Christian, Murielle et moi 02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Christian, Murielle et moi 02
Christian, Murielle et moi 02
On était jeunes à cette époque, je dis ça parce que vous savez à vingt ans, on tire un coup, on attend un peu, et on recommence. Bon c'est pas comme ça que ça marchait avec moi mais, je suis un cas.
Ah bon, vous aviez remarqué ?
Bref Christian me regardait avec un autre regard brusquement.
– C'est vrai que moi j'ai jamais défoncé un cul. Pour de vrai je veux dire, un cul pas une chatte et bien à fond. Les filles sont de petites natures, elle ont peur quand elle voient la bête.
– Silvia, aime bien se faire défoncer le cul ! Rajoutait Murielle.
– Oui mais Silvia a trouvé que ma queue était un peu trop grosse. Lui répondait Christian. Tu penses bien que j'ai essayé.
– Alors il ne te reste plus qu'à essayer avec un mec ! Concluaient Murielle.
Leurs regards se portaient vers moi. Murielle avait le regard rieur et Christian lui était plus pénétrant. C'est finalement Murielle qui prenait la parole.
– Et toi, Charly tu n'es pas une fille alors une petite bite comme la sienne, ça ne te fait pas peur.
Je regardais la queue de Christian, elle était bien proportionnée, bien longue, bien large mais pas petite, ça non, pas petite du tout. Elle était énorme. Je ne sais même plus ce que je bafouillais. Un bruit inintelligible, un mouvement de la tête de gauche à droite, une sorte de ' onc'.
En fait j'étais livide, je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait.tout s'était passé trop vite. On rentrait d'une promenade et on se retrouvait tous les trois à poil devant un feu de cheminée.
Christian bandait et Murielle en profitait pour s'amuser un peu avec une grosse queue, elle se rapprochait et me repoussant doucement prenait la place que j'occupais quelques instants plus tôt entre les cuisse de notre ami.
Elle le masturbait doucement au départ puis prenait sa queue dans la bouche, pour faire comme moi, mais elle aussi avait du mal. C'est qu'il était bien membré le bonhomme. Je me demandais à ce moment si les filles le ressentaient. Il en avait beaucoup, il en changeait souvent.
Sinon à part sa bite il n'avait rien d'extraordinaire, une bonne tête mais un peu de ventre. Il n'avait rien du bellâtre tombeur, pourtant c'était un tombeur.
Murielle ne lâchait sa queue que pour le prendre dans ses bras, et là ils s'enlaçaient tendrement. Elle glissait sur son corps, il ne tentait pas de la pénétrer, il n'était pas pressé, ils avaient tout le temps, toute la nuit si nécessaire.
Ils m'avaient oublié.
J'étais là à un mètre d'eux peut être. Un mètre oui pas plus. Je n'osais pas les toucher, ni l'un ni l'autre. J'étais allongé et ma queue protestait comme elle le fait de temps en temps. Mais là il faut bien dire qu'elle avait de bonnes raisons. Sa cage la confinait avec une certaine violence.
Christian était allongé sur le dos et Murielle glissait sur lui. Elle le couvrait de baisers, tantôt sur les épaules, sur le torse. Tantôt elle se repliait et revenait à sa queue qui restait toujours très en forme, très grosse, très attirante.
C'est surtout elle que je regardais. Elle me faisait envie même si elle me faisait peur. Ça devait être terrifiant de se la prendre dans le cul. Je n'avais jamais je encore pris un truc aussi gros dans mon cul à cette époque.
C'est vrai que nous étions jeunes.
Allongé sur le côté, la tête appuyée sur mon bras je ne loupais pas une miette de ce qui se passait. À un moment Murielle retournait la tête dans ma direction, elle me souriait et oubliant quelques instants son étalon, elle glissait vers moi, me repoussait sur le dos et glissait sur moi.
Je sentais ses seins s'écraser contre mon torse, Christian ne réclamait pas, il savait qu'elle reviendrait. Elle me chevauchait, je sentais ce vide étrange, ce vide auquel je ne suis pas habitué, là, entre ses cuisses.
Ma queue réagissait à ses caresses et à ses baisers. Dans sa cage, elle se révoltait. Elle poussait, elle tentait de faire exploser la cage. Elle était en titane, on peut rêver mais pas trop quand même.
Murielle trouvait la situation amusante.
– On dirait que je ne te fais aucun effet. Faisait-elle remarquer.
– C'était pareil avec moi ! Rajoutait Christian.
Elle s'allongeait sur moi, ses mains glissaient sur mon corps, ses doigts devenaient indiscrets. Ils glissaient, me chatouillaient à la base du sexe, elle examinait mon dispositif avec les doigts. C'était une découverte pour elle, pour Christian aussi mais je suppose que pour lui c'était pas pareil. Sur moi ça l'amusait peut être, sur lui ça ne l'aurait pas fait rire, mais je pense qu'il n'en était pas question.
Il nous regardait en se caressant la queue. Il ne se masturbait pas vraiment,il se caressait seulement ce qui le gardait en érection. Ou alors c'était de nous voir, en tout cas, il bandait bien, c'était impressionnant.
Murielle plongeait tête la première sur mon sexe. Elle voulait voir ça de plus prêt. Je sentais ses caresses, la cage était vraiment minuscule, c'est en tout cas l'impression que ça me donnait. Elle me tripotait et me léchait les couilles.
– J'aime bien les couilles bien épilées ! Faisait-elle remarquer.
Les miennes l'étaient, je ne gardait pas un poil dans la zone couverte par la cage, depuis la base de mon sexe défini par l'anneau de maintient et sur toute la zone de mon sexe j'épilais régulièrement.
Murielle aimait, je sentais sa langue qui me caressait, c'était pas désagréable. Par moment elle glissait le bout de langue par une des ouverture de la cage. J'avais décalotté et sa langue sur mon gland me faisait réagir.
– La cage n'est pas trop petite, elle m'a l'air bien pleine ?
– C'est parce que je bande, et oui, quand je bande, la cage est trop petite.
Elle relevait la tête en rigolant.
– Tu l'a voulu !
Christian s'approchait et saisissait tendrement Murielle, il passait sa main autour de ses reins et la tirait vers lui. Je la voyais glisser sans résister vers lui. Sa queue était énorme et ressortait entre ses cuisses, juste à l'endroit de son sexe. On pouvait deviner la suite.
Je me redressais en glissant plusieurs coussins dans mon dos. Murielle et Christian se caressaient, s'embrassaient avec une certaine fougue. On sentait que la fièvre sexuelle montait. Christian restait patient mais il manifestait un peu plus son désir maintenant.
C'est lui qui plongeait entre les cuisses de Murielle. Je l'ai senti se redresser. Elle s'allongeait et me trouvant dans son dos, elle décidait de m'utiliser comme coussin. Elle s'installait confortablement sur moi sans me demander mon avis. Petit détail qu'elle n'avait semble-t-il aucun mal à oublier.
J'étais bien installé, elle n'était pas bien lourde, j'en profitais pour la caresser, les bras d'abord, puis la poitrine. Elle avait une belle poitrine, une poitrine qui ne tenait pas totalement dans la main d'un honnête homme. Sans pour autant être énorme.
Elle réagissait bien et gémissait, je ne parvenais pas à savoir si c'était à cause de mes caresses ou à cause de Christian. Par moment il relevait la tête je voyais le sexe de Murielle, il n'y avait rien d'excitant de ce côté.
Il se redressait et s'approchait, il se glissait sur Murielle en prenant le plus grand soin de ne pas l'écraser, comme je vous le disais il avait un peu de ventre mais arrivait à rester très léger.
Je voyais très bien la scène d’où j'étais. Il présentait son sexe, son énorme sexe contre la vulve de notre copine puis sans forcer, apparemment sans forcer glissait en elle. Sa queue bien que énorme disparaissait totalement et son ventre s'écrasait contre le ventre de Murielle.
Je la sentais se contracter et soupirer très fort.
Quand il se relevait je voyais sa bite ressortir, je sentais Murielle trembler, elle me saisissait la main et elle gémissait. Je sentais sa poitrine gonfler. Et à voir Christian qui commençait à la limer avec soin, je sentais ma bite protester de nouveau. Je l'avais presque oublier depuis quelques instants.
Il s'enfonçait avec force, il y avait de quoi faire. Il était très virile et très bien membré. Murielle remuait en même temps que lui et je bougeais en même temps que Murielle.
Il commençait à s'énerver, ses mouvement restaient encore amples et lents. Il prenait bien son temps, rien ne pressait. Il ressortait presque entièrement et s'enfonçait aussitôt bien à fond.
Par moment il ne ressortait pas il se contentait de pousser, son ventre massait alors la vulve de Murielle et sa queue … Je ne sais pas trop ce que faisait sa queue mais à ressentir contre moi le corps de Murielle qui tremblait déjà de plaisir, elle devait bien faire quelque chose.
Elle gémissait, je l'embrassait sur son front, Christian préférait l'embrasser sur la bouche.
Je me redressais et me retrouvais à genoux, Murielle était toujours allongé sur moi, je la tenais dans mes bras. Christian s'agitait entre ses cuisses. J'étais aux premières loges.
J'étais impressionné par sa bite, elle n'était pas seulement énorme et était bien vigoureuse. Par moment il la ressortait entièrement, il plongeait alors sur le sexe de Murielle, elle continuait à gémir de plaisir. C'était toujours une nouvelle contraction que je ressentais sur mes bras quand il y retournait.
Ses cris devenaient plus forts. Les cris que poussait Murielle je veux dire. Maintenant elle criait. C'était impressionnant. Ma queue agonisait, et mon cul n'en pouvait plus. Je me demandais si je ressentirais autant de plaisir au moment ou il me défoncerait le cul.
Je n'attendait plus que cela. Pour le moment il s'occupait de Murielle, je vous jure qu'il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas la jeter à l'autre bout de la pièce, juste pour prendre sa place.
Moi je finissais pas gémir, mon souffle devenait fort. Mon cœur battait lui aussi très fort. Je sentais le souffle de Murielle à travers sa poitrine, je lui caressais toujours les seins.
Puis elle se cambrait, elle redressait son corps, elle jouissait et j'en était le premier surpris. Christian ne se laissait pas distraire, il continuait à la limer avec une certaine force à ce moment.
Elle se cambrait de nouveau, je la voyais refermer ses jambes dans le dos de son amant. Ça aussi je peux faire quand on m'encule. Et je m'imaginais à sa place. Je m'imaginais faire ce qu'elle faisait si j'avais été à sa place.
Moi aussi j'aurais crié, moi aussi j'aurais cambré mes reins, moi aussi je l'aurait retenu en refermant mes jambes dans son dos. Moi aussi …
Je ne m'attendais pas à la sentir jouir. Elle à crié, tout son corps a tremblé, puis son cri s'est transformé en sanglots, elle faisait une grimace à faire peur. Il jouissait aussi je suppose.
Non je ne m'attendais pas à la sentir jouir, je ne sais plus à quoi je pensais dans cette situation. Mais j'ai une excuse, c'était une femme !
Lui aussi avait joui, en faisant moins de bruit mais il avait joui, il me regardaient tous les deux et me souriaient.
Christian ne se retirait pas tout de suite, j'avais hâte qu'il récupère. J'avais hâte que ce soit mon tour. Je respirais fort et j'avais presque des vertiges. À ce moment je vous jure je n'avais plus peur de me le prendre dans le cul.
Il finissait par se retirer et se relever, Murielle se laissait aller dans bras, elle prenait ma mains et la guidait sur son sexe. Un liquide blanc coulait lentement.
Christian s'installait à côté de nous.
– C'était quelque chose ! Déclarait-il.
– Tu sais, moi, enfin, euh !
– Oh tu sais, moi les mecs … Si j'étais en manque, peut être mais c'est pas le cas.
En fait il n'avait pas l'intention de m'enculer. Là il aurait bien recommencé un peu plus tard mais il n'avait pas l'intention de s'amuser avec moi.
Ma queue agonisait, elle était étranglée, j'ai cru qu'elle allait mourir. Après ça, moi j'étais en manque comme jamais.
Je crois que je ne me suis jamais senti frustré autant que ce jour là. Je m'effondrais sans rien montrer mais je vous jure, là j'étais mal.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
On était jeunes à cette époque, je dis ça parce que vous savez à vingt ans, on tire un coup, on attend un peu, et on recommence. Bon c'est pas comme ça que ça marchait avec moi mais, je suis un cas.
Ah bon, vous aviez remarqué ?
Bref Christian me regardait avec un autre regard brusquement.
– C'est vrai que moi j'ai jamais défoncé un cul. Pour de vrai je veux dire, un cul pas une chatte et bien à fond. Les filles sont de petites natures, elle ont peur quand elle voient la bête.
– Silvia, aime bien se faire défoncer le cul ! Rajoutait Murielle.
– Oui mais Silvia a trouvé que ma queue était un peu trop grosse. Lui répondait Christian. Tu penses bien que j'ai essayé.
– Alors il ne te reste plus qu'à essayer avec un mec ! Concluaient Murielle.
Leurs regards se portaient vers moi. Murielle avait le regard rieur et Christian lui était plus pénétrant. C'est finalement Murielle qui prenait la parole.
– Et toi, Charly tu n'es pas une fille alors une petite bite comme la sienne, ça ne te fait pas peur.
Je regardais la queue de Christian, elle était bien proportionnée, bien longue, bien large mais pas petite, ça non, pas petite du tout. Elle était énorme. Je ne sais même plus ce que je bafouillais. Un bruit inintelligible, un mouvement de la tête de gauche à droite, une sorte de ' onc'.
En fait j'étais livide, je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait.tout s'était passé trop vite. On rentrait d'une promenade et on se retrouvait tous les trois à poil devant un feu de cheminée.
Christian bandait et Murielle en profitait pour s'amuser un peu avec une grosse queue, elle se rapprochait et me repoussant doucement prenait la place que j'occupais quelques instants plus tôt entre les cuisse de notre ami.
Elle le masturbait doucement au départ puis prenait sa queue dans la bouche, pour faire comme moi, mais elle aussi avait du mal. C'est qu'il était bien membré le bonhomme. Je me demandais à ce moment si les filles le ressentaient. Il en avait beaucoup, il en changeait souvent.
Sinon à part sa bite il n'avait rien d'extraordinaire, une bonne tête mais un peu de ventre. Il n'avait rien du bellâtre tombeur, pourtant c'était un tombeur.
Murielle ne lâchait sa queue que pour le prendre dans ses bras, et là ils s'enlaçaient tendrement. Elle glissait sur son corps, il ne tentait pas de la pénétrer, il n'était pas pressé, ils avaient tout le temps, toute la nuit si nécessaire.
Ils m'avaient oublié.
J'étais là à un mètre d'eux peut être. Un mètre oui pas plus. Je n'osais pas les toucher, ni l'un ni l'autre. J'étais allongé et ma queue protestait comme elle le fait de temps en temps. Mais là il faut bien dire qu'elle avait de bonnes raisons. Sa cage la confinait avec une certaine violence.
Christian était allongé sur le dos et Murielle glissait sur lui. Elle le couvrait de baisers, tantôt sur les épaules, sur le torse. Tantôt elle se repliait et revenait à sa queue qui restait toujours très en forme, très grosse, très attirante.
C'est surtout elle que je regardais. Elle me faisait envie même si elle me faisait peur. Ça devait être terrifiant de se la prendre dans le cul. Je n'avais jamais je encore pris un truc aussi gros dans mon cul à cette époque.
C'est vrai que nous étions jeunes.
Allongé sur le côté, la tête appuyée sur mon bras je ne loupais pas une miette de ce qui se passait. À un moment Murielle retournait la tête dans ma direction, elle me souriait et oubliant quelques instants son étalon, elle glissait vers moi, me repoussait sur le dos et glissait sur moi.
Je sentais ses seins s'écraser contre mon torse, Christian ne réclamait pas, il savait qu'elle reviendrait. Elle me chevauchait, je sentais ce vide étrange, ce vide auquel je ne suis pas habitué, là, entre ses cuisses.
Ma queue réagissait à ses caresses et à ses baisers. Dans sa cage, elle se révoltait. Elle poussait, elle tentait de faire exploser la cage. Elle était en titane, on peut rêver mais pas trop quand même.
Murielle trouvait la situation amusante.
– On dirait que je ne te fais aucun effet. Faisait-elle remarquer.
– C'était pareil avec moi ! Rajoutait Christian.
Elle s'allongeait sur moi, ses mains glissaient sur mon corps, ses doigts devenaient indiscrets. Ils glissaient, me chatouillaient à la base du sexe, elle examinait mon dispositif avec les doigts. C'était une découverte pour elle, pour Christian aussi mais je suppose que pour lui c'était pas pareil. Sur moi ça l'amusait peut être, sur lui ça ne l'aurait pas fait rire, mais je pense qu'il n'en était pas question.
Il nous regardait en se caressant la queue. Il ne se masturbait pas vraiment,il se caressait seulement ce qui le gardait en érection. Ou alors c'était de nous voir, en tout cas, il bandait bien, c'était impressionnant.
Murielle plongeait tête la première sur mon sexe. Elle voulait voir ça de plus prêt. Je sentais ses caresses, la cage était vraiment minuscule, c'est en tout cas l'impression que ça me donnait. Elle me tripotait et me léchait les couilles.
– J'aime bien les couilles bien épilées ! Faisait-elle remarquer.
Les miennes l'étaient, je ne gardait pas un poil dans la zone couverte par la cage, depuis la base de mon sexe défini par l'anneau de maintient et sur toute la zone de mon sexe j'épilais régulièrement.
Murielle aimait, je sentais sa langue qui me caressait, c'était pas désagréable. Par moment elle glissait le bout de langue par une des ouverture de la cage. J'avais décalotté et sa langue sur mon gland me faisait réagir.
– La cage n'est pas trop petite, elle m'a l'air bien pleine ?
– C'est parce que je bande, et oui, quand je bande, la cage est trop petite.
Elle relevait la tête en rigolant.
– Tu l'a voulu !
Christian s'approchait et saisissait tendrement Murielle, il passait sa main autour de ses reins et la tirait vers lui. Je la voyais glisser sans résister vers lui. Sa queue était énorme et ressortait entre ses cuisses, juste à l'endroit de son sexe. On pouvait deviner la suite.
Je me redressais en glissant plusieurs coussins dans mon dos. Murielle et Christian se caressaient, s'embrassaient avec une certaine fougue. On sentait que la fièvre sexuelle montait. Christian restait patient mais il manifestait un peu plus son désir maintenant.
C'est lui qui plongeait entre les cuisses de Murielle. Je l'ai senti se redresser. Elle s'allongeait et me trouvant dans son dos, elle décidait de m'utiliser comme coussin. Elle s'installait confortablement sur moi sans me demander mon avis. Petit détail qu'elle n'avait semble-t-il aucun mal à oublier.
J'étais bien installé, elle n'était pas bien lourde, j'en profitais pour la caresser, les bras d'abord, puis la poitrine. Elle avait une belle poitrine, une poitrine qui ne tenait pas totalement dans la main d'un honnête homme. Sans pour autant être énorme.
Elle réagissait bien et gémissait, je ne parvenais pas à savoir si c'était à cause de mes caresses ou à cause de Christian. Par moment il relevait la tête je voyais le sexe de Murielle, il n'y avait rien d'excitant de ce côté.
Il se redressait et s'approchait, il se glissait sur Murielle en prenant le plus grand soin de ne pas l'écraser, comme je vous le disais il avait un peu de ventre mais arrivait à rester très léger.
Je voyais très bien la scène d’où j'étais. Il présentait son sexe, son énorme sexe contre la vulve de notre copine puis sans forcer, apparemment sans forcer glissait en elle. Sa queue bien que énorme disparaissait totalement et son ventre s'écrasait contre le ventre de Murielle.
Je la sentais se contracter et soupirer très fort.
Quand il se relevait je voyais sa bite ressortir, je sentais Murielle trembler, elle me saisissait la main et elle gémissait. Je sentais sa poitrine gonfler. Et à voir Christian qui commençait à la limer avec soin, je sentais ma bite protester de nouveau. Je l'avais presque oublier depuis quelques instants.
Il s'enfonçait avec force, il y avait de quoi faire. Il était très virile et très bien membré. Murielle remuait en même temps que lui et je bougeais en même temps que Murielle.
Il commençait à s'énerver, ses mouvement restaient encore amples et lents. Il prenait bien son temps, rien ne pressait. Il ressortait presque entièrement et s'enfonçait aussitôt bien à fond.
Par moment il ne ressortait pas il se contentait de pousser, son ventre massait alors la vulve de Murielle et sa queue … Je ne sais pas trop ce que faisait sa queue mais à ressentir contre moi le corps de Murielle qui tremblait déjà de plaisir, elle devait bien faire quelque chose.
Elle gémissait, je l'embrassait sur son front, Christian préférait l'embrasser sur la bouche.
Je me redressais et me retrouvais à genoux, Murielle était toujours allongé sur moi, je la tenais dans mes bras. Christian s'agitait entre ses cuisses. J'étais aux premières loges.
J'étais impressionné par sa bite, elle n'était pas seulement énorme et était bien vigoureuse. Par moment il la ressortait entièrement, il plongeait alors sur le sexe de Murielle, elle continuait à gémir de plaisir. C'était toujours une nouvelle contraction que je ressentais sur mes bras quand il y retournait.
Ses cris devenaient plus forts. Les cris que poussait Murielle je veux dire. Maintenant elle criait. C'était impressionnant. Ma queue agonisait, et mon cul n'en pouvait plus. Je me demandais si je ressentirais autant de plaisir au moment ou il me défoncerait le cul.
Je n'attendait plus que cela. Pour le moment il s'occupait de Murielle, je vous jure qu'il a fallu que je prenne sur moi pour ne pas la jeter à l'autre bout de la pièce, juste pour prendre sa place.
Moi je finissais pas gémir, mon souffle devenait fort. Mon cœur battait lui aussi très fort. Je sentais le souffle de Murielle à travers sa poitrine, je lui caressais toujours les seins.
Puis elle se cambrait, elle redressait son corps, elle jouissait et j'en était le premier surpris. Christian ne se laissait pas distraire, il continuait à la limer avec une certaine force à ce moment.
Elle se cambrait de nouveau, je la voyais refermer ses jambes dans le dos de son amant. Ça aussi je peux faire quand on m'encule. Et je m'imaginais à sa place. Je m'imaginais faire ce qu'elle faisait si j'avais été à sa place.
Moi aussi j'aurais crié, moi aussi j'aurais cambré mes reins, moi aussi je l'aurait retenu en refermant mes jambes dans son dos. Moi aussi …
Je ne m'attendais pas à la sentir jouir. Elle à crié, tout son corps a tremblé, puis son cri s'est transformé en sanglots, elle faisait une grimace à faire peur. Il jouissait aussi je suppose.
Non je ne m'attendais pas à la sentir jouir, je ne sais plus à quoi je pensais dans cette situation. Mais j'ai une excuse, c'était une femme !
Lui aussi avait joui, en faisant moins de bruit mais il avait joui, il me regardaient tous les deux et me souriaient.
Christian ne se retirait pas tout de suite, j'avais hâte qu'il récupère. J'avais hâte que ce soit mon tour. Je respirais fort et j'avais presque des vertiges. À ce moment je vous jure je n'avais plus peur de me le prendre dans le cul.
Il finissait par se retirer et se relever, Murielle se laissait aller dans bras, elle prenait ma mains et la guidait sur son sexe. Un liquide blanc coulait lentement.
Christian s'installait à côté de nous.
– C'était quelque chose ! Déclarait-il.
– Tu sais, moi, enfin, euh !
– Oh tu sais, moi les mecs … Si j'étais en manque, peut être mais c'est pas le cas.
En fait il n'avait pas l'intention de m'enculer. Là il aurait bien recommencé un peu plus tard mais il n'avait pas l'intention de s'amuser avec moi.
Ma queue agonisait, elle était étranglée, j'ai cru qu'elle allait mourir. Après ça, moi j'étais en manque comme jamais.
Je crois que je ne me suis jamais senti frustré autant que ce jour là. Je m'effondrais sans rien montrer mais je vous jure, là j'étais mal.
Fin
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