Je m'assis sur sa chaise longue, elle se retourna et s'allongea sur le ventre, je pris le tube de crème solaire, en versa dans mes mains et entrepris de lui étaler sur son dos. Ce fut un vrai calvaire pour moi, ma moralité combattait mon désir sans cesse grandissant. J'essayai de finir le plus rapidement possible, mais ne pouvais m'empêcher de faire traîner les choses. Quand j'eus fini, les choses empirèrent encore, elle me dit :

"Ok merci, maitenant je vais t'en mettre sur ton dos à toi".

Je ne pouvais refuser sous peine d'attier les soupçons, et dus donc la laisser me tartiner le dos de crème solaire. C'était véritablement horrible, chacune de ces carresses me faisaient bouillir intérieurement tout en me rappelant que je n'avais pas le droit de la désirer car elle était de ma famille. Au bout d'un moment, Chloé me dit :

"T'as plutôt bien vieilli"

"Qu'est que tu veux dire ?"

"T'es devenu sexy"

Malgré tous mes efforts, je rougis et ne pus m'empêcher de répondre :

"Merci, t'es pas mal non plus."

Elle laissa passer quelques minutes, pendant lesquelles je tentai de plus en plus désespérement de calmer mon désir.

Quand elle eut fini de m'étaler de la crème solaire, je soupirai discrètement de soulagement : j'allai enfin pouvoir me rallonger et je n'aurai plus à faire d'efforts démesurés pour calmer mon esprit bouillonnant. Néanmoins, Chloé ne l'entendait pas de cette oreille, lorsque je me relevai pour regagner ma chaise longue, elle me retint et me dit :

"Non attends, reste à côté de moi, il y a quelque chose que je veux tenter..."

"C'est quoi ? Demandai je un peu inquiet."

"C'est ça dit elle en m'embrassant."

Pris par surprise, je lui rendis son baiser presque par réflexe, et la laissai m'attirer contre elle. Elle m'embrassait, me tenant par le cou d'une main, son autre main me caressant le dos. Le baiser dura quelques instants délicieux, mais, quand sa main quitta mon dos pour aller sur ma cuisse et remonter vers mon sexe, je la repoussai.

"Chloé, arrête, on peut pas faire ça, c'est mal !"

"Bien sur que si on peut, à moins que tu sois gay ?"

"Non je le suis pas, et c'est pas la question, t'es ma cousine et je te connais depuis que t'es gamine, on peut pas coucher ensemble, ce serait de l'inceste !"

"Tu crois ? On a pas le droit ?"

"Oui ! T'imagines la tête que feraient nos parents ?"

"Moi l'interdit ça m'excite ! Pas toi ? Me fais pas croire que je ne te plais pas, ajouta t elle en désignant avec sa main son corps parfait. Toi tu me plais continua t elle en caressant mes pectoraux, je suis sexy, t'es sexy, c'est normal qu'on s'envoie en l'air tu crois pas ? "

Je ne savais pas quoi répondre. En mon for intérieur, le combat entre mon désir et ma moralité avait atteint son paroxysme. J'avais l'envie de la baiser, là maintenant tout de suite, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser que ce serait mal, immoral.

"Non, dis je, Chloé on ne baisera pas toi et moi, je suis désolé, mais pour moi t'es comme une soeur."

Elle sourit et me dit :

"Je saurai bien te convaincre du contraire".

Là dessus, sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, elle repassa à l'attaque et m'embrassa à nouveau, au cou cette fois ci. Les choses avaient changé, ce n'était plus seulement un combat intéreur, entre ma moralité et mon désir, c'était aussi un combat entre moi et Chloé. Celle ci essayait de me faire succomber à la tenation, et une part grandissante de moi désirais lui céder. Je tentai de la repousser, mais le coeur n'y était qu'à moitié. J'avais juste posé mes mains sur ses épaules, et la retenait mollement. Cette faible résistance ne l'empêcha de quitter mon cou et d'embrasser mon épaule, avant de gagner mon torse. Elle s'y attarda plus longuement, massant mes pectoraux, les embrassant et les léchant. Puis, elle s'interrompit, releva la tête et me regarda droit dans les yeux, avec un sourrire de défi. Elle dit :

"Alors, t'as changé d'avis ? Tu veux que je continue ?"

J'étais paralysé. Mais je compris que je devais prendre une décision. Je devais choisir entre ma moralité et mon désir. Je choisis la moralité : j'ouvris la bouche pour dire à Chloé que je ne pouvais pas la baiser, que c'était trop immoral pour moi, mais celle ci m'interrompit. Elle m'embrassa plus sauvagement que jamais et avant que je n'eus pu réagir, elle m'allongea de force sur la chaise longue et se mit à califourchon sur moi. Elle interrompit son baiser, se redressa et me défia du regard. Je compris alors que le combat était terminé : j'avais perdu. Je ne pouvais pas résister à Chloé surtout pas dans cette position où j'avais une vue imprenable sur son coprs parfait et où j'étais à sa merci. Je rendis donc les armes, me redressai et l'embrassai fouguesement. Le sentiment de m'abandonner était délicieux, des frissons d'excitation me parcouraient le dos. C'était si bon de perdre un combat comme celui là ! Elle me rendit mon baiser, puis s'interrompit et me dit :

"Je savais que j'y arriverai !"

Je répondis par un baiser, plus doux celui ci, plus sensuel. Nous restâmes un long moment à nous embrasser, puis elle me repoussa et m'allongea de force. Sans un mot, elle me retira mon maillot de bain, puis retira sa culotte de bain, et s'empala sur moi. Elle se mit à se onduler du bassin, ce qui déclencha chez moi des frissons de plaisir. Puis je me redraissai et lui embraissai le décolleté, avant de commencer à lui détacher son haut de maillot de bain. Elle m'arrêta et me dit :

"Désolé, mais je montre jamais mes seins la première fois que je baise un mec, ça préserve le mystère..."

"Si tu veux répondis je en les malaxant néanmoins et en les embrassant à travers son maillot de bain".

Elle gémit de plaisir, et repris ses mouvements de bassin de plus belle, provoquant des vagues plaisir chez nous deux. Après quelques délicieuses minutes, je la fis basculer. Nous tombâmes tous les deux de la chaise longue, au milieu de l'herbe. Je lui pris les mains et les maintins au sol afin de l'imobiliser, et entrepris de la baiser en missionaire, donnant des coups de reins de plus en plus profonds. Nous restâmes plusieurs minutes dans cette position, je lui lachai et les mains, et elle en profita pour me caresser un peu partout. A chaque coup de rein que je lui donnais, elle poussait un gémissement.

Au bout d'un moment, elle me renversa, et je tombai dans la piscine. Je coulai et perdis mes repères un moment. Ce fut elle qui me remonta à la surface. Elle m'enlaça, et m'embrassa. Puis, je la soulevai, elle m'agrippa avec ses jambes et je la pénétrai à nouveau. Sa peau était encore plus douce grâce à l'eau, et avec ses cheveux mouillés Chloé était encore plus sexy. Nous restâmes un moment au milieu de la piscine, à bouger et gémir à l'unisson, puis je la poussai contre la paroi de la piscine, la retournai, et la pénétrai par derrière comme en levrette. Je lui tenais les mains, lui embraissai la nuque tout en la pénétrant, m'enfonçant de plus en plus loin tant son vagin était humide. Au bout d'un moment, elle se retourna et me plaqua à mon tour contre la paroi de la piscine. Ce fut à son tour de me donner des coups de rein et de me faire gémir. A chacun de ses mouvements de bassin je sentais monter le plaisir en moi. Je finis par jouir, me déversant en elle en lachant un grand cri de jouissance.

"C'était génial dis, haletant"

"Oui répondit-elle, t'es un sacré coup !"

Après ces instants magiques, Chloé sortit de la piscine, remit son bas de maillot de bain et, se sécha et remit son peignoir. Je fis de même et enfilai un t shirt.

Puis elle et moi préparâmes des crêpes pour le goûter et le dessert de ce soir. Il était environ 16h 30, nous avions donc encore quelques heures avant que mon père ne rentre. Vers 17 heures, nous commençâmes à déguster les crêpes.

Au bout d'un moment, Chloé prit une de ses crêpes et "sans faire exprès" fit tomber le nutella dont elle avait fourré la crêpe sur son décolleté.

"Oups dit elle en me regardant avec un sourire faussement innocent, quelle maladroite ! "

Il ne m'en fallait pas plus. Je me levai et me jetai sur elle, je la portai et l'étalai sur la table, puis j'ouvris son peignoir et entepris de lécher sur son buste le nutella qu'elle y avait mis. C'était délicieux : le goût délicieux du nutella, combiné à la douceur de sa peau faisait de Chloé la meilleure tartine de ma vie ! Après avoir consciencieusement léché tout le nutella sur sa peau, je lui retirai son bas maillot de bain, puis le haut. Ses seins étaient magnifiques, gros et fermes à souhait. Je les malaxai avec grand plaisir, puis je pris de la confiture de framboise et l'étalai sur ses seins. Puis je les léchai, dégustant ainsi mes premiers seins à la framboise. Puis, Chloé me repoussa, me faisant tomber sur la chaise, me retira mon t-shirt et mon maillot de bain, et s'empala sur moi. Tout en se déanchant sur moi, elle attrapa la crème chantilly, s'en versa sur ses seins (je m'empressai de les lécher) et sur mon torse, qu'elle lécha avec application. Puis, elle en versa dans ma bouche et nous pratageâmes un délicieux baiser à la chantilly. Nous continuâmes à nous baiser ainsi, tout en nous entre dévorant. Confiture, chocolat fondu, miel, tout passa sur mon torse, sur seins. La séance de dégustation dura une bonne heure, puis je finis par jouir, mais avec une telle intensité que j'eus peur de m'évanouir.

Le soir venu, mon père rentra, peu avant Isabelle et ma mère. Nos parents ne se doutèrent pas une seconde de ce qui s'était passé en leur absence. Pendant le dîner, ma cousine et moi évitâmes de nous regarder.

Vers 11h du soir, Chloé et moi allâmes nous coucher, malgré le fait que nos parents respectifs désiraient regarder un film. Il faut dire, que nous avions fait beaucoup de sport aujourd'hui...

Cette nuit là j'eus encore plus de mal que la nuit précédente à dormir : savoir que Chloé était à moins d'un mètre de moi ravivait le souvenir de notre folle journée. Néanmoins ce n'était plus l'interdit qui me retenait, mais le fait de savoir que mes parents monteraient bientôt se coucher et risquaient de nous surprendre. Je me résignais donc à passer une nuit sans sexe. Soudain, je sentis quelque chose de lour venir sur moi. C'était Chloé, dans le noir elle chercha mes lèvres, les trouva et m'embrassa langoureusement. Je lui rendis son baiser, mais, lorsque ses caresses devinrent trop entreprenantes, je l'arrêtai :

"Chloé, on risque de nous surprendre !"

"N'essaye pas de me resister dit elle, tu sais très bien que t'y arriveras pas"

Je voulus répondre, mais elle ne m'en laissa pas le temps, je devinai dans le noir qu'elle enlevait son haut de pyjama, puis elle enfouit ma tête dans ses seins, ce qui eut immédiatement raison de ma résistance.

Elle acheva de se désabhiller, je fis de même de mon côté, et nous nous jetâmes l'un sur l'autre. Ce fut l'une des nuits les plus excitantes de ma vie. D'abord parce que je couchais avec ma cousine. L'impression de faire quelque chose de "mal", "d'interdit" avait quelque chose d'aphrodisiaque et pimentait nos ébats (cela avait déjà été le cas dans la journée). Ensuite, parce que nous pouvions être découverts à n'importe quel moment par mes parents ou ma tante, le goût du risque s'ajoutait à celui de l'interdit, de plus, il était assez amusant de faire l'amour le plus silencieusement possible. Et enfin, parce que faire l'amour dans le noir était quelque chose de particulièrement délicieux, on ne se voyait qu'à peine (un peu de lumière, venue du salon en bas éclairait faiblement ma chambre et nous permettrait de nous entre apercevoir), ce qui nous permettait de plus nous concentrer sur nos autres sens : le toucher, dans le noir je sentais beaucoup mieux la douceur de sa peau, et les décharges électriques qui parcouraient la mienne à chaque fois que nos deux corprs se frottaient étaient décuplées. L'ouie était aussi plus solicitée. Il était délicieux pour moi d'entendre ses soupirs de plaisir, provoqués par les coups de rein que je lui donnais, soupirs qu'elle tentait d'étouffer pour ne pas que sa mère et mes parents l'entendent. Lorsque je m'en rendis compte, je pris un malin plaisir à accélérer le rythme de mes attaques afin de la mettre en difficulté dans les efforts qu'elle faisait pour rester silencieuse. Elle me résista, et parvint à ne pas faire trop de bruit, avant de prendre sa revanche : elle reprit le dessus et commença à me chevaucher, me donnant des coups de rein à un rythme effrené, afin de me rendre la monnaie de ma pièce et de forcer à lâcher un cri. Les assauts que je subissais étaient si délicieux qu'il m'était impossible de rester silencieux. Le plaisir montait en moi, comme une marée irrésistible, et je poussai des halètements de plaisir de plus en plus forts, et risquais à tout moment de lâcher un cri qui serait sûrement entendu par mes parents au rez de chaussée. Afin d'éviter cela, je me mordis la main, mais implacable, Chloé m'attrapa la main et la tint contre le matelas, m'imobilisant presque totalement. Incapable de m'auto-baillonner avec mes mains, immobilisé par Chloé, j'en fus réduit à me mordre les lèvres pour m'empêcher de crier, mais devant la violence de ces coups de reins, ce fut insufisant : je finis par lâcher un cri de plaisir. Mon cri ne fut heureusement pas entendu, mes parents et ma tante étant sans doute trop absorbés par leur film. Nous avions eu chaud ! Chloé continua de me chevaucher, mais cette fois ci, elle se montra charitable, et me mettait sa main devant ma bouche lorsque me taire devenait trop difficile. Elle me chevaucha ainsi pendant une heure, moi, je me laissai faire et profitai de la situation. De temps en temps, je me redraissai et lui embraissai et léchai ses seins volumineux, d'autres fois elle se penchait vers moi pour m'embrasser tendrement, à deux ou trois reprises, elle me fit sucer son doigt, ou suçait le mien, ce qui était tout sauf désagréable. Après une heure de chevauchée, fantastique, silencieuse et aveugle, nous entendîmes un bruit venant de l'escalier : mes parents montaient se coucher ! Pire encore, nous entendîmes ma mère dire :

"Je vais voir si les enfants dorment bien"

Rapidement, Chloé retourna dans lit, tandis que moi je relevai sur moi ma couveture pour que ma mère ne vit pas que j'étais nu. La porte s'ouvrit, et j'eus tout juste le temps de fermer les yeux, et de prier pour que ma mère ne remarqua rien. Ce fut le cas, la porte se referma et ma mère alla se coucher avec mon père.

Je sautai dans le lit de Chloé, et l'embrassai langoureusement, et avant qu'elle n'eut le temps de dire "ouf", je la retournai et la pris en levrette. J'étais à genoux sur le matelas, les mains sur les hanches de Chloé qui elle était à quatre pattes, et entrepris de la pilonner de plus en plus fort. Au bout d'un moment, Chloé se redressa, et se mit à genoux, moi toujours derrière elle entrain de la limer, je profitai de son changement de position pour lui embrasser l'épaule, et pour lui pétrire les seins par derrière. Puis je la forçai à se remettre à quatre pattes, et poursuivis mes coups de rein, plus violement que jamais. D'une main je lui tins les hanches, et de l'autre je lui tirai les cheveux à deux ou trois reprises (pas trop fort non plus). Cette position était si agréable, si animale, qu'il m'était impossible de tenir indéfiniment, et je finis par jouir dans une explosion de plaisir. Chloé et moi nous assoupîmes, l'un contre l'autre, heureux de cette folle journée.

Chloé et sa mère repartirent le lendemain, après que Chloé m'ait promis qu'on se reverrait bientôt...

Les vacances de Pâque se terminèrent, et j'étais un peu déprimé à l'idéee de retourner au Lycée. Mais le dernier jour des vacances, le soir, alors que je préparais mon sac pour la rentrée du lendemain, je reçus un SMS de Katherine qui disait :

"Je suis rentrée de vavance hier soir mon grand ! On se voit demain après le Lycée. J'espère que t'es en forme, parce que je peux t'assurer que demain soir tu ne dormiras pas beaucoup !"

Je souris, finalement, j'étais assez content que les vacances se terminent...

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Texte coquin : Chloé 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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