Chris et l'actrice porno
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2011 dans la catégorie A dormir debout
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Chris et l'actrice porno
Vous avez du me voir dans des poses osées toujours avec une bite ou deux plantées dans mon corps. Sans doute aussi avec une tête de femme entre mes jambes. Oui j’étais une actrice porno. Artiste est un bien grand mot. Je faisais ça pour gagner ma vie, comme je devrai faire autre chose bien payé.
En réalité je ne tournais que 3 ou 4 fois par an, une semaine à chaque fois. J’aime le sexe, sinon je ne le ferai pas devant une foule de techniciens et une caméra. J’aime le sexe depuis toujours. Je me suis fais enlevé la pastille quand j’avais à peine 13 ans par un copain. Ensuite le grand tournant a eu lieu avec ma copine de toujours: Chris. Elle m’a appris l’amour, le véritable amour physique. Je ne sais combien de fois nous nous sommes aimées. En tout cas à chaque fois c’était pour aboutir à des orgasmes formidable.
J’avais quand même quelques fois envie de me retrouver avec une bite dans le corps. Chris s’arrangeait toujours pour que je sois avec un homme bien monté. Je me faisais mettre soit par devant, soit par derrière. J’aime autant les deux façons.
Un soir nous regardions le film du samedi soir, le film porno. Comme à chaque fois nous regardions ensemble, nue, nos mains sur le sexe de l’autre pour nous masturber surtout quand nous pouvions voir des scènes lesbiennes. A la fin du film, elle prenait note du nom du réalisateur: c’est pour toi, pour que tu puisse de faire mettre en étant payée.
Ce n’était pas là ce que je cherchai comme boulot. Je ne sais comment elle s’est arrangée, toujours est-il que plusieurs semaines plus tard elle me dit que je suis convoqué chez X…. pour une audition.
Je me doute quel sera le style de l’audition. Je ne me trompe presque pas. Je suis en présence de trois types dont l’un est nu. Il bande déjà. Pour se maintenir en forme, il se caresse sans arrêt. Les deux autres m’interroge sur mes motivations. Je ne peux dire que j’aime les femmes, que j’aime jouir même avec un homme.
Je passe dans les bras du type nu: il ne me plais pas du tout et pourtant je suis obligée de l’accepter. Ce n’est pas qu’il baise mal, mais faire ça devant des observateurs me met mal à l’aise. Pourtant je me prête au jeu. J’arrive à simuler des orgasmes. Je prend même des initiatives en le pompant de moi-même, pas jusqu’au bout, j’ai horreur du sperme.
A ma grande surprise je suis acceptée pour le prochain film.
L’indigence de l’histoire est navrante. Comme je dois me faire mettre deux fois seulement je touche 1.000 €. Pour un « travail » de 8 ou 9 heures, ce n’est pas mal.
Le film suivant me montre comme la star montante. Je travaille 6 jours pour avoir pas mal de relations mixtes, même avec deux hommes à la fois. Heureusement que j’ai affaire à deux filles: là je suis à l’aise, allant jusqu’à faire jouir et jouir moi-même plusieurs fois avec elles. Le cachet cette fois est intéressant: 15.000 €.
Le réalisateur se rend compte que je suis bien meilleure avec les filles. Je suis presque toujours cantonnée dans les rôles de lesbiennes.
Un jour je plaque tout. J’en ai marre de faire la pute. Quand je le dis à Chris, elle me le reproche: je gagnais de l’argent en prenant du plaisir. Elle ne se rend pas compte que, avec les autres je ne suis que du bétail. Je préfère la baiser elle que les autres. Pour le lui prouver je la couche sur le divan et en passant mes mains entre ses cuisses, j’arrive à son anus. Je plonge dans son cul. Je sais qu’elle ne résiste pas à ce genre de caresses. Mes deux doigts vont et viennent dans son anus. Je me sers de l’autre main pour la doigter. Elle gémit sans arrêt et pousse un grand ouf quand je la sens jouir. Maintenant j’ai besoin de sa langue: je me mets sur son visage, mon sexe bien collé sur ses lèvres. Elle sait fort bien ce qui me plait. C’est au tour de sa langue de travailler. C’est avec elle qu’elle m’avait faite jouir la première fois. Je me souvient qu’elle me l’avait rentrer dans ma chatte. Maintenant elle ne cherche qu’une seule chose: mon clitoris. Je ne tiens pas longtemps: je jouis en lâchant une bonne quantité de cyprine. Son visage est tout barbouillé. Ca ne nous empêche pas de nous embrasser. Je retrouve le gout de ma chatte sur sa langue; c’est excitant.
Pour la satisfaire quand elle manque de bite, j’ai gardé des contacts amicaux avec un de mes « amants » de cinéma. Je sais qu’il est très aimable, pas fier comme les autres parce qu’ils ont une bite et qu’ils s’en servent. Lui vient chez moi que pour me faire plaisir et en prendre par la même occasion.
Chris est satisfaite de voir l’amant que je lui offre pour la nuit. Elle tient à se que je participe. Ce n’est que pour elle: moi je connais déjà cette bite depuis longtemps et je n’en veux plus. Par contre j’assiste à la baise: je connais ses besoins et je sais que ce copain la satisfera largement.
Ils font connaissance par un baiser sur la bouche. Le copain l’attaque ensuite en la pelotant. Elle ne connait qu’un seule façon de répondre; prendre la bite et la branler. Elle peut le masturber longuement: il est très résistant. Il la déshabille vite fait, prend ses seins dans sa bouche, pose une main sur son sexe qu’il caresse dans tous les recoins qu’il connait parfaitement.
Elle jouit je ne sais combien de fois avant qu’il la lui mette dans son sac à sperme. Il est en elle, arrive à la faire tourner pour l’avoir sur lui.
Je suis assise dans mon coin à les regarder. Malgré mon entrainement je mouille comme une fontaine: il faut que je me branle. Je n’ai aucune pudeur: j’écarte les cuisses prend mon clitoris entre deux doigts pour le masturber. Je calque mes mouvements sur ceux du couple. Je dois jouir à peu près autant que Chris.
Quand il sort d’elle, il va jouir: il a un orgasme qui jette son sperme fort loin puisqu’il arrive à l’envoyer sur le visage de Chris.
Résistant comme il est, il ne débande pas, il tourne Chris sur le ventre pour l’enculer. Elle fait plus qu’accepter la bite dans son cul: c’est son endroit préféré. Il est à genoux, lui monte les fesses à hauteur pour la lui mettre. Elle ne peux résister surtout que je suis près d’elle pour la branler. Cette fois le copain jouit dans son cul. Il reste en elle, elle le garde pour recommencer. Je ne pensais pas que ce soit possible: il l’encule toujours.
Le lendemain quand elle se réveille, elle pense avoir rêvé. Pourtant en se levant elle perd toute la semence de son cul.
En réalité je ne tournais que 3 ou 4 fois par an, une semaine à chaque fois. J’aime le sexe, sinon je ne le ferai pas devant une foule de techniciens et une caméra. J’aime le sexe depuis toujours. Je me suis fais enlevé la pastille quand j’avais à peine 13 ans par un copain. Ensuite le grand tournant a eu lieu avec ma copine de toujours: Chris. Elle m’a appris l’amour, le véritable amour physique. Je ne sais combien de fois nous nous sommes aimées. En tout cas à chaque fois c’était pour aboutir à des orgasmes formidable.
J’avais quand même quelques fois envie de me retrouver avec une bite dans le corps. Chris s’arrangeait toujours pour que je sois avec un homme bien monté. Je me faisais mettre soit par devant, soit par derrière. J’aime autant les deux façons.
Un soir nous regardions le film du samedi soir, le film porno. Comme à chaque fois nous regardions ensemble, nue, nos mains sur le sexe de l’autre pour nous masturber surtout quand nous pouvions voir des scènes lesbiennes. A la fin du film, elle prenait note du nom du réalisateur: c’est pour toi, pour que tu puisse de faire mettre en étant payée.
Ce n’était pas là ce que je cherchai comme boulot. Je ne sais comment elle s’est arrangée, toujours est-il que plusieurs semaines plus tard elle me dit que je suis convoqué chez X…. pour une audition.
Je me doute quel sera le style de l’audition. Je ne me trompe presque pas. Je suis en présence de trois types dont l’un est nu. Il bande déjà. Pour se maintenir en forme, il se caresse sans arrêt. Les deux autres m’interroge sur mes motivations. Je ne peux dire que j’aime les femmes, que j’aime jouir même avec un homme.
Je passe dans les bras du type nu: il ne me plais pas du tout et pourtant je suis obligée de l’accepter. Ce n’est pas qu’il baise mal, mais faire ça devant des observateurs me met mal à l’aise. Pourtant je me prête au jeu. J’arrive à simuler des orgasmes. Je prend même des initiatives en le pompant de moi-même, pas jusqu’au bout, j’ai horreur du sperme.
A ma grande surprise je suis acceptée pour le prochain film.
L’indigence de l’histoire est navrante. Comme je dois me faire mettre deux fois seulement je touche 1.000 €. Pour un « travail » de 8 ou 9 heures, ce n’est pas mal.
Le film suivant me montre comme la star montante. Je travaille 6 jours pour avoir pas mal de relations mixtes, même avec deux hommes à la fois. Heureusement que j’ai affaire à deux filles: là je suis à l’aise, allant jusqu’à faire jouir et jouir moi-même plusieurs fois avec elles. Le cachet cette fois est intéressant: 15.000 €.
Le réalisateur se rend compte que je suis bien meilleure avec les filles. Je suis presque toujours cantonnée dans les rôles de lesbiennes.
Un jour je plaque tout. J’en ai marre de faire la pute. Quand je le dis à Chris, elle me le reproche: je gagnais de l’argent en prenant du plaisir. Elle ne se rend pas compte que, avec les autres je ne suis que du bétail. Je préfère la baiser elle que les autres. Pour le lui prouver je la couche sur le divan et en passant mes mains entre ses cuisses, j’arrive à son anus. Je plonge dans son cul. Je sais qu’elle ne résiste pas à ce genre de caresses. Mes deux doigts vont et viennent dans son anus. Je me sers de l’autre main pour la doigter. Elle gémit sans arrêt et pousse un grand ouf quand je la sens jouir. Maintenant j’ai besoin de sa langue: je me mets sur son visage, mon sexe bien collé sur ses lèvres. Elle sait fort bien ce qui me plait. C’est au tour de sa langue de travailler. C’est avec elle qu’elle m’avait faite jouir la première fois. Je me souvient qu’elle me l’avait rentrer dans ma chatte. Maintenant elle ne cherche qu’une seule chose: mon clitoris. Je ne tiens pas longtemps: je jouis en lâchant une bonne quantité de cyprine. Son visage est tout barbouillé. Ca ne nous empêche pas de nous embrasser. Je retrouve le gout de ma chatte sur sa langue; c’est excitant.
Pour la satisfaire quand elle manque de bite, j’ai gardé des contacts amicaux avec un de mes « amants » de cinéma. Je sais qu’il est très aimable, pas fier comme les autres parce qu’ils ont une bite et qu’ils s’en servent. Lui vient chez moi que pour me faire plaisir et en prendre par la même occasion.
Chris est satisfaite de voir l’amant que je lui offre pour la nuit. Elle tient à se que je participe. Ce n’est que pour elle: moi je connais déjà cette bite depuis longtemps et je n’en veux plus. Par contre j’assiste à la baise: je connais ses besoins et je sais que ce copain la satisfera largement.
Ils font connaissance par un baiser sur la bouche. Le copain l’attaque ensuite en la pelotant. Elle ne connait qu’un seule façon de répondre; prendre la bite et la branler. Elle peut le masturber longuement: il est très résistant. Il la déshabille vite fait, prend ses seins dans sa bouche, pose une main sur son sexe qu’il caresse dans tous les recoins qu’il connait parfaitement.
Elle jouit je ne sais combien de fois avant qu’il la lui mette dans son sac à sperme. Il est en elle, arrive à la faire tourner pour l’avoir sur lui.
Je suis assise dans mon coin à les regarder. Malgré mon entrainement je mouille comme une fontaine: il faut que je me branle. Je n’ai aucune pudeur: j’écarte les cuisses prend mon clitoris entre deux doigts pour le masturber. Je calque mes mouvements sur ceux du couple. Je dois jouir à peu près autant que Chris.
Quand il sort d’elle, il va jouir: il a un orgasme qui jette son sperme fort loin puisqu’il arrive à l’envoyer sur le visage de Chris.
Résistant comme il est, il ne débande pas, il tourne Chris sur le ventre pour l’enculer. Elle fait plus qu’accepter la bite dans son cul: c’est son endroit préféré. Il est à genoux, lui monte les fesses à hauteur pour la lui mettre. Elle ne peux résister surtout que je suis près d’elle pour la branler. Cette fois le copain jouit dans son cul. Il reste en elle, elle le garde pour recommencer. Je ne pensais pas que ce soit possible: il l’encule toujours.
Le lendemain quand elle se réveille, elle pense avoir rêvé. Pourtant en se levant elle perd toute la semence de son cul.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres bonne histoire
tres belle histoire je me suis branler en la lisant