Christine
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Christine
Mes parents sont propriétaires d’une ferme isolée dans une région agricole. Je suis âgée de 19 ans, le m‘appelle Julie, et fréquente les cours d’une classe prépa dans le lycée de la ville proche. Assez aisés, mes parents m’ont acheté un studio ce qui me permet de vivre comme tous les autres de ma classe. Je n’aime pas trop rester chez mes parents; je suis fille unique et m’y ennuie. Je passe mon temps à lire, ce que je trouve très agréable et me balader dans la propriété où j’ai découvert à quelques centaines de mètres un bosquet: quelques arbres que je baptise aussitôt ma FORET. J’y vais tous les après midi passer une bonne partie de mon temps à me faire plaisir.
Il ne m’est pas étranger ce plaisir que je connais depuis que je suis adolescente. Je ne pense pas être la seule a explorer mon sexe. J’ai pris l’habitude d’aller à cet endroit pour me mettre toute nue pour pratiquer sur ma perle des caresses très ciblées. Je me fais jouir. Le soir après diner, je fais pareil quand mes parents vont se coucher. Je retourne dans ma FORET en ne portant sur moi qu’une simple robe à fleurs très démodée. Etant nue dessous, j’abrège ainsi l’attente pour jouir.
Cette année, Christelle, la fille du seul ouvrier agricole doit venir passer ses vacances aussi. Je ne sais que peu de choses sur elle, sauf qu’elle étudie le droit en fac dans la ville où j’habite. J’ai hâte de la connaitre pour briser ma solitude.
Et un matin je la découvre dans la cour. Une fille aussi grande que moi, plus belle, il me semble, avec des lèvres sensuelles et une paire de seins qui doit attirer les mains des garçons de sa fac. Nous nous approchons pour nous parler. Le courant passe vite entre nous deux à tel point que je l’invite à venir visiter ma FORET.
L’après midi nous voilà parties en expédition sur le sentier pour rejoindre mon repaire. Nous bavardons bien sur de tout. Nous parlons surtout de la vie dans la ferme. Elle est comme moi: si je n’avais pas été là, elle se serait ennuyée. Une fois couchées sous les arbres nous arrivons à parler sérieusement de notre vie sexuelle. Elle est comme moi, elle a couché deux fois avec un copain, manière de savoir ce que ça faisait de baiser. Elle en a été satisfaite sans plus. Comme moi elle aime se caresser et éprouver de la jouissance en ayant des fantasmes divers.
Nous bavardons au début comme si nous parlions de choses sans importance. Sans nous en rendre compte nous devenons excitées. Je pose une main par-dessus ma robe pour la poser sur mon pubis. Je me prépare même à me caresser. Christelle me regarde: elle aussi est excitée et comme moi pose sa main à un endroit défendu: elle a posé sa main sur le pubis pour aller plus bas: elle se caresse lentement le haut de sa chatte.
- Tu as envie de jouir, hein, Christelle ?
- Oui, nous parlons de choses qui me donne envie de jouir.
- Fais le si tu veux. Si tu le fais je le ferai aussi.
- Alors fait comme moi.
Elle n’hésite plus, elle soulève sa jupe jusqu’à la ceinture, enlève sa culotte et met une main sur toute sa chatte que je peux voir. Dans de tel moment la pudeur disparait totalement. Avec son autre main, elle tire sur ses lèvres pour bien faire ressortir son bouton et doucement commence à le caresser. Elle ferme les yeux perdue certainement dans ses fantasmes.
Elle m’excite tellement que j’ouvre le devant de ma robe sous laquelle je suis nue. C’est plus pratique pour la suite. A mon tour de caresser ma perle. Je ne peux ôter mon regard du spectacle que Christelle me donne. Je la vois bien quand elle accélère son rythme et fermer ses cuisses sur ses mains quand elle gémit en jouissant.
Elle revient sur me monde réel pour me voir juste avant que comme elle je jouisse. Je ne fait pas comme elle en jouissant: je ferme juste les yeux au moment de mon orgasme.
- Nous sommes des filles bizarres, au lieu de branler la copine nous nous le faisons à nous même.
- C’est vrai, nous pourrions caresser l’autre.
- J’ai jouis trop vite et toi ?
- Moi c’est pareil, j’aimerai recommencer.
Au fond c’est vrai nous pourrions donner du plaisir à l’autre, ce serait bien meilleur. Elle a raison, de toutes façons rien ne nous l’interdit, sinon la morale qui ferait de nous des lesbiennes.
Pour souligner notre accord, je vais près d’elle pour pouvoir lui caresser la moule. Avant elle aussi se met nue. Je voudrai l’avoir pour moi ce corps sexy. Je sais que si j’étais un homme je me la paierai bien. Je ne pense même pas que je vais réellement lui donner du plaisir et qu’elle me le rendra. D’autant plus que c’est elle qui commence par poser une main entre mes cuisses que j’ouvre. Je me laisse faire en attendant qu’elle arrive sur mon sexe.
- Tu es drôlement mouillée. C’est moi qui te fait cet effet.
- Bien sur je mouille parce que tu vas me caresser.
- Et toi, tu ne me fais rien?
- Pardon j’étais égoïste.
Elle caresse mon bouton avec délicatesse pendant que j’arrive en retard sur son petit grain. Nous nous appliquons tant au plaisir de l’autre que nous avons un orgasme ensemble. Pourtant nous ne sommes pas encore satisfaite.
Christelle me demande de lui embrasser le sexe. J’hésite un instant. Pourtant je ne suis pas cruche au point d’ignorer que les filles entre elles se lèchent toujours. Je me glisse plus bas, le corps sur l’herbe, ma bouche juste au dessus de son sexe dont je distingue la beauté. C’est vrai que le sexe d’une femme est plus beau à voir qu’une bite. J’écarte les lèvres pour découvrir l’entrée de son repaire à plaisir. Je me demande si je peux entrer ma langue dans son vagin. Je le fais en ayant la certitude de rater quelque chose. Tant pis: j’entre en elle, je ressort aussitôt pour entrer à nouveau. Je sens, juste sous mon nez son clitoris. Mon nez lui, sens son odeur pendant que ma langue apprécie le gout de sa cyprine. Je ne pensais jamais avoir ces sensations en ayant mon visage sur son intimité. Je laisse ma langue dans son con et arrive à entrer un doigt dans son anus. Elle me semble se crisper à cet instant.
Elle se crispe réellement quand l’orgasme plus fort arrive.
- Que tu m’a fais du bien en me mettant un doigt au cul.
- Tu vas me faire pareil.
- Non, je pense te mettre ma langue directement dans le cul.
- Tu crois que j’aimerai ?
- On ne risque rien d’essayer.
- Vas y, suce moi juste un peu avant.
Elle s’empare de ma fente. Sa langue me lèche de haut en bas. Elle a commencé par le clitoris, à juste pénétré dans mon vagin. Je la sens maintenant sur mon anus. Elle me lèche cet endroit moins sensible que le bouton et pourtant j’aimerai qu’elle n’arrête pas. Elle arrête à sa façon, son suçon se transforme en pénétration. J’ai relâché tous les muscles entourant mon cul, elle entre la moitié de sa langue au moins. Je ne bouge pas par crainte de la perdre. Quels nouveaux délices elle me procure. Elle ne s’arrête pas à cet endroit, elle arrive largement à me branler le bouton. J’ai encore une jouissance différentes des autres. Le temps a passé sans que nous ne nous en rendions compte. Nous nous arrêtons pour cet après midi. Elle est obligé de remettre tous ses vêtements alors que j’ai vite fait avec ma robe. Nous quittons NOTRE BOIS. En cours de route nous décidons qu’elle viendra ce soir dans ma chambre quand mes parents dormirons, vers 22 heures. Un cours baiser sans la langue nous permet de nous séparer.
Pendant tout le repas je repense à cet amour entre filles. Je pense que nous pourrions nous sucer en 69. Reste à la convaincre. Enfin mes parents partent se coucher. Je ne sais s’ils baisent encore: j’ai surpris un regard de ma mère qui me semblait une invite. Après tout ce serait normal qu’ils baisent et jouissent, ils l’ont bien fait pour me fabriquer.
Je suis nue et me caresse, juste pour me tenir excitée. J’ai laisser la porte de ma chambre entrouverte. Christelle en profite pur entrer er refermer. Elle est nue déjà avant d’être à mes cotés: nous nous embrassons sur la bouche comme de vrai amantes: nos langues viennent de se rencontrer maintenant. Nous profitons de ce baiser pour nous peloter un peu. Nous nous masturbons encore quand je dis:
- Si nous nous faisions un 69, tu serai d’accord.
- Un 69 ? J’en ai fait déjà avec un copain. Je n’ai pas aimé le gout de son sperme.
- Nous n’avons pas de sperme, simplement de la cyprine, c’est meilleur: tu as déjà gouté la mienne tout à l’heure.
C’est vrai. Elle ne demande rien de plus. Elle se tourne pour avoir sa tête à hauteur de mon sexe. Elle m’enjambe pour me faire un beau cadeau: son sexe en entier. Je suis libre d’aller faire ce que je veux dans son enfer. Elle aussi est libre: elle lèche le clitoris, me met trois doigts dans le con et deux autres dans le cul. C’est la complète pour moi. Tellement complète que je ne tiens pas longtemps! Je jouis encore sur sa figure.
Pour ma part je ne fait pas comme elle, je préfère sélectionner en commençant par avaler son clitoris et le tirer à lui faire mal. Comme cet après midi elle apprécie pour jouir. Je la doigte également avec un seul doigt destiné à trouver son point G. je lui entre trois doigts dans le cul.
Nous nous donnons ainsi de fabuleux orgasmes. L’aube arrive trop tôt pour nous. Nous devons nous arrêter pur cette nuit.
Par la suite nous avons baisé dans tous les endroits possibles de la ferme, y compris dans la grange peine de paille. Nous en sortons pleines de paille, y compris jusque dans mon sexe: pour retirer le brin de paille j’ai du forcer devant une glace pour le prendre.
Les vacances finies, nous nous retrouvons chez moi pour des baises homériques digne des meilleures lesbiennes. Elle est venue un jour avec une nouvelle méthode. Nous l’avons expérimentée: nous étions presque assises, les cuisses mêlées, nos bas ventre en contact pour que nos clitoris soient le plus possible en contact. Nous n’avons pas réussi du premier coup par contre ensuite nous ne nous sommes jamais lassées en fin de baises de terminer ainsi. Pour nous c’est le signe de notre amour.
Nos études nous mènent loin, elle en avocate réputée et moi en haut fonctionnaire libre de mes emplois du temps. Comme quoi l’amour lesbien ne gêne que celles qui ne poursuivent pas normalement leurs études.
Il nous arrive de lever un garçon uniquement pour avoir une bite dans nos ventres: un seul nous suffit largement.
Il ne m’est pas étranger ce plaisir que je connais depuis que je suis adolescente. Je ne pense pas être la seule a explorer mon sexe. J’ai pris l’habitude d’aller à cet endroit pour me mettre toute nue pour pratiquer sur ma perle des caresses très ciblées. Je me fais jouir. Le soir après diner, je fais pareil quand mes parents vont se coucher. Je retourne dans ma FORET en ne portant sur moi qu’une simple robe à fleurs très démodée. Etant nue dessous, j’abrège ainsi l’attente pour jouir.
Cette année, Christelle, la fille du seul ouvrier agricole doit venir passer ses vacances aussi. Je ne sais que peu de choses sur elle, sauf qu’elle étudie le droit en fac dans la ville où j’habite. J’ai hâte de la connaitre pour briser ma solitude.
Et un matin je la découvre dans la cour. Une fille aussi grande que moi, plus belle, il me semble, avec des lèvres sensuelles et une paire de seins qui doit attirer les mains des garçons de sa fac. Nous nous approchons pour nous parler. Le courant passe vite entre nous deux à tel point que je l’invite à venir visiter ma FORET.
L’après midi nous voilà parties en expédition sur le sentier pour rejoindre mon repaire. Nous bavardons bien sur de tout. Nous parlons surtout de la vie dans la ferme. Elle est comme moi: si je n’avais pas été là, elle se serait ennuyée. Une fois couchées sous les arbres nous arrivons à parler sérieusement de notre vie sexuelle. Elle est comme moi, elle a couché deux fois avec un copain, manière de savoir ce que ça faisait de baiser. Elle en a été satisfaite sans plus. Comme moi elle aime se caresser et éprouver de la jouissance en ayant des fantasmes divers.
Nous bavardons au début comme si nous parlions de choses sans importance. Sans nous en rendre compte nous devenons excitées. Je pose une main par-dessus ma robe pour la poser sur mon pubis. Je me prépare même à me caresser. Christelle me regarde: elle aussi est excitée et comme moi pose sa main à un endroit défendu: elle a posé sa main sur le pubis pour aller plus bas: elle se caresse lentement le haut de sa chatte.
- Tu as envie de jouir, hein, Christelle ?
- Oui, nous parlons de choses qui me donne envie de jouir.
- Fais le si tu veux. Si tu le fais je le ferai aussi.
- Alors fait comme moi.
Elle n’hésite plus, elle soulève sa jupe jusqu’à la ceinture, enlève sa culotte et met une main sur toute sa chatte que je peux voir. Dans de tel moment la pudeur disparait totalement. Avec son autre main, elle tire sur ses lèvres pour bien faire ressortir son bouton et doucement commence à le caresser. Elle ferme les yeux perdue certainement dans ses fantasmes.
Elle m’excite tellement que j’ouvre le devant de ma robe sous laquelle je suis nue. C’est plus pratique pour la suite. A mon tour de caresser ma perle. Je ne peux ôter mon regard du spectacle que Christelle me donne. Je la vois bien quand elle accélère son rythme et fermer ses cuisses sur ses mains quand elle gémit en jouissant.
Elle revient sur me monde réel pour me voir juste avant que comme elle je jouisse. Je ne fait pas comme elle en jouissant: je ferme juste les yeux au moment de mon orgasme.
- Nous sommes des filles bizarres, au lieu de branler la copine nous nous le faisons à nous même.
- C’est vrai, nous pourrions caresser l’autre.
- J’ai jouis trop vite et toi ?
- Moi c’est pareil, j’aimerai recommencer.
Au fond c’est vrai nous pourrions donner du plaisir à l’autre, ce serait bien meilleur. Elle a raison, de toutes façons rien ne nous l’interdit, sinon la morale qui ferait de nous des lesbiennes.
Pour souligner notre accord, je vais près d’elle pour pouvoir lui caresser la moule. Avant elle aussi se met nue. Je voudrai l’avoir pour moi ce corps sexy. Je sais que si j’étais un homme je me la paierai bien. Je ne pense même pas que je vais réellement lui donner du plaisir et qu’elle me le rendra. D’autant plus que c’est elle qui commence par poser une main entre mes cuisses que j’ouvre. Je me laisse faire en attendant qu’elle arrive sur mon sexe.
- Tu es drôlement mouillée. C’est moi qui te fait cet effet.
- Bien sur je mouille parce que tu vas me caresser.
- Et toi, tu ne me fais rien?
- Pardon j’étais égoïste.
Elle caresse mon bouton avec délicatesse pendant que j’arrive en retard sur son petit grain. Nous nous appliquons tant au plaisir de l’autre que nous avons un orgasme ensemble. Pourtant nous ne sommes pas encore satisfaite.
Christelle me demande de lui embrasser le sexe. J’hésite un instant. Pourtant je ne suis pas cruche au point d’ignorer que les filles entre elles se lèchent toujours. Je me glisse plus bas, le corps sur l’herbe, ma bouche juste au dessus de son sexe dont je distingue la beauté. C’est vrai que le sexe d’une femme est plus beau à voir qu’une bite. J’écarte les lèvres pour découvrir l’entrée de son repaire à plaisir. Je me demande si je peux entrer ma langue dans son vagin. Je le fais en ayant la certitude de rater quelque chose. Tant pis: j’entre en elle, je ressort aussitôt pour entrer à nouveau. Je sens, juste sous mon nez son clitoris. Mon nez lui, sens son odeur pendant que ma langue apprécie le gout de sa cyprine. Je ne pensais jamais avoir ces sensations en ayant mon visage sur son intimité. Je laisse ma langue dans son con et arrive à entrer un doigt dans son anus. Elle me semble se crisper à cet instant.
Elle se crispe réellement quand l’orgasme plus fort arrive.
- Que tu m’a fais du bien en me mettant un doigt au cul.
- Tu vas me faire pareil.
- Non, je pense te mettre ma langue directement dans le cul.
- Tu crois que j’aimerai ?
- On ne risque rien d’essayer.
- Vas y, suce moi juste un peu avant.
Elle s’empare de ma fente. Sa langue me lèche de haut en bas. Elle a commencé par le clitoris, à juste pénétré dans mon vagin. Je la sens maintenant sur mon anus. Elle me lèche cet endroit moins sensible que le bouton et pourtant j’aimerai qu’elle n’arrête pas. Elle arrête à sa façon, son suçon se transforme en pénétration. J’ai relâché tous les muscles entourant mon cul, elle entre la moitié de sa langue au moins. Je ne bouge pas par crainte de la perdre. Quels nouveaux délices elle me procure. Elle ne s’arrête pas à cet endroit, elle arrive largement à me branler le bouton. J’ai encore une jouissance différentes des autres. Le temps a passé sans que nous ne nous en rendions compte. Nous nous arrêtons pour cet après midi. Elle est obligé de remettre tous ses vêtements alors que j’ai vite fait avec ma robe. Nous quittons NOTRE BOIS. En cours de route nous décidons qu’elle viendra ce soir dans ma chambre quand mes parents dormirons, vers 22 heures. Un cours baiser sans la langue nous permet de nous séparer.
Pendant tout le repas je repense à cet amour entre filles. Je pense que nous pourrions nous sucer en 69. Reste à la convaincre. Enfin mes parents partent se coucher. Je ne sais s’ils baisent encore: j’ai surpris un regard de ma mère qui me semblait une invite. Après tout ce serait normal qu’ils baisent et jouissent, ils l’ont bien fait pour me fabriquer.
Je suis nue et me caresse, juste pour me tenir excitée. J’ai laisser la porte de ma chambre entrouverte. Christelle en profite pur entrer er refermer. Elle est nue déjà avant d’être à mes cotés: nous nous embrassons sur la bouche comme de vrai amantes: nos langues viennent de se rencontrer maintenant. Nous profitons de ce baiser pour nous peloter un peu. Nous nous masturbons encore quand je dis:
- Si nous nous faisions un 69, tu serai d’accord.
- Un 69 ? J’en ai fait déjà avec un copain. Je n’ai pas aimé le gout de son sperme.
- Nous n’avons pas de sperme, simplement de la cyprine, c’est meilleur: tu as déjà gouté la mienne tout à l’heure.
C’est vrai. Elle ne demande rien de plus. Elle se tourne pour avoir sa tête à hauteur de mon sexe. Elle m’enjambe pour me faire un beau cadeau: son sexe en entier. Je suis libre d’aller faire ce que je veux dans son enfer. Elle aussi est libre: elle lèche le clitoris, me met trois doigts dans le con et deux autres dans le cul. C’est la complète pour moi. Tellement complète que je ne tiens pas longtemps! Je jouis encore sur sa figure.
Pour ma part je ne fait pas comme elle, je préfère sélectionner en commençant par avaler son clitoris et le tirer à lui faire mal. Comme cet après midi elle apprécie pour jouir. Je la doigte également avec un seul doigt destiné à trouver son point G. je lui entre trois doigts dans le cul.
Nous nous donnons ainsi de fabuleux orgasmes. L’aube arrive trop tôt pour nous. Nous devons nous arrêter pur cette nuit.
Par la suite nous avons baisé dans tous les endroits possibles de la ferme, y compris dans la grange peine de paille. Nous en sortons pleines de paille, y compris jusque dans mon sexe: pour retirer le brin de paille j’ai du forcer devant une glace pour le prendre.
Les vacances finies, nous nous retrouvons chez moi pour des baises homériques digne des meilleures lesbiennes. Elle est venue un jour avec une nouvelle méthode. Nous l’avons expérimentée: nous étions presque assises, les cuisses mêlées, nos bas ventre en contact pour que nos clitoris soient le plus possible en contact. Nous n’avons pas réussi du premier coup par contre ensuite nous ne nous sommes jamais lassées en fin de baises de terminer ainsi. Pour nous c’est le signe de notre amour.
Nos études nous mènent loin, elle en avocate réputée et moi en haut fonctionnaire libre de mes emplois du temps. Comme quoi l’amour lesbien ne gêne que celles qui ne poursuivent pas normalement leurs études.
Il nous arrive de lever un garçon uniquement pour avoir une bite dans nos ventres: un seul nous suffit largement.
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