Chloé exhibitionniste
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chloé exhibitionniste
Chloé adorait être désirée, ce qui faisait d'elle une exhibitionniste avérée, de plus, outre le fait d'être l'objet des désirs sexuels des hommes, elle aimait se sentir accessible.
Trop de femmes à son avis se voulaient désirables et s'habillaient de façon à être inaccessibles (collants fermés par exemple). A vingt trois ans elle possédait déjà une belle expérience sexuelle, mais avait rencontré beaucoup plus d'hommes à la recherche de leur plaisir personnel plutôt qu'à la découverte du plaisir de l'autre.
Et en fin de compte, savoir que la limite supérieure de ses bas et la limite inférieure de sa jupe flirtaient la satisfaisait déjà.
Son reflet dans les vitrines des magasins lui donnait une première indication; le regard des hommes une confirmation sur l'intérêt qu'elle suscitait; et enfin le silence qui se faisait à son entrée dans une boutique ou un restaurant lui fournissait la preuve ultime de l'attrait qu'elle offrait.
Bien sûr elle avait des lieux de prédilection pour exercer ses charmes; elle aimait bien les librairies, d'une part parce qu'une sélection naturelle de la clientèle s'y effectuait spontanément, et d'autre part parce qu'il y était normal de s'y pencher en avant, les jambes tendues pour pouvoir consacrer plus d'attention à la lecture des titres des ouvrages sur les rayons.
Elle sentait bien les lisières des bas et de la jupe se séparer l'une de l'autre, et la peau nue apparaitre aux yeux des personnes attentives.
Il y avait surtout la librairie "Flammarion" avec son demi-étage en balustrade, et surtout l'escalier en bois ajouré qui y conduisait. Elle avait affiné sa façon de gravir les marches de manière suffisamment lente mais surtout en restant élégante; elle savait que suivant où se situaient les hommes qui la suivaient ils pouvaient apercevoir beaucoup plus que la bande de chair au-dessus des bas.
Les vendeurs surtout avaient repéré cette cliente qui venait trois à quatre fois par mois et qui achetait régulièrement des ouvrages traitant d'ésotérisme.
Le fait est que lorsque Chloé portait une jupe courte mais relativement ample, suivant les angles de vues on apercevait son string et les choses qu'il aurait dû dissimuler.
Les vendeurs étaient cantonnés à leur secteur, mais les hommes qu'elle avait pu "accrocher" à l'extérieur et qui l'avaient suivit à l'intérieur, eux pouvaient se déplacer librement, et il n'était pas rare pour Chloé de s'accroupir, genoux écartés, pour scruter les ouvrages des rayons les plus bas, et elle savait bien que celui qui se plaçait dans l'axe devant elle, avait une vue bien précise de son string s'incrustant entre ses grandes lèvres.
Bien sûr il n'était pas rare qu'un de ses "suiveurs" ne lui frôle les fesses du dos de la main en passant derrière elle; il arrivait également que l'un d'eux passe derrière elle entre des rayons relativement étroits et que son bassin se frotte avec insistance contre ses fesses, le tout accompagné d'un hypocrite "excusez moi". Chloé profitait de ces instants pour accentuer le contact en poussant ses fesses au maximum contre l'individu tout en ayant envie de dire "tout le plaisir est pour moi" et en se contentant d'affirmer "il n'y a pas de mal".
L'autre lieu d'exhibition avérées étaient les brasseries sur le port avec leurs terrasses.
Elle les fréquentait surtout au printemps et en automne lorsque la météo rendait normal le port des bas sans imposer les manteaux trop couvrants. Elle aimait beaucoup y prendre le thé; l'une de ces brasseries avait un intérieur très "rétro" organisé avec des mini coins-salons. Lorsque Chloé s'y installait en jupe moulante elle laissait faire les choses et c'est le tissu qui décidait de la quantité de peau à découvrir; par contre lorsqu'elle était en jupe plutôt ample, elle avait un geste élégant de la main pour éviter que ses fesses ne se posent sur la jupe (risquant de la froisser) et pour faire en sorte que ses fesses soient en contact direct avec son siège.
Bien sûr à ceci s'ajoutait la façon de croiser les jambes suivant les "regards" qu'elle avait capturés.
Le piège le plus subtil était de croiser les jambes au niveau des chevilles, cela provoquait l'écartement naturel des genoux, et ouvrait des perspectives superbes pour ceux qui parvenaient à s'installer dans le bon angle de vue.
Bien sûr le sommet de la provocation avec les brasseries se faisait en été, et plus particulièrement en terrasse.
L'été il n'y avait pas de limites, d'une part parce qu'il y avait la concurrence des jeunes femmes scandinaves qui étaient particulièrement avides de soleil et n'avaient pas "froid aux yeux", et d'autre part parce que la libido des hommes semblait plus exacerbée.
L'été bien sûr la générosité des décolletés s'ajoutait aux jupes fendues de façon excessive.
Chloé aimait bien avoir un chemisier suffisamment déboutonné pour que l'on puisse constater l'absence de soutien-gorge, ensuite elle avait une gestuelle suffisamment précise pour que l'aréole de l'un des deux seins soit visible.
Sa rencontre avec Momo (pour Maurice) avait été déterminante. Momo, jeune quinquagénaire était une sorte de candauliste qui adorait l'exhiber (et qui la faisait jouir comme personne ne l'avait jamais fait). C'est lui qui lui avait interdit tout string ou soutien-gorge, et il ajoutait "ce n'est pas la peine d'être cul-nu si personne ne s'en aperçoit!"Il appelait leurs sorties des "parties de pêche" dans lesquelles l'intérêt était "d'accrocher du poisson". Et c'est ainsi qu'excitée par le fait d'être "cul nu", Chloé avait le sexe mouillé de cyprine dès la sortie de chez elle.
Lorsqu'il l'accompagnait à la librairie, il la conduisait souvent au rayon "adultes" où elle n'osait pas aller avant.
Avec une apparente inadvertance sa main posée sur le haut des fesses retroussait les jupes "sans le faire exprès". Chloé avait tout de même fixé une limite: le pli inférieur des fesses, lorsqu'elle sentait le tissu franchir cette limite elle rabattait le bas de la jupe jusqu'à la lisière des bas.
Lorsque l'ambiance s'y prêtait, elle laissait la moitié inférieure de ses fesses visible un petit moment, et l'absence de tout sous-vêtement la rendait encore plus accessible.
Elle avait été enchantée la première fois où un inconnu passant derrière elle dans un rayon lui avait non seulement caressé les fesses (cela arrivait régulièrement) mais lui avait enfoncé un doigt dans l'anus!
Elle s'était blottie contre Momo en lui disant "il m'a doigté!", et Momo lui caressant le clitoris avait constaté "et ça t'a fait plaisir, tu bandes!"Mais le sommet pour Chloé était d'aller s'installer dans la salle de cinéma d'un sex shop où elle adorait recevoir un cunnilingus d'un inconnu tout en faisant une fellation à Momo debout dans la rangée à côté d'elle.
Et pour elle jouir sous la langue d'un inconnu tout en donnant du plaisir à son homme était le sommet!
Cependant elle savait que ce qui l'excitait le plus était de flirter avec les limites qu'elle s'était fixées et de les franchir quelquefois, comme par inadvertance.
Un jour Momo lui avait offert un oeuf vibrant avec sa télécommande, elle avait voulu l'essayer immédiatement et ils s'étaient rendu au Monoprix le plus proche où elle déambulait dans les rayons, suivie par Momo qui gérait la télécommande.
Dès le début, le simple fait d'avoir cet oeuf dans son vagin l'excitait, mais dès que les vibrations avaient commencées à se propager son sexe était devenu une source de plaisir et une fontaine.
Ses grandes lèvres étaient trempées de cyprine. Momo la connaissait suffisamment pour savoir à quels moments elle arrivait sur des phases plateaux; sa façon de plisser les lèvres, de resserrer ses genoux.
A certains moments elle ne pouvait s'empêcher de pincer la pointe d'un de ses seins par l'échancrure de son chemisier.
Instinctivement elle s'était dirigée vers le rayon "produits de beauté" où à deux reprises elle avait frôlé l'orgasme; mais comme Momo ralentissait le processus dès qu'il jugeait que "c'était trop", elle avait décidé d'aller jusqu'aux rayons vêtements où elle se branlerait à la main dans une cabine d'essayage.
Mais elle ne put parvenir à son but; l'orgasme la saisit alors qu'elle était dans un rayon de "vêtements hommes", elle s'appuya à un portique, genoux serrés, se mordant les lèvres pour ne pas crier. La jouissance était telle qu'elle se pencha légèrement en avant en appuyant d'une main sur son pubis pour le comprimer, accrochée à un portique de "bleus de travail" de l'autre.
Se faisant elle était légèrement penchée vers l'avant, l'arrière de sa jupe découvrant le haut des bas et le pli fessier.
Un ouvrier nord africain qui faisait ses courses se trouva dans le bon angle de vue qu'elle offrait. Il commença à malaxer sa bite par dessus son pantalon tout en se rapprochant. Arrivé à quelques dizaines de centimètres il sortit son sexe pour se masturber en plein magasin. Momo trouvait la scène surréaliste, il se rapprocha, Chloé lui murmura "baise moi" tout en gémissant son plaisir. L'ouvrier se colla contre les fesses, se masturbant dans la raie, le gland contre l'anus. Chloé aurait voulu être sodomisée, le sperme jaillit, innondant la raie des fesses, l'anus, coulant sur les cuisses et tombant au sol.
L'homme remballa son sexe et s'éloigna. Chloé se raccrocha au bras de Momo en murmurant "putain que c'était bon!"
Trop de femmes à son avis se voulaient désirables et s'habillaient de façon à être inaccessibles (collants fermés par exemple). A vingt trois ans elle possédait déjà une belle expérience sexuelle, mais avait rencontré beaucoup plus d'hommes à la recherche de leur plaisir personnel plutôt qu'à la découverte du plaisir de l'autre.
Et en fin de compte, savoir que la limite supérieure de ses bas et la limite inférieure de sa jupe flirtaient la satisfaisait déjà.
Son reflet dans les vitrines des magasins lui donnait une première indication; le regard des hommes une confirmation sur l'intérêt qu'elle suscitait; et enfin le silence qui se faisait à son entrée dans une boutique ou un restaurant lui fournissait la preuve ultime de l'attrait qu'elle offrait.
Bien sûr elle avait des lieux de prédilection pour exercer ses charmes; elle aimait bien les librairies, d'une part parce qu'une sélection naturelle de la clientèle s'y effectuait spontanément, et d'autre part parce qu'il y était normal de s'y pencher en avant, les jambes tendues pour pouvoir consacrer plus d'attention à la lecture des titres des ouvrages sur les rayons.
Elle sentait bien les lisières des bas et de la jupe se séparer l'une de l'autre, et la peau nue apparaitre aux yeux des personnes attentives.
Il y avait surtout la librairie "Flammarion" avec son demi-étage en balustrade, et surtout l'escalier en bois ajouré qui y conduisait. Elle avait affiné sa façon de gravir les marches de manière suffisamment lente mais surtout en restant élégante; elle savait que suivant où se situaient les hommes qui la suivaient ils pouvaient apercevoir beaucoup plus que la bande de chair au-dessus des bas.
Les vendeurs surtout avaient repéré cette cliente qui venait trois à quatre fois par mois et qui achetait régulièrement des ouvrages traitant d'ésotérisme.
Le fait est que lorsque Chloé portait une jupe courte mais relativement ample, suivant les angles de vues on apercevait son string et les choses qu'il aurait dû dissimuler.
Les vendeurs étaient cantonnés à leur secteur, mais les hommes qu'elle avait pu "accrocher" à l'extérieur et qui l'avaient suivit à l'intérieur, eux pouvaient se déplacer librement, et il n'était pas rare pour Chloé de s'accroupir, genoux écartés, pour scruter les ouvrages des rayons les plus bas, et elle savait bien que celui qui se plaçait dans l'axe devant elle, avait une vue bien précise de son string s'incrustant entre ses grandes lèvres.
Bien sûr il n'était pas rare qu'un de ses "suiveurs" ne lui frôle les fesses du dos de la main en passant derrière elle; il arrivait également que l'un d'eux passe derrière elle entre des rayons relativement étroits et que son bassin se frotte avec insistance contre ses fesses, le tout accompagné d'un hypocrite "excusez moi". Chloé profitait de ces instants pour accentuer le contact en poussant ses fesses au maximum contre l'individu tout en ayant envie de dire "tout le plaisir est pour moi" et en se contentant d'affirmer "il n'y a pas de mal".
L'autre lieu d'exhibition avérées étaient les brasseries sur le port avec leurs terrasses.
Elle les fréquentait surtout au printemps et en automne lorsque la météo rendait normal le port des bas sans imposer les manteaux trop couvrants. Elle aimait beaucoup y prendre le thé; l'une de ces brasseries avait un intérieur très "rétro" organisé avec des mini coins-salons. Lorsque Chloé s'y installait en jupe moulante elle laissait faire les choses et c'est le tissu qui décidait de la quantité de peau à découvrir; par contre lorsqu'elle était en jupe plutôt ample, elle avait un geste élégant de la main pour éviter que ses fesses ne se posent sur la jupe (risquant de la froisser) et pour faire en sorte que ses fesses soient en contact direct avec son siège.
Bien sûr à ceci s'ajoutait la façon de croiser les jambes suivant les "regards" qu'elle avait capturés.
Le piège le plus subtil était de croiser les jambes au niveau des chevilles, cela provoquait l'écartement naturel des genoux, et ouvrait des perspectives superbes pour ceux qui parvenaient à s'installer dans le bon angle de vue.
Bien sûr le sommet de la provocation avec les brasseries se faisait en été, et plus particulièrement en terrasse.
L'été il n'y avait pas de limites, d'une part parce qu'il y avait la concurrence des jeunes femmes scandinaves qui étaient particulièrement avides de soleil et n'avaient pas "froid aux yeux", et d'autre part parce que la libido des hommes semblait plus exacerbée.
L'été bien sûr la générosité des décolletés s'ajoutait aux jupes fendues de façon excessive.
Chloé aimait bien avoir un chemisier suffisamment déboutonné pour que l'on puisse constater l'absence de soutien-gorge, ensuite elle avait une gestuelle suffisamment précise pour que l'aréole de l'un des deux seins soit visible.
Sa rencontre avec Momo (pour Maurice) avait été déterminante. Momo, jeune quinquagénaire était une sorte de candauliste qui adorait l'exhiber (et qui la faisait jouir comme personne ne l'avait jamais fait). C'est lui qui lui avait interdit tout string ou soutien-gorge, et il ajoutait "ce n'est pas la peine d'être cul-nu si personne ne s'en aperçoit!"Il appelait leurs sorties des "parties de pêche" dans lesquelles l'intérêt était "d'accrocher du poisson". Et c'est ainsi qu'excitée par le fait d'être "cul nu", Chloé avait le sexe mouillé de cyprine dès la sortie de chez elle.
Lorsqu'il l'accompagnait à la librairie, il la conduisait souvent au rayon "adultes" où elle n'osait pas aller avant.
Avec une apparente inadvertance sa main posée sur le haut des fesses retroussait les jupes "sans le faire exprès". Chloé avait tout de même fixé une limite: le pli inférieur des fesses, lorsqu'elle sentait le tissu franchir cette limite elle rabattait le bas de la jupe jusqu'à la lisière des bas.
Lorsque l'ambiance s'y prêtait, elle laissait la moitié inférieure de ses fesses visible un petit moment, et l'absence de tout sous-vêtement la rendait encore plus accessible.
Elle avait été enchantée la première fois où un inconnu passant derrière elle dans un rayon lui avait non seulement caressé les fesses (cela arrivait régulièrement) mais lui avait enfoncé un doigt dans l'anus!
Elle s'était blottie contre Momo en lui disant "il m'a doigté!", et Momo lui caressant le clitoris avait constaté "et ça t'a fait plaisir, tu bandes!"Mais le sommet pour Chloé était d'aller s'installer dans la salle de cinéma d'un sex shop où elle adorait recevoir un cunnilingus d'un inconnu tout en faisant une fellation à Momo debout dans la rangée à côté d'elle.
Et pour elle jouir sous la langue d'un inconnu tout en donnant du plaisir à son homme était le sommet!
Cependant elle savait que ce qui l'excitait le plus était de flirter avec les limites qu'elle s'était fixées et de les franchir quelquefois, comme par inadvertance.
Un jour Momo lui avait offert un oeuf vibrant avec sa télécommande, elle avait voulu l'essayer immédiatement et ils s'étaient rendu au Monoprix le plus proche où elle déambulait dans les rayons, suivie par Momo qui gérait la télécommande.
Dès le début, le simple fait d'avoir cet oeuf dans son vagin l'excitait, mais dès que les vibrations avaient commencées à se propager son sexe était devenu une source de plaisir et une fontaine.
Ses grandes lèvres étaient trempées de cyprine. Momo la connaissait suffisamment pour savoir à quels moments elle arrivait sur des phases plateaux; sa façon de plisser les lèvres, de resserrer ses genoux.
A certains moments elle ne pouvait s'empêcher de pincer la pointe d'un de ses seins par l'échancrure de son chemisier.
Instinctivement elle s'était dirigée vers le rayon "produits de beauté" où à deux reprises elle avait frôlé l'orgasme; mais comme Momo ralentissait le processus dès qu'il jugeait que "c'était trop", elle avait décidé d'aller jusqu'aux rayons vêtements où elle se branlerait à la main dans une cabine d'essayage.
Mais elle ne put parvenir à son but; l'orgasme la saisit alors qu'elle était dans un rayon de "vêtements hommes", elle s'appuya à un portique, genoux serrés, se mordant les lèvres pour ne pas crier. La jouissance était telle qu'elle se pencha légèrement en avant en appuyant d'une main sur son pubis pour le comprimer, accrochée à un portique de "bleus de travail" de l'autre.
Se faisant elle était légèrement penchée vers l'avant, l'arrière de sa jupe découvrant le haut des bas et le pli fessier.
Un ouvrier nord africain qui faisait ses courses se trouva dans le bon angle de vue qu'elle offrait. Il commença à malaxer sa bite par dessus son pantalon tout en se rapprochant. Arrivé à quelques dizaines de centimètres il sortit son sexe pour se masturber en plein magasin. Momo trouvait la scène surréaliste, il se rapprocha, Chloé lui murmura "baise moi" tout en gémissant son plaisir. L'ouvrier se colla contre les fesses, se masturbant dans la raie, le gland contre l'anus. Chloé aurait voulu être sodomisée, le sperme jaillit, innondant la raie des fesses, l'anus, coulant sur les cuisses et tombant au sol.
L'homme remballa son sexe et s'éloigna. Chloé se raccrocha au bras de Momo en murmurant "putain que c'était bon!"
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