Christine 6 - histoire érotique

Christine 6

Le restant du week-end ne fut que sexe dans toutes les pièces de la maison. Michel et Christine finirent dans la piscine juste avant le retour du mari de Christine et de Régis le pote de Michel.

Le dimanche soir, la famille ramena Michel chez ses parents. Le soir, Michel trouva un message sur son téléphone.
« Mon bébé, viens demain en ville au café du centre à 15h, je t’attendrai ».

Michel répondait au message par « je viendrai, ne met pas de culotte ».

Le lendemain Michel se rendait au rendez-vous, comme prévu. Il prit soin néanmoins d’arriver cinq minutes en retard pour que Christine choisisse une table.

Christine arriva vêtue d’une jupe courte mi-cuisses et d’un chemisier légèrement transparent. Elle avait mis du rouge à lèvres. Elle avait choisi une table à l’écart des autres.
Elle était transformée depuis le week-end à la campagne.
Jusqu’à présent, elle était femme au foyer, s’occupant de son fils et de son mari, se négligeant.

Désormais, elle voulait profiter de son temps libre pour profiter de sa vie de femme, profiter de son jeune amant, vivre sa sexualité de femme de 45 ans.
A chaque fois que la porte du café s’ouvrait, son ventre se crispait, son sexe s’humidifiait. Elle attendait Michel avec impatiente. Elle avait pris les clés de son petit studio qu’elle avait conservé après son mariage. Elle y logeait par moment une nièce ou un neveu.

Soudain elle vit Michel entrer dans le café qui se dirigeait vers elle.

Elle se levait pour l’embrasser, mais il lui tendit la joue plutôt que sa bouche. Elle fût un peu déçue mais respecta la discrétion de Michel. Celui-ci s’assit en face d’elle.
- Bonjour Christine, comment vas-tu ?
- Très bien, mon marie ne s’est rendu compte de rien, Régis non plus.
- Très bien, tu es très belle habillée comme ça.
- Merci Michel, j’aime te plaire.
- Tu as fait ce que je t’ai dit pour ta culotte ?
- Oui je t’ai obéis, je n’en ai pas mis.
- Très bien, j’apprécie.
- Michel, je voulais te remercier pour ce que tu m’as fait faire quand nous étions tous les deux ce week-end. J’ai été très heureuse.
- Mais de rien Christine, tu mérite d’avoir du plaisir. Merci pour ta confiance et ta gentillesse.
- Je suis bien quand je suis avec toi.
- Merci.
- Je voudrais te montrer quelque chose si tu as du temps.
- Oui pas de soucis, qu’est-ce que c’est ?
- Je voulais te faire une surprise, suis-moi.
- Que de secrets, j’aime.

Christine et Michel sortirent du café et se dirigèrent en ville dans la rue piétonne. Christine ouvrit une porte cochère et monta les escaliers jusqu’au premier étage. Michel la suivait sans perdre des yeux le mouvement du corps de Christine qui ondulait des hanches en montant les escaliers. Il avait une envie folle de prendre Christine.
Arrivée au premier étage, Christine ouvra la porte de son studio et fît entrer Michel. Elle ouvrit le volet de la pièce principale pour faire de la lumière.

- Voilà mon chez moi. Ce petit studio sert à loger de la famille de temps en temps, mais sinon, il est vide. Je te propose de se retrouver là quand nous aurons envie de nous voir.
- Super, ce n’est pas loin de la fac en plus.
- Oui en effet.

Michel prit Christine dans ses bras et l’embrassa longuement. Il passa sa main sous la jupe de Christine et trouva la fente trempée de Christine.

- Hum ma belle salope, tu es déjà trempée.
- Ouiiii, mon chéri, je suis accroc de toi.
- De mon sexe surtout ?
- Oh ouiiiii j’en ai envie si tu savais.
- Occupe-t’en.
- Hummm tout de suite chéri.

Christine déboutonna le pantalon de Michel et se jeta comme une affamée sur le sexe qui se tendait devant elle. Elle le décalotta avec ses lèvres et se mit à pomper ce sexe. Son vagin dégoulinait de cyprine, Michel lui caressait les cheveux avec tendresse.

- Oh mon bébé, ton sexe est si bon, je ne peux plus m’en passer. J’en rêve la nuit, au matin je suis trempée.
- Hummmm tu es une vraie salope, je te rappelle que tu es mariée.
- Je suis ta salope, j’ai envie d’être à toi. Oh mon chéri je ferai tout ce que tu veux. Je peux divorcer si tu veux.
- Non non, je ne te demande pas ça, je suis étudiant, je n’ai pas de quoi te faire vivre. En plus tu es femme au foyer. Je te veux simplement comme amante.
- D’accord, je suis à ta disposition.
- Bien, tu vas être à moi à partir d’aujourd’hui.
- Oui tout ce que tu veux.

Christine reprit sa fellation, mais cette fois Michel, appuya plus sur sa tête pour lui prendre la bouche comme si c’était une chatte. Christine senti ce changement et s’agrippa aux fesses de Michel. Elle se laissait baiser la bouche par ce sexe si proéminent.

- Putain tu es une bonne suceuse, tu aimes ma bite.

Christine ne pouvait répondre ayant la bouche pleine. Michel la tenait par les cheveux, elle s’abandonnait à son amant. Ses cuisses étaient trempées de cyprine.
Michel sentait son sexe grossir dans la bouche de Christine et contrairement à ce week-end, il resta dans la bouche de Christine pour éjaculer.
Christine manque de s’étouffer mais Michel lui maintenait la bouche cpntre ses couilles.
Il se dégagea.

- Avale tout mon sperme.

Christine avala avec peine la quantité de sperme présent dans sa bouche. Elle regardait son amant avec des yeux brillants. Elle savait que son amant allait prendre le dessus sur elle, mais elle voulait s’abandonner à lui. Il la releva pour l’emmener vers la chambre.
Il la poussa habillée sur le lit, lui écarta les cuisses et la pénétra avec force.
Christine poussa un cri de bête blessée. Elle sentait ce sexe énorme lui déformer le vagin. Elle dégoulinait de cyprine, elle gémissait sans interruption sous les coups de butoir de cet amant infatigable.

- Oh mon bébé, défonce maman salope.
- Hummm tu aimes ça hein salope ?
- Oh oui, je suis ta salope.
- Je vais te faire jouir comme une dingue !!!!
- Oui oui oui, vas-y, défonce-moi, baises moi.

Michel accéléra encor le rythme. Le corps de Christine bougeait dans tous les sens. Elle bavait comme une folle, les yeux exorbités pas les orgasmes qui la secouait. Son amant la tournait pour la prendre en levrette pour la pénétrer encore plus profondément.il lui tapait les fesses qui rougissaient. Elle en gémissait de plus belle.
Cette femme de 45 ans devenait accroc au sexe. Et plus son amant la prenait brutalement plus elle jouissait. En l’espace de 48 heures elle était passée de femme au foyer à salope réclamant du sexe… Qu’allait elle devenir.