Chris et l'autre - histoire érotique

Nous vivons ensemble avec Nadine depuis bientôt 5 ans. Je crois que par mal de nos voisins nous regardent drôlement : pensez donc, deux filles ensemble, elles ne doivent pas aimer les hommes. Dans un sens c’est vrai. Nous préférons de beaucoup nous faire l’amour toutes les deux qu’avec un homme. Nous ne sommes pas exclusivement attachées à nos amours entre femmes, souvent nous baisons avec un homme, un seul nous suffit pour arriver à nous envoyer au 7° ciel. Il nous est arrivé une bien bonne... C’étais hier, il faisait chaud et nous étions sur la terrasse qui nous sert de balcon, étant au dernier étage de l’immeuble nous profitons toujours de cet espace. Donc assez dévêtues, dans notre jargon c’est nue, qu’il faudrait dire, nous étions étendues sur des couvertures, nous étions exposées aux rayons de la lune. Bien sur mon amie Chris, comme à chaque fois qu’elle est en petite tenue, ne peut s’empêcher d’avoir une main entre ses jambes pour se toucher le clitoris. Je n’y fais pas très attention. Je la regarde sans y prêter trop d’attention quand je commence à être excitée.
- Si tu veux nous pourrions nous aimer ?
- Maintenant, tu ne trouves pas qu’il fait chaud pour ça ?
- Non, tant pis, branle toi, je le ferai de mon coté.
- Tu n’as pas honte de vouloir le faire devant une frêle jeune fille presque vierge.
- Non pas du tout.
Je fais comme elle, je met ma main droite sur le clitoris et lentement je fait monter mon plaisir.
Je me dois d’expliquer que je me masturbe depuis mes 15 ans, au moins trois fois par jour à la maison et ensuite deux ou trois fois au bureau. Je sais que là les collègues ont deviné depuis longtemps mon manège et que j’en ai converti à la masturbation quotidienne plus d’une.
Aussi je fais durer mon plaisir jusqu’à ce que surexcitée, Chris se lance à son tour dans une vraie masturbation. Je l’arrête rapidement, je suis attirée par sa chatte qui grâce à la chaleur dégage une bonne odeur de sexe. Je met ma langue sur son bouton, deux doigts dans le con et me voila parti pour la faire jouir. Je ne m’oublie pas, je me masturbe pendant ce temps. Elle commence à gémir plus fort. J’ai peur qu’elle dérange les voisins qui doivent avoir tous les fenêtres ouvertes.
Le dérangement est pour l’habitant au dessus de notre terrasse, juste sur la maison d’à coté. Il y a peu en hauteur entre les deux maison, peut être 1mètre 50. C’est suffisant pour qu’un homme de notre âge vienne chez nous sans rien demander, il est nu, comme nous et commence à bander. Il reste comme en admiration devant nous, il ne fait que nous regarder, surtout ce que je fais à Chris. Je remarque qu’il regarde ma tête sur le sexe de ma compagne, il n’a pas vu que je me donnais du plaisir. Je continue en espérant qu’il se décide à se joindre à nous. Chris, elle, les yeux fermés ne l’a même pas vu.
Je caresse les seins de Chris, il se penche enfin pour me remplacer. Prise dans son vertige d’amour, Chris ne se rend même pas compte du changement et de mains et de façon de caresser.
Il m’excite pas mal avec sa bite bandée. J’ai brusquement envie qu’il me la mette, je ne sais pas où, mais qu’il me la mette. Je sais enfin où je la veux : dans la bouche. Il y a longtemps que je n’ai pas eu de sperme dans la bouche. Je lui fait signe qu’il me donne sa bite. Il continue à caresser Chris, s’approche je peux enfin prendre sa bite qui vue de près est finalement assez petite, le principal est de l’avoir.
Je le prends dans la bouche et trouve un drôle de goût. Je comprends à l’odeur, il ne s’est pas lavé depuis je ne sais combien de temps. Tant pis, c’est une bite après tout, je ne cherche pas la propreté, je cherche le sperme. J’arrive à le faire jouir rapidement pour profiter enfin de son jus.
C’est à ce moment là que Chris revient parmi nous, elle a jouit et sursaute en voyant cet homme qui tout compte fait est gringalet, mal monté et à mon avis sale. Je le lui dis. Chris ne s’embarrasse pas de tel détail, il est sale, on va le laver. Avec elle je sais comment tourne ce genre de lavage. Elle l’emmène à la salle de bain, le couche dedans, prend la bite, essaye sans bonheur de la faire bander. Tant pis, elle emploie les grands moyens elle remplie la baignoire, y met pas mal de produit pour la douche et se met à le frotter partout. Bien sur que la bite commence à monter, elle la lui lave, vide la baignoire et fait couler le jet de la douche, non pas sur lui, mais sur elle, plus précisément sur son clitoris. Placé comme il est il ne peut faire autrement que la voir se masturber. Sa queue grossit encore un peu. Elle laisse couler l’eau, s’accroupit sur lui et se met elle-même la bite dans le cul. Elle me demande de l’embrasser pendant qu’elle s’encule. Cette fois elle m’oublie. Tant pis, je pose ma chatte sur la bouche du « mâle » qui sait bien sucer. Sa langue me lèche le clitoris bien sur, et surtout entre dans mon con. Là il se débrouille comme un chef, il entre et sort la langue et mon vagin en « subît » les conséquences. Il me fait jouir longtemps.
Nous le mettons dehors. Nous préférons rester à deus filles. Quand nous pensons à son état de saleté nous pensons bien faire, d’autant plus qu’il a jouit deux fois.
Nous ressortons encore pour reprendre notre baise. Cette fois je veux faire un 69 pour être plus à l’aise quand je la suçait tout à l’heure je me branlais, mal à cause de ma position presque sur le ventre. Là au moins je sens ses seins contre mon ventre, j’ai toute son odeur sur les narines. Et surtout sa langue. Elle suce divinement bien, à croire que c’est une descendante de Sappho. J’aime sa langue dans mon vagin, elle la tourne je ne sais comment, je n’ai jamais réussi pareil exploit. Elle peut y rester des heures, je jouis sans arrêt. J’aime sucer sa langue quand elle sort de mon ventre, je lui trouve un goût bien meilleur que a cyprine normale. Elle me dit pareil quand je lui suce l’anus avant d’y entrer.

Il essaye encore de venir, cette fois il veut me baiser. Chris m’a dit qu’il était bien avec sa queue dans son cul. Pourquoi ne pas l’essayer. Il n’y va pas par quatre chemins, un simple baiser rapide sur ma chatte doit suffire. Ca suffit justement, j’écarte les jambes quand il vient sur moi. Je le guide à peine pour le faire entrer dans mon ventre. Je suis étonnée du résultat : il baise bien, très bien même, surtout pour nous adepte plus ou moins déclarées du lesbianisme. Il entre et sort de mon con un bon moment, j’ai le temps de jouir plusieurs fois. Chris s’en mêle en posant ses lèvres sur les miennes. Je n’arrête pas d’avoir des orgasmes multiples. Quand il jouit, je sens son jet de sperme dans mon ventre. Il sort pour ne plus jamais revenir, nous ne saurons jamais qui il est et d’où il vient.