Chronique luxuriante
Récit érotique écrit par Beedoo2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Chronique luxuriante
Divorcé.
Voilà ce qui me définit le mieux aujourd’hui.
Quinqua aussi. Mais ça c’est un détail arithmétique.
Donc je suis un quinqua, papa, qui a la garde exclusive de sa fille, et qui a encore un paquet de belles choses à vivre. N’est-ce pas ? Alors, je reprends quelques activités sociales, je maintiens ma forme (à peu près) et ma santé. Je cuisine aussi.
Et je hante certains sites de rencontres, au cas où. On ne peut pas dire que je suis un dragueur hors pair, loin de là, alors, je travaille pour m’améliorer.
Mais franchement, dans ce domaine, on tombe parfois sur des aventures, des personnes, des histoires pour le moins uniques et originales. Et là, je n’y ai pas cru tout de suite. À vrai dire, je reste à me demander si c’était bien réel. Allongé dans mon lit, le souffle légèrement accéléré par un coït intense qui s’est terminé il y a peu. Et à côté de moi, celle qui me confirme que c’est bien réel est encore assoupie. Nue. Moi aussi. On vient de s’envoyer en l’air, et à l’issue de ce coït intense on s’est assoupis l’un à côté de l’autre. Je vais bientôt descendre nous préparer un petit déjeuner mérité.
On se connaît depuis des mois, mais l’étincelle c’était clairement hier. Un regard, quelques gestes, des mots, et, un pu plus tard, une fois seuls, tout s’enflamme, s’embrase et la chaleur devient nuit chaude.
Que s’est-il donc passé ?
Elle a vingt-trois ans et s’est faite larguer par son copain avant-hier. J’ai cinquante et un an et divorcé. On s’est trouvé à notre entrainement sportif hebdomadaire et, alors que de coutume on parme en tant qu’équipiers, au mieux, adversaires sinon, hier on a été un tout petit peu plus loin, au club. Et après, je lui ai proposé de la ramener, après que l’on ait eu une complicité plus efficace, plus ensemble que d’habitude. Et elle m’a demandé de la ramener, mais pas chez son copain. Et m’a embrassé. En ajoutant « même si ce n’est que pour une nuit ».
Je l’ai ramenée chez moi, lui ai proposé un diner léger, on a discuté, puis on est arrivés au moment d’aller se coucher. Elle a été cash. « Je ne veux pas me coucher, je veux coucher ! ». J’ai simplement répondu « Je veux bien ».
C’est à ce moment que tout a pris feu...
Je l’ai emmenée dans ma chambre en dessous, l’ai débarrassée de ses vêtements au fur et à mesure qu’elle ôtait les miens, et nous avons filé nus comme des vers à la douche retour de sport oblige. C’était l’excuse de se trouver à explorer les courbes nues, luisantes, et encore inconnues, de l’autre, de commencer à se caresser. Le savonnage a été excitant comme il l’est rarement, je l’ai vue insister pour gentiment nettoyer du gel douche aromatisé ma verge qui se tendait, je lui ai bien entendu rendu la pareille en caressant doucement son pubis d’une main savonnée, glissant occasionnellement un doigt à l’entrée, avant de se rincer avec application. Puis nous avons couru au lit où il ne nous a pas fallu plus d’une minute pour que mon pénis fût habillé d’un préservatif et qu’elle m’enfourche illico. D’habitude j’aime les préliminaires, mais ce coup-là c’était immédiat, spontané, excité, explosif !
C’est alors qu’elle glissait avec facilité autour de mon pieu qu’elle a voulu reprendre le début, et s’est étendue en soixante-neuf. Elle a sucé la capote avec habileté, gémissant quand ma langue a commencé à lui rendre la pareille. On s’est dévorés de bonnes minutes, et c’est quand nous avons commencé à gémir avec une intensité qui laissait entendre que ça allait vite venir que j’ai repris les choses et ses hanches en main pour finir en levrette. J’ai joui sur son « Ouiiiiii ! ». Elle aussi.
On s’est alors allongés côte à côte et on a gentiment discuté. De nos ex, de ce qu’ils faisaient de sympa et ce qu’on leur regrettait et que l’on trouvait, là, ce soir. Aucune méchanceté, aucun reproche, juste des regrets. Et une envie de ne pas regretter sexuellement plus que cela.
Ça nous a boostés. Elle a souri quand de nouveau elle a vu ma queue bander. Elle a alors pris une capote, non plus de ma boite, mais une de celles qu’elle a sorti de son sac de sport. « On se prenait parfois à peine rentrés, alors j’avais ce qu’il fallait ».
Rempli d’énergie par l’idée que j’utilisais des ressources prévues pour son ex, j’ai alors entrepris de la pénétrer en missionnaire, doucement, lui offrant la sensation de cette lente pénétration qu’elle pouvait mesurer de ses lèvres, centimètre après centimètre, et elle mouillait tant que la glisse était sans effort. Puis j’ai commencé à la limer, à aller et venir, assez lentement d’abord, puis le rythme s’est accéléré avec nos respirations. Le son de nos gémissements aussi. Sa petite voix toute douce m’excitait tant. On a glissé, moi dans elle, en ahanant dans une sonorité manifestement stupréfiante, je dirais. Ses frissons, devenus gémissements, sont devenus des cris, des « Baise-moi ! », des « Vas-y enfonce ! », voire des « J’aime ça, lime-moi ce con ! ». J’étais surexcité !
Je n’avais pourtant rien vu… Elle m’a stupéfait quand elle m’a ordonné :
« Encule-moi ! »
Je ne me suis pas fait prier. Mais je n’ai pas vraiment pu le faire longtemps, le préservatif s’est vite trouvé inondé de sperme !
Elle m’a alors laissé m’allonger, exténué, s’est lovée tout contre moi et m’a embrassé, pendant qu’elle retirait délicatement la capote pleine. Elle a embrassé le bout pour s’assurer que rien ne serait souillé, est allée jeter la capote usagée dans la poubelle et est revenue contre moi. Quelques instants plus tard, nous étions endormis.
Et là je viens de me réveiller, je l’admire, endormie, le sourire radieux d’une nuit sexuelle aux lèvres.
Voilà ce qui me définit le mieux aujourd’hui.
Quinqua aussi. Mais ça c’est un détail arithmétique.
Donc je suis un quinqua, papa, qui a la garde exclusive de sa fille, et qui a encore un paquet de belles choses à vivre. N’est-ce pas ? Alors, je reprends quelques activités sociales, je maintiens ma forme (à peu près) et ma santé. Je cuisine aussi.
Et je hante certains sites de rencontres, au cas où. On ne peut pas dire que je suis un dragueur hors pair, loin de là, alors, je travaille pour m’améliorer.
Mais franchement, dans ce domaine, on tombe parfois sur des aventures, des personnes, des histoires pour le moins uniques et originales. Et là, je n’y ai pas cru tout de suite. À vrai dire, je reste à me demander si c’était bien réel. Allongé dans mon lit, le souffle légèrement accéléré par un coït intense qui s’est terminé il y a peu. Et à côté de moi, celle qui me confirme que c’est bien réel est encore assoupie. Nue. Moi aussi. On vient de s’envoyer en l’air, et à l’issue de ce coït intense on s’est assoupis l’un à côté de l’autre. Je vais bientôt descendre nous préparer un petit déjeuner mérité.
On se connaît depuis des mois, mais l’étincelle c’était clairement hier. Un regard, quelques gestes, des mots, et, un pu plus tard, une fois seuls, tout s’enflamme, s’embrase et la chaleur devient nuit chaude.
Que s’est-il donc passé ?
Elle a vingt-trois ans et s’est faite larguer par son copain avant-hier. J’ai cinquante et un an et divorcé. On s’est trouvé à notre entrainement sportif hebdomadaire et, alors que de coutume on parme en tant qu’équipiers, au mieux, adversaires sinon, hier on a été un tout petit peu plus loin, au club. Et après, je lui ai proposé de la ramener, après que l’on ait eu une complicité plus efficace, plus ensemble que d’habitude. Et elle m’a demandé de la ramener, mais pas chez son copain. Et m’a embrassé. En ajoutant « même si ce n’est que pour une nuit ».
Je l’ai ramenée chez moi, lui ai proposé un diner léger, on a discuté, puis on est arrivés au moment d’aller se coucher. Elle a été cash. « Je ne veux pas me coucher, je veux coucher ! ». J’ai simplement répondu « Je veux bien ».
C’est à ce moment que tout a pris feu...
Je l’ai emmenée dans ma chambre en dessous, l’ai débarrassée de ses vêtements au fur et à mesure qu’elle ôtait les miens, et nous avons filé nus comme des vers à la douche retour de sport oblige. C’était l’excuse de se trouver à explorer les courbes nues, luisantes, et encore inconnues, de l’autre, de commencer à se caresser. Le savonnage a été excitant comme il l’est rarement, je l’ai vue insister pour gentiment nettoyer du gel douche aromatisé ma verge qui se tendait, je lui ai bien entendu rendu la pareille en caressant doucement son pubis d’une main savonnée, glissant occasionnellement un doigt à l’entrée, avant de se rincer avec application. Puis nous avons couru au lit où il ne nous a pas fallu plus d’une minute pour que mon pénis fût habillé d’un préservatif et qu’elle m’enfourche illico. D’habitude j’aime les préliminaires, mais ce coup-là c’était immédiat, spontané, excité, explosif !
C’est alors qu’elle glissait avec facilité autour de mon pieu qu’elle a voulu reprendre le début, et s’est étendue en soixante-neuf. Elle a sucé la capote avec habileté, gémissant quand ma langue a commencé à lui rendre la pareille. On s’est dévorés de bonnes minutes, et c’est quand nous avons commencé à gémir avec une intensité qui laissait entendre que ça allait vite venir que j’ai repris les choses et ses hanches en main pour finir en levrette. J’ai joui sur son « Ouiiiiii ! ». Elle aussi.
On s’est alors allongés côte à côte et on a gentiment discuté. De nos ex, de ce qu’ils faisaient de sympa et ce qu’on leur regrettait et que l’on trouvait, là, ce soir. Aucune méchanceté, aucun reproche, juste des regrets. Et une envie de ne pas regretter sexuellement plus que cela.
Ça nous a boostés. Elle a souri quand de nouveau elle a vu ma queue bander. Elle a alors pris une capote, non plus de ma boite, mais une de celles qu’elle a sorti de son sac de sport. « On se prenait parfois à peine rentrés, alors j’avais ce qu’il fallait ».
Rempli d’énergie par l’idée que j’utilisais des ressources prévues pour son ex, j’ai alors entrepris de la pénétrer en missionnaire, doucement, lui offrant la sensation de cette lente pénétration qu’elle pouvait mesurer de ses lèvres, centimètre après centimètre, et elle mouillait tant que la glisse était sans effort. Puis j’ai commencé à la limer, à aller et venir, assez lentement d’abord, puis le rythme s’est accéléré avec nos respirations. Le son de nos gémissements aussi. Sa petite voix toute douce m’excitait tant. On a glissé, moi dans elle, en ahanant dans une sonorité manifestement stupréfiante, je dirais. Ses frissons, devenus gémissements, sont devenus des cris, des « Baise-moi ! », des « Vas-y enfonce ! », voire des « J’aime ça, lime-moi ce con ! ». J’étais surexcité !
Je n’avais pourtant rien vu… Elle m’a stupéfait quand elle m’a ordonné :
« Encule-moi ! »
Je ne me suis pas fait prier. Mais je n’ai pas vraiment pu le faire longtemps, le préservatif s’est vite trouvé inondé de sperme !
Elle m’a alors laissé m’allonger, exténué, s’est lovée tout contre moi et m’a embrassé, pendant qu’elle retirait délicatement la capote pleine. Elle a embrassé le bout pour s’assurer que rien ne serait souillé, est allée jeter la capote usagée dans la poubelle et est revenue contre moi. Quelques instants plus tard, nous étions endormis.
Et là je viens de me réveiller, je l’admire, endormie, le sourire radieux d’une nuit sexuelle aux lèvres.
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Les avis des lecteurs
Une bien belle histoire excitante