Chute de Roller 2/4
Récit érotique écrit par Sexapile33 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 28 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 10.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Sexapile33 ont reçu un total de 428 873 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2010 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 8 026 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Chute de Roller 2/4
Elle posa ses doigts fins sur mon sexe et les laissa courir sur la longueur jusqu’à mon gland. Le contact chaud de ses doigts me fit contracter encore plus le sexe. Louise posa ses yeux sur mon sexe avec moins de honte ou moins de peur. Sa respiration semblait courte et saccadée. Je me mis en position assise en face de Louise. Elle était assise sur les genoux à terre sur le côté du canapé. Mon sexe était droit dressé vers le plafond. Je me penchais vers Louise et lui posa les mains sur les épaules.
- « Je te remercie pour les soins. Si tu veux autre chose, je serais vraiment ravi et honoré de te le donner, mais ça se prépare et je préfère, même si j’en ai super envie, qu’on se connaisse un peu plus. »
- « Oui » dit-elle dans un souffle comme un le dernier soupir avant le trépas.
Louise s’approcha de quelques millimètres sans vraiment s’en apercevoir. Sa bouche s’entrouvrit et je m’approchais pour l’embrasser. Louise ouvrit sa bouche au moment où la mienne pris contact. Elle poussa un gémissement au moment où nos lèvres se touchèrent. Sans attendre le moindre signal, nos langues se trouvèrent et jouèrent ensemble. Louise s’approcha de moi entre mes jambes et vint se coller à moi. Ses bras m’enlacèrent et notre baiser fut magnifique.
Deux ans pour moi et une bonne vingtaine d’années pour elle et voilà le résultat. Un baiser effréné avec tout le désir sexuel qui déborde de tout le corps. Dans un élan de lucidité, j’avais préféré indiquer que le mieux serait d’attendre, bla, bla, bla mais maintenant, j’en avais rien à foutre et mon esprit du bas avait pris possession de ma vie. La seule envie que j’avais était simple, faire l’amour à Louise.
Tout en l’embrassant, mes mains cherchaient frénétiquement la fermeture de sa robe. Rien !
Pas une fermeture éclair, pas un bouton, le mystère total. Le stress commençait à monter et je me demandais si on avait construit la robe directement sur Louise pour qu’il n’y ait aucun système de fermeture. J’avais envie de lui arracher la robe tellement elle m’excitait. Louise dû sentir mon incapacité à comprendre les vêtements féminin car elle s’écarta et fit glisser la fermeture éclair de sa robe… ah ! il y en avait une mais sur le côté !
Louise se mit debout et retira sa robe pour se montrer en sous-vêtement. Elle était purement superbe. Elle vint vers moi et nous sommes tombés sur le canapé enlacés en reprenant notre baiser. Le ventre de Louise se frottait contre le mien et mon sexe. Avec beaucoup plus d’aisance que pour la robe, je retirais l’agrafe du soutif et caressais le dos de Louise en descendant jusqu’à ses fesses. Je sentais Louise se crisper et se cambrer au gré de mes caresses. Mon désir était énorme mais le sien devait le surpasser car elle était déchaînée. Elle retira le soutif qu’elle envoya à l’autre bout de la pièce.
D’un coup, j'aperçus sa belle poitrine toute blanche. Elle avait du aller sur la plage car je voyait clairement la trace du soutien gorge qui dessinait à partir de son coup un léger trait clair qui s’étalait sur les seins pour protéger ses tétons. De jolis tétons, crispés et sombres sur la peau blanche de ses belles loches. Ses seins dansaient de manière très érotiques et je ne pouvais pas les lui attraper pour les lécher. La rondeur de sa poitrine me donnait des sueurs de désir et rien que de les regarder, j’avais un mal fou à contrôler mon excitation. Louise se frotta sur mon sexe et, d’un coup, elle se contorsionna pour retirer sa culotte qui prit la même direction que le soutif.
Dans un soupir plein d’impatience, elle me dit :
- « Ne me fait pas mal »
Elle me prit le sexe à pleine main pour le diriger entre ses lèvres trempées. Sa mise en garde ne me servit à rien car c’est elle qui me fit glisser en elle. Elle était tellement humide que mon sexe entra sans aucune contrainte. A chaque pénétration, mon sexe se glissait dans ce fourreau bouillant en faisant crier doucement Louise. Rapidement, elle se redressa et géra elle même mes visites. Elle était sur moi et redressée sur les bras. Une dizaine ou une vingtaine de coups au maximum avant que mon sperme s’éparpille en elle. Pratiquement dans le même instant, elle eut un orgasme qui fit monter d’une octave les cris qu’elle poussait. Ses seins pendaient devant moi en se balançant généreusement. En me redressant, j’arrivais à en attraper un pour sucer et lécher le téton contracté. L’orgasme passé, Louise s’écroula presque sur moi et nous sommes resté enlacés tous les deux, les sexes joints et le souffle court.
Après un moment de repos bien mérité, je demandais à Louise si elle allait bien. Elle m’embrassa sur la joue et me répondit qu’elle était heureuse. Elle se blotti contre moi et quand je lui demandais si elle avait froid, elle me dit qu’on serait mieux dans le lit.
- « Oui, pourquoi pas mais je suis bien en toi ! »
- « Oh oui, et tu as intérêt d’y rester » dit-elle en rigolant
- « Il ne nous reste plus qu’à y aller comme ça ! »
- « T’es fou ! Tu n’es pas assez blessé comme ça ! »
- « Blessé avec toi dans les bras, c’est pas une blessure…allez, on tente… »
Louise, tout en plaquant son sexe contre le mien, se redressa . Elle levait ses jambes en montrant sans aucune retenu sa toison. En me redressant, je regardais mon sexe disparaître dans le sien et je trouvais cela très beau. Après quelques efforts et acrobaties, je me retrouvais assis sur le bord du canapé avec Louise assise sur moi, les jambes m’enlaçant. Je ne débandais pas tellement Louise m’excitait et cela me permettait de rester en elle sans problème. Louise m’embrassa et me dit qu’elle m’aimait.
La sonnette de la porte tinta et nous eûmes ensemble un sursaut. Après ce moment de surprise, Louise me regarda et ria sans retenue. Je lui fis signe de faire moins de bruit mais elle continua à rire :
- « C’est les copines qui reviennent ! »
- « Ah ! Et qu’est-ce qu’on fait ? »
- « On continu ! »
- « Et qu’est-ce qu’on fait de tes copines ? »
- « Elle peuvent rester ici, elles sont lesbiennes. Ça te dérange ? »
- « Lesbiennes… c’est même plutôt excitant… »
- « Si ça t’aide à rester aussi fort, je les fais entrer tout de suite ! »
- « Tu rigoles ou non ? »
- « Non, jusqu’à encore une demi-heure, j’étais lesbienne mais maintenant, c’est toi que je veux »
- « Trois superbes filles lesbiennes et je fais l’amour à l’une d’elle. C’est un truc un peu dingue non ? »
- « Oui, mais c’est cool et j’adore » dit-elle en se secouant le bassin pour me faire bouger en elle.
La sonnette retendit pour la deuxième fois. Plus sérieusement, elle me demanda
- « Ça te gêne ? »
- « Quoi ? »
- « Si elles rentrent ! »
- « Ben, c’est que généralement, quand je fais l’amour à une femme, on est deux ! »
- « Ça ne t’excite pas d’être regardé par deux autres nanas ? »
- « Vous êtes toutes les trois magnifique et je risque d’avoir des envies envers elles aussi. »
- « Et bien, si elles veulent essayer avec un homme, autant que ce soit toi. Moi, j’m’en fout. »
- « Rien que d’imaginer ça, je risque de t’éjaculer dedans avant qu’on soit à la porte. »
- « Chiche ! Allez, on va ouvrir comme ça ? »
- « Ok belle inconnue ! »
Après un essai lamentable, je réussi à me lever avec Louise accrocher à mon cou et empaler sur moi. Le transport jusqu’à la porte fut entrecoupé par une autre sonnerie et deux coups sur la porte. Louise avait du mal à se tenir et je mis mes mains croisées sous ses fesses pour qu’elle reste bien empalée sur moi. Louise s’amusait et semblait vraiment heureuse. Arrivée près de la porte, elle demanda à travers l’huisserie qui était là. Une voix étouffée répondit que c’était les filles comme prévu. Louise me demanda si j’étais prêt. J’avais un peu peur mais la confiance de Louise envers ses copines me donnait des forces. De plus, je dois avouer que j’avais espoir de pouvoir regarder les nanas entre elle, et même, pourquoi pas, en goûter un peu. Louise réussi à ouvrir la porte pour ne montrer que sa tête à la porte. Mon sexe bougeait en elle et je sentais ses muscles abdominaux travailler et caresser mon sexe toujours aussi raide. Les filles dehors s’impatientaient mais Louise leur demanda ce qu’elles voulaient.
Le couloir était assez étroit pour que je puisse m’appuyer contre le mur, la tête coincée entre le porte-clefs et le compteur électrique. Louise, s’appuyait aussi sur le mur d’en face pour parler avec les filles. En suivant le dialogue entre les nanas, je regardais Louise. Elle était superbe avec ses seins fermes qui dansaient au gré des mouvements de sa propriétaire. Louise négociait :
- « Je suis avec Pascal à faire un truc qu’est pas pour vous deux. »
- « Non ! me dit pas que tu l’as fait ? »
- « Si, et j’adore alors si vous entrez, je ne veux pas de problème avec lui. A partir de maintenant, c’est mon mec…ok ? »
- « Mais tu le connais pas ! » - « Et nous ? »
- « Ecoutez les filles, vous me connaissez ! Si vous entrez, vous faites ce que vous voulez, à deux, à trois et maintenant à quatre. Si vous ne voulez pas, pfft, à la prochaine ! »
De ma place, j’avais l’impression que Louise était la meneuse du groupe à voir comment elle parlait. En y repensant, j’avais été depuis le début à la merci de cette femme. Elle m’avait sorti des ronces, elle m’avait mis à poil dans sa salle de bain, elle m’avait peloté et elle m’avait utilisé pour son plaisir. Bon… je reconnais que je n’avais pas vraiment dis ‘non’ mais c’était évident que j’étais sous la coupe de cette fille. Une vraie bombe qui était chaude comme les braises et me réservait sûrement d’autres surprises. Je ne reconnaissais pas les personnes qui parlaient derrière la porte mais ça négociait ferme.
Louise continuait :
- « Bon, les filles, avant que vous sonniez, on allait passer dans la chambre et je suis impatiente de continuer avec Pascal. Je vous laisse la porte ouverte. Vous choisissez toutes les deux. Soit vous fermez la porte, soit vous entrez mais, moi, je vais continuer ma journée avec Pascal. A plus les nanas ! »
En se retournant vers moi avec un grand sourire, elle ajouta :
- « Et toi, mon blessé, emmène moi dans la chambre et montre moi de quoi tu es capable »
Elle m’attrapa par le cou et m’embrassa à pleine bouche tout en serrant un peu plus fort ses jambes autour de moi. Avec peine, je me remis à avancer dans le couloir, puis à gauche le long du petit buffet. Passer devant la porte de la cuisine pour pénétrer dans la chambre. Arrivé sur le pas de la porte, Louise me glissa à l’oreille :
- « Tu es suivi par deux lesbos qui matent ton cul ! » et elle pouffa de rire.
J’étais gêné que les copines me regardent. Entre le fantasme d’être avec plusieurs nanas et le faite qu’on me regarde les fesses pendant que je fais l’amour, le pas n’est pas si évident à franchir et j’étais dans une situation assez délicate. Soit ces regards sur moi allait me bloquer et j’allais passer pour un nul. Soit j’arrivais à m’exciter avec ce voyeurisme féminin et je pourrais passer pour une bête. A moi de jouer et le ‘no fault’ était obligatoire.
Arrivé devant le lit, je fis un grand effort pour déposer Louise sur le bord du lit, toujours pour que mon sexe reste dans celui de Louise. Aussitôt installée sur le bord du lit, Louise desserra ses jambes et releva les genoux pour s’offrir à pâture. Elle était vraiment excitante avec ses seins ronds glissants, par leur volume, sur le côté. Chaque mouvement leur donnait vie. Louise se foutait complètement que Elise et Marielle nous matent et elle mit ses mains à l’intérieur de ses cuisses autour de son sexe pour attraper le miens. Elle me dit : « Vas-y, j’en veux encore, encore, encore… ».
A ces injonctions et avec le contact des mains de Louise sur moi, je pris un grand plaisir à faire quelques allés et venus dans son ventre. Louise, avec sa position, m’offrait vraiment un spectacle superbe. Posée sur le bord du lit, j’étais à genoux et je pouvais me regarder entrer en elle jusqu’à la garde de mon sexe. A chaque fois que j’entrais en elle avec lenteur pour faire durer le plaisir des frottements de mon sexe le long de son vagin, Louise émettait des petits sons qui voulaient sûrement dire qu’elle appréciait. En tout cas, c’est comme ça que je les interprétais. Du coin du regard, j’apercevais les bonnes copines qui regardaient leur amie se faire pénétrer. Pour des lesbiennes, je me demandais ce qu’elles pouvaient penser de la situation. Enfin… quand je dis ‘je me demandais’, c’est un peu faux car je ne pensais qu’aux plaisirs échangés avec Louise et je n’avais rien à foutre de ses copines et de leurs états d’âme.
Voulant montrer aux nanas que je n’étais pas uniquement un bout de bois, je fis glisser Louise vers moi. Mon sexe complètement en elle, nous fîmes quelques efforts pour que je puisse me mettre en tailleur sur le lit avec Louise assise sur moi. Elle m’embrassa aussitôt et elle mit les mains sur le lit pour se mettre en bascule. De mon côté, mes mains sur ses fesses, je la faisais venir à moi ou la laissait repartir en arrière. Cette position procura à Louise un tel plaisir et de telles sensations qu’elle explosa dans un orgasme presque plus violent que le premier. En quelques secondes, Louise se transforma en furie. Son visage se crispa et elle donnait de violent coup de bassin pour me faire entrer en elle par grands gestes. Nos hanches se cognaient violemment et quand, dans un mouvement plus ample que les autres, mon sexe sorti du sien, elle râla et ré-ajusta son bassin pour que je revienne en elle. Etonné par autant de fougue et de violence dans le rapport, je profitais du moment sans avoir l’électrisation me poussant à éjaculer. Ce n’était pas grave car j’avais la satisfaction de rendre Louise heureuse et c’était un plaisir d’être avec elle. Elle finit dans un râle long et langoureux et se jeta à mon cou pour me serrer contre elle. Elle était essoufflée et me murmura dans l’oreille un « je t’aime » plein de tendresse et de sincérité. Je gardais Louise dans mes bras et lui caressais sa peau fine et douce. Ce moment était magique et je fermais les yeux pour le garder intacte du reste.
Dans ce moment béni des Dieux où l’esprit est envahi par les restes du plaisir partagé, je me posais quelques questions. Comment une fille soi-disant vierge pouvait trouver autant de fougue dans l’acte amoureux ? Comment une soi-disant lesbienne pouvait trouver un rapport hétéro aussi bon ? … Comment ? … Pourquoi ? … Tout ce que je savais, c’est que j’avais une belle femme nue dans les bras et que j’adorais ça. Au delà du physique, il y avait ce regard profond quand elle me regardait. Il y avait aussi son esprit alerte, vif dans les prises de décision. Il y avait aussi une certaine folie dans le sexe et cela dépassait tout ce que j’avais vécu avant avec mes anciennes femmes. Bref, Si j’oubliais ce côté « aventure », Louise représentait une femme comme je les aimais. Belle, intelligente et un peu folle.
Louise reprenait doucement sa respiration et finit par me dire :
- « Jamais je n’aurais imaginé pareille plaisir avec un homme, je suis heureuse de t’avoir poussé dans les ronces »
- « Euhh… la prochaine fois qu’on se rencontre, si on peut éviter les ronces ! »
Louise pouffa et me répondit :
- « Promis mon amour ! » et elle resta sans voix, juste serrée contre moi.
En ouvrant les yeux, je voyais toujours Elise et Marielle contre le chambranle de la porte. Elles nous regardaient comme on regarde des bêtes dans un zoo. Je ne savais quoi penser de ces deux femmes. A les voir comme ça, habillées toujours dans leurs robes printanières, je me demandais comment était leur corps. Si seulement elles pouvaient se mettre à poil, j’adorerais les voir et les toucher.
Marielle était la plus âgée et elle était bien faite avec des hanches peut-être un peu forte mais un visage régulier avec des yeux bleus perçant. Si dans un couple de lesbiennes, il y a une dominante et une dominée, je pense que Marielle était la dominante. Posée contre le chambranle de la porte, elle m’offrait un profil qui laissait deviner une belle poitrine.
A côté, Elise faisait petite fille. Elle était moins grande que les autres, elle était toute menue et ne semblait pas avoir énormément de forme. Moi qui était adorateur de poitrines, Elise n’allait pas m’apporter beaucoup de plaisir de ce côté là. Elle devait avoir d’autres atouts que j’espérais découvrir si mon fantasme se déclenchait.
Comme pour me sortir de ma contemplation, Louise eut un frisson qui l’a fit trembler de la tête aux pieds. Je lui demandais immédiatement si elle avait froid. Sans répondre, elle commença à tirer sur le dessus de lit pour ouvrir le lit. Au premier mouvement, mon sexe sorti presque entièrement et Louise se replaça immédiatement pour me garder en elle.
- « Toi, tu restes là ! »
- « Non, mets toi au lit et je reviens quand on sera au chaud »
- « Vite alors ! »
Louise, à contre cœur ne dégagea de mon sexe et se glissa dans les draps. Sans aucune peur que les deux lesbos me regardent le sexe, je bougeais en faisant presque exprès de me montrer. Pendant que Louise se glissait dans le lit, je me levais à côté du lit en attendant que Louise soit bien allongée. En restant debout comme ça, je montrais aux deux filles, mon sexe dressé, arrogant et fier. Dès que mon amante fut installée dans le lit, je la suivais et me glissais derrière Louise. Doucement, ma main lui attrapa un sein chaud et doux. Mon autre main se posa sur ses hanches et glissa sur son ventre en couvrant sa toison. Du bout des doigts, j’écrasais doucement le clitoris, puis avançais vers son sexe. Mes doigts rencontrèrent la chaleur humide de la vulve de Louise toujours désireuse de caresses. Elle était trempée de désir et son sexe était ouvert. Louise gémit doucement. Je plaçais mon bassin contre ses fesses et dirigeais mon sexe entre ses fesses. Sans aucun effort, mon sexe glissa et s’enfonça dans le ventre avenant. Louise glissa dans un souffle :
- « Ohhh, que c’est bon ! »
Je dois bien avouer que me retrouver avec une telle fille dans les bras à lui faire l’amour était extrêmement bon aussi. Louise ondulait du bassin pour me faire bouger. C’était des gestes lents et très érotiques. Dans le même temps, je lui caressais les seins en prenant le temps de caresser le galbe, les tétons et tous les alentours de sa poitrine. Cette position dura un bon moment et l’érotisme des caresses nous donnait un rythme sans heurt et plein de plaisirs profonds. Louise laissait échapper de temps en temps des petits bruits.
Pour tenter de lui donner plus de plaisir, je lui proposais qu’elle s’allonge sur le ventre. Sans poser de question, elle se retourna doucement et je pus me mettre sur elle. Pour me laisser me mettre en place, elle écarta les cuisses et je posais mes jambes entre les siennes. Cette position me donnait l’impression de glisser complètement en elle dans un puit sans fond. Doucement, avec le maximum de douceur, je sortais mon engin pour le glisser entre ses lèvres trempées. Je me portais sur les coudes pour éviter de l’écraser et Louise prenait un pied d’enfer si je me fiais aux gémissements qu’elle produisait à chaque fois que je me glissais en elle. En peu de temps, elle commença à s’agiter et me dit d’aller plus vite. A chaque coup de reins, Louise sautait au rythme des coups de butoir au fond de son ventre. La position me frottait le gland avec une délicieuse sensation et je sentais l’explosion arriver. Les bruits de Louise me motivaient et je commençais à ressentir les prémices de l’éjaculation. Sans plus aucune retenu, j’enfonçais mon sexe en elle à un rythme de plus en plus fort. Louise eut encore un orgasme et je lui éjacula profondément. Notre unité dans le plaisir était fort et Louise dut sentir mon jet au fond d’elle car elle se mit à crier au même moment que je lui inondais le fond de son vagin. Après quelques mouvements pour garder les électrisations toujours actives, nos ébats eurent leurs rythmes réduits. Nous étions essoufflés et heureux d’avoir atteint le suprême plaisir ensemble. Je glissais à l’oreille de Louise un « Je t’aime » qu’elle me rendit aussitôt. C’était impressionnant comment une telle nana, lesbienne d’après ses dires, pouvait devenir aussi rapidement amoureuse d’un gars. Elle devait cacher sa vrai sexualité sans même s’en rendre compte !
Tout en pensant à ça, j’entendis, comme un écho à la respiration de Louise. J’avais oublié Elise et Marielle qui avaient assisté à cette monté en puissance du plaisir entre deux personnes de sexe opposé. En tournant la tête, je vis clairement Marielle qui s’activait toute seule contre le chambranle de la porte. Je regardais avec plus de curiosité et je la voyais avec la main sous le tissu de sa robe en train de se frotter l’entre jambes. Par contre, je ne voyais aucune trace d’Elise. Mon érection ne s’était pas arrêtée et, avec la vision de Marielle se masturbant, je n’étais pas prêt à m’arrêter. Je glissais dans l’oreille de Louise :
- « Regarde Marielle. Elle se masturbe toute seule ! »
Louise tourna la tête et me répondit :
- « Oui… ça te plait ? »
- « Oh, oui ! J’aimerais la voir faire et pouvoir la lécher »
Sur le coup, ma phrase était parti un peu vite et je me sentais un peu vicieux de vouloir lécher une autre femme pendant que je faisais l’amour. Je m’attendais à ce que Louise me freine dans mes élans de mec assoiffé de sexe. Pour me faire pardonner, je fis un mouvement de rein pour sortir et entrer dans le fourreau offert par le sexe de Louise. En réponse à ma demande, elle appela Marielle :
- « Marie, viens ici s’il te plait… Je veux te gourmander »
Nos visages tournés vers Marielle, je la vis sursauter et rabaisser le tissu de sa robe rapidement. Louise repris :
- « Ma chérie, viens ici et montre nous comme tu es belle »
- « …mais… lui… »
- « Ne fais pas ta gamine. Et puis, t’inquiète pour Pascal, je le garde en moi. Montre nous comment tu es belle. On veut te voir…et Elise, elle est où ? »
- « …dans le salon avec… tu sais quoi… »
Louise pouffa en répondant :
- « Elle est bête celle là… elle joue avec un gode alors qu’on a bien mieux dans le lit…pfff. Va la chercher s’il te plait, je veux la voir aussi . »
Marielle quitta la chambre pour aller chercher Elise. J’en profitais pour demander à Louise :
- « T’es une vrai chef toi ? »
- « Mouais. Je suis surtout tellement excitée que j’en veux plus et j’adore mes copines. »
- « Je n’ai jamais vu une nana jouer avec un gode »
- « Et bien, je pense que tu vas apprendre un tas de choses toi aujourd’hui »
- « J’en ai bien l’impression et j’espère que je pourrais voir Marielle et Elise à poil. »
- « Si ça peut te rendre dure comme ça encore longtemps, elles ont intérêt. »
- « Tu crois que je pourrais les caresser et les lécher ? »
- « T’es un gros gourmand toi sous tes airs de gentil garçon ! »
- « J’adore le sexe quand il est vécu avec passion et partage. Vous avoir toutes les trois à disposition, c’est comme un rêve et je veux en profiter pendant que je suis dedans. »
- « Profites mon garçon et fais-nous confiance. On va t’apprendre comment faire plaisir à une femme ! »
- « Oui maîtresse »
Louise ria de ma réponse. En même temps, Marielle entra dans la chambre avec Elise dans sa suite.
Louise me demanda de bouger pour nous mettre face aux filles. Je me mis sur le côté et mon sexe humide du mélange de nos fluides, sorti toujours aussi fier. Louise attrapa une taie d’oreiller et sépara l’oreiller de la taie. Elle me sourit et m’avoua qu’elle avait quelques débordements. Elle s’essuya l’entre jambes avec la taie d’oreiller et me la tendit pour m’essuyer. Efficace comme réaction ! Je pris le tissu et m’essuya le sexe juste humide.
Ensuite, Louise, maîtresse femme, prit les décisions et mit tout le monde en action. Elle indiqua clairement à Elise où se mettre pour qu’elle continu à se faire du bien avec le gode. Marielle eut aussi ses ordres :
- « Elise, tu vas te mettre sur ce côté du lit. Tu gardes ta robe mais tu retires ton slip. Prend ton copain et je veux te voir jouir avec lui… Non, pas comme ça, je veux te voir donc, tu me montres tes fesses. »
Elise, avec quelques difficultés s’assit sur les fesses et glissa le gode sous le pan de la robe. Elle ne dévoilait rien de sa féminité, de peur que je la vois. Moi, je restais avec mon sexe dressé et visible. Je jouais de ma position d’outsider avec Louise qui plaçait les filles pour l’étape suivante.
- « Marie ! comme Elise, à bas la culotte et je veux pouvoir te gourmander tranquillement. »
- « Louise, j’aime pas vraiment ça comme jeu ! » dit Elise avec une petite voix timide.
- « Ecoutes, ma chérie ! Quand on est ensemble, tu te défonces avec ton truc en caoutchouc alors tu ne vas pas faire ta mijaurée pendant que je te regarde et que Pascal s’excite à te regarder. T’es superbe alors montre le ! »
- « Elise à raison. C’est pas parce que tu prends ton pied avec un mec, qu’on doit suivre ! » surenchérit Marielle.
- « Bon, les filles ! Qui délirait tout à l’heure ? Ce n’est pas moi toute seule. Maintenant, je vous assure que Pascal est largement à la hauteur du plaisir qu’on recherche toutes alors, on lui montre ce que nous sommes capable de faire et on lui apprend que les nanas sont les plus fortes. Ok ? »
Elise et Marielle étaient en arrêt et ce fut Elise qui prit la parole en premier :
- « Et toi, Pascal, tu vas faire quoi ? »
- « Je vais faire l’amour avec Louise sauf si vous m’autorisez à faire des choses avec vous. »
- « Des choses ? »
Louise prit la parole :
- « Oui, des choses ! Il en crève de vous lécher mes chéries, et de vous voir vous tripoter alors lâchez-vous. »
Marielle souleva le bas de sa robe et en retira sa culotte. Elle la déposa sur le côté du lit. Une belle petite culotte blanche toute simple. Si j’osais, je lui demanderais bien de retirer son soutif mais je n’osais pas. Avec sa robe à fine bretelle qui offrait la vision des bords de son sous-vêtement, je me disais que retirer le soutif pourrait m’offrir une vision sur ses seins. Mon érection n’avait pas changé et ma réflexion sur la poitrine de Marielle ne risquait pas de faire baisser la pression sanguine. Louise se tourna vers moi avec un sourire mais aperçu immédiatement mon regard sur Marielle. En se retournant vers sa copine, elle comprit rapidement et demanda à Marielle de retirer le soutif. Louise me dit :
- « Ca va aller mon chéri ? »
- « Oui, j’espère que je vais réussir… »
- « Réussir quoi ? »
- « …je ne sais pas… réussir à ne pas vous décevoir ! »
- « T’es fou toi ! C’est la première fois que je jouis autant en si peu de temps ! Tu es un amour… rayé et griffé… mais un amour quand même » me répondit-elle en riant de sa réponse.
Louise plaça Elise sur ses fesses avec les jambes écartées. Ensuite, Marielle se retrouva sur le ventre avec une jambe sur le lit et une autre par terre. Louise allait pouvoir travailler avec Elise ou Marielle au choix. Et moi… et bien j’allais me régaler en vivant mon fantasme avec trois nanas faisant l’amour ensemble. Ensuite, et avant même que les filles aient dévoilé leur intimité, elle se mis à quatre pattes en m’offrant sa croupe. Elle me dit :
- « Je te fais confiance, mon amour. Donnes moi tout le plaisir que tu peux »
Après s’être retournée, elle souleva la robe de Marielle et se glissa entre les jambes pour l’embrasser. Je regardais Louise, la tête sous le tissu de la robe de Marielle en devinant, d’après ses mouvements, ce qu’elle pouvait faire. Marielle, eut juste le temps de tirer sur le soutif pour le sortir de sous la robe. Dans un mouvement des tissus, j’eu l’occasion de voir le bord de son sein. Une vision furtive mais qui généra en moi un désir renforcé de la voir et de l’avoir. Marielle rejeta sa tête en arrière en soufflant bruyamment. Louise devait la lécher avec une belle précision !
Elise ne me quittait pas des yeux. Elle tournait de temps en temps la tête du côté de Marielle qui avait quitté le monde Terrestre, mais revenais vers moi. Je mis ma main sur les reins de Louise et laissa glisser ma main pour longer sa raie des fesses en passant sur l’anus et arriver sur l’arrière de ses lèvres. Sans m’arrêter, mes doigts continuèrent et glissèrent dans la cyprine qui débordait du sexe ouvert de ma dulcinée. Voyant Elise bloquée, je lui proposais de m’utiliser comme gode, ou de s’occuper d’une des filles. Ma demande lui fit baisser le regard vers mon sexe dressé. Elle semblait complètement bloquée et je ne savais quoi faire pour qu’elle se bouge. Ma main caressait toute la longueur de la vulve de Louise, allant d’une extrémité à l’autre en prenant bien soin de caresser les lèvres gonflées. Mes doigts étaient complètement trempés et à voir Elise coincée, j’eu l’idée de soulever sa robe pour regarder sa chatte. Je crois que le blocage d’Elise me permit de faire ça et elle se laissa faire juste assez pour que je puisse regarder sa petite toison rousse. Quand je dis « petite toison », c’est vraiment ça car elle avait du passer la débroussailleuse méchamment pour avoir si peu de poil. Presque aussitôt après avoir aperçu sa touffe, elle remit le tissu en place pour cacher sa nudité.
Pour Elise, je devais faire une croix mais il n’y avait rien de grave la dedans car j’avais ma main sur le sexe de Louise et cela me donnait quelques promesses d’une culbute. Abandonnant Elise, Je me mis derrière Louise, entre ses jambes et je positionnais mon sexe entre ses fesses. Louise, toujours la tête sous le tissu de la robe de Marielle, gémit quand mon sexe glissa en elle. A partir de ce moment, je pus prendre les seins de Louise en main et les caresser. Loin d’être une brute, je caressais légèrement les seins en les portant doucement ou en laissant le balancement de la poitrine frotter contre mes mains. Mes mouvement en Louise étaient très doux et très lents pour que nous ressentions un maximum de sensations. Avec le concert de gémissements que Marielle et Louise faisaient, Elise ne tarda pas à se glisser son gode sous sa robe et à se bricoler toute seule. Je la voyais s’agiter sans jamais pouvoir regarder son engin en elle. Par contre, pour Marielle, je réussis à remonter le tissu de la robe pour voir ce qui se passait et, là, j’ai eu une vision superbe !
- « Je te remercie pour les soins. Si tu veux autre chose, je serais vraiment ravi et honoré de te le donner, mais ça se prépare et je préfère, même si j’en ai super envie, qu’on se connaisse un peu plus. »
- « Oui » dit-elle dans un souffle comme un le dernier soupir avant le trépas.
Louise s’approcha de quelques millimètres sans vraiment s’en apercevoir. Sa bouche s’entrouvrit et je m’approchais pour l’embrasser. Louise ouvrit sa bouche au moment où la mienne pris contact. Elle poussa un gémissement au moment où nos lèvres se touchèrent. Sans attendre le moindre signal, nos langues se trouvèrent et jouèrent ensemble. Louise s’approcha de moi entre mes jambes et vint se coller à moi. Ses bras m’enlacèrent et notre baiser fut magnifique.
Deux ans pour moi et une bonne vingtaine d’années pour elle et voilà le résultat. Un baiser effréné avec tout le désir sexuel qui déborde de tout le corps. Dans un élan de lucidité, j’avais préféré indiquer que le mieux serait d’attendre, bla, bla, bla mais maintenant, j’en avais rien à foutre et mon esprit du bas avait pris possession de ma vie. La seule envie que j’avais était simple, faire l’amour à Louise.
Tout en l’embrassant, mes mains cherchaient frénétiquement la fermeture de sa robe. Rien !
Pas une fermeture éclair, pas un bouton, le mystère total. Le stress commençait à monter et je me demandais si on avait construit la robe directement sur Louise pour qu’il n’y ait aucun système de fermeture. J’avais envie de lui arracher la robe tellement elle m’excitait. Louise dû sentir mon incapacité à comprendre les vêtements féminin car elle s’écarta et fit glisser la fermeture éclair de sa robe… ah ! il y en avait une mais sur le côté !
Louise se mit debout et retira sa robe pour se montrer en sous-vêtement. Elle était purement superbe. Elle vint vers moi et nous sommes tombés sur le canapé enlacés en reprenant notre baiser. Le ventre de Louise se frottait contre le mien et mon sexe. Avec beaucoup plus d’aisance que pour la robe, je retirais l’agrafe du soutif et caressais le dos de Louise en descendant jusqu’à ses fesses. Je sentais Louise se crisper et se cambrer au gré de mes caresses. Mon désir était énorme mais le sien devait le surpasser car elle était déchaînée. Elle retira le soutif qu’elle envoya à l’autre bout de la pièce.
D’un coup, j'aperçus sa belle poitrine toute blanche. Elle avait du aller sur la plage car je voyait clairement la trace du soutien gorge qui dessinait à partir de son coup un léger trait clair qui s’étalait sur les seins pour protéger ses tétons. De jolis tétons, crispés et sombres sur la peau blanche de ses belles loches. Ses seins dansaient de manière très érotiques et je ne pouvais pas les lui attraper pour les lécher. La rondeur de sa poitrine me donnait des sueurs de désir et rien que de les regarder, j’avais un mal fou à contrôler mon excitation. Louise se frotta sur mon sexe et, d’un coup, elle se contorsionna pour retirer sa culotte qui prit la même direction que le soutif.
Dans un soupir plein d’impatience, elle me dit :
- « Ne me fait pas mal »
Elle me prit le sexe à pleine main pour le diriger entre ses lèvres trempées. Sa mise en garde ne me servit à rien car c’est elle qui me fit glisser en elle. Elle était tellement humide que mon sexe entra sans aucune contrainte. A chaque pénétration, mon sexe se glissait dans ce fourreau bouillant en faisant crier doucement Louise. Rapidement, elle se redressa et géra elle même mes visites. Elle était sur moi et redressée sur les bras. Une dizaine ou une vingtaine de coups au maximum avant que mon sperme s’éparpille en elle. Pratiquement dans le même instant, elle eut un orgasme qui fit monter d’une octave les cris qu’elle poussait. Ses seins pendaient devant moi en se balançant généreusement. En me redressant, j’arrivais à en attraper un pour sucer et lécher le téton contracté. L’orgasme passé, Louise s’écroula presque sur moi et nous sommes resté enlacés tous les deux, les sexes joints et le souffle court.
Après un moment de repos bien mérité, je demandais à Louise si elle allait bien. Elle m’embrassa sur la joue et me répondit qu’elle était heureuse. Elle se blotti contre moi et quand je lui demandais si elle avait froid, elle me dit qu’on serait mieux dans le lit.
- « Oui, pourquoi pas mais je suis bien en toi ! »
- « Oh oui, et tu as intérêt d’y rester » dit-elle en rigolant
- « Il ne nous reste plus qu’à y aller comme ça ! »
- « T’es fou ! Tu n’es pas assez blessé comme ça ! »
- « Blessé avec toi dans les bras, c’est pas une blessure…allez, on tente… »
Louise, tout en plaquant son sexe contre le mien, se redressa . Elle levait ses jambes en montrant sans aucune retenu sa toison. En me redressant, je regardais mon sexe disparaître dans le sien et je trouvais cela très beau. Après quelques efforts et acrobaties, je me retrouvais assis sur le bord du canapé avec Louise assise sur moi, les jambes m’enlaçant. Je ne débandais pas tellement Louise m’excitait et cela me permettait de rester en elle sans problème. Louise m’embrassa et me dit qu’elle m’aimait.
La sonnette de la porte tinta et nous eûmes ensemble un sursaut. Après ce moment de surprise, Louise me regarda et ria sans retenue. Je lui fis signe de faire moins de bruit mais elle continua à rire :
- « C’est les copines qui reviennent ! »
- « Ah ! Et qu’est-ce qu’on fait ? »
- « On continu ! »
- « Et qu’est-ce qu’on fait de tes copines ? »
- « Elle peuvent rester ici, elles sont lesbiennes. Ça te dérange ? »
- « Lesbiennes… c’est même plutôt excitant… »
- « Si ça t’aide à rester aussi fort, je les fais entrer tout de suite ! »
- « Tu rigoles ou non ? »
- « Non, jusqu’à encore une demi-heure, j’étais lesbienne mais maintenant, c’est toi que je veux »
- « Trois superbes filles lesbiennes et je fais l’amour à l’une d’elle. C’est un truc un peu dingue non ? »
- « Oui, mais c’est cool et j’adore » dit-elle en se secouant le bassin pour me faire bouger en elle.
La sonnette retendit pour la deuxième fois. Plus sérieusement, elle me demanda
- « Ça te gêne ? »
- « Quoi ? »
- « Si elles rentrent ! »
- « Ben, c’est que généralement, quand je fais l’amour à une femme, on est deux ! »
- « Ça ne t’excite pas d’être regardé par deux autres nanas ? »
- « Vous êtes toutes les trois magnifique et je risque d’avoir des envies envers elles aussi. »
- « Et bien, si elles veulent essayer avec un homme, autant que ce soit toi. Moi, j’m’en fout. »
- « Rien que d’imaginer ça, je risque de t’éjaculer dedans avant qu’on soit à la porte. »
- « Chiche ! Allez, on va ouvrir comme ça ? »
- « Ok belle inconnue ! »
Après un essai lamentable, je réussi à me lever avec Louise accrocher à mon cou et empaler sur moi. Le transport jusqu’à la porte fut entrecoupé par une autre sonnerie et deux coups sur la porte. Louise avait du mal à se tenir et je mis mes mains croisées sous ses fesses pour qu’elle reste bien empalée sur moi. Louise s’amusait et semblait vraiment heureuse. Arrivée près de la porte, elle demanda à travers l’huisserie qui était là. Une voix étouffée répondit que c’était les filles comme prévu. Louise me demanda si j’étais prêt. J’avais un peu peur mais la confiance de Louise envers ses copines me donnait des forces. De plus, je dois avouer que j’avais espoir de pouvoir regarder les nanas entre elle, et même, pourquoi pas, en goûter un peu. Louise réussi à ouvrir la porte pour ne montrer que sa tête à la porte. Mon sexe bougeait en elle et je sentais ses muscles abdominaux travailler et caresser mon sexe toujours aussi raide. Les filles dehors s’impatientaient mais Louise leur demanda ce qu’elles voulaient.
Le couloir était assez étroit pour que je puisse m’appuyer contre le mur, la tête coincée entre le porte-clefs et le compteur électrique. Louise, s’appuyait aussi sur le mur d’en face pour parler avec les filles. En suivant le dialogue entre les nanas, je regardais Louise. Elle était superbe avec ses seins fermes qui dansaient au gré des mouvements de sa propriétaire. Louise négociait :
- « Je suis avec Pascal à faire un truc qu’est pas pour vous deux. »
- « Non ! me dit pas que tu l’as fait ? »
- « Si, et j’adore alors si vous entrez, je ne veux pas de problème avec lui. A partir de maintenant, c’est mon mec…ok ? »
- « Mais tu le connais pas ! » - « Et nous ? »
- « Ecoutez les filles, vous me connaissez ! Si vous entrez, vous faites ce que vous voulez, à deux, à trois et maintenant à quatre. Si vous ne voulez pas, pfft, à la prochaine ! »
De ma place, j’avais l’impression que Louise était la meneuse du groupe à voir comment elle parlait. En y repensant, j’avais été depuis le début à la merci de cette femme. Elle m’avait sorti des ronces, elle m’avait mis à poil dans sa salle de bain, elle m’avait peloté et elle m’avait utilisé pour son plaisir. Bon… je reconnais que je n’avais pas vraiment dis ‘non’ mais c’était évident que j’étais sous la coupe de cette fille. Une vraie bombe qui était chaude comme les braises et me réservait sûrement d’autres surprises. Je ne reconnaissais pas les personnes qui parlaient derrière la porte mais ça négociait ferme.
Louise continuait :
- « Bon, les filles, avant que vous sonniez, on allait passer dans la chambre et je suis impatiente de continuer avec Pascal. Je vous laisse la porte ouverte. Vous choisissez toutes les deux. Soit vous fermez la porte, soit vous entrez mais, moi, je vais continuer ma journée avec Pascal. A plus les nanas ! »
En se retournant vers moi avec un grand sourire, elle ajouta :
- « Et toi, mon blessé, emmène moi dans la chambre et montre moi de quoi tu es capable »
Elle m’attrapa par le cou et m’embrassa à pleine bouche tout en serrant un peu plus fort ses jambes autour de moi. Avec peine, je me remis à avancer dans le couloir, puis à gauche le long du petit buffet. Passer devant la porte de la cuisine pour pénétrer dans la chambre. Arrivé sur le pas de la porte, Louise me glissa à l’oreille :
- « Tu es suivi par deux lesbos qui matent ton cul ! » et elle pouffa de rire.
J’étais gêné que les copines me regardent. Entre le fantasme d’être avec plusieurs nanas et le faite qu’on me regarde les fesses pendant que je fais l’amour, le pas n’est pas si évident à franchir et j’étais dans une situation assez délicate. Soit ces regards sur moi allait me bloquer et j’allais passer pour un nul. Soit j’arrivais à m’exciter avec ce voyeurisme féminin et je pourrais passer pour une bête. A moi de jouer et le ‘no fault’ était obligatoire.
Arrivé devant le lit, je fis un grand effort pour déposer Louise sur le bord du lit, toujours pour que mon sexe reste dans celui de Louise. Aussitôt installée sur le bord du lit, Louise desserra ses jambes et releva les genoux pour s’offrir à pâture. Elle était vraiment excitante avec ses seins ronds glissants, par leur volume, sur le côté. Chaque mouvement leur donnait vie. Louise se foutait complètement que Elise et Marielle nous matent et elle mit ses mains à l’intérieur de ses cuisses autour de son sexe pour attraper le miens. Elle me dit : « Vas-y, j’en veux encore, encore, encore… ».
A ces injonctions et avec le contact des mains de Louise sur moi, je pris un grand plaisir à faire quelques allés et venus dans son ventre. Louise, avec sa position, m’offrait vraiment un spectacle superbe. Posée sur le bord du lit, j’étais à genoux et je pouvais me regarder entrer en elle jusqu’à la garde de mon sexe. A chaque fois que j’entrais en elle avec lenteur pour faire durer le plaisir des frottements de mon sexe le long de son vagin, Louise émettait des petits sons qui voulaient sûrement dire qu’elle appréciait. En tout cas, c’est comme ça que je les interprétais. Du coin du regard, j’apercevais les bonnes copines qui regardaient leur amie se faire pénétrer. Pour des lesbiennes, je me demandais ce qu’elles pouvaient penser de la situation. Enfin… quand je dis ‘je me demandais’, c’est un peu faux car je ne pensais qu’aux plaisirs échangés avec Louise et je n’avais rien à foutre de ses copines et de leurs états d’âme.
Voulant montrer aux nanas que je n’étais pas uniquement un bout de bois, je fis glisser Louise vers moi. Mon sexe complètement en elle, nous fîmes quelques efforts pour que je puisse me mettre en tailleur sur le lit avec Louise assise sur moi. Elle m’embrassa aussitôt et elle mit les mains sur le lit pour se mettre en bascule. De mon côté, mes mains sur ses fesses, je la faisais venir à moi ou la laissait repartir en arrière. Cette position procura à Louise un tel plaisir et de telles sensations qu’elle explosa dans un orgasme presque plus violent que le premier. En quelques secondes, Louise se transforma en furie. Son visage se crispa et elle donnait de violent coup de bassin pour me faire entrer en elle par grands gestes. Nos hanches se cognaient violemment et quand, dans un mouvement plus ample que les autres, mon sexe sorti du sien, elle râla et ré-ajusta son bassin pour que je revienne en elle. Etonné par autant de fougue et de violence dans le rapport, je profitais du moment sans avoir l’électrisation me poussant à éjaculer. Ce n’était pas grave car j’avais la satisfaction de rendre Louise heureuse et c’était un plaisir d’être avec elle. Elle finit dans un râle long et langoureux et se jeta à mon cou pour me serrer contre elle. Elle était essoufflée et me murmura dans l’oreille un « je t’aime » plein de tendresse et de sincérité. Je gardais Louise dans mes bras et lui caressais sa peau fine et douce. Ce moment était magique et je fermais les yeux pour le garder intacte du reste.
Dans ce moment béni des Dieux où l’esprit est envahi par les restes du plaisir partagé, je me posais quelques questions. Comment une fille soi-disant vierge pouvait trouver autant de fougue dans l’acte amoureux ? Comment une soi-disant lesbienne pouvait trouver un rapport hétéro aussi bon ? … Comment ? … Pourquoi ? … Tout ce que je savais, c’est que j’avais une belle femme nue dans les bras et que j’adorais ça. Au delà du physique, il y avait ce regard profond quand elle me regardait. Il y avait aussi son esprit alerte, vif dans les prises de décision. Il y avait aussi une certaine folie dans le sexe et cela dépassait tout ce que j’avais vécu avant avec mes anciennes femmes. Bref, Si j’oubliais ce côté « aventure », Louise représentait une femme comme je les aimais. Belle, intelligente et un peu folle.
Louise reprenait doucement sa respiration et finit par me dire :
- « Jamais je n’aurais imaginé pareille plaisir avec un homme, je suis heureuse de t’avoir poussé dans les ronces »
- « Euhh… la prochaine fois qu’on se rencontre, si on peut éviter les ronces ! »
Louise pouffa et me répondit :
- « Promis mon amour ! » et elle resta sans voix, juste serrée contre moi.
En ouvrant les yeux, je voyais toujours Elise et Marielle contre le chambranle de la porte. Elles nous regardaient comme on regarde des bêtes dans un zoo. Je ne savais quoi penser de ces deux femmes. A les voir comme ça, habillées toujours dans leurs robes printanières, je me demandais comment était leur corps. Si seulement elles pouvaient se mettre à poil, j’adorerais les voir et les toucher.
Marielle était la plus âgée et elle était bien faite avec des hanches peut-être un peu forte mais un visage régulier avec des yeux bleus perçant. Si dans un couple de lesbiennes, il y a une dominante et une dominée, je pense que Marielle était la dominante. Posée contre le chambranle de la porte, elle m’offrait un profil qui laissait deviner une belle poitrine.
A côté, Elise faisait petite fille. Elle était moins grande que les autres, elle était toute menue et ne semblait pas avoir énormément de forme. Moi qui était adorateur de poitrines, Elise n’allait pas m’apporter beaucoup de plaisir de ce côté là. Elle devait avoir d’autres atouts que j’espérais découvrir si mon fantasme se déclenchait.
Comme pour me sortir de ma contemplation, Louise eut un frisson qui l’a fit trembler de la tête aux pieds. Je lui demandais immédiatement si elle avait froid. Sans répondre, elle commença à tirer sur le dessus de lit pour ouvrir le lit. Au premier mouvement, mon sexe sorti presque entièrement et Louise se replaça immédiatement pour me garder en elle.
- « Toi, tu restes là ! »
- « Non, mets toi au lit et je reviens quand on sera au chaud »
- « Vite alors ! »
Louise, à contre cœur ne dégagea de mon sexe et se glissa dans les draps. Sans aucune peur que les deux lesbos me regardent le sexe, je bougeais en faisant presque exprès de me montrer. Pendant que Louise se glissait dans le lit, je me levais à côté du lit en attendant que Louise soit bien allongée. En restant debout comme ça, je montrais aux deux filles, mon sexe dressé, arrogant et fier. Dès que mon amante fut installée dans le lit, je la suivais et me glissais derrière Louise. Doucement, ma main lui attrapa un sein chaud et doux. Mon autre main se posa sur ses hanches et glissa sur son ventre en couvrant sa toison. Du bout des doigts, j’écrasais doucement le clitoris, puis avançais vers son sexe. Mes doigts rencontrèrent la chaleur humide de la vulve de Louise toujours désireuse de caresses. Elle était trempée de désir et son sexe était ouvert. Louise gémit doucement. Je plaçais mon bassin contre ses fesses et dirigeais mon sexe entre ses fesses. Sans aucun effort, mon sexe glissa et s’enfonça dans le ventre avenant. Louise glissa dans un souffle :
- « Ohhh, que c’est bon ! »
Je dois bien avouer que me retrouver avec une telle fille dans les bras à lui faire l’amour était extrêmement bon aussi. Louise ondulait du bassin pour me faire bouger. C’était des gestes lents et très érotiques. Dans le même temps, je lui caressais les seins en prenant le temps de caresser le galbe, les tétons et tous les alentours de sa poitrine. Cette position dura un bon moment et l’érotisme des caresses nous donnait un rythme sans heurt et plein de plaisirs profonds. Louise laissait échapper de temps en temps des petits bruits.
Pour tenter de lui donner plus de plaisir, je lui proposais qu’elle s’allonge sur le ventre. Sans poser de question, elle se retourna doucement et je pus me mettre sur elle. Pour me laisser me mettre en place, elle écarta les cuisses et je posais mes jambes entre les siennes. Cette position me donnait l’impression de glisser complètement en elle dans un puit sans fond. Doucement, avec le maximum de douceur, je sortais mon engin pour le glisser entre ses lèvres trempées. Je me portais sur les coudes pour éviter de l’écraser et Louise prenait un pied d’enfer si je me fiais aux gémissements qu’elle produisait à chaque fois que je me glissais en elle. En peu de temps, elle commença à s’agiter et me dit d’aller plus vite. A chaque coup de reins, Louise sautait au rythme des coups de butoir au fond de son ventre. La position me frottait le gland avec une délicieuse sensation et je sentais l’explosion arriver. Les bruits de Louise me motivaient et je commençais à ressentir les prémices de l’éjaculation. Sans plus aucune retenu, j’enfonçais mon sexe en elle à un rythme de plus en plus fort. Louise eut encore un orgasme et je lui éjacula profondément. Notre unité dans le plaisir était fort et Louise dut sentir mon jet au fond d’elle car elle se mit à crier au même moment que je lui inondais le fond de son vagin. Après quelques mouvements pour garder les électrisations toujours actives, nos ébats eurent leurs rythmes réduits. Nous étions essoufflés et heureux d’avoir atteint le suprême plaisir ensemble. Je glissais à l’oreille de Louise un « Je t’aime » qu’elle me rendit aussitôt. C’était impressionnant comment une telle nana, lesbienne d’après ses dires, pouvait devenir aussi rapidement amoureuse d’un gars. Elle devait cacher sa vrai sexualité sans même s’en rendre compte !
Tout en pensant à ça, j’entendis, comme un écho à la respiration de Louise. J’avais oublié Elise et Marielle qui avaient assisté à cette monté en puissance du plaisir entre deux personnes de sexe opposé. En tournant la tête, je vis clairement Marielle qui s’activait toute seule contre le chambranle de la porte. Je regardais avec plus de curiosité et je la voyais avec la main sous le tissu de sa robe en train de se frotter l’entre jambes. Par contre, je ne voyais aucune trace d’Elise. Mon érection ne s’était pas arrêtée et, avec la vision de Marielle se masturbant, je n’étais pas prêt à m’arrêter. Je glissais dans l’oreille de Louise :
- « Regarde Marielle. Elle se masturbe toute seule ! »
Louise tourna la tête et me répondit :
- « Oui… ça te plait ? »
- « Oh, oui ! J’aimerais la voir faire et pouvoir la lécher »
Sur le coup, ma phrase était parti un peu vite et je me sentais un peu vicieux de vouloir lécher une autre femme pendant que je faisais l’amour. Je m’attendais à ce que Louise me freine dans mes élans de mec assoiffé de sexe. Pour me faire pardonner, je fis un mouvement de rein pour sortir et entrer dans le fourreau offert par le sexe de Louise. En réponse à ma demande, elle appela Marielle :
- « Marie, viens ici s’il te plait… Je veux te gourmander »
Nos visages tournés vers Marielle, je la vis sursauter et rabaisser le tissu de sa robe rapidement. Louise repris :
- « Ma chérie, viens ici et montre nous comme tu es belle »
- « …mais… lui… »
- « Ne fais pas ta gamine. Et puis, t’inquiète pour Pascal, je le garde en moi. Montre nous comment tu es belle. On veut te voir…et Elise, elle est où ? »
- « …dans le salon avec… tu sais quoi… »
Louise pouffa en répondant :
- « Elle est bête celle là… elle joue avec un gode alors qu’on a bien mieux dans le lit…pfff. Va la chercher s’il te plait, je veux la voir aussi . »
Marielle quitta la chambre pour aller chercher Elise. J’en profitais pour demander à Louise :
- « T’es une vrai chef toi ? »
- « Mouais. Je suis surtout tellement excitée que j’en veux plus et j’adore mes copines. »
- « Je n’ai jamais vu une nana jouer avec un gode »
- « Et bien, je pense que tu vas apprendre un tas de choses toi aujourd’hui »
- « J’en ai bien l’impression et j’espère que je pourrais voir Marielle et Elise à poil. »
- « Si ça peut te rendre dure comme ça encore longtemps, elles ont intérêt. »
- « Tu crois que je pourrais les caresser et les lécher ? »
- « T’es un gros gourmand toi sous tes airs de gentil garçon ! »
- « J’adore le sexe quand il est vécu avec passion et partage. Vous avoir toutes les trois à disposition, c’est comme un rêve et je veux en profiter pendant que je suis dedans. »
- « Profites mon garçon et fais-nous confiance. On va t’apprendre comment faire plaisir à une femme ! »
- « Oui maîtresse »
Louise ria de ma réponse. En même temps, Marielle entra dans la chambre avec Elise dans sa suite.
Louise me demanda de bouger pour nous mettre face aux filles. Je me mis sur le côté et mon sexe humide du mélange de nos fluides, sorti toujours aussi fier. Louise attrapa une taie d’oreiller et sépara l’oreiller de la taie. Elle me sourit et m’avoua qu’elle avait quelques débordements. Elle s’essuya l’entre jambes avec la taie d’oreiller et me la tendit pour m’essuyer. Efficace comme réaction ! Je pris le tissu et m’essuya le sexe juste humide.
Ensuite, Louise, maîtresse femme, prit les décisions et mit tout le monde en action. Elle indiqua clairement à Elise où se mettre pour qu’elle continu à se faire du bien avec le gode. Marielle eut aussi ses ordres :
- « Elise, tu vas te mettre sur ce côté du lit. Tu gardes ta robe mais tu retires ton slip. Prend ton copain et je veux te voir jouir avec lui… Non, pas comme ça, je veux te voir donc, tu me montres tes fesses. »
Elise, avec quelques difficultés s’assit sur les fesses et glissa le gode sous le pan de la robe. Elle ne dévoilait rien de sa féminité, de peur que je la vois. Moi, je restais avec mon sexe dressé et visible. Je jouais de ma position d’outsider avec Louise qui plaçait les filles pour l’étape suivante.
- « Marie ! comme Elise, à bas la culotte et je veux pouvoir te gourmander tranquillement. »
- « Louise, j’aime pas vraiment ça comme jeu ! » dit Elise avec une petite voix timide.
- « Ecoutes, ma chérie ! Quand on est ensemble, tu te défonces avec ton truc en caoutchouc alors tu ne vas pas faire ta mijaurée pendant que je te regarde et que Pascal s’excite à te regarder. T’es superbe alors montre le ! »
- « Elise à raison. C’est pas parce que tu prends ton pied avec un mec, qu’on doit suivre ! » surenchérit Marielle.
- « Bon, les filles ! Qui délirait tout à l’heure ? Ce n’est pas moi toute seule. Maintenant, je vous assure que Pascal est largement à la hauteur du plaisir qu’on recherche toutes alors, on lui montre ce que nous sommes capable de faire et on lui apprend que les nanas sont les plus fortes. Ok ? »
Elise et Marielle étaient en arrêt et ce fut Elise qui prit la parole en premier :
- « Et toi, Pascal, tu vas faire quoi ? »
- « Je vais faire l’amour avec Louise sauf si vous m’autorisez à faire des choses avec vous. »
- « Des choses ? »
Louise prit la parole :
- « Oui, des choses ! Il en crève de vous lécher mes chéries, et de vous voir vous tripoter alors lâchez-vous. »
Marielle souleva le bas de sa robe et en retira sa culotte. Elle la déposa sur le côté du lit. Une belle petite culotte blanche toute simple. Si j’osais, je lui demanderais bien de retirer son soutif mais je n’osais pas. Avec sa robe à fine bretelle qui offrait la vision des bords de son sous-vêtement, je me disais que retirer le soutif pourrait m’offrir une vision sur ses seins. Mon érection n’avait pas changé et ma réflexion sur la poitrine de Marielle ne risquait pas de faire baisser la pression sanguine. Louise se tourna vers moi avec un sourire mais aperçu immédiatement mon regard sur Marielle. En se retournant vers sa copine, elle comprit rapidement et demanda à Marielle de retirer le soutif. Louise me dit :
- « Ca va aller mon chéri ? »
- « Oui, j’espère que je vais réussir… »
- « Réussir quoi ? »
- « …je ne sais pas… réussir à ne pas vous décevoir ! »
- « T’es fou toi ! C’est la première fois que je jouis autant en si peu de temps ! Tu es un amour… rayé et griffé… mais un amour quand même » me répondit-elle en riant de sa réponse.
Louise plaça Elise sur ses fesses avec les jambes écartées. Ensuite, Marielle se retrouva sur le ventre avec une jambe sur le lit et une autre par terre. Louise allait pouvoir travailler avec Elise ou Marielle au choix. Et moi… et bien j’allais me régaler en vivant mon fantasme avec trois nanas faisant l’amour ensemble. Ensuite, et avant même que les filles aient dévoilé leur intimité, elle se mis à quatre pattes en m’offrant sa croupe. Elle me dit :
- « Je te fais confiance, mon amour. Donnes moi tout le plaisir que tu peux »
Après s’être retournée, elle souleva la robe de Marielle et se glissa entre les jambes pour l’embrasser. Je regardais Louise, la tête sous le tissu de la robe de Marielle en devinant, d’après ses mouvements, ce qu’elle pouvait faire. Marielle, eut juste le temps de tirer sur le soutif pour le sortir de sous la robe. Dans un mouvement des tissus, j’eu l’occasion de voir le bord de son sein. Une vision furtive mais qui généra en moi un désir renforcé de la voir et de l’avoir. Marielle rejeta sa tête en arrière en soufflant bruyamment. Louise devait la lécher avec une belle précision !
Elise ne me quittait pas des yeux. Elle tournait de temps en temps la tête du côté de Marielle qui avait quitté le monde Terrestre, mais revenais vers moi. Je mis ma main sur les reins de Louise et laissa glisser ma main pour longer sa raie des fesses en passant sur l’anus et arriver sur l’arrière de ses lèvres. Sans m’arrêter, mes doigts continuèrent et glissèrent dans la cyprine qui débordait du sexe ouvert de ma dulcinée. Voyant Elise bloquée, je lui proposais de m’utiliser comme gode, ou de s’occuper d’une des filles. Ma demande lui fit baisser le regard vers mon sexe dressé. Elle semblait complètement bloquée et je ne savais quoi faire pour qu’elle se bouge. Ma main caressait toute la longueur de la vulve de Louise, allant d’une extrémité à l’autre en prenant bien soin de caresser les lèvres gonflées. Mes doigts étaient complètement trempés et à voir Elise coincée, j’eu l’idée de soulever sa robe pour regarder sa chatte. Je crois que le blocage d’Elise me permit de faire ça et elle se laissa faire juste assez pour que je puisse regarder sa petite toison rousse. Quand je dis « petite toison », c’est vraiment ça car elle avait du passer la débroussailleuse méchamment pour avoir si peu de poil. Presque aussitôt après avoir aperçu sa touffe, elle remit le tissu en place pour cacher sa nudité.
Pour Elise, je devais faire une croix mais il n’y avait rien de grave la dedans car j’avais ma main sur le sexe de Louise et cela me donnait quelques promesses d’une culbute. Abandonnant Elise, Je me mis derrière Louise, entre ses jambes et je positionnais mon sexe entre ses fesses. Louise, toujours la tête sous le tissu de la robe de Marielle, gémit quand mon sexe glissa en elle. A partir de ce moment, je pus prendre les seins de Louise en main et les caresser. Loin d’être une brute, je caressais légèrement les seins en les portant doucement ou en laissant le balancement de la poitrine frotter contre mes mains. Mes mouvement en Louise étaient très doux et très lents pour que nous ressentions un maximum de sensations. Avec le concert de gémissements que Marielle et Louise faisaient, Elise ne tarda pas à se glisser son gode sous sa robe et à se bricoler toute seule. Je la voyais s’agiter sans jamais pouvoir regarder son engin en elle. Par contre, pour Marielle, je réussis à remonter le tissu de la robe pour voir ce qui se passait et, là, j’ai eu une vision superbe !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Sexapile33
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonne baise avec la première fille. J'espère que demain tu nous raconteras la site avec
les deux autres que tu baiseras. Tu as fait plus que me faire mouiller : je me suis
masturbée avec mon gode.
les deux autres que tu baiseras. Tu as fait plus que me faire mouiller : je me suis
masturbée avec mon gode.
hâte de lire la suite..;)) je compatis pour les ronces
C'est une histoire des plus belles, des plus sensibles en connaissance de "la femme" et
celle de la bite, que j'ai lue et, parbleu, j'en ai lu !
celle de la bite, que j'ai lue et, parbleu, j'en ai lu !