Christelle et Tony
Récit érotique écrit par Yoann [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Christelle et Tony
Dès le début, Christelle et Antony sûrent, l'un comme l'autre, qu'ils vivaient un truc pas
banal.
Ils s'étaient connus lors d'une fête étudiante, un jeudi soir comme les autres. Tony
était célibataire, pas Christelle.
Lui se trouvait parfaitement banal. Et quand il la vit entrer, au bras de son mec du
moment, il la trouva tout sauf banale. Du type, il ne devait pas s'en souvenir. Mais de
Christelle...
La voir le fit bander aussitôt.
Elle savait ce qu'était une soirée étudiante, et comment s'y présenter. Elle portait de
fine chaussures à talon haut, qui galbaient ses jambes. Pas de jupe, non, un short
cousu dans un tissu fluide, pas même moulant, mais ne pouvant pas masquer
l'arrondi d'un cul délicieux. Son top, tout aussi fluide et ample, semblait tenir par
miracle. Son épaule droite était nue jusqu'au milieu du biceps. Plus il la regardait, plus
il bandait.
La soirée se passait dans une boite de nuit. Plusieurs petites pistes, plusieurs salles
de bar où il était coutume de se taper l'incruste pour parler à de parfaits inconnus.
Souvent, Tony avait regretté de ne pas avoir abordé une fille. Des belles de nuit, c'est
fréquent dans ce genre de soirées. Mais cette fille... il ne pouvait pas la laisser filer.
Le mec semblait connaître pas mal de monde. Il présenta sa copine, qui bien sûr en
passait pas inaperçue. Jusqu'à ce que le miracle s'accomplisse. Elle lui faussa
compagnie, direction un bar où elle commanda un seul verre, et elle alla s'assoir,
seule. Tony patienta quelques seconde, et alla lui aussi prendre un verre.
La fille s'était installée à une table assez large, dont les pieds étaient masqués par
des fauteuils. Ne pas voir ces jambes parfaites désolait Tony. Il la rejoint.
La première fois qu'Antony adressa la parole à Christelle, elle lui fit la gueule. Elle prit
son petit sac à main, et voulu en sortir son téléphone. Qui tomba. Tony se précipita
pour lui ramasser, sous le regard navré de la fille. Elle n'avait pas eu le temps
d'esquisser un geste, qu'il était déjà à genoux. Il mit la main sur son téléphone, un
modèle minuscule, et se retrouva le nez face à l'un ces mollets si fin, galbé, soyeux. Il
obéit à l'instinct, à l'instant. Il embrassa le mollet. La fille le repoussa, bien sûr. Il lui
embrassa alors la cheville. Le pied. Les orteils. Remonta sur la cheville.
Christelle n'en revenait pas. Ce type ne ressemblait pas à grand chose. Elle était
venue accompagnée. Et ce type qui ne ressemblait à rien, qui n'était pas son mec, lui
embrassait les pieds! Ce n'était pas très agréable, non. Quoi que pas franchement
désagréable non plus. C'était... grisant. Elle le laissa faire, surprise et désarmée,
quand il remonta le long ses mollets.
Il n'arrivait pas à croire qu'elle le laisse faire, et poussa son avantage. Doucement, très
doucement, il passa les mains derrière les mollets de la fille, et en embrassa
l'intérieur. Il se permit même d'allonger ces jambes si longues pour les caresser, les
effleurer, et l'embrasser derrière les genoux.
Elle frissonna. Cette langue, ces doigts, si doux sur ses jambes fatiguées par ses
chaussures de torture. Un autre frisson parcouru son dos, de sa nuque jusqu'à la
naissance de ses fesses. Pendant un instant, elle repris conscience de son
environnement. A quelques centimètres d'elle, un groupe rigolait de bon coeur autour
d'un table encombrée de verres. Des gens passaient dans tous les sens, dansaient,
tandis qu'elle sentait la langue de l'inconnu explorer ses cuisses. Tout en pensant,
malgré elle, au contenu de son sac, elle avança les fesses au bord du fauteuil pour lui
faciliter la tâche.
Une cuisse, une autre, retour aux mollets... Tony bandait comme un dingue. Il était sur
le point de se déssapper pour se branler, quand l'improbable se produisit : la belle
inconnue ouvrit les cuisses plus largement, l'invitant à la caresser sous la fine et
douce étoffe de ce short. Il commença par passer les doigts sous le short. Il ne tarda
pas à sentir la dentelle de ses sous-vêtements. Il recula.
Christelle appréciat le geste. Vraiment. Elle allait se faire bouffer la chatte, elle le savait
et en mourrait d'envie. Et elle découvrait ce soir là qu'elle adorait avoir envie.
Tony embrassa le haut des cuisses, remontant, cm par cm, avant d'écarter le short et
de lécher la dentelle. Au moment où ses lèvres touchèrent la peau à peine protégée
par les poils et la fine dentelle, il sentit un liquide humecter l'entrejambe de l'inconnue.
Pour qu'il ne souffre pas, il lui retira le short. Elle le laissa faire, puis tendit la main
sous la table pour récupérer son vêtement. Il lui effleura la main, et ce contact les
électrisa. Elle avait les fesses au bord de la banquette, ne portait plus qu'un fine
culotte de dentelle blanche, qu'il écarta pour passer la langue.
Elle y était ! Jamais elle n'avait fait un truc aussi dingue, jamais elle n'y avait même
pensé! Et voilà qu'elle se retrouvait, moitié nue, avec la bouche d'un inconnu qui lui
suçait le clitoris. La bouche suça, embrassa le clitoris, puis avala la chatte pour
enfoncer sa langue au plus profond. Il la baisait avec sa langue! Quand il lui avait
rendu son short, elle avait vu des doigts longs, et fins. Il lui enlevait sa culotte! Docile à
présent, elle acceptait, tendis à nouveau la main... mais ne reçu rien, alors que la
langue continuait. Elle allait jouir, ne voulait pas mais se sentait partir... Elle voulait que
ça dure.
L'inconnue dû le tirer par les cheveux pour qu'il s'arrête. Il n'en pouvait plus, et avait
commencé à se branler, à genoux sous la table et la langue dans la chatte de la belle,
la bite entourée de la dentelle qu'il venait de récupérer. Avait-il été trop vite, lui avait-il
fait mal? 100 questions lui traversèrent la tête quand il vit quelque chose qui lui fit
sauter un ou deux battements de coeur : elle lui tendait 5 sphères de caoutchouc,
reliées l'une à l'autre par une ficelle.
Dans l'après-midi, son mec les lui avait offertes, à grand renfort de lourdeur. Pour lui
faire plaisir, elle les avaient emmenées, se jurant que ce serait la dernière fois qu'il lui
ferait un coup comme ça. Elle ne pensa pas une seconde à son mec quand elle senti
la première boule entrer dans son vagin. Comme elles étaient sèches, Tony mit
quelques doigts avec la première boule, pour lubrifier les autres.
Chaque boule contenait plusieurs billes, qui s'entrechoquaient quand le chapelet
entrait en sortait. Après plusieurs aller retour, durant lesquels elle se mordit les lèvres
pour ne pas gémir, Christelle eu une surprise qui la fit tressaillir : elle sentit un doigt,
long et fin, forcer le passage de son cul.
Au bout de quelques minutes, et de quelques aller-retour et de caresses de son
entrejambe maintenant trempé, 2 doigts enfoncés dans son cul vinrent titiller les
boules, faisant s'entrechoquer les billes. Elle sentait son bas-ventre résonner en
réponse aux impulsions données dans son cul. Elle senti les boules sortir, unes à
unes, puis rentrer puis ressortir... Elle était prête à lui dire qu'elle voulait les garder,
qu'il s'assoie à son tour... quand elle senti la première boule prendre un autre chemin!
Incrédule, elle ne songeât même pas à l'en empêcher. Elle se cambra même.
Ce ne fut qu'après avoir insérer la 5ème boule dans son cul qu'il revint s'assoir à côté
d'elle. Il avait la bite à l'air, et s'essuyait la figure avec un coin sec de sa culotte. Elle
failli protester, quand elle se rappela qu'elle ne portait plus rien sous la taille, et que
des boules de geisha lui résonnaient dans le fondement. Il posa son téléphone sur la
table, elle lui pris la bite. Elle avait décidé de le sucer, le nettoyer, quand il la repoussa.
« Donne moi ton numéro ».
Il le tapa sur son propre téléphone, et lança l'appel. Le portable vibra sur la table. Ce
mec dont elle ne connaissait pas le nom, l'avait fait se déshabiller, l'avait fait jouir au
milieu d'un foule d'inconnus, ce mec maintenant l'embrassait en lui caressant les
cuisses, ses doigts venant lui branler une dernière fois le clitoris.
Sans comprendre, elle le vit prendre le téléphone, et le descendre sous la table.
« Une dernière folie pour ce soir », lui dit-il. Et tout en lui mordillant l'oreille, il lui
enfonça son minuscule téléphone dans la chatte.
C'est à ce moment là qu'elle vit son mec revenir. Rapidement, elle repoussa l'inconnu,
enfila son short à même la peau. Alors qu'elle se relevait, surprise par la sensation
agréable de l'étoffe sur ses fesses nues, il lui dit:
« Je te rappelle bientôt. »
Il arriva face à son mec.
« Où étais-tu, je te cherche depuis une demi-heure! »
Elle l'embrassa et lui répondit:
« J'essayais tes boules. »
Cela suffit à stopper les questions. Alors qu'elle sortait de la boite, contractée pour que
boules et téléphone ne tombent pas, elle sentait une douce résonance dans le bas du
dos. Elle se surpris même à se trémousser pour rajouter à la sensation.
Elle était à peine assise dans la voiture de son mec que déjà le téléphone vibrait dans
sa chatte. Les vibrations le faisait sortir, et elle profita que son chauffeur doublait pour
le pousser plus profondément. Les vibrations entrainaient les boules.
Elle ne pouvait pas répondre, avec son mec à moins d'un mètre d'elle. L'inconnu
n'avait qu'à laisser 1 message.
Et à rappeler.
banal.
Ils s'étaient connus lors d'une fête étudiante, un jeudi soir comme les autres. Tony
était célibataire, pas Christelle.
Lui se trouvait parfaitement banal. Et quand il la vit entrer, au bras de son mec du
moment, il la trouva tout sauf banale. Du type, il ne devait pas s'en souvenir. Mais de
Christelle...
La voir le fit bander aussitôt.
Elle savait ce qu'était une soirée étudiante, et comment s'y présenter. Elle portait de
fine chaussures à talon haut, qui galbaient ses jambes. Pas de jupe, non, un short
cousu dans un tissu fluide, pas même moulant, mais ne pouvant pas masquer
l'arrondi d'un cul délicieux. Son top, tout aussi fluide et ample, semblait tenir par
miracle. Son épaule droite était nue jusqu'au milieu du biceps. Plus il la regardait, plus
il bandait.
La soirée se passait dans une boite de nuit. Plusieurs petites pistes, plusieurs salles
de bar où il était coutume de se taper l'incruste pour parler à de parfaits inconnus.
Souvent, Tony avait regretté de ne pas avoir abordé une fille. Des belles de nuit, c'est
fréquent dans ce genre de soirées. Mais cette fille... il ne pouvait pas la laisser filer.
Le mec semblait connaître pas mal de monde. Il présenta sa copine, qui bien sûr en
passait pas inaperçue. Jusqu'à ce que le miracle s'accomplisse. Elle lui faussa
compagnie, direction un bar où elle commanda un seul verre, et elle alla s'assoir,
seule. Tony patienta quelques seconde, et alla lui aussi prendre un verre.
La fille s'était installée à une table assez large, dont les pieds étaient masqués par
des fauteuils. Ne pas voir ces jambes parfaites désolait Tony. Il la rejoint.
La première fois qu'Antony adressa la parole à Christelle, elle lui fit la gueule. Elle prit
son petit sac à main, et voulu en sortir son téléphone. Qui tomba. Tony se précipita
pour lui ramasser, sous le regard navré de la fille. Elle n'avait pas eu le temps
d'esquisser un geste, qu'il était déjà à genoux. Il mit la main sur son téléphone, un
modèle minuscule, et se retrouva le nez face à l'un ces mollets si fin, galbé, soyeux. Il
obéit à l'instinct, à l'instant. Il embrassa le mollet. La fille le repoussa, bien sûr. Il lui
embrassa alors la cheville. Le pied. Les orteils. Remonta sur la cheville.
Christelle n'en revenait pas. Ce type ne ressemblait pas à grand chose. Elle était
venue accompagnée. Et ce type qui ne ressemblait à rien, qui n'était pas son mec, lui
embrassait les pieds! Ce n'était pas très agréable, non. Quoi que pas franchement
désagréable non plus. C'était... grisant. Elle le laissa faire, surprise et désarmée,
quand il remonta le long ses mollets.
Il n'arrivait pas à croire qu'elle le laisse faire, et poussa son avantage. Doucement, très
doucement, il passa les mains derrière les mollets de la fille, et en embrassa
l'intérieur. Il se permit même d'allonger ces jambes si longues pour les caresser, les
effleurer, et l'embrasser derrière les genoux.
Elle frissonna. Cette langue, ces doigts, si doux sur ses jambes fatiguées par ses
chaussures de torture. Un autre frisson parcouru son dos, de sa nuque jusqu'à la
naissance de ses fesses. Pendant un instant, elle repris conscience de son
environnement. A quelques centimètres d'elle, un groupe rigolait de bon coeur autour
d'un table encombrée de verres. Des gens passaient dans tous les sens, dansaient,
tandis qu'elle sentait la langue de l'inconnu explorer ses cuisses. Tout en pensant,
malgré elle, au contenu de son sac, elle avança les fesses au bord du fauteuil pour lui
faciliter la tâche.
Une cuisse, une autre, retour aux mollets... Tony bandait comme un dingue. Il était sur
le point de se déssapper pour se branler, quand l'improbable se produisit : la belle
inconnue ouvrit les cuisses plus largement, l'invitant à la caresser sous la fine et
douce étoffe de ce short. Il commença par passer les doigts sous le short. Il ne tarda
pas à sentir la dentelle de ses sous-vêtements. Il recula.
Christelle appréciat le geste. Vraiment. Elle allait se faire bouffer la chatte, elle le savait
et en mourrait d'envie. Et elle découvrait ce soir là qu'elle adorait avoir envie.
Tony embrassa le haut des cuisses, remontant, cm par cm, avant d'écarter le short et
de lécher la dentelle. Au moment où ses lèvres touchèrent la peau à peine protégée
par les poils et la fine dentelle, il sentit un liquide humecter l'entrejambe de l'inconnue.
Pour qu'il ne souffre pas, il lui retira le short. Elle le laissa faire, puis tendit la main
sous la table pour récupérer son vêtement. Il lui effleura la main, et ce contact les
électrisa. Elle avait les fesses au bord de la banquette, ne portait plus qu'un fine
culotte de dentelle blanche, qu'il écarta pour passer la langue.
Elle y était ! Jamais elle n'avait fait un truc aussi dingue, jamais elle n'y avait même
pensé! Et voilà qu'elle se retrouvait, moitié nue, avec la bouche d'un inconnu qui lui
suçait le clitoris. La bouche suça, embrassa le clitoris, puis avala la chatte pour
enfoncer sa langue au plus profond. Il la baisait avec sa langue! Quand il lui avait
rendu son short, elle avait vu des doigts longs, et fins. Il lui enlevait sa culotte! Docile à
présent, elle acceptait, tendis à nouveau la main... mais ne reçu rien, alors que la
langue continuait. Elle allait jouir, ne voulait pas mais se sentait partir... Elle voulait que
ça dure.
L'inconnue dû le tirer par les cheveux pour qu'il s'arrête. Il n'en pouvait plus, et avait
commencé à se branler, à genoux sous la table et la langue dans la chatte de la belle,
la bite entourée de la dentelle qu'il venait de récupérer. Avait-il été trop vite, lui avait-il
fait mal? 100 questions lui traversèrent la tête quand il vit quelque chose qui lui fit
sauter un ou deux battements de coeur : elle lui tendait 5 sphères de caoutchouc,
reliées l'une à l'autre par une ficelle.
Dans l'après-midi, son mec les lui avait offertes, à grand renfort de lourdeur. Pour lui
faire plaisir, elle les avaient emmenées, se jurant que ce serait la dernière fois qu'il lui
ferait un coup comme ça. Elle ne pensa pas une seconde à son mec quand elle senti
la première boule entrer dans son vagin. Comme elles étaient sèches, Tony mit
quelques doigts avec la première boule, pour lubrifier les autres.
Chaque boule contenait plusieurs billes, qui s'entrechoquaient quand le chapelet
entrait en sortait. Après plusieurs aller retour, durant lesquels elle se mordit les lèvres
pour ne pas gémir, Christelle eu une surprise qui la fit tressaillir : elle sentit un doigt,
long et fin, forcer le passage de son cul.
Au bout de quelques minutes, et de quelques aller-retour et de caresses de son
entrejambe maintenant trempé, 2 doigts enfoncés dans son cul vinrent titiller les
boules, faisant s'entrechoquer les billes. Elle sentait son bas-ventre résonner en
réponse aux impulsions données dans son cul. Elle senti les boules sortir, unes à
unes, puis rentrer puis ressortir... Elle était prête à lui dire qu'elle voulait les garder,
qu'il s'assoie à son tour... quand elle senti la première boule prendre un autre chemin!
Incrédule, elle ne songeât même pas à l'en empêcher. Elle se cambra même.
Ce ne fut qu'après avoir insérer la 5ème boule dans son cul qu'il revint s'assoir à côté
d'elle. Il avait la bite à l'air, et s'essuyait la figure avec un coin sec de sa culotte. Elle
failli protester, quand elle se rappela qu'elle ne portait plus rien sous la taille, et que
des boules de geisha lui résonnaient dans le fondement. Il posa son téléphone sur la
table, elle lui pris la bite. Elle avait décidé de le sucer, le nettoyer, quand il la repoussa.
« Donne moi ton numéro ».
Il le tapa sur son propre téléphone, et lança l'appel. Le portable vibra sur la table. Ce
mec dont elle ne connaissait pas le nom, l'avait fait se déshabiller, l'avait fait jouir au
milieu d'un foule d'inconnus, ce mec maintenant l'embrassait en lui caressant les
cuisses, ses doigts venant lui branler une dernière fois le clitoris.
Sans comprendre, elle le vit prendre le téléphone, et le descendre sous la table.
« Une dernière folie pour ce soir », lui dit-il. Et tout en lui mordillant l'oreille, il lui
enfonça son minuscule téléphone dans la chatte.
C'est à ce moment là qu'elle vit son mec revenir. Rapidement, elle repoussa l'inconnu,
enfila son short à même la peau. Alors qu'elle se relevait, surprise par la sensation
agréable de l'étoffe sur ses fesses nues, il lui dit:
« Je te rappelle bientôt. »
Il arriva face à son mec.
« Où étais-tu, je te cherche depuis une demi-heure! »
Elle l'embrassa et lui répondit:
« J'essayais tes boules. »
Cela suffit à stopper les questions. Alors qu'elle sortait de la boite, contractée pour que
boules et téléphone ne tombent pas, elle sentait une douce résonance dans le bas du
dos. Elle se surpris même à se trémousser pour rajouter à la sensation.
Elle était à peine assise dans la voiture de son mec que déjà le téléphone vibrait dans
sa chatte. Les vibrations le faisait sortir, et elle profita que son chauffeur doublait pour
le pousser plus profondément. Les vibrations entrainaient les boules.
Elle ne pouvait pas répondre, avec son mec à moins d'un mètre d'elle. L'inconnu
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