Chloé
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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Chloé
Je me promenais avec mon amie Chloé en attendant les résultats du bac. Je n'avais pas l'impression d'avoir été efficace et je m'attendais à m'être faite étaler. Nous nous sommes retrouvées au bord de la rivière. Un type était assis dans une belle décapotable rouge. Chloé m'a dit que c'était une jaguar mais j'ai plutôt penché sur une Ferrari et comme il n'y avait qu'une seule solution, nous nous sommes approchées. Cette fois, j'avais bon parce qu'il y avait le petit cheval sur le capot. Nous nous sommes encore rapprochées.
- Vous voulez faire un tour, nous a proposé le type ?
Je lui ai répondu qu'on n'avait pas le droit de parler aux inconnus, ce que m'avait souvent répété ma mère quand je n'étais qu'une gamine et Chloé s'est mise à rire.
- Vous avez peur que je vous viole, a ajouté le type ? Vous croyez que je vais abandonner ma voiture pour vous courir après ?
Il était vrai qu'on n'avait qu'à prendre la passerelle pour lui échapper.
- Bon, vous ne voulez pas monter, a continué le type ! Vous m'avez l'air d'avoir de la poitrine ! Cinquante euros à celle qui soulève son T-shirt et me montre son soutif !
J'ai regardé Chloé. Cinquante euros, pour nous, c'était une somme et puis qu'est-ce qu'on risquait ? J'allais soulever mon T-shirt quand mon amie m'a coupé l'herbe sous le pied.
- Pas mal, a fait le type ! Tu fais du combien comme bonnet, a-t-il demandé à Chloé ?
- D, lui a-t-elle répondu !
- Et toi, m'a demandé le type ? Tu dois faire plus ! Je me trompe ?
- E, ai-je soufflé !
- Ah ! Pas mal pour des filles de votre âge ! J'offre encore cinquante euros à celle qui me montre ses seins !
A peine avait-il prononcé le mot sein que j'avais soulevé mon T-shirt et mon soutif en même temps. Mes seins ont claqué sur mon nombril. Chloé, elle aussi, avait fait sauter son soutif. Le regard du type passait de l'une à l'autre. Il nous a dit que nous sommes belles puis il nous a demandé si on avait un petit ami. J'ai regardé mon amie et elle m'a fait signe de dire oui.
- Et toi, a-t-il demandé à Chloé ?
- Oui, moi aussi, lui a répondu Chloé !
- Et vous avez déjà fait l'amour avec lui, a insisté le type ?
- Oui, lui a répondu Chloé ! Et on fait d'autres choses, a-t-elle ajouté !
- Et quoi, a encore insisté le conducteur de la Ferrari ?
- Il aime bien que je le suce, a ajouté Chloé !
- Et toi, m'a ensuite demandé le type ? C'est pareil ?
- Moi, ce qu'il aime, c'est m'enculer, lui ai-je répondu !
Je savais bien que tout ce qu'on venait de lui dire était des mensonges. Des garçons de nos classes avaient bien essayé de nous draguer mais on les avait toujours fuis comme la peste parce qu'on sait bien ce que veulent les garçons : perdre leur gourme avec nous ! Et pour toute expérience, on n'avait que de s'être embrassées sur la bouche et avoir comparé nos seins et de s'être une fois, masturbées côte à côte et ça ne prêtait pas à conséquence même si Chloé m'avait demandé d'échanger nos mains et ça était resté la seule fois que j'avais délégué à une autre ma masturbation.
- Vous n'avez pas l'air d'être des lycéennes, a insisté le type ! Et à mon avis, vous êtes des prostituées ! Je ne suis pas d'ici et je ne m'attendais pas à tomber sur vous ! Je veux bien me sacrifier !
- Non, mais ça va pas, lui a crié Chloé !
Elle m'a prise par le bras et nous avons traversé la passerelle puis elle m'a dit que c'était plus sûr de continuer par l'autre rive mais à peine avions-nous fait quelques mètres que la Ferrari est réapparue à côté de nous.
- Montez ! Je vous dépose, nous a proposé l'inconnu !
Moi, je ne voulais pas mais Chloé a accepter et je ne pouvais pas faire autrement que de rester avec elle et l'accompagner. Nous sommes montées dans la voiture et le type a démarré et il a roulé tout doucement le long de la rivière.
- Vous m'en voulez pour ce que je vous ai dit tout à l'heure ? Je n'ai jamais pensé que vous étiez des putains, a-t-il ajouté !
Chloé a bafouillé qu'elle ne lui en voulait pas. Je n'étais jamais allée aussi loin de chez moi. La petite route s'était changée en chemin. En arrivant près d'une grange en ruine, il a tourné et il s'est garé sous un arbre.
- Bon, visiblement, vous ne voulez pas nous ramener chez nous, lui a dit Chloé ! Qu'est-ce que vous voulez ?
Le type a sorti son téléphone portable et il a pianoté dessus jusqu'à ce que je m'affiche sur l'écran avec la poitrine en l'air comme je l'avais été près de la passerelle puis il a changé de photo et Chloé a pu se voir dans le même état.
- Vous êtes salaud, lui a dit Chloé ! Vous allez nous faire du chantage et montrer ça à tout le monde !
J'étais incapable de dire quoi que ce soit et j'envisageais déjà la correction que mon père allait m'infliger, non pas que je craignais ses coups de baguette sur les fesses car la dernière fois qu'il m'avait punie, j'avais eu un orgasme. Non, ce que je craignais c'est qu'il m'interdise de sortir et c'était les vacances et j'aimais bien sortir avec mes copines.
- Bon, d'accord, a-t-il ajouté ! Je n'ai pas été très gentil avec vous ! Je vous donne votre argent et j'efface les images, mais je veux d'abord savoir quelque chose : j'ai l'impression que vous avez déjà fait l'amour ensemble, toutes les deux ! J'ai raison ?
- Vous avez raison, lui ai-je rétorqué, car j'avais envie que tout ça, ça s'arrête.
Nous étions allées trop loin.
- Je parie que c'est toi qui l'entraine, a ajouté le type en s'adressant à Chloé ! Tu doisaimer faire la lesbienne mais pas ta copine ! Je me trompe ?
J'étais rouge comme une tomate. Le type a sorti deux billets de cinquante et il nous les a tendus mais avant qu'on les attrape, il les avait remis dans sa poche.
- On va descendre de voiture et aller dans la grange, a-t-il ajouté et vous allez me montrer comment vous faites !
J'ai regardé Chloé.
- On peut discuter, a-t-elle demandé au bellâtre ?
Il a accepté mais il a récupéré les clefs de contact et il est descendu.
- Tu sais, m'a murmuré Chloé à l'oreille, ça ne dérangera pas ma mère si elle l'apprend parce que depuis que papa est parti, elle ne baise qu'avec des femmes, mais je suis inquiète pour toi ! Ton père est si borné...
- Alors, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse, lui ai-je demandé ?
- Ça te dérangerait tant que ça de le refaire avec moi, m'a proposé Chloé ?
- Mais ce n'était que des baisers, des caresses, lui ai-je objecté ! C'est vraiment ça que tu veux, lui ai-je demandé ?
Tout à coup, j'étais inquiète. Et si mon amie en profitais pour me mettre la main dessus ou si c'était elle qui avait organisé ça pour que je lui cède ?
- Il ne va pas nous lâcher, m'a répondu Chloé ! De toute façon, je ne risque rien car je viens de finir mes règles !
Pour moi, c'était la même chose et effectivement, je ne risquais rien. Le type s'était éloigné de nous mais il nous regardait et nous sommes descendues de voitures et il nous a rejointes puis il nous a demandé si on connaissait cette grange et comme nous ne lui avons pas répondu, il nous a prises par le bras et il nous a entraîné. La porte tenait à peine et à l'intérieur, c'était plein de balles de paille.
- Qu'est ce que vous en pensez, nous a demandé notre chevalier servant ?
- Tu veux qu'on fasse l'amour ensemble, lui a répondu Chloé ? On va le faire, mais avant, tu nous donne l'argent !
Le type nous a souri puis il a plongé sa main dans la poche et il en a sorti les deux billets de cinquante que nous avons pris.
- Cinquante euros de plus si vous me faites un striptease, a-t-il ajouté en brandissant un autre billet !
Chloé lui a arraché des mains. Maintenant, il fallait s'exécuter. Elle s'est mise à pivoter sur elle-même et j'ai fait comme elle puis elle m'a tendu ses lèvres et je n'ai pu faire autrement que de l'embrasser. J'ai dégrafé ma jupe et elle m'est tombée sur les pieds et je l'ai envoyée d'un coup de pied sur le type qui a dû s'écarter pour ne pas être touché et mon amie lui a fait de même puis nous avons retiré le reste pendant qu'il reserrait quatre bottes de paille pour faire un lit. Quand nous avons été entièrement nues, il nous a dit que ce qu'il aimerait serait d'aboutir avec chacune de nous.
- Il te faudra combien de temps pour te remplir à nouveau les couilles, lui a demandé Chloé en éclatant de rire ?
Il lui a répondu qu'il lui faudrait le temps qu'il faudrait pour qu'il puisse lui arroser le visage.
- Bon, allez-y, les filles, nous a-t-il intimé !
- Allonge-toi sur le bord de la botte de paille, m'a murmuré Chloé à l'oreille ! J'ai envie de te bouffer la chatte !
Je me suis assise puis je me suis laissée tomber en arrière et elle s'est agenouillé entre mes jambes et tout de suite, je suis montée au mur car depuis qu'on avait vu cette voiture et son chauffeur, mon corps était en manque et inconsciemment, j'avais compris que j'allais devenir une vraie femme mais en attendant, Chloé me servait de faire valoir et j'ai eu l'impression que sa langue allait me ressortir par la bouche tant elle l'enfonçait profond puis elle s'est mise à mordiller mon clitoris avant de mordiller mes mamelons puis elle les a tétés comme l'aurait fait un bébé qui n'aurait pas été nourri depuis plusieurs jours.
- Mettez-vous en soixante-neuf que ce ne soit pas toujours la même, nous a intimé notre maître !
Chloé m'est montée dessus et j'ai pu plonger mon visage sur sa vulve. Elle mouillait comme une fontaine mais contrairement à moi, elle me prenait avec ses doigts.
- Tu n'es qu'une salope, a-t-elle articulé ! N'arrête pas !
Je n'ai pas arrêté. Elle a eu son orgasme et elle a même commencé à me pisser dessus avant de se contrôler.
- Toi aussi, lui ai-je crié quand j'ai pu me dégager. J'avais le visage plein de son plaisir. Les doigts de mon amie avaient pris possession de mon vagin et mon orgasme arrivait à cent à l'heure.
- Tu vas me sucer, a intimé le type à Chloé !
Je n'ai rien vu tout de suite. Juste qu'il s'était mis entre mes cuisses et en fait, elle ne le suçait pas et c'était lui qui la baisait dans la bouche. Chloé était incapable de se défendre. La bite allait et venait jusqu'au fond de sa gorge.
- J'en peux plus, a gémi mon amie !
J'ai compris que le premier jet de sperme était allé au fond de sa gorge, mais notre amant s'était reculé et le sperme s'éclatait sur le visage de mon amie puis il s'est éclaté sur ses seins.
- C'est bon, non, lui a-t-il demandé ?
Je m'étais dégagée d'eux et maintenant je pouvais voir que Chloé en avait plein le visage et aussi sur les seins, d'un liguide blanc opaque et visqueux. Le type s'est servi de ses doigts et il l'a étalé jusque sur son cou puis il l'a étalé sur ses seins.
- Tu aimes ça, lui a-t-il demandé ensuite ! Tu n'es pas si gouine que tu en as l'air ! Tu aimes bien la queue !
Il est resté à cheval sur Chloé et je me suis assise sur la botte de paille à côté d'eux et quand il lui a demandé de me toucher les seins, mon amie s'est mise à jouer avec ma poitrine et quand il m'a dit d'ouvrir les cuisses, je les ai ouvertes et elle a pu me doigter jusqu'à me donner un orgasme puis il m'a tirée vers lui et il m'a embrassée sur la bouche et quand il m'a relâchée, il m'a demandé ce qu'il allait faire avec moi.
- Tu ne devines, pas, a-t-il insisté ? Pourtant, c'est toi qui me l'a dit, a-t-il ajouté ! Quand vous m'aurez remis en service, c'est ce que je vais faire !
J'ai protesté que j'avais menti et que je n'avais pas de petit ami et que je n'avais pas non plus fait ça.
- Tu veux dire que tu n'as jamais eu de bite dans le trou du cul, a-t-il ajouté, mais si tu me l'as dit, c'est que tu en as envie ! Bon, d'accord, comme j'ai vraiment envie de baiser ta copine, je vais la baiser et je te baiserai ensuite puis je t'enculerai, nous a-t-il proposé !
- Tu peux m'enculer moi, lui a proposé Chloé !
- Non ! C'est celle qui a dit qui a, lui a répondu notre amant ! Tu m'as dit que tu aimais sucer... et ta copine qu'elle se faisait enculer !
Il se branlottait et sa bite était redevenue raide. Je lui ai dit qu'il pouvait retirer son pantalon et que nous n'allions pas nous sauver avec et il l'a retiré tout comme il a retiré sa chemise et son caleçon. En fait, ai-je pensé, il est pas mal, même s'il doit avoir quarante ans ! Il a fait mettre Chloé en levrette sur le bord de la botte de paille et il s'est enfoncé dans son vagin. Il était très doux avec elle et il n'oubliait pas de lui caresser les seins avant de continuer son assaut et plus tard, quand on en reparlera, mon amie me dira que c'est un mari comme lui qu'elle désire.
- Je veux t'enculer, lui a-t-il appris alors qu'il lui avait mis les doigts dans la bouche !
Chloé n'a pas répondu. Il s'est retiré de son vagin puis il s'est enfoncé dans son anus sous mes yeux. Je n'aurais pas pu être mieux placée. La bite a disparu dans les fesses et les couilles se sont écrasées sur la vulve.
- Ça te fait mal, lui a-t-il encore demandé ?
- Non, lui a répondu Chloé ! Continue !
Il a commencé à la fourrer mais je pouvais voir son visage et mon amie pleurait puis il s'est arrêté.
- A toi, m'a-t-il commandé !
Je lui ai demandé comment je devais faire mais il m'a répondu que je devais le savoir puis il m'a attrapé la tête et il a enfoncé sa bite dans ma bouche et j'ai compris qu'il n'y avait rien d'aussi agréable pour une femme que de sucer un pénis puis il m'a retournée et il s'est enfoncé dans mon vagin. Maintenant, je n'étais plus vierge même si je m'étais déjà enfoncé pas mal de choses dans le vagin et sans me démater, il m'a fait mettre en levrette puis il a serré ses mains sur mes hanches puis il m'a possédée mais ce n'était pas fini. Alors que j'allais avoir un orgasme, il m'a poussée pour que je monte sur la botte et il est monté lui aussi dessus et il m'a enculée. Je me suis dite qu'après tout, je n'aurais pas dû me vanter et que j'avais ce que je méritais. Sa bite me faisait mal et elle m'arrachait la peau de mon anus. Oui, je le méritais bien. Il me tenait par les hanches et Chloé me soutenait la poitrine tout en tortillant mes mamelons. Il me limait encore quand il m'a dit qu'il ne me faudrait pas grand chose pour que je finisse comme putain. J'avais mal au derrière et j'avais l'impression d'être au supplice sur un pal puis il s'est retiré et il a frotté sa bite et ses couilles sur mes fesses et le sperme a jailli. Le premier jet a atterri dans mes cheveux et mon cou. Le suivant a atterri sur mes reins puis j'ai senti le suivant qui s'écrasait sur mes fesses et le dernier jet a coulé sur ma raie puis sur mes petites lèvres. Au moins, voilà un examen que je n'ai pas raté, ai-je pensé ! Il s'était retiré mais je restais là, à quatre pattes pendant qu'il se rhabillait. Il a sorti un autre billet de cinquante euros de sa poche et il l'a jeté sur la botte de paille.
- On se reverra, lui a demandé Chloé ?
- Je ne crois pas, lui a répondu notre amant ! Je n'étais venu que pour une expertise mais à l'occasion... Donnez-moi votre numéro de téléphone !
Chloé lui a donné son numéro de portable et moi j'ai hésité avant de le donner quand même.
- Et les photos, lui ai-je demandé ?
- Les photos, m'a-t-il répondu en tendant le bras, je les efface. Il a appuyé sur plusieurs boutons et ma photo a disparu et celle de Chloé a suivi le même sort puis il nous a laissées sur place et quand le moteur a retenti, nous avons cherché de quoi nous essuyer puis nous nous sommes rhabillées.
- Je n'aurais jamais cru que ma première fois, ça se passerait comme ça, ai-je avoué à Chloé !
- Moi non plus, m'a répondu Chloé ! Je ne savais pas que j'aimerais tant lui sucer la bite !
- Moi aussi, lui ai-je répondu ! Pour le reste...
- Ah ! Je dois admettre que tu as vraiment assuré, m'a répondu Chloé ! Tu t'aurais vue pendant ton enculade !
- Ah, bon, lui ai-je fait ? Qu'est-ce que j'avais de particulier ?
- Bah, tu avais vraiment l'air d'aimer ça, m'a fait Chloé et puis ça m'a permi de te toucher les seins !
- Ne me dis pas qu'on va continuer à baiser ensemble, je lui ai répondu !
- Et pourquoi pas, m'a répondu Chloé !
Je lui ai alors dit qu'il fallait que je réfléchisse. Ce n'étais pas que je ne voulais plus mais ça me paraissait compliqué de faire ça entre filles parce que mes parents et surtout ma mère, gardaient un oeil sur moi.
- Si on a le bac et si on va à la fac, a ajouté mon amie, il faudra bien qu'on prenne un appartement et on pourrait en avoir un toutes les deux ?
Elle avait raison. Fallait d'abord que j'ai le bac. Fallait ensuite qu'on aille dans la même ville ou la même université. La vie n'est pas aussi facile qu'on le dit. J'ai eu mon bac et elle l'a raté et je suis partie étudier et Chloé a fait une école de secrétariat et c'est avec une autre fille que j'ai partagé l'appartement. Je l'avais rencontrée à l'agence et ça ne m'avait pas paru impossible mais une fois installées, elle m'avait avoué qu'elle était lesbienne et elle avait ajouté que si je ne voulais pas qu'elle ramène des filles à la maison pour baiser, je devais me sacrifier. Je lui ai répondu que je devais réfléchir mais la première nuit qu'on a passé ensemble m'a définitivement convaincue. Adieu Chloé ! Je ne l'ai revue que quelques années plus tard. Elle m'a alors avoué qu'elle avait revu le type à la Ferrari et qu'il s'était servi d'elle pour se trouver des amantes et qu'il leur faisait le coup du mari outragé qui ne pouvait pardonner à sa femme qu'en faisant l'amour avec la femme avec qui elle l'avait trompé.
- J'ai tout fait, avec lui, avait ajouté Chloé ! Je lui ai même fait une fille mais elle vit chez mes parents !
- Tu ne vas pas me dire que tu as fait l'amour avec ces filles avec ton gros ventre, lui avais-je demandé !
- Si, a continué Chloé ! Tu ne peux pas savoir combien ça excite les femmes ! Je t'ai cherchée et j'ai même demandé ton adresse à tes parents et j'ai aussi sonné à ta porte mais il n'y avait personne !
- C'était quand, lui avais-je demandé ?
- Septembre dernier, m'a dit Chloé !
- Dommage ! J'étais partie faire du naturisme avec ma coloc, lui avais-je répondu !
- Tu fais du nudisme, m'a répondu Chloé ! Qu'est-ce que tu fais avec ta coloc !
- Ce que je fais, lui ai-je répondu ? C'est pas de l'amour mais elle fait tout pour que je ne puisse me passer d'elle !
- Tu baises avec elle, m'a demandé Chloé !
Je ne pouvais pas le nier. Pouvais-je aussi avouer que mon amie connaissait beaucoup de lesbiennes et qu'elle me faisait baiser avec elle et que ça avait fini par me plaire et que quand elle me parlait d'une nouvelle femme, j'avais hâte de savoir comment elle était mais elle ne me laissait jamais seule avec elles et elles compensait nos faiblesses en participant avec nous.
- J'ai envie de toi, m'a dit Chloé, tout de go !
Nous étions allés dans un petit hôtel et nous y avions passé tout l'après-midi à nous cajoler et à faire l'amour et j'ai pu expérimenter le fisting. Je n'ai plus revu Chloé. Quand j'ai eu ma maîtrise, j'ai laissé tomber la fac mais je n'ai pas trouvé de boulot.
- Vous voulez faire un tour, nous a proposé le type ?
Je lui ai répondu qu'on n'avait pas le droit de parler aux inconnus, ce que m'avait souvent répété ma mère quand je n'étais qu'une gamine et Chloé s'est mise à rire.
- Vous avez peur que je vous viole, a ajouté le type ? Vous croyez que je vais abandonner ma voiture pour vous courir après ?
Il était vrai qu'on n'avait qu'à prendre la passerelle pour lui échapper.
- Bon, vous ne voulez pas monter, a continué le type ! Vous m'avez l'air d'avoir de la poitrine ! Cinquante euros à celle qui soulève son T-shirt et me montre son soutif !
J'ai regardé Chloé. Cinquante euros, pour nous, c'était une somme et puis qu'est-ce qu'on risquait ? J'allais soulever mon T-shirt quand mon amie m'a coupé l'herbe sous le pied.
- Pas mal, a fait le type ! Tu fais du combien comme bonnet, a-t-il demandé à Chloé ?
- D, lui a-t-elle répondu !
- Et toi, m'a demandé le type ? Tu dois faire plus ! Je me trompe ?
- E, ai-je soufflé !
- Ah ! Pas mal pour des filles de votre âge ! J'offre encore cinquante euros à celle qui me montre ses seins !
A peine avait-il prononcé le mot sein que j'avais soulevé mon T-shirt et mon soutif en même temps. Mes seins ont claqué sur mon nombril. Chloé, elle aussi, avait fait sauter son soutif. Le regard du type passait de l'une à l'autre. Il nous a dit que nous sommes belles puis il nous a demandé si on avait un petit ami. J'ai regardé mon amie et elle m'a fait signe de dire oui.
- Et toi, a-t-il demandé à Chloé ?
- Oui, moi aussi, lui a répondu Chloé !
- Et vous avez déjà fait l'amour avec lui, a insisté le type ?
- Oui, lui a répondu Chloé ! Et on fait d'autres choses, a-t-elle ajouté !
- Et quoi, a encore insisté le conducteur de la Ferrari ?
- Il aime bien que je le suce, a ajouté Chloé !
- Et toi, m'a ensuite demandé le type ? C'est pareil ?
- Moi, ce qu'il aime, c'est m'enculer, lui ai-je répondu !
Je savais bien que tout ce qu'on venait de lui dire était des mensonges. Des garçons de nos classes avaient bien essayé de nous draguer mais on les avait toujours fuis comme la peste parce qu'on sait bien ce que veulent les garçons : perdre leur gourme avec nous ! Et pour toute expérience, on n'avait que de s'être embrassées sur la bouche et avoir comparé nos seins et de s'être une fois, masturbées côte à côte et ça ne prêtait pas à conséquence même si Chloé m'avait demandé d'échanger nos mains et ça était resté la seule fois que j'avais délégué à une autre ma masturbation.
- Vous n'avez pas l'air d'être des lycéennes, a insisté le type ! Et à mon avis, vous êtes des prostituées ! Je ne suis pas d'ici et je ne m'attendais pas à tomber sur vous ! Je veux bien me sacrifier !
- Non, mais ça va pas, lui a crié Chloé !
Elle m'a prise par le bras et nous avons traversé la passerelle puis elle m'a dit que c'était plus sûr de continuer par l'autre rive mais à peine avions-nous fait quelques mètres que la Ferrari est réapparue à côté de nous.
- Montez ! Je vous dépose, nous a proposé l'inconnu !
Moi, je ne voulais pas mais Chloé a accepter et je ne pouvais pas faire autrement que de rester avec elle et l'accompagner. Nous sommes montées dans la voiture et le type a démarré et il a roulé tout doucement le long de la rivière.
- Vous m'en voulez pour ce que je vous ai dit tout à l'heure ? Je n'ai jamais pensé que vous étiez des putains, a-t-il ajouté !
Chloé a bafouillé qu'elle ne lui en voulait pas. Je n'étais jamais allée aussi loin de chez moi. La petite route s'était changée en chemin. En arrivant près d'une grange en ruine, il a tourné et il s'est garé sous un arbre.
- Bon, visiblement, vous ne voulez pas nous ramener chez nous, lui a dit Chloé ! Qu'est-ce que vous voulez ?
Le type a sorti son téléphone portable et il a pianoté dessus jusqu'à ce que je m'affiche sur l'écran avec la poitrine en l'air comme je l'avais été près de la passerelle puis il a changé de photo et Chloé a pu se voir dans le même état.
- Vous êtes salaud, lui a dit Chloé ! Vous allez nous faire du chantage et montrer ça à tout le monde !
J'étais incapable de dire quoi que ce soit et j'envisageais déjà la correction que mon père allait m'infliger, non pas que je craignais ses coups de baguette sur les fesses car la dernière fois qu'il m'avait punie, j'avais eu un orgasme. Non, ce que je craignais c'est qu'il m'interdise de sortir et c'était les vacances et j'aimais bien sortir avec mes copines.
- Bon, d'accord, a-t-il ajouté ! Je n'ai pas été très gentil avec vous ! Je vous donne votre argent et j'efface les images, mais je veux d'abord savoir quelque chose : j'ai l'impression que vous avez déjà fait l'amour ensemble, toutes les deux ! J'ai raison ?
- Vous avez raison, lui ai-je rétorqué, car j'avais envie que tout ça, ça s'arrête.
Nous étions allées trop loin.
- Je parie que c'est toi qui l'entraine, a ajouté le type en s'adressant à Chloé ! Tu doisaimer faire la lesbienne mais pas ta copine ! Je me trompe ?
J'étais rouge comme une tomate. Le type a sorti deux billets de cinquante et il nous les a tendus mais avant qu'on les attrape, il les avait remis dans sa poche.
- On va descendre de voiture et aller dans la grange, a-t-il ajouté et vous allez me montrer comment vous faites !
J'ai regardé Chloé.
- On peut discuter, a-t-elle demandé au bellâtre ?
Il a accepté mais il a récupéré les clefs de contact et il est descendu.
- Tu sais, m'a murmuré Chloé à l'oreille, ça ne dérangera pas ma mère si elle l'apprend parce que depuis que papa est parti, elle ne baise qu'avec des femmes, mais je suis inquiète pour toi ! Ton père est si borné...
- Alors, qu'est-ce que tu veux qu'on fasse, lui ai-je demandé ?
- Ça te dérangerait tant que ça de le refaire avec moi, m'a proposé Chloé ?
- Mais ce n'était que des baisers, des caresses, lui ai-je objecté ! C'est vraiment ça que tu veux, lui ai-je demandé ?
Tout à coup, j'étais inquiète. Et si mon amie en profitais pour me mettre la main dessus ou si c'était elle qui avait organisé ça pour que je lui cède ?
- Il ne va pas nous lâcher, m'a répondu Chloé ! De toute façon, je ne risque rien car je viens de finir mes règles !
Pour moi, c'était la même chose et effectivement, je ne risquais rien. Le type s'était éloigné de nous mais il nous regardait et nous sommes descendues de voitures et il nous a rejointes puis il nous a demandé si on connaissait cette grange et comme nous ne lui avons pas répondu, il nous a prises par le bras et il nous a entraîné. La porte tenait à peine et à l'intérieur, c'était plein de balles de paille.
- Qu'est ce que vous en pensez, nous a demandé notre chevalier servant ?
- Tu veux qu'on fasse l'amour ensemble, lui a répondu Chloé ? On va le faire, mais avant, tu nous donne l'argent !
Le type nous a souri puis il a plongé sa main dans la poche et il en a sorti les deux billets de cinquante que nous avons pris.
- Cinquante euros de plus si vous me faites un striptease, a-t-il ajouté en brandissant un autre billet !
Chloé lui a arraché des mains. Maintenant, il fallait s'exécuter. Elle s'est mise à pivoter sur elle-même et j'ai fait comme elle puis elle m'a tendu ses lèvres et je n'ai pu faire autrement que de l'embrasser. J'ai dégrafé ma jupe et elle m'est tombée sur les pieds et je l'ai envoyée d'un coup de pied sur le type qui a dû s'écarter pour ne pas être touché et mon amie lui a fait de même puis nous avons retiré le reste pendant qu'il reserrait quatre bottes de paille pour faire un lit. Quand nous avons été entièrement nues, il nous a dit que ce qu'il aimerait serait d'aboutir avec chacune de nous.
- Il te faudra combien de temps pour te remplir à nouveau les couilles, lui a demandé Chloé en éclatant de rire ?
Il lui a répondu qu'il lui faudrait le temps qu'il faudrait pour qu'il puisse lui arroser le visage.
- Bon, allez-y, les filles, nous a-t-il intimé !
- Allonge-toi sur le bord de la botte de paille, m'a murmuré Chloé à l'oreille ! J'ai envie de te bouffer la chatte !
Je me suis assise puis je me suis laissée tomber en arrière et elle s'est agenouillé entre mes jambes et tout de suite, je suis montée au mur car depuis qu'on avait vu cette voiture et son chauffeur, mon corps était en manque et inconsciemment, j'avais compris que j'allais devenir une vraie femme mais en attendant, Chloé me servait de faire valoir et j'ai eu l'impression que sa langue allait me ressortir par la bouche tant elle l'enfonçait profond puis elle s'est mise à mordiller mon clitoris avant de mordiller mes mamelons puis elle les a tétés comme l'aurait fait un bébé qui n'aurait pas été nourri depuis plusieurs jours.
- Mettez-vous en soixante-neuf que ce ne soit pas toujours la même, nous a intimé notre maître !
Chloé m'est montée dessus et j'ai pu plonger mon visage sur sa vulve. Elle mouillait comme une fontaine mais contrairement à moi, elle me prenait avec ses doigts.
- Tu n'es qu'une salope, a-t-elle articulé ! N'arrête pas !
Je n'ai pas arrêté. Elle a eu son orgasme et elle a même commencé à me pisser dessus avant de se contrôler.
- Toi aussi, lui ai-je crié quand j'ai pu me dégager. J'avais le visage plein de son plaisir. Les doigts de mon amie avaient pris possession de mon vagin et mon orgasme arrivait à cent à l'heure.
- Tu vas me sucer, a intimé le type à Chloé !
Je n'ai rien vu tout de suite. Juste qu'il s'était mis entre mes cuisses et en fait, elle ne le suçait pas et c'était lui qui la baisait dans la bouche. Chloé était incapable de se défendre. La bite allait et venait jusqu'au fond de sa gorge.
- J'en peux plus, a gémi mon amie !
J'ai compris que le premier jet de sperme était allé au fond de sa gorge, mais notre amant s'était reculé et le sperme s'éclatait sur le visage de mon amie puis il s'est éclaté sur ses seins.
- C'est bon, non, lui a-t-il demandé ?
Je m'étais dégagée d'eux et maintenant je pouvais voir que Chloé en avait plein le visage et aussi sur les seins, d'un liguide blanc opaque et visqueux. Le type s'est servi de ses doigts et il l'a étalé jusque sur son cou puis il l'a étalé sur ses seins.
- Tu aimes ça, lui a-t-il demandé ensuite ! Tu n'es pas si gouine que tu en as l'air ! Tu aimes bien la queue !
Il est resté à cheval sur Chloé et je me suis assise sur la botte de paille à côté d'eux et quand il lui a demandé de me toucher les seins, mon amie s'est mise à jouer avec ma poitrine et quand il m'a dit d'ouvrir les cuisses, je les ai ouvertes et elle a pu me doigter jusqu'à me donner un orgasme puis il m'a tirée vers lui et il m'a embrassée sur la bouche et quand il m'a relâchée, il m'a demandé ce qu'il allait faire avec moi.
- Tu ne devines, pas, a-t-il insisté ? Pourtant, c'est toi qui me l'a dit, a-t-il ajouté ! Quand vous m'aurez remis en service, c'est ce que je vais faire !
J'ai protesté que j'avais menti et que je n'avais pas de petit ami et que je n'avais pas non plus fait ça.
- Tu veux dire que tu n'as jamais eu de bite dans le trou du cul, a-t-il ajouté, mais si tu me l'as dit, c'est que tu en as envie ! Bon, d'accord, comme j'ai vraiment envie de baiser ta copine, je vais la baiser et je te baiserai ensuite puis je t'enculerai, nous a-t-il proposé !
- Tu peux m'enculer moi, lui a proposé Chloé !
- Non ! C'est celle qui a dit qui a, lui a répondu notre amant ! Tu m'as dit que tu aimais sucer... et ta copine qu'elle se faisait enculer !
Il se branlottait et sa bite était redevenue raide. Je lui ai dit qu'il pouvait retirer son pantalon et que nous n'allions pas nous sauver avec et il l'a retiré tout comme il a retiré sa chemise et son caleçon. En fait, ai-je pensé, il est pas mal, même s'il doit avoir quarante ans ! Il a fait mettre Chloé en levrette sur le bord de la botte de paille et il s'est enfoncé dans son vagin. Il était très doux avec elle et il n'oubliait pas de lui caresser les seins avant de continuer son assaut et plus tard, quand on en reparlera, mon amie me dira que c'est un mari comme lui qu'elle désire.
- Je veux t'enculer, lui a-t-il appris alors qu'il lui avait mis les doigts dans la bouche !
Chloé n'a pas répondu. Il s'est retiré de son vagin puis il s'est enfoncé dans son anus sous mes yeux. Je n'aurais pas pu être mieux placée. La bite a disparu dans les fesses et les couilles se sont écrasées sur la vulve.
- Ça te fait mal, lui a-t-il encore demandé ?
- Non, lui a répondu Chloé ! Continue !
Il a commencé à la fourrer mais je pouvais voir son visage et mon amie pleurait puis il s'est arrêté.
- A toi, m'a-t-il commandé !
Je lui ai demandé comment je devais faire mais il m'a répondu que je devais le savoir puis il m'a attrapé la tête et il a enfoncé sa bite dans ma bouche et j'ai compris qu'il n'y avait rien d'aussi agréable pour une femme que de sucer un pénis puis il m'a retournée et il s'est enfoncé dans mon vagin. Maintenant, je n'étais plus vierge même si je m'étais déjà enfoncé pas mal de choses dans le vagin et sans me démater, il m'a fait mettre en levrette puis il a serré ses mains sur mes hanches puis il m'a possédée mais ce n'était pas fini. Alors que j'allais avoir un orgasme, il m'a poussée pour que je monte sur la botte et il est monté lui aussi dessus et il m'a enculée. Je me suis dite qu'après tout, je n'aurais pas dû me vanter et que j'avais ce que je méritais. Sa bite me faisait mal et elle m'arrachait la peau de mon anus. Oui, je le méritais bien. Il me tenait par les hanches et Chloé me soutenait la poitrine tout en tortillant mes mamelons. Il me limait encore quand il m'a dit qu'il ne me faudrait pas grand chose pour que je finisse comme putain. J'avais mal au derrière et j'avais l'impression d'être au supplice sur un pal puis il s'est retiré et il a frotté sa bite et ses couilles sur mes fesses et le sperme a jailli. Le premier jet a atterri dans mes cheveux et mon cou. Le suivant a atterri sur mes reins puis j'ai senti le suivant qui s'écrasait sur mes fesses et le dernier jet a coulé sur ma raie puis sur mes petites lèvres. Au moins, voilà un examen que je n'ai pas raté, ai-je pensé ! Il s'était retiré mais je restais là, à quatre pattes pendant qu'il se rhabillait. Il a sorti un autre billet de cinquante euros de sa poche et il l'a jeté sur la botte de paille.
- On se reverra, lui a demandé Chloé ?
- Je ne crois pas, lui a répondu notre amant ! Je n'étais venu que pour une expertise mais à l'occasion... Donnez-moi votre numéro de téléphone !
Chloé lui a donné son numéro de portable et moi j'ai hésité avant de le donner quand même.
- Et les photos, lui ai-je demandé ?
- Les photos, m'a-t-il répondu en tendant le bras, je les efface. Il a appuyé sur plusieurs boutons et ma photo a disparu et celle de Chloé a suivi le même sort puis il nous a laissées sur place et quand le moteur a retenti, nous avons cherché de quoi nous essuyer puis nous nous sommes rhabillées.
- Je n'aurais jamais cru que ma première fois, ça se passerait comme ça, ai-je avoué à Chloé !
- Moi non plus, m'a répondu Chloé ! Je ne savais pas que j'aimerais tant lui sucer la bite !
- Moi aussi, lui ai-je répondu ! Pour le reste...
- Ah ! Je dois admettre que tu as vraiment assuré, m'a répondu Chloé ! Tu t'aurais vue pendant ton enculade !
- Ah, bon, lui ai-je fait ? Qu'est-ce que j'avais de particulier ?
- Bah, tu avais vraiment l'air d'aimer ça, m'a fait Chloé et puis ça m'a permi de te toucher les seins !
- Ne me dis pas qu'on va continuer à baiser ensemble, je lui ai répondu !
- Et pourquoi pas, m'a répondu Chloé !
Je lui ai alors dit qu'il fallait que je réfléchisse. Ce n'étais pas que je ne voulais plus mais ça me paraissait compliqué de faire ça entre filles parce que mes parents et surtout ma mère, gardaient un oeil sur moi.
- Si on a le bac et si on va à la fac, a ajouté mon amie, il faudra bien qu'on prenne un appartement et on pourrait en avoir un toutes les deux ?
Elle avait raison. Fallait d'abord que j'ai le bac. Fallait ensuite qu'on aille dans la même ville ou la même université. La vie n'est pas aussi facile qu'on le dit. J'ai eu mon bac et elle l'a raté et je suis partie étudier et Chloé a fait une école de secrétariat et c'est avec une autre fille que j'ai partagé l'appartement. Je l'avais rencontrée à l'agence et ça ne m'avait pas paru impossible mais une fois installées, elle m'avait avoué qu'elle était lesbienne et elle avait ajouté que si je ne voulais pas qu'elle ramène des filles à la maison pour baiser, je devais me sacrifier. Je lui ai répondu que je devais réfléchir mais la première nuit qu'on a passé ensemble m'a définitivement convaincue. Adieu Chloé ! Je ne l'ai revue que quelques années plus tard. Elle m'a alors avoué qu'elle avait revu le type à la Ferrari et qu'il s'était servi d'elle pour se trouver des amantes et qu'il leur faisait le coup du mari outragé qui ne pouvait pardonner à sa femme qu'en faisant l'amour avec la femme avec qui elle l'avait trompé.
- J'ai tout fait, avec lui, avait ajouté Chloé ! Je lui ai même fait une fille mais elle vit chez mes parents !
- Tu ne vas pas me dire que tu as fait l'amour avec ces filles avec ton gros ventre, lui avais-je demandé !
- Si, a continué Chloé ! Tu ne peux pas savoir combien ça excite les femmes ! Je t'ai cherchée et j'ai même demandé ton adresse à tes parents et j'ai aussi sonné à ta porte mais il n'y avait personne !
- C'était quand, lui avais-je demandé ?
- Septembre dernier, m'a dit Chloé !
- Dommage ! J'étais partie faire du naturisme avec ma coloc, lui avais-je répondu !
- Tu fais du nudisme, m'a répondu Chloé ! Qu'est-ce que tu fais avec ta coloc !
- Ce que je fais, lui ai-je répondu ? C'est pas de l'amour mais elle fait tout pour que je ne puisse me passer d'elle !
- Tu baises avec elle, m'a demandé Chloé !
Je ne pouvais pas le nier. Pouvais-je aussi avouer que mon amie connaissait beaucoup de lesbiennes et qu'elle me faisait baiser avec elle et que ça avait fini par me plaire et que quand elle me parlait d'une nouvelle femme, j'avais hâte de savoir comment elle était mais elle ne me laissait jamais seule avec elles et elles compensait nos faiblesses en participant avec nous.
- J'ai envie de toi, m'a dit Chloé, tout de go !
Nous étions allés dans un petit hôtel et nous y avions passé tout l'après-midi à nous cajoler et à faire l'amour et j'ai pu expérimenter le fisting. Je n'ai plus revu Chloé. Quand j'ai eu ma maîtrise, j'ai laissé tomber la fac mais je n'ai pas trouvé de boulot.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je me suis bien masturbée avec cette histoire ;p
Pas difficile le gars question filles, puisqu'il les trouve jolies alors que la narratrice a les seins sur le nombril. Je ne suis pas allé plus loin.
j ai beaucoup aimer cette histoire je me suis bien caresser hummm