Christine et Marie - histoire érotique

Je suis Marc, Marie c’est ma femme cette année elle a retrouvé par hasard à Paris Christine sa grande copine d’école, elle vie seule car elle vient de ce faire larguer par son copain.

Marie et Christine ne ce sont pas vue depuis presque 10 ans et Marie m’a demandé si cette année elle pouvait venir avec nous pour les vacances.

Je connais ma femme, et Je lui ai dit oui bien sur ! Elle était tellement heureuse de retrouver sa Christine, et puis vu que son copain est parti, cela vas lui faire du bien.

La copine de ma femme est venue passer une soirée chez nous avant les vacances, histoire de faire connaissance avec moi, elle est très jolie.

C’est vrai, elle est quand même un peu triste de ce retrouver seule, mais en fin de soirée, elle avait retrouvé sa Marie et son sourire, pour la rendre encore plus jolie.

Nous avons déniché avec ma femme depuis quelques années un petit camping sur le bord de la côte méditerrané très sympa, il n’y a qu’à traverser la forêt pour arriver à la plage.

Le jour du départ, Christine est arrivée bien avant l’heure fixée, elle ne voulait pas se faire attendre.

Nous résidons en Ile de France, et le premier jour fatigués par la chaleur et le voyage, car notre voiture n’as pas la climatisation, nous mangeons hâtivement sur une aire de repos juste une salade composée que ma femme avait préparée à l’avance, et mis dans une glacière, puis nous reprenons la route.

En arrivant après avoir installé notre campement, nous allons nous promener aux alentour, avec Christine qui ne connait pas le coin, ensuite nous rentrons sous la tente pour nous coucher et nous endormons très rapidement.

Vers minuit, je me réveille avec une forte envie d’aller aux toilettes. Je vais sortir de la tente, j’entends distinctement des gémissements qui viennent de l’emplacement d’en face.

Nos voisins sont en train de faire l’amour, et en font profiter les tentes voisines, une veilleuse est allumée et leur tente rester ouverte en raison de la chaleur encore pesante.

Ils ne se savent pas qu’ils sont observés et agissent sans retenue, ou alors, ils le font exprès ?

Je commence à être excité dans ce rôle de voyeur, mais pour l’instant j’ai vraiment trop envie d’aller uriner.

Je sors de notre tente et, tout en restant dans l’ombre, me dirige discrètement vers les toilettes pour ne pas éveiller l’attention de ce couple.

Heureusement, à cette heure-ci il n’y a presque personne et je peux me soulager rapidement.

Je repense à ce que je viens de voir et me surprend à commencer une masturbation dans les toilettes, mais je me dis qu’il vaut mieux retourner à notre tente pour profiter à nouveau du spectacle.

Je reviens avec précautions pour rester discret. La tente d’en face est toujours allumée. Tant mieux ! Je rentre dans notre guitoune.

Ma femme et sa copine dorment comme des bébés, elles sont très jolies toutes les deux.

A ce moment, le couple d’en face éteint la lumière et ce calme. Partagé entre l’envie de me masturber et celle de dormir, Je finis par céder aux bras de Morphée.

Le lendemain matin, je suis le premier à me réveillé, les filles dorment toujours en ce tenant la main.

Je prends ma trousse de toilette et me dirige au bloc sanitaire. Toutes les douches sont déjà occupées.

Je râle un peu, puis constate qu’il reste au fond quelques douches libres, mais sans porte, avec juste une petite cloison pour assurer un minimum d’intimité.

Comme je n’ai pas envie d’attendre je vais à une le plus au fond pour être tranquille.

Alors que je commence à me savonner, ce sont mes voisins qui arrivent à leur tour et entrent ensemble dans la douche face à la mienne.

Ils n’ont pas du faire attention à ma présence car ils sont entrés directement dans cette douche, comme si ils étaient habitués à toujours aller dans celle-ci.

Ils sont face à moi, font couler l’eau et commencent immédiatement à se savonner mutuellement. Leurs savonnages se transforment rapidement en caresses.

Je ne perds aucune miette de ce spectacle, je suis fort heureux de pouvoir reprendre cette fois en image car la nuit dernière je n’avais que le son.

La femme finit par jouir sous les assauts des doigts de son mari. Ils ne semblent pas s’être rendu compte de ma présence pourtant face à eux, ou bien, ils font semblant de rien.

Le couple se rhabille et quitte les douches, moi je termine de me laver et retourne à mon tour vers notre campement.

Le bruit de la fermeture éclair de la tente achève de réveiller ma femme et sa copine, qui somnolait depuis que j’étais parti à la douche.

Je ne peux s’empêcher de leur raconter ce que j’ai vu cette nuit et ce matin, ce qui les laissent indifférente.

Le reste de la matinée passe assez vite. Après que ma femme et sa copine ont pris leur douche, et pris notre petit déjeuner, nous allons faire quelques courses sur le terrain et fini de déballer le contenu du coffre de la voiture.

Cela nous amène à l’heure du repas, pour la première journée assez léger, en prévision d’une première baignade imminente.

Il est encore tôt quand nous quittons le camping en direction de la plage. Le temps de traverser la forêt et nous arrivons, mais nous pouvons enfin contempler la beautée de la mer. Christine a voulu prendre des photos.

Le sable fin déjà brulant s’étend à perte de vue. Étant donné l’heure, il y a encore très peu de monde sur la plage. Nous décidons de marcher quelques centaines de mètres pour éviter la foule, qui viendra inévitablement envahir ce petit paradis dans une heure au plus.

Nous constatons, surpris, que certaines des personnes déjà présentes sont complètement nues.

Nous en concluons que cette année le naturisme est probablement autorisé sur cette plage contrairement à l’année dernière.

Cela ne nous choque pas particulièrement, mais nous nous mettons en maillot comme on l’avait prévu au départ.

Ma femme bien en chair porte un maillot une pièce très classique, sa copine un petit deux pièces, elle est petite toute menue mais avec de jolie forme, et je suis très fier de me trouver en présence de deux jolies femmes.

Pour l’instant je suis très content d’être installé sur la zone naturiste. Mon côté voyeur s’affirme, je ne peux m’empêcher d’observer les vas et vient des personnes, surtout quand celles-ci se déshabillent complètement.

C’est ainsi que je vois arriver nos voisins de camping une heure après nous. Je dis à ma femme et Christine :
- Tiens, voila nos voisins de camping.

- Ceux qui font des cochonneries sous la douche ?

Tient ! Je me dis : Au moins, elle a déjà retenu l’essentiel.

- Tu penses qu’ils vont se mettre nus ?

- Humm.. Oui, c’est certain.

- Pourquoi ça ?

- Parce qu’on est cette année sur une zone naturiste.

- Mais nous aussi nous somme ici et on n’est pas nus.

- C’est parce qu’on ne savait pas.

Maintenant, il y a plus de monde. Je me demande si ma femme aurait accepté de venir sur la zone naturiste s’il y avait eu autant de monde. Enfin, on ne se marche quand même pas dessus.

Nos plus proches voisins de plage sont pour instant à plus de cinquante mètres, mais au fur et à mesure que la plage se peuple, l’espacement libre diminue.

Voici que nos voisins du camping qui prennent leur serviette et viennent s’installer à une trentaine de mètres de nous. Ils sont les plus proches. Ils l’ont fait exprès ? Non ! Ce serait surprenant.

Il est improbable qu’ils aient réussi à nous reconnaître à cette distance.

Ils posent leur sac de plage, allongent leurs serviettes sur le sable, et se dénudent entièrement sous le regard de nous trois sans ce caché, il savait donc que c’étais une plage de naturiste.

- Tu avais raison chérie. Dis, tu ne voudrais pas te mettre nue toi aussi avec Christine ?

- Ça ne va pas ? Me dit ma femme.

- Mais regarde, tout le monde l’a fait autour de nous, on va se faire remarquer. Il vaudrait mieux se déshabiller.

- Eh bien, fais-le si tu veux, mais pas moi.

Je suis bien obligé de tomber le slip pour rester cohérent avec moi-même et espérer, par la suite, convaincre Ma femme et sa copine d’en faire autant.

Malgré tout, gêné par ma pudeur, je me place sur le ventre et continue à observer d’autres couples du coin de l'œil.

Au bout de quelque temps, Je vois un jeune homme s’allonger dans le prolongement de l’entrejambe de sa voisine, à même pas deux mètres d’elle.

C’est alors que je réalise qu’elle doit avoir ses jambes entrouvertes, exhibant son intimité aux passants.

Moi j’observe la scène, excité à l’idée de ce qui va bien pouvoir se passer, il ne va pas être déçu. Sa voisine écarte encore plus les cuisses.

Je me dis que l’occasion est trop belle et demande à ma femme pour me rapprocher :
- Chérie, veux-tu faire quelques pas avec Christine et moi sur la plage ?

- Oui ! Pourquoi pas ?

Nous nous levons. Je commence à me faire à ma nudité et n’est absolument pas gêné, à côté de ma femme et Christine qui sont toujours en maillot.

Heureusement que ma femme et Christine n’y font pas trop attention, car mon sexe s’est gonflé entre temps, sous l’effet de ces pensées perverses.

Nous longeront quelque temps la dune, puis je suis les traces laissées par nos voisins il y a quelques instants, ma femme me dit :
- Pourquoi aller par là ? La plage est assez grande.

- Fais-moi confiance, viens voir.

Nous montons sur la dune, les traces obliquent vers un buisson. Nous finissons par entrevoir des corps derrière le feuillage. Nous continuons encore un peu et pouvons sans difficulté voir ce qui se passe.

Allongés à même le sable, un jeune homme masturbe une femme, celle-ci lui fait de même.

Je tente alors de caresser et de déshabiller ma femme, mais celle-ci résiste prend sa copine pas la main et retourne à la plage en me disant :
- Tu es vraiment un obsédé du sexe ?

Je regagne la plage à mon tour tout penaud et rejoint ma femme qui me dit :
- Ils ont l’air de bien s’amuser nos voisins.

- Ah, ça je dois dire qu’ils ne se gênent pas.

Après un bref silence, je décide de revenir à la charge :
- Tu ne voudrais pas retirer ton maillot pour me faire plaisir ?

- Pour exciter les mateurs comme toi du coin ? Non merci.

- Mais non, juste pour moi.

- Tu es déjà assez excité, tu as vu Christine la taille de son sexe ? Regarde ! Il est à la limite de l’érection mon petit mari. Si tu étais en maillot, ça se verrait beaucoup moins ! Si tu te masturbais devant nous pour te passer ton érection.

- Alors on parie ? Si je le fais tu te déshabilles ?

- Hum... Peut-être.

- Et Christine aussi ?

- Laisse Christine tranquille.

Alors ! Tourné vers ma femme, et Christine je me branle discrètement d’une main et de l’autre main. Trop excité par cette situation, ma femme et sa copine en maillot et moi nu comme un ver, bien excité aussi par nos voisins du camping qui s’envoient en l’air à côté, par les voyeurs qui observent peut-être en ce moment, je ne prend pas longtemps ! Un long jet de sperme gicle hors de mon sexe et file droit sur le maillot de bain de ma femme.

- Je crois que maintenant chérie tu vas être obligée de le retirer.

- C’est malin. Je n’avais pas besoin que tu me le salisses pour que je le retiré.

- Excuse-moi, c’est parti tout seul.

Marie retire discrètement son maillot. Et s’allonge sur le dos. Du coup Christine fait de même et s’allonge à côté de sa copine.

La tentation est trop forte, j’avance ma main et la pose à plat sur le ventre de ma femme.

Elle ne réagit pas. Je décide alors de descendre vers le pubis, puis d’atteindre le sexe.

Marie se laisse faire, elle entrouvre même un peu les cuisses pour faciliter le passage de ma main qui lui donne tant de plaisir. Décontractée, elle se tourne vers moi et me dit dans un sourire :
- Merci, tu m’as fait le plus grand bien. Finalement je me sens mieux comme maintenant, mais je sais que Christine te trouve mignon, alors, donne lui du plaisir à elle aussi.

Nous nous embrassons longuement, puis je me tourne vers Christine et la serre dans mes bras, et lui fait des bisous.

Ma femme nous laisse et va jouer dans l’eau, nue et libre, pour se remettre de ses émotions. Marie sent bien les regards de certains hommes se poser sur elle, mais ça ne la gêne plus, le plaisir d’être vue. Moi je vois bien aussi les autres hommes qui observent ma femme, mais je ressens surtout de la fierté et aussi du plaisir. Content d’être arrivé à mes fins.

Maintenant, Christine est bien dans mes bras, mais elle regrette déjà son geste, elle me dit qu’elle n’a pas le droit de prendre le mari de sa meilleur copine.

Moi je lui dis :
- Tu as bien vue ! C’est Marie qui désire que je te donne du plaisir.

Christine se laisse alors caresser mais je vois bien sa crainte d’être surprise par des promeneurs, ou le retour de sa copine Marie, je n’ai pas pu aller plus loin, juste des caresses sur la plage.

La soirée s’écoule tranquillement, en parlant de tout et de rien, mais pas une seule allusion à la plage.

Une fois le repas terminé, Nous nous préparons pour faire un petit tour à pied, histoire de profiter de la fraîcheur de la nuit, je raconte discrètement à Marie que Christine sur la plage à refusé de faire l’amour, car tu étais sa copine.

Nous rentrons à la nuit tombée, et peu de temps après nous allons nous coucher. Marie dit à sa copine que je vais dormir entre elles deux, moi bien sûr je ne vois pas de problème à cela.

Il fait très chaud dans la tente et je garde juste un pantalon de pyjama, ma femme une petite nuisette, mais Christine n’ose pas trop se dévêtir, alors elle met un pyjama léger mais entier.

Nous n’avons pas envie de dormir, alors nous discutons, surtout marie et Christine, des leurs jeunesse, Moi je les écoute avec un grand plaisir.

Je passe mes bras un sous le coup de ma femme, l’autre sous le coup de Christine, et je me sens très bien, j’aime les entendre rire de leur souvenir.

A un moment, ma femme prend la main de sa copine, et la pose sur mon ventre, je ressent tout à coup un frisson passé en moi. Elle dit ensuite à Christine :
- Retire ton haut il fait très chaud sous la tente.

Marie, retire les boutons de la chemise de nuit de Christine, qui se laisse faire,
Ils sont superbe toute les deux.

Christine retire alors sa chemise, elle est superbe une petite poitrine, mais bien ferme.

Ma femme reprend la main de Christine et cette fois la glisse dans mon pantalon de pyjama.

Christine ne dit rien, mais elle n’ose pas me caresser, Marie alors entreprend de me retirer complètement mon pantalon de pyjama, et me caresse le sexe qui ne tarde pas à réagir.

Ma femme demande à sa copine, de me faire des caresses à son tour, Christine hésite et lui dit :
- Tu es ma copine, il est ton mari, je ne veux pas que tu me reproches un jour ce qui ce passe aujourd’hui.

- Vas y regarde le ! Il ne demande que cela, franchement je te le prête aujourd’hui il est à toi mon petit mari.

Christine et marie se déshabillent complètement à l’extérieur de la tente, ce qui est nettement plus pratique.

Moi je suis aux anges Christine et Ma femme sont excités et se mettent à se caresser aussi. Puis vient mon tour d’être caressé par les filles.

Christine se couche maintenant sur moi, elle sent très bon, rien ne peut plus arrêter, ma femme, d’une main caresse sa copine, et de l’autre me caresse aussi. C’est un réel plaisir, jamais je n’aurais cru que je ferais l’amour avec deux femmes.

Le lendemain matin, au réveil, nous somme allé ensemble à la douche, dans les cabines ouvertes.

Cette fois sous le regard de nos voisins de tente.

- Allez, ça me ferait super plaisir. De me faire frotter par vous deux.

- Bon, d’accord, allons-y dit ma femme.

Puis elles entre dans la douche qui est la plus au fond, ils font couler l’eau. Les deux copines commencent à se laver, et surtout à se caresser ensuite je viens les rejoindre.

Quel bonheur ! Quelles formidables vacances.

Quand à Christine, elle a dit à sa copine que c’étais la première fois qu’elle éprouvait autant de plaisir.

Alors ma femme a promis à Christine que cela se reproduirait, et pourquoi pas l’année prochaine.