Christine : L'apprentissage
Récit érotique écrit par Piewy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Christine : L'apprentissage
Merci à Christine pour m'avoir inspiré pour ce texte qui est donc une pure fiction (dommage)… Certaines parties sont des échanges avec Christine et pour crédibiliser l'histoire j'ai conservé les fautes.
Donc par avance, excusez nous pour les fautes de français, j'en ai sûrement aussi commises.
-Bonjour Christine, veuillez vous assoir. Je souhaite voir avec vous votre évolution au sein de notre société.
-Oui Monsieur le directeur.
-Cela fait un moment que vous faites partie de la société et vous faites entièrement satisfaction pour la gestion du stock.
-Merci Monsieur
-Cependant concernant la gestion des devis, j'ai un souci et si je veux vous confier plus de responsabilités. Il va falloir vous améliorer.
-Bien, Monsieur le Directeur, je suis honorée de votre confiance. Et je suis prête à faire les efforts nécessaires.
-Christine, je crois que vous en êtes capable mais il y aura beaucoup de travail. Votre souci et le mien également par la même occasion est votre niveau de français. Il n'y a pas un devis que vous faites qui n'est pas sans un nombre important de fautes d'orthographe et de grammaire. Si vous voulez progresser, il faut absolument faire des efforts à ce niveau.
-Je suis consciente de mes faiblesses à ce niveau et j'ai repris l'an dernier des cours du soir afin de m'améliorer mais hélas sans résultat. Mais je suis prête à faire ce qu'il faut.
-Je ne savais pas pour vos cours du soir Christine et cela vous honore. Je suis prêt vous payer des cours particuliers si vous le souhaitez.
-Monsieur le Directeur, je vous remercie de votre proposition mais hélas, je crois que j'ai une aversion envers le français. Il faudrait vraiment une méthode particulière pour que j'y arrive.
-Christine, j'ai un ami qui était professeur et qui donne des cours particuliers qui pourrait peut-être vous aider.
-Je suis prête à tout essayer Monsieur le Directeur.
-Alors je vais l'appeler de suite.
-Allo Pierre
-...
-J'ai une employée qui aurait besoin de cours de français afin que je puisse la faire évoluer dans notre société.
-...
-Pierre, le prix n'est pas un souci c'est la société qui prendra en charge les cours.
-....
-Christine, Pierre souhaite vous parler.
-Bonjour Madame. Votre directeur m'a parlé de vos soucis de français. Je suis prêt à vous donner des cours mais à la condition que vous êtes prête à faire tous les efforts nécessaires.
-Bonjour Monsieur, comme je l'ai dit à Monsieur le Directeur, j'y suis prête. Ce n'est pas Madame mais Mademoiselle.
-Alors Mademoiselle, je vous attends après demain soir à 19h chez moi. D'ici là écrivez 2 pages pour expliquer vos motivations. A bientôt.
-Christine, je crois que tout est entre vos mains.
-Merci Monsieur le Directeur.
Voici le mail que Christine m’a envoyé :
bonjour monsieur Pierre
il ne va pas être simple pour moi de vous expliquer mes motivations (et en bon français)
voila je pense que j'ai besoin de vous et de vos connaissances pour progresser en grammaire au sein de la société
je suie prête a faire ce qu'il faut pour cela mais sa m'est difficile en français et je pense qu'il me faudra une méthode bien particulière
et encore merci a vous
je serais la comme convenu a 19H00
La sonnette résonne et je vais ouvrir.
Une jeune femme est devant la porte en pantalon, veste et basquets.
-Bonjour Mademoiselle
-Bonjour Monsieur Pierre, je suis Christine.
-Entrez et donner-moi votre veste.
Je l'accroche et constate qu'elle porte un chemisier blanc dessous.
-Veuillez me suivre s'il vous plait.
J'emmène Christine dans mon bureau, je m'installe et demande :
-Mademoiselle, donnez moi le courrier que je vous ai demandé.
Christine ouvre son sac à main et me tend une feuille pliée en 4, je m'en saisis avec une mine sévère. J'observe Christine un moment en la détaillant de la tête aux pieds : Des cheveux noir en chignon, un visage agréable pas maquillé, un chemisier ample qui cache sa poitrine tout comme son pantalon informe et pour finir des basquettes. Rien de bien féminin.
Je prends enfin la feuille et la déplies. Je lis son texte et constate effectivement l'ampleur des dégâts : Pas une ligne sans fautes ou presque. Il va falloir un traitement de choc pour la faire progresser. C'est que son directeur mon ami Jacques m'a prévenu et m'a donné carte blanche ans ce sens. On va voir comment elle va réagir.
-Bien Mademoiselle !
Suivi d'un long silence, je la regarde dans les yeux. Elle se tortille sur place ne sachant trop quoi faire. J'attends une réponse de sa part qui tarde un peu à venir.
-Oui Monsieur Pierre ?
C'est le moment que je choisis d'attaquer.
-Ecoutez-moi bien sans m'interrompre !
-Voici mes conditions pour essayer de vous faire progresser.
-La ponctualité est de rigueur : Quand je dis 19h, ce n'est pas 19h05 mon temps est précieux et l'on ne me paye pas pour ne rien faire.
-Ne m'appeler plus Monsieur Pierre, cela fait proxénète : Vous m'appellerez soir Monsieur le Professeur ou Maître.
-Vous souhaitez que je vous appelle Mademoiselle, soit mais alors habillez vous comme il se doit dans une tenue qui sied à ce que vous êtes et souhaitez devenir : Une femme qui veut être remarquée pour pouvoir progresser dans la vie et dans le travail.
-Quand je demande un devoir écrit, ce n'est pas un chiffon comme celui-ci que je veux mais une feuille non pliée ou à la rigueur dans une enveloppe large plié en 3.
-Quand je demande 2 pages, c'est deux pages pas la moitié en encore je suis généreux.
-Je suis quelqu'un de juste mais aussi de sévère voir très sévère en cas de manquement aux règles que je fixe et je punirai à sa juste mesure vos écarts.
-Les rendez-vous que je vous donnerai son hors de vos horaires de travail et je ne tolèrerai aucune discussion à ce sujet mon temps étant précieux.
-Sommes nous d'accord sur ces premiers points ?
-Oui Monsieur P, pardon Oui Monsieur le Professeur.
-Je vois que vous commencez à comprendre. Voici ma carte, vous y trouverez mon adresse mail afin de m'envoyer une nouvelle version de ce torchon. Pour rappel : Une phrase, un paragraphe commence toujours par une majuscule et finit par un point. J'ai demandé 2 pages comme vous avez 2 yeux, 2 mains ou deux fesses. Alors j'espère que la prochaine version sera meilleure. Je l'attends jeudi soir au plus tard. Mais avant cela dès que vous serez chez vous, vous me ferez un mail pour me dire que vous êtes d'accord de suivre mon enseignement et de subir les punitions en cas de manquement de votre part. Je vous enverrai un texte audio en dictée que vous retranscrirai pour notre prochain rendez-vous qui sera Samedi à 14h.
-Avez-vous des questions ?
-Non Monsieur le Professeur.
-Dans ce cas, je vous raccompagne.
Dans l'entrée, je lui tends sa veste et je lui ouvre la porte.
-J'ai juste une question ?
Je referme la porte en la claquant. Christine me regarde surprise, puis reformule sa question, elle a compris.
-Monsieur le Professeur, le cours de samedi durera combien de temps ?
-Le temps que vous appreniez à formuler correctement une question peut-être... Cela dépendra de mon bon vouloir.
-Au revoir Mademoiselle.
Et j'ouvre à nouveau la porte pour laisser Christine partir.
Voici l’échange de mail que nous avons eu avant le prochain rendez-vous.
Pierre :
Bonjour Christine,
Tu trouveras ci-joint ta première dictée.
Il me serait agréable en plus de la dictée que tu me dises ce que tu as compris de ce poème.
Votre Professeur ou Maître
PS: Merci de me confirmer la bonne réception du fichier et que tu arrives à l’écouter.
A samedi.
Christine :
merci professeur de votre texte que j'ai il faut bien le dire du mal a comprendre
mais je pense si je peut vous dire ca que sa me semble sexuelle ?
Pierre :
Christine,
Nous discuterons plus en avant de ce poème samedi quand je lirai votre transcription.
Mais je tiens dès à présent à vous mettre en garde car mon courroux est en forte progression et vous devriez être rouge de honte devant le nombre de fautes que vous faites.
Trouver le moyen d'apaiser ma colère en écrivant mieux ou de la manière qui vous semble approprier ou ce ne sera pas que vos joues qui risquent de rougir samedi.
Votre Professeur ou Maître
Christine :
bien comprise professeur
Le samedi :
13h58 la sonnette retentit.
Cette fois, elle semble à l'heure. Je vais ouvrir.
-Bonjour Monsieur le Professeur.
L'entrée est respectueuse comme demandé, un bon point. Avant de la faire entrer je la regarde : Une veste fermée élégante qui lui va juste au-dessus des genoux et des baskets.
Je la fais entrer. Après avoir fermé la porte, j'annonce de suite la couleur.
-J'ai demandé une tenue appropriée, les baskets ne font pas partie d'une tenue d'une jeune femme qui veut avoir des responsabilités c'est des chaussures avec des talons de 8cm au minimum. Vous corrigerez cela pour la prochaine fois.
-Oui Professeur
-Otez les ainsi que votre manteau et venez me rejoindre dans mon bureau.
Je vais m'assoir à mon bureau pour vérifier une dernière fois que je n'ai effectivement pas eu d'autre mail de Christine hormis celui où elle parlait légèrement du poème. Il va falloir que je la punisse pour ne pas dire la mater pour arriver à faire quelque chose d'elle. J'avais fermé la porte, elle toque ; au moins ça. Je prends une bonne inspiration.
-Entrez Christine
Et là, je n'en crois pas mes yeux : Christine entre avec un short au ras de la touffe comme on dit et un haut transparent qui laisse deviner ses seins libres sous le chemisier. Un appel au viol ou presque, mon sexe fait un bon dans mon pantalon. Vite il faut que je réagisse avant qu'elle s'aperçoit de ma réaction.
Je cris presque :
-C'est totalement intolérable comme tenue Christine. Mettez vous au coin la tête contre le mur que je ne vous vois plus et ne vous entende pas le temps que je décide quoi faire de vous.
Et je lui indique là où elle doit aller.
Que faire de cette femme effrontée mais bigrement sexy.
-Posez vos mains sur le mur au-dessus de votre tête.
Je viens derrière elle, puis lui demande :
-Combien de pages vous ai-je demandé concernant vos motivations, que je n'ai pas eu ?
-Deux
Clac, ma main s'abat sur ses fesses
-Aïe, mais ça va pas!
Clac, la fessée suivante.
-La réponse n'est pas correcte
-Deux, Monsieur le Professeur
Clac, clac : deux nouvelles fessées.
- Exacte. Et le poème que je vous ai demandé, où est-il ?
-Je ne l'ai pas écrit.
Clac
-Je ne l'ai pas écrit, Monsieur le Professeur
-Alors vous allez déjà compter le nombre de vers qu'il contient. Et cela sera une fessée par vers.
Clac
-Un
Clac.
-Et si vous ne comptez pas correctement on reprend au début. Comme maintenant.
Clac
-Un, Monsieur le professeur
Clac
-Deux, Monsieur le professeur
Clac, mais on dirait qu'elle tend les fesses comme pour réclamer la suite
-Trois, Monsieur le professeur
Et effectivement Christine tendant les fesses vers moi.
La punition continue ainsi heureusement le poème n'est pas trop long, je commence à avoir mal à la main à cause de son fichu short.
Clac
-Douze monsieur le professeur
Clac
-Treize, Monsieur le professeur.
-Il y a treize vers au poème, ne bouges pas reste à ta place. Réfléchis à la suite que tu veux donner à mes cours. Et puis ce short est immonde, indigne d'une femme.
J'ouvre le short en passant la main devant et lui baisse jusqu'aux chevilles. En me redressant, je m'aperçois qu'elle est nue sous le short.
-Tu mériterais double peine pour oser te promener sans culotte.
-Je ferai comme bon vous semblera Monsieur le Professeur
Et Christine recule ses fesses prête à subir une nouvelle fessée. Mais ses fesses sont déjà rouge alors je lui épargne ce qu'elle demande.
-Et ton chemisier est tout aussi indécent.
Je le saisis des deux côtés du col et tire dessus. Les boutons cèdent et je lui arrache sa chemise. La voilà entièrement nue.
-Maintenant, que tu ressembles plus à une petite fille qu'à une femme, je veux que tu m'appelle désormais Maître car vu ton niveau c'est plus les leçons de primaire qu'il te faut que de lycée. Tu retournes à l'école. Es-tu d'accord Christine ?
-Oui... Maitre.
-Viens t'assoir au bureau.
Je la vois s'avancer nue dans le bureau; c'est un régal de voir ses fesses rouge balancer devant mes yeux. Elle s'assoit droite, fière les seins en avant avec les pointes dressées. Elle a pris du plaisir on dirait.
-Prends une feuille et un stylo et écris.
-Une phrase commence par une majuscule et finit par un point. Je n'oublierai plus cette règle Maitre.
-Je serai toujours habillée comme une femme avec une jupe et un chemisier non transparent avec des dessous, sauf contre ordre de mon Maitre.
-Tu vois Christine, tu arrives à écrire sans faute, signe et prends cette feuille. Tu peux rentrez chez toi. Tu reviens samedi à la même heure.
-Bien Maître.
Christine se lève et va au coin où j'ai ôté ses vêtements pour les prendre.
-Non Christine, ces habilles ne sont plus pour toi.
-Mais je ne peux pas rentrer nue ?
-Pardon ?
-Maître, dois-je rentrer nue ?
-Je suis magnanime, tu peux mettre ta veste et tes baskets mais si tu reviens avec tu rentreras pieds nus et les fesses bien plus rouge qu'aujourd'hui.
-Merci Maître.
Je suis Christine dans le couloir et admire sa plastique, elle est vraiment superbe. Elle se chausse puis met sa veste.
-Au revoir Maître, à samedi.
Et elle ouvre la porte et s'en va.
Les mails pendant la semaine :
Pierre :
Christine,
J'ai vu ton problème avec le français mais aussi avec ton souci de retenir et appliquer des règles alors pour chaque faute que tu fais, je vais t expliquer la règle et un moyen si possible pour la retenir. Quand tu me diras que tu as compris une leçon, je la considérais comme acquise et dons les futures fautes seront punies.
Première règle : sa ou ça
Quand dans une phrase tu peux remplacer sa par cela alors il faut écrire ça. Le sa est en principe, uniquement devant un nom. Exemple sa fesse ou ça fait rougir les fesses.
Ton Maitre
Christine :
a oui merci maitre
Pierre :
Christine
On dirait que tu cherches les punitions.
Ancienne règle, je la mets en règle 2: une phrase commence par une majuscule et finie par point.
Tu aurais dû écrire :
Ah oui, merci Maître
Autre faute le i de Maître s'écrit î car cela vient du latin maistro et le français a réduit le is par un î.
Ton Maître
Troisième leçon :
La sonnette retentit, j'ouvre la porte à Christine.
Elle est dans une robe bleue près du corps qui met en valeur ses formes et de bottes à petits talons. Un maquillage léger met en valeur ses yeux et sa bouche.
Nous allons dans le bureau et je lui demande de rester au milieu de la pièce.
-Christine, ça va mieux comme tenue par rapport à la semaine dernière
-Merci Maître
Je tourne autour d'elle afin de mieux regarder sa tenue.
-Au fait, quand j'ai dit 'ça va mieux' le 'sa' doit s'écrire comment ?
-S A Maître.
Clac, une fessée retentit sur le bas de la robe
-Aïe
-Non Christine, dans ma règle je t'ai dit que si tu peux remplacer par cela c'est avec un ç et donc ça, CA.
Re Clac
-Aïe Maître.
Clac
-Non, merci Maître de m'aider à mieux écrire.
-Merci Maître de m'aider à mieux écrire.
-Alors Christine, aujourd'hui pour mieux apprendre cette règle, je vais te parler à la 3ème personne. Donc je ne dirai pas 'ta robe' mais 'sa robe'. Tu devrais me dire à chaque fois si cela s'écrit avec un s ou un c. Donc dans le cas présent, tu devrais me répondre : 'sa robe avec un s'.
-Oui Maître.
-Ca te convient-il ?
-Oui Maître.
J'attends quelques secondes.
Clac, une nouvelle fois ma main s'abat sur tes fesses.
-Tu me dois une réponse Christine.
- S : Maître
-Faux, tu peux dire cela donc un c
Une nouvelle fessée s'abat sur tes fesses.
-Sa robe va en plus remonter à chaque erreur de sa part, ça sera pour mieux t'aider à comprendre. Il me faut 3 réponses Christine. Réfléchis bien avant de répondre.
Après quelques instants de réflexion Christine me répond :
-Sa robe avec un S. Sa part avec un C et ça sera avec un C
Je saisis sa robe et la remonte juste sous les fesses et j'en profite pour fesser chacune de ses fesses.
-Une fois pour le Maître manquant et une fois car sa part s'écrit avec un S
-Merci Maître.
-Pour compléter cette leçon, non allons aussi parler du pluriel. Car on parlera de sa fessée que tu recevras sur ses fesses ; et comme ceux sont les tiennes ça s'écrit avec un S.
-Bien Maître, sa fessée avec un S
-Crois tu que si ses fesses sont nues tu apprendras mieux et que ça aiderait pour ses leçons ?
-Ses fesses avec un S et ça aiderait avec un C, Maître
Je remonte la robe et dévoile ses fesses. Un petit string bleu sépare les deux globes. Ma main s'abat sur une fesse en laissant une marque rose.
-Il manque leçon
-Leçon avec un C Maître.
-Faux, avec un S
Et ma main frappe l'autre fesse. Les deux prennent la même couleur.
-Ecartes ses jambes et tiens toi au bureau, ça sera plus pratique pour tes punissions.
Tu obéis en cabrant les fesses. J'admire tes fesses rosies par mes fesses et tes jambes gainées de noir. Tu me fais bander, heureusement que tu ne peux le voir.
-S pour ses jambes et C pour sera, Maître
-Bien Christine, tu commences à retenir la leçon
Et comme récompense, je te caresse les fesses ma main passe entre tes globes à la rencontre de ton intimité. Qu'elle n'est pas ma surprise, en découvrant ta culotte trempée.
-Mais tu n'as pas honte de te promener avec une culotte sale et trempée comme ça ? Tu mérites double punition pour oser te présenter ainsi devant moi !
-Pardon Maître.
Deux fessées font rebondir tes fesses.
Tu as oublié de me dire comment s'écrit ça ?
-Un S Maître un S
-Faux. Donne-moi les ciseaux qui sont sur le bureau, que j'ôte sa culotte à la cochonne que tu es !
Tu me les tends et d'un geste sûr je coupe le bout du string de chaque côté de tes hanches. Il tombe à terre.
-Comptes jusqu'à 4, 2 pour t'être trompée et 2 pour avoir oublié de me dire comment s'écrire sa culotte
Clac
-Un Maître
Je continue
-Deux Maître...trois Maître Quatre Maître.
Je regarde tes fesses maintenant rouges mais ce qui m'excite le plus, c'est de voir ton sexe luisant de cyprine. Je ne peux me retenir, j'ouvre mon pantalon pour me caresser. Le silence règne dans la pièce. Puis je vois une goutte de plaisir tomber au sol.
-Mais tu es plus cochonne que je ne le pensais. Tu oses tâcher mon sol ! Tu vas compter les 20 fessées que tu mérites. Et si jamais tu tâches à nouveau mon parquet je reprends à 1.
-Oui Maître, punissez moi.
Tu comptes au rythme où je te fesse mais aussi que je me branle. Arriver à 11, je vois une nouvelle goutte tomber.
-Recommence à 1
Docile, tu reprends au début, mais cette fois huit, ton sexe libère plusieurs gouttes et tu gémis sous mes coups
Je passe ma main sur tes petites lèvres, elle en revient trempée.
-Mais tu vas jouir ?
-Oui Maître, Puis-je me caresser ?
-Non tu ne jouiras que si je te le permets.
Ma punition redouble de force et d'intensité, tes râles également. Je suis aussi au bord de la jouissance. Alors je jouis sur tes fesses de longues trainés de sperme s'y répandent. D'une main j'étale ma jouissance sur tes fesses, de l'autre je viens te caresser
-Jouis maintenant dans ma main Christine.
J'introduits deux doigts dans ta chatte trempée et quelques vas-et-viens suffisent à te faire jouir à ton tour dans un grand cri. J'ai la main pleine de ta cyprine.
Je te baisse ta robe et te laissant couverte de nos jouissances. Puis me rhabille également.
-Merci Maître.
Remis de nos émotions, je te raccompagne à la porte
-A la semaine prochaine Christine
-Oui Maître
Et tu repars avec un grand sourire et sans culotte.
Donc par avance, excusez nous pour les fautes de français, j'en ai sûrement aussi commises.
-Bonjour Christine, veuillez vous assoir. Je souhaite voir avec vous votre évolution au sein de notre société.
-Oui Monsieur le directeur.
-Cela fait un moment que vous faites partie de la société et vous faites entièrement satisfaction pour la gestion du stock.
-Merci Monsieur
-Cependant concernant la gestion des devis, j'ai un souci et si je veux vous confier plus de responsabilités. Il va falloir vous améliorer.
-Bien, Monsieur le Directeur, je suis honorée de votre confiance. Et je suis prête à faire les efforts nécessaires.
-Christine, je crois que vous en êtes capable mais il y aura beaucoup de travail. Votre souci et le mien également par la même occasion est votre niveau de français. Il n'y a pas un devis que vous faites qui n'est pas sans un nombre important de fautes d'orthographe et de grammaire. Si vous voulez progresser, il faut absolument faire des efforts à ce niveau.
-Je suis consciente de mes faiblesses à ce niveau et j'ai repris l'an dernier des cours du soir afin de m'améliorer mais hélas sans résultat. Mais je suis prête à faire ce qu'il faut.
-Je ne savais pas pour vos cours du soir Christine et cela vous honore. Je suis prêt vous payer des cours particuliers si vous le souhaitez.
-Monsieur le Directeur, je vous remercie de votre proposition mais hélas, je crois que j'ai une aversion envers le français. Il faudrait vraiment une méthode particulière pour que j'y arrive.
-Christine, j'ai un ami qui était professeur et qui donne des cours particuliers qui pourrait peut-être vous aider.
-Je suis prête à tout essayer Monsieur le Directeur.
-Alors je vais l'appeler de suite.
-Allo Pierre
-...
-J'ai une employée qui aurait besoin de cours de français afin que je puisse la faire évoluer dans notre société.
-...
-Pierre, le prix n'est pas un souci c'est la société qui prendra en charge les cours.
-....
-Christine, Pierre souhaite vous parler.
-Bonjour Madame. Votre directeur m'a parlé de vos soucis de français. Je suis prêt à vous donner des cours mais à la condition que vous êtes prête à faire tous les efforts nécessaires.
-Bonjour Monsieur, comme je l'ai dit à Monsieur le Directeur, j'y suis prête. Ce n'est pas Madame mais Mademoiselle.
-Alors Mademoiselle, je vous attends après demain soir à 19h chez moi. D'ici là écrivez 2 pages pour expliquer vos motivations. A bientôt.
-Christine, je crois que tout est entre vos mains.
-Merci Monsieur le Directeur.
Voici le mail que Christine m’a envoyé :
bonjour monsieur Pierre
il ne va pas être simple pour moi de vous expliquer mes motivations (et en bon français)
voila je pense que j'ai besoin de vous et de vos connaissances pour progresser en grammaire au sein de la société
je suie prête a faire ce qu'il faut pour cela mais sa m'est difficile en français et je pense qu'il me faudra une méthode bien particulière
et encore merci a vous
je serais la comme convenu a 19H00
La sonnette résonne et je vais ouvrir.
Une jeune femme est devant la porte en pantalon, veste et basquets.
-Bonjour Mademoiselle
-Bonjour Monsieur Pierre, je suis Christine.
-Entrez et donner-moi votre veste.
Je l'accroche et constate qu'elle porte un chemisier blanc dessous.
-Veuillez me suivre s'il vous plait.
J'emmène Christine dans mon bureau, je m'installe et demande :
-Mademoiselle, donnez moi le courrier que je vous ai demandé.
Christine ouvre son sac à main et me tend une feuille pliée en 4, je m'en saisis avec une mine sévère. J'observe Christine un moment en la détaillant de la tête aux pieds : Des cheveux noir en chignon, un visage agréable pas maquillé, un chemisier ample qui cache sa poitrine tout comme son pantalon informe et pour finir des basquettes. Rien de bien féminin.
Je prends enfin la feuille et la déplies. Je lis son texte et constate effectivement l'ampleur des dégâts : Pas une ligne sans fautes ou presque. Il va falloir un traitement de choc pour la faire progresser. C'est que son directeur mon ami Jacques m'a prévenu et m'a donné carte blanche ans ce sens. On va voir comment elle va réagir.
-Bien Mademoiselle !
Suivi d'un long silence, je la regarde dans les yeux. Elle se tortille sur place ne sachant trop quoi faire. J'attends une réponse de sa part qui tarde un peu à venir.
-Oui Monsieur Pierre ?
C'est le moment que je choisis d'attaquer.
-Ecoutez-moi bien sans m'interrompre !
-Voici mes conditions pour essayer de vous faire progresser.
-La ponctualité est de rigueur : Quand je dis 19h, ce n'est pas 19h05 mon temps est précieux et l'on ne me paye pas pour ne rien faire.
-Ne m'appeler plus Monsieur Pierre, cela fait proxénète : Vous m'appellerez soir Monsieur le Professeur ou Maître.
-Vous souhaitez que je vous appelle Mademoiselle, soit mais alors habillez vous comme il se doit dans une tenue qui sied à ce que vous êtes et souhaitez devenir : Une femme qui veut être remarquée pour pouvoir progresser dans la vie et dans le travail.
-Quand je demande un devoir écrit, ce n'est pas un chiffon comme celui-ci que je veux mais une feuille non pliée ou à la rigueur dans une enveloppe large plié en 3.
-Quand je demande 2 pages, c'est deux pages pas la moitié en encore je suis généreux.
-Je suis quelqu'un de juste mais aussi de sévère voir très sévère en cas de manquement aux règles que je fixe et je punirai à sa juste mesure vos écarts.
-Les rendez-vous que je vous donnerai son hors de vos horaires de travail et je ne tolèrerai aucune discussion à ce sujet mon temps étant précieux.
-Sommes nous d'accord sur ces premiers points ?
-Oui Monsieur P, pardon Oui Monsieur le Professeur.
-Je vois que vous commencez à comprendre. Voici ma carte, vous y trouverez mon adresse mail afin de m'envoyer une nouvelle version de ce torchon. Pour rappel : Une phrase, un paragraphe commence toujours par une majuscule et finit par un point. J'ai demandé 2 pages comme vous avez 2 yeux, 2 mains ou deux fesses. Alors j'espère que la prochaine version sera meilleure. Je l'attends jeudi soir au plus tard. Mais avant cela dès que vous serez chez vous, vous me ferez un mail pour me dire que vous êtes d'accord de suivre mon enseignement et de subir les punitions en cas de manquement de votre part. Je vous enverrai un texte audio en dictée que vous retranscrirai pour notre prochain rendez-vous qui sera Samedi à 14h.
-Avez-vous des questions ?
-Non Monsieur le Professeur.
-Dans ce cas, je vous raccompagne.
Dans l'entrée, je lui tends sa veste et je lui ouvre la porte.
-J'ai juste une question ?
Je referme la porte en la claquant. Christine me regarde surprise, puis reformule sa question, elle a compris.
-Monsieur le Professeur, le cours de samedi durera combien de temps ?
-Le temps que vous appreniez à formuler correctement une question peut-être... Cela dépendra de mon bon vouloir.
-Au revoir Mademoiselle.
Et j'ouvre à nouveau la porte pour laisser Christine partir.
Voici l’échange de mail que nous avons eu avant le prochain rendez-vous.
Pierre :
Bonjour Christine,
Tu trouveras ci-joint ta première dictée.
Il me serait agréable en plus de la dictée que tu me dises ce que tu as compris de ce poème.
Votre Professeur ou Maître
PS: Merci de me confirmer la bonne réception du fichier et que tu arrives à l’écouter.
A samedi.
Christine :
merci professeur de votre texte que j'ai il faut bien le dire du mal a comprendre
mais je pense si je peut vous dire ca que sa me semble sexuelle ?
Pierre :
Christine,
Nous discuterons plus en avant de ce poème samedi quand je lirai votre transcription.
Mais je tiens dès à présent à vous mettre en garde car mon courroux est en forte progression et vous devriez être rouge de honte devant le nombre de fautes que vous faites.
Trouver le moyen d'apaiser ma colère en écrivant mieux ou de la manière qui vous semble approprier ou ce ne sera pas que vos joues qui risquent de rougir samedi.
Votre Professeur ou Maître
Christine :
bien comprise professeur
Le samedi :
13h58 la sonnette retentit.
Cette fois, elle semble à l'heure. Je vais ouvrir.
-Bonjour Monsieur le Professeur.
L'entrée est respectueuse comme demandé, un bon point. Avant de la faire entrer je la regarde : Une veste fermée élégante qui lui va juste au-dessus des genoux et des baskets.
Je la fais entrer. Après avoir fermé la porte, j'annonce de suite la couleur.
-J'ai demandé une tenue appropriée, les baskets ne font pas partie d'une tenue d'une jeune femme qui veut avoir des responsabilités c'est des chaussures avec des talons de 8cm au minimum. Vous corrigerez cela pour la prochaine fois.
-Oui Professeur
-Otez les ainsi que votre manteau et venez me rejoindre dans mon bureau.
Je vais m'assoir à mon bureau pour vérifier une dernière fois que je n'ai effectivement pas eu d'autre mail de Christine hormis celui où elle parlait légèrement du poème. Il va falloir que je la punisse pour ne pas dire la mater pour arriver à faire quelque chose d'elle. J'avais fermé la porte, elle toque ; au moins ça. Je prends une bonne inspiration.
-Entrez Christine
Et là, je n'en crois pas mes yeux : Christine entre avec un short au ras de la touffe comme on dit et un haut transparent qui laisse deviner ses seins libres sous le chemisier. Un appel au viol ou presque, mon sexe fait un bon dans mon pantalon. Vite il faut que je réagisse avant qu'elle s'aperçoit de ma réaction.
Je cris presque :
-C'est totalement intolérable comme tenue Christine. Mettez vous au coin la tête contre le mur que je ne vous vois plus et ne vous entende pas le temps que je décide quoi faire de vous.
Et je lui indique là où elle doit aller.
Que faire de cette femme effrontée mais bigrement sexy.
-Posez vos mains sur le mur au-dessus de votre tête.
Je viens derrière elle, puis lui demande :
-Combien de pages vous ai-je demandé concernant vos motivations, que je n'ai pas eu ?
-Deux
Clac, ma main s'abat sur ses fesses
-Aïe, mais ça va pas!
Clac, la fessée suivante.
-La réponse n'est pas correcte
-Deux, Monsieur le Professeur
Clac, clac : deux nouvelles fessées.
- Exacte. Et le poème que je vous ai demandé, où est-il ?
-Je ne l'ai pas écrit.
Clac
-Je ne l'ai pas écrit, Monsieur le Professeur
-Alors vous allez déjà compter le nombre de vers qu'il contient. Et cela sera une fessée par vers.
Clac
-Un
Clac.
-Et si vous ne comptez pas correctement on reprend au début. Comme maintenant.
Clac
-Un, Monsieur le professeur
Clac
-Deux, Monsieur le professeur
Clac, mais on dirait qu'elle tend les fesses comme pour réclamer la suite
-Trois, Monsieur le professeur
Et effectivement Christine tendant les fesses vers moi.
La punition continue ainsi heureusement le poème n'est pas trop long, je commence à avoir mal à la main à cause de son fichu short.
Clac
-Douze monsieur le professeur
Clac
-Treize, Monsieur le professeur.
-Il y a treize vers au poème, ne bouges pas reste à ta place. Réfléchis à la suite que tu veux donner à mes cours. Et puis ce short est immonde, indigne d'une femme.
J'ouvre le short en passant la main devant et lui baisse jusqu'aux chevilles. En me redressant, je m'aperçois qu'elle est nue sous le short.
-Tu mériterais double peine pour oser te promener sans culotte.
-Je ferai comme bon vous semblera Monsieur le Professeur
Et Christine recule ses fesses prête à subir une nouvelle fessée. Mais ses fesses sont déjà rouge alors je lui épargne ce qu'elle demande.
-Et ton chemisier est tout aussi indécent.
Je le saisis des deux côtés du col et tire dessus. Les boutons cèdent et je lui arrache sa chemise. La voilà entièrement nue.
-Maintenant, que tu ressembles plus à une petite fille qu'à une femme, je veux que tu m'appelle désormais Maître car vu ton niveau c'est plus les leçons de primaire qu'il te faut que de lycée. Tu retournes à l'école. Es-tu d'accord Christine ?
-Oui... Maitre.
-Viens t'assoir au bureau.
Je la vois s'avancer nue dans le bureau; c'est un régal de voir ses fesses rouge balancer devant mes yeux. Elle s'assoit droite, fière les seins en avant avec les pointes dressées. Elle a pris du plaisir on dirait.
-Prends une feuille et un stylo et écris.
-Une phrase commence par une majuscule et finit par un point. Je n'oublierai plus cette règle Maitre.
-Je serai toujours habillée comme une femme avec une jupe et un chemisier non transparent avec des dessous, sauf contre ordre de mon Maitre.
-Tu vois Christine, tu arrives à écrire sans faute, signe et prends cette feuille. Tu peux rentrez chez toi. Tu reviens samedi à la même heure.
-Bien Maître.
Christine se lève et va au coin où j'ai ôté ses vêtements pour les prendre.
-Non Christine, ces habilles ne sont plus pour toi.
-Mais je ne peux pas rentrer nue ?
-Pardon ?
-Maître, dois-je rentrer nue ?
-Je suis magnanime, tu peux mettre ta veste et tes baskets mais si tu reviens avec tu rentreras pieds nus et les fesses bien plus rouge qu'aujourd'hui.
-Merci Maître.
Je suis Christine dans le couloir et admire sa plastique, elle est vraiment superbe. Elle se chausse puis met sa veste.
-Au revoir Maître, à samedi.
Et elle ouvre la porte et s'en va.
Les mails pendant la semaine :
Pierre :
Christine,
J'ai vu ton problème avec le français mais aussi avec ton souci de retenir et appliquer des règles alors pour chaque faute que tu fais, je vais t expliquer la règle et un moyen si possible pour la retenir. Quand tu me diras que tu as compris une leçon, je la considérais comme acquise et dons les futures fautes seront punies.
Première règle : sa ou ça
Quand dans une phrase tu peux remplacer sa par cela alors il faut écrire ça. Le sa est en principe, uniquement devant un nom. Exemple sa fesse ou ça fait rougir les fesses.
Ton Maitre
Christine :
a oui merci maitre
Pierre :
Christine
On dirait que tu cherches les punitions.
Ancienne règle, je la mets en règle 2: une phrase commence par une majuscule et finie par point.
Tu aurais dû écrire :
Ah oui, merci Maître
Autre faute le i de Maître s'écrit î car cela vient du latin maistro et le français a réduit le is par un î.
Ton Maître
Troisième leçon :
La sonnette retentit, j'ouvre la porte à Christine.
Elle est dans une robe bleue près du corps qui met en valeur ses formes et de bottes à petits talons. Un maquillage léger met en valeur ses yeux et sa bouche.
Nous allons dans le bureau et je lui demande de rester au milieu de la pièce.
-Christine, ça va mieux comme tenue par rapport à la semaine dernière
-Merci Maître
Je tourne autour d'elle afin de mieux regarder sa tenue.
-Au fait, quand j'ai dit 'ça va mieux' le 'sa' doit s'écrire comment ?
-S A Maître.
Clac, une fessée retentit sur le bas de la robe
-Aïe
-Non Christine, dans ma règle je t'ai dit que si tu peux remplacer par cela c'est avec un ç et donc ça, CA.
Re Clac
-Aïe Maître.
Clac
-Non, merci Maître de m'aider à mieux écrire.
-Merci Maître de m'aider à mieux écrire.
-Alors Christine, aujourd'hui pour mieux apprendre cette règle, je vais te parler à la 3ème personne. Donc je ne dirai pas 'ta robe' mais 'sa robe'. Tu devrais me dire à chaque fois si cela s'écrit avec un s ou un c. Donc dans le cas présent, tu devrais me répondre : 'sa robe avec un s'.
-Oui Maître.
-Ca te convient-il ?
-Oui Maître.
J'attends quelques secondes.
Clac, une nouvelle fois ma main s'abat sur tes fesses.
-Tu me dois une réponse Christine.
- S : Maître
-Faux, tu peux dire cela donc un c
Une nouvelle fessée s'abat sur tes fesses.
-Sa robe va en plus remonter à chaque erreur de sa part, ça sera pour mieux t'aider à comprendre. Il me faut 3 réponses Christine. Réfléchis bien avant de répondre.
Après quelques instants de réflexion Christine me répond :
-Sa robe avec un S. Sa part avec un C et ça sera avec un C
Je saisis sa robe et la remonte juste sous les fesses et j'en profite pour fesser chacune de ses fesses.
-Une fois pour le Maître manquant et une fois car sa part s'écrit avec un S
-Merci Maître.
-Pour compléter cette leçon, non allons aussi parler du pluriel. Car on parlera de sa fessée que tu recevras sur ses fesses ; et comme ceux sont les tiennes ça s'écrit avec un S.
-Bien Maître, sa fessée avec un S
-Crois tu que si ses fesses sont nues tu apprendras mieux et que ça aiderait pour ses leçons ?
-Ses fesses avec un S et ça aiderait avec un C, Maître
Je remonte la robe et dévoile ses fesses. Un petit string bleu sépare les deux globes. Ma main s'abat sur une fesse en laissant une marque rose.
-Il manque leçon
-Leçon avec un C Maître.
-Faux, avec un S
Et ma main frappe l'autre fesse. Les deux prennent la même couleur.
-Ecartes ses jambes et tiens toi au bureau, ça sera plus pratique pour tes punissions.
Tu obéis en cabrant les fesses. J'admire tes fesses rosies par mes fesses et tes jambes gainées de noir. Tu me fais bander, heureusement que tu ne peux le voir.
-S pour ses jambes et C pour sera, Maître
-Bien Christine, tu commences à retenir la leçon
Et comme récompense, je te caresse les fesses ma main passe entre tes globes à la rencontre de ton intimité. Qu'elle n'est pas ma surprise, en découvrant ta culotte trempée.
-Mais tu n'as pas honte de te promener avec une culotte sale et trempée comme ça ? Tu mérites double punition pour oser te présenter ainsi devant moi !
-Pardon Maître.
Deux fessées font rebondir tes fesses.
Tu as oublié de me dire comment s'écrit ça ?
-Un S Maître un S
-Faux. Donne-moi les ciseaux qui sont sur le bureau, que j'ôte sa culotte à la cochonne que tu es !
Tu me les tends et d'un geste sûr je coupe le bout du string de chaque côté de tes hanches. Il tombe à terre.
-Comptes jusqu'à 4, 2 pour t'être trompée et 2 pour avoir oublié de me dire comment s'écrire sa culotte
Clac
-Un Maître
Je continue
-Deux Maître...trois Maître Quatre Maître.
Je regarde tes fesses maintenant rouges mais ce qui m'excite le plus, c'est de voir ton sexe luisant de cyprine. Je ne peux me retenir, j'ouvre mon pantalon pour me caresser. Le silence règne dans la pièce. Puis je vois une goutte de plaisir tomber au sol.
-Mais tu es plus cochonne que je ne le pensais. Tu oses tâcher mon sol ! Tu vas compter les 20 fessées que tu mérites. Et si jamais tu tâches à nouveau mon parquet je reprends à 1.
-Oui Maître, punissez moi.
Tu comptes au rythme où je te fesse mais aussi que je me branle. Arriver à 11, je vois une nouvelle goutte tomber.
-Recommence à 1
Docile, tu reprends au début, mais cette fois huit, ton sexe libère plusieurs gouttes et tu gémis sous mes coups
Je passe ma main sur tes petites lèvres, elle en revient trempée.
-Mais tu vas jouir ?
-Oui Maître, Puis-je me caresser ?
-Non tu ne jouiras que si je te le permets.
Ma punition redouble de force et d'intensité, tes râles également. Je suis aussi au bord de la jouissance. Alors je jouis sur tes fesses de longues trainés de sperme s'y répandent. D'une main j'étale ma jouissance sur tes fesses, de l'autre je viens te caresser
-Jouis maintenant dans ma main Christine.
J'introduits deux doigts dans ta chatte trempée et quelques vas-et-viens suffisent à te faire jouir à ton tour dans un grand cri. J'ai la main pleine de ta cyprine.
Je te baisse ta robe et te laissant couverte de nos jouissances. Puis me rhabille également.
-Merci Maître.
Remis de nos émotions, je te raccompagne à la porte
-A la semaine prochaine Christine
-Oui Maître
Et tu repars avec un grand sourire et sans culotte.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Original et bien écrit !
Moi aussi j'aime ça.
Je voulais bien sûr parler des textes de Piewy, auteur talentueux et qui me fait le plaisir
de lire et commenter mes textes
Je voulais bien sûr parler des textes de Piewy, auteur talentueux et qui me fait le plaisir
de lire et commenter mes textes
Ce nouvel auteur continue et il a bien raison. Qu'il ne s'arrête pas !
Tant de fautes de français pour un professeur supposé, c'en est risible !
Et je ne parle pas des fautes de la pseudo-élève.
Et je ne parle pas des fautes de la pseudo-élève.
Bien écrit! Super!