Cindy un amour de fac.
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Cindy un amour de fac.
Une nouvelle histoire qui je l'espère vous plaira.
Je m'appelle Cindy et j'allais rentré à la fac. J’étais dans le train qui me menait à Paris pour suivre mes études. Je repensais à ma dernière journée passée avec Romain, mon petit ami.
Nous étions seul dans sa chambre et nous nous caressions.
Tu vas me manquer... peut-être que nous pourrions varier un pu les choses pour le dernier jour... Tu ne reviendras pas avant noël.
Hum... Que veux-tu dire ?
J'avais sa bite en main et il me caressait la fente.
J'aimerais sentir ta bouche sur mon sexe... ce serait un peu comme un serment de fidélité entre nous.
Je ne sais pas pourquoi j'ai cédé... Je me suis penchée vers le membre long et dressé de mon copain qui jusqu'à présent se contentait des caresses de mes mains.
Ooooh ! C'est chaud et humide... Dis-donc, tes seins sont durs...
Il avait raison... ce sexe pour la première fois dans ma bouche me faisait un drôle d'effet... Mon corps s’enfiévrait comme ça ne m'était jamais arrivé...
Chérie... C’est si bon... si fort... Ooooh, je vais jouir...
Déçue par autant d'impatience, j'ai reçu son sperme sur les mains... Moi, je n'avais pas eu le temps de prendre mon pied...
Bref, j'étais encore vierge et bien innocente. À présent, je devais rejoindre la fac où je partagerais une chambre avec une autre fille que je connaissais pas. J'étais impatiente de découvrir avec qui j'allais vivre désormais.
Arrivé j'ouvre la porte et je tombe nez à nez avec une femme nue en plein milieu de l'appartement.
Oh ! Désolée, je...
Entre... il ne faut pas être gênée... Tu sais j'aime être à l'aise... Moi, c'est Claudine...
Cindy... Heureuse de faire ta connaissance...
La nudité de Claudine m’intimidait... A part moi, je n'avais encore jamais vu une fille nue... J'avais du mal à me détacher de sa toison brune fournie. Mais elle vu mal être et enfila une nuisette... transparente
Pour te faire plaisir je vais passer ça... tu sais, j'attends un copain... Tu peux pas me laisser un moment seule avec lui ? Tu comprends il y a des choses... Pierre est un type sympa et il a tout ce qu'il faut pour faire jouir une fille. Tu aimes ça, les grosses bites ?
Cette fille me révoltait. Etais-je tombée sur une nymphomane ?
Je... Je ne suis pas vraiment une experte en a matière...
Tu ne vas pas me dire que tu l'es encore ?
Ben oui... avec mon fiancé on se contentait de caresses.
Une fiancé ! Et une pucelle ! Je sens que je vais avoir du boulot avec toi ...
Après avoir fait brièvement connaissance, je l'ai laissée comme promis. Pendant deux heures, je me suis promenée dans la fac en attendant de rejoindre ma chambre. Je l'imaginais le sexe poilu écarté par le membre d'une homme. Ma culotte était trempée tant ma fente mouillait en évoquant ces images. Mais j'y fis aussi une rencontre.
Mlle hume l'odeur des lieux avant la rentrée ?
Je... Oui Monsieur, je viens d'arriver.
J'espère que vous serez à mes cours... J'aime les jolies filles...
L'homme me troublait avec sa voix grave et son visage de jeune premier. Je sentais son regard de mâle, sûr de sa séduction peser sur moi. Il devait lorgner sur mes cuisses dénudées par ma jupe trop courte. J'imaginais les idées qui pouvaient passer par sa tête.
Après les deux heures, je suis rentrée.
Ben ma fille, deux minutes plus tôt et tu nous trouvais en train de baiser... Ce salaud m'a sauté trois fois...
Oh, pardon... Je ne savais pas que tu étais rentrée ?
Hé ! Cochon ! Tu vas faire peur à ma copine.
Salut Cindy ! Claudine m'a parlé de toi... C'est vrai, tu es encore neuve ?
Il venait de sortir de la salle de bain dans le plus simple appareil et je dois avouer qu'il était plutôt bien équipé. Il n'était pas très beau mais son corps était déjà celui d'un homme. Sa nudité me troublait encore plus que l'impudeur de Claudine. Mais il se couvrit avec un essuie et , nous avons fait connaissance avant qu'il ne parte.
Dès le premier jour j'ai retrouvé mon inconnu. En fait, C'était Laurent Dumont, prof de philo. Toutes les filles étaient suspendues à ses lèvres.
Hum... Mlle se sent-elle moins seule que l'autre jour ?
Bof ! À part ma compagne de chambre, je ne connais personne.
Et moi alors ? Tenez, demain soir je vous invite au restaurant. Surtout ne dites pas non !
Comment avais-je pu accepter cette invitation ? Par curiosité ou par désir d'être seule avec cet homme qui me troublait. Mais j'étais encore dans mes pensées quand Pierre entra dans ma chambre.
Salut Cindy ! Alors, alors cette première journée ?
Bonjour Pierre. Bof ! Faut voir... Claudine est partie acheter des bouquins.
Je sais... C'est toi que je viens voir... Depuis l'autre jour je pense sans arrêt à toi...
Il était venus s'asseoir à côté de moi et immédiatement il commença à me peloter les seins.
Que fais-ru ? Il ne faut pas, Claudine est mon amie...
Claudine n'est pas jalouse... Tu sais elle s'envoie en l'air avec d'autres types... C'est un crime de cacher d'aussi beaux nichons...
Pierre... non... Je ne suis pas une fille comme ça...
Il venait de dégager mes seins du tissu de ma robe et il commença à les sucer. Il se montra ensuite de plus en plus entreprenant et je résistais de plus en plus mollement... L'image de son sexe me revenait sans cesse en mémoire... à travers le tissu de son pantalon je le devinait d’ailleurs gros et dur...
Ooooh, Pierre que me fais-tu ?
Maintenant étendue sur mon lit, il me releva la jupe de ma robe et d'un geste me retira ma culotte, dévoilant ma touffe et ma fente trempées.
Pas ça... Nooon...
Une chatte d'une vraie blonde, c'est plutôt rare...
Tu n'aime pas ?... J'ai moins de poils que Claudine...
Au contraire... c'est bien plus agréable à déguster.
Il se coucha entre mes cuisse et plongea sa bouche sur mon sexe
Nooon... C'est sale... on ne me l'a jamais fait...
Tu as beaucoup à apprendre... Laisse-moi faire, tu vas voir comme ça fait du bien...
Honteuse, mais incapable de refuser, je le laissais jouer avec mon clito dressé... me fouiller la fente de sa langue habille...
Aaaaah... Comme c'est bon... encore...
Soudain une grande chaleur m'a traversé le corps... pour la première fois je jouissais vraiment sous les caresses d'une homme.
Tu vois que c'est bon... à présent à toi de me faire du bien...
Il en profita pour baisser son pantalon et cette fois-ci son gros mandrin était en érection... Comment Claudine pouvait-elle prendre un tel engin en elle ? Je voulais le remercier pour le plaisir qu'il m'avait donné et lui montrer que je n'étais pas totalement gourde. Je me suis donc penchée pour prendre sa bite en bouche, mais après quelques vas-et-vient.
Laisse-moi te la mettre dans la chatte... ce sera encore meilleur qu'avec ta bouche ?
Non... Je suis encore vierge... pas encore...
Je sens que tu es une belle salope... Comme Claudine...
J'ai alors continué à lui sucer la bite pendant qu'il me caressait la fente. Soudain nous avons été interrompu.
Je vois que vous ne vous ennuyez pas en m'attendant... Continuez ça m'excite...
Claudine venait de faire irruption dans la chambre et cela sans que nous ayons entendu quoi que ce soit. Mais elle ne semblait pas le moins du monde choquée ou même fâchée. Au contraire, elle posa ses affaire s et enleva sa robe sous laquelle comme à son habitude, elle ne portait rien.
A présent que tu l'as bien préparée, laisse moi la mettre dans ma chatte... Tu vas voir ce que c'est de se faire prendre par une belle queue...
Elle s'approcha de Pierre qui venait de sa coucher sur a lit et le chevaucha. Quel spectacle que de voir le gros membre de Pierre s'enfoncer lentement dans la fente écartelée de Claudine... Sans oser me l'avouer, j'étais jalouse de ma nouvelle amie.
Viens. Chérie, caresse-moi les nichons, pendant qu'il me fait jouir...
Ses seins étaient plus petits que les miens, mais les bouts étaient gros et durs... C'était aussi la première fois que je prenais en main d'autres seins que les miens.
Que c'est bon... Vous allez me faire hurler comme une folle... Aaaaah oui... donne moi tout ton foutre... Aaaaah...
Je sentis Claudine se tendre et son corps fut parcouru de frissons avant qu'elle ne s'effondre sur le lit entre Pierre et moi.
Bon sang ! Ça fait du bien... si tu veux Pierre peut te faire la même chose... Il bande à la demande ce salaud !
Je ne suis pas prête... Vous m'avez laissé entrevoir bien des choses... Je... je voudrais me reposer à présent.
Viens, laissons Mlle à ces rêveries... Je t'offre une toile.
Restée seule sur le lit, je me suis longuement caressée tout en pensant à la grosse queue, -encore un mot que je n'avais jamais prononcé pour désigner le sexe d'un homme-, de Pierre labourant l'intimité de Claudine.
Le lendemain soir, je dînais dans un restaurant chic avec mon professeur de philosophie. Le repas fut agréable... sa voix chaude et l'alcool m’avaient mis dans un état semi-inconscient des plus excitant. Le repas terminé, il m'emmena dans un parc tout proche pour nous prendre l'air.
Cindy, j'ai très envie de vous embrasser... Vous permettez ?
J'étais trop molle pour lui refuser ce baiser... Il embrasait divinement... mon corps se tendait déjà vers lui.
Vous me rendez fou... Je vous en prie... Venez prendre un dernier verre chez moi...
Je savais ce que cette invitation signifiait. Je l'ai pourtant suivi, le cœur battant, jusque chez lui. Il m'invita à boire un verre de champagne et après quelques verres, nous avons longuement dansé. Et sans opposer de résistance, je l'ai laissé faire glisser ma robe à terre.
Que tu est belle... Dès le premier jour, j'ai eu envie de te voir nue..
J’étais en sous-vêtements, il s’assit ensuite entre mes jambes et après avoir baissé ma culotte, il plongea sa bouche sur ma fente.
Ton sexe sent bon la femelle qui attend son mâle..
Ooooh ! Je vous en prie...
Le contact de sa langue sur ma chatte me fit frissonner. Mais impudique, ne me reconnaissant plus, c'est moi qui ensuite l'incitait à me fouiller encore plus profondément... mes jambes ne me soutenait plus tant ses caresses étaient fortes.
Je fût tout à coup incapable de me tenir debout.
Assez... je n'en peux plus... je vais m'évanouir...
Je me suis effondrée au sol à demi-inconsciente. Il me prit dans ses bras et me porta sur son lit. Étendue nue, je le regardais se dévêtir... Son corps était celui d'une homme musclé et fort... Déjà son sexe était dressé, prêt à faire céder l'hymen qui ferait de moi une femme. Envoûte par cette folle soirée, j'avais décidé de lui offrir ma virginité. Il est venu se mettre entre mes cuisses.
Viens... Prends-moi, mais fais doucement, je suis encore vierge.
Vierge ! Quel beau cadeau tu me fais là... Je serais doux et... tu es bien lubrifiée...
Il venait de glisser ses doigts dans ma chatte et déjà je mouillais comme une folle. Il vint ensuite se poster au-dessus de moi et il colla son sexe contre le mien. Il était moins gros que celui de Pierre, mais j'ai eu peur lorsque j'ai senti son membre écarter mes lèvres intimes. Laurent était très tendu... lentement, il vint buter contre le dernier rempart de ma virginité... J'étais chaude et excitée, prête à tout pour me sentir enfin pénétrée par un sexe d'homme.
Viens... Enfonce-toi... Je te veux tout entier en moi !
Quand il laissa tout son poids le faire entrer en moi, j'ai senti une douleur vive lorsqu'il m'a transpercée, puis j'ai eu l'impression curieuse d'être coupée en deux... Il ne bougeait plus... Enfin, il allait et venait avec lenteur... Je n'avais plus mal... au contraire, des ondes inconnues traversaient mon corps fiévreux.
Tu es si étroite... c'est bon... Je vais pas tenir longtemps.
Oh chéri... Je suis si bien... ne... ne jouis pas en moi, je ne prends pas la pilule.
Je viens... Je vais tout cracher...
Il ressortit et de longs jets de sperme chaud arrosaient mon ventre... J'avais aimé cette première fois, mais je n'avais pas connu le bonheur fou dont m'avait parlé Claudine. Il m'a demandé de passer le reste de la nuit avec lui, mais j'ai préféré rentrer à la fac.
J'espère que nous repasserons d'autres soirées comme celle-ci.
Bien sûr... Mais tu comprends, c'était la première fois.
Je suis rentrée très tard à l'appartement et lorsque j'ai été dans la chambre, Claudine était encore réveillée.
Hé ! Hé ! Mlle a découché ?
Oh Claudine si tu savais...
J'ai soudain ressenti de la honte d'avoir laissé ainsi ma virginité s'envoler et je me suis effondrée à côté d'elle.
Je... je viens e perdre mon pucelage...
Pleures pas chérie, c'est toujours comme ça la première fois.
Elle me consola et après m'être changée je me suis endormie à côté d'elle.
Le lendemain, j'ai suivi le cours de Laurent sans le quitter des yeux. Malgré moi, je mouillais... Je voulais le sentir de nouveau en moi. J'ai attendu que tout le monde soit sorti pour être seule avec lui.
Laurent, je veux faire l'amour... Viens, prends-moi !
Voyons Mlle, un peu de tenue... Reprenez-vous et gagnez votre prochain cours.
Le salaud ! Il me repoussait après avoir obtenu ma virginité. Quand je suis rentrée, je me suis blottie dans mon lit en pleurs. Claudine me voyant ainsi est venue me consoler.
Vas-tu te calmer ?... Ton Laurent est un mufle, mais une queue est une queue... Si tu crois que Pierre me suffit !
Tu veux dire que tu as d'autres amants ?
Et comment ! Même des vieux qui me filent du fric pour me baiser. Et j'en connaît un qui aimerai bien s'offrir une nana comme toi.
Elle venait par la même occasion de glisser sa mais dans ma culotte et me titillait le clito.
Plus tard... caresse moi encore... c'est si bon...
Je me suis laissé faire et elle en profita pour parcourir chaque partie de mon corps.
Ouiii... Plus profond tes doigts ma chérie... Tu sais si bien trouver les points sensibles... Ouiiii !!!
Encore une fois je fut surprise en plein ébat. Mais cette fois c'était Pierre que me surpris en compagnie de Claudine.
Hé, les filles, faut fermer à clef lorsque vous vous envoyez en l'air !
Pierre ! Sale petit voyeur... Viens donc nous rejoindre...
Je vais vous laisser...
Tu restes ! Pierre rêve de ton petit cul ma chérie, et je ne suis pas jalouse.
Ces quelques secondes de discutions entre Claudine et moi avaient suffit à Pierre pour se retrouver à poil, le bite dressée.
Viens chéri ! Elle est prête à se faire défoncer !
Effectivement, je n'ai opposé aucune résistance quand il est venu se coucher sur moi.
J'ai honte... comme ça, devant toi...
Et il me pénétra, bien plus brutalement que Laurent, mais il n'avait plus de barrière à franchir.
Bon dieu ! Qu'elle est étroite.
Haaaa... Tu es si gros... Doucement...
Je sentais sa queue entrer et sortir de moi en cadence et j'aimais cela. Quand je vis Claudine au-dessus de moi.
Bouffe moi la chatte... Moi aussi je veux prendre mon pied.
Le sexe de Claudine était chaud et humide... Mon plaisir était à son comble. Je l'ai mordu lorsque j'ai senti le foutre brûlant de Pierre envahir ma chatte.
Quel pied ! Ta copine est une sacrée vicieuse.
Tu vas redonner vie à sa queue... avec ta bouche.
Sans rechigner, j'ai embouché le membre encore couvert du mélange de son sperme et de ma mouille. Claudine avait raison, très vite, il était de nouveau prêt à transpercer.Pendant des longues heures nous avons épuisé Pierre, qui fini par demander grâce. Il nous avait pénétrée à nouveau toutes les deux et même glissé son sexe dans le cul de Claudine. ET c'est épuisée qu'il nous laissa terminer la nuit ensemble.
Au petit matin Claudine et moi étions toujours nues dans le épuisée par notre folle nuit.
Je suis crevée...
Et dans une demi-heure les cours commencent...
Alors qu'elle s'habillait, j'étais jalouse des sous-vêtements qu'elle avait.
Mmm... Tu aimes ?
Oh... Oui, ils sont joli.
Tu peux avoir du blé et en acheter... avec ton joli petit cul... Viens avec moi ce soir.
Ce soir-là, j'ai suivi mon amie... pour l'argent, mais aussi pour savoir.
C'est un vieux friqué à mort... Il aime offrir de jolies filles à ses amis... Lui, il ne peut plus.
Nous sommes arrivées devant une grande demeure.
C'est ici ! Tu fais ce qu'ils demandent, il faut toujours obéir.
Un homme âgé, grand et mince est venu nous ouvrir.
Comme c'est gentil, tu es venue avec une amie.
Ta vas voir, Mr Paul est très gentil.
Il nous amena dans une pièce où trois autres hommes étaient assis. Tous avaient un certain age et un regard lubrique quand il nous regardaient.
Mes ami, notre Claudine est une brave fille... elle nous offre le petite Cindy... presque une pucelle.
Oh...
Tu vas te déshabiller et nous montrer comme tu es belle.
J'avais peur... mais j'avais promis à Claudine d'obéir. Tout en poursuivant mon strip-tease, j'observais Claudine assise entre deux hommes. Je n'aurais jamais imaginé autant de perversité en elle. Elle venait de sortir leurs bites et les branlait tous les deux, alors que le troisième se masturbait en me regardant. Qu'allaient-ils exiger de moi ?
Ta copine a deux beaux nichons, chérie !
Viens près de moi la nouvelle... Viens ma petite fille.
N'aies pas peur... Il est très gentil papy...
Viens sur les genoux de papy...
Il me tira vers lui et assise sur ses genoux, il m'obligea à lui prendre la bite en main.
Sens comme papy est heureux d'avoir sa petite fille.
Qu'elle est douce et grosse la bite de mon papy.
Claudine, elle était maintenant à quatre pattes et offrais son cul aux deux autres compères.
Venez... Prenez-moi... J'en ai trop envie...
Elle fut prise par les deux inconnus. Un lui labourant la chatte alors que l'autre lui baisait la bouche. Moi je sentais le mien me soulever afin de s'enfoncer dans ma chatte.
Comme elle entre bien... Tu es toute excitée ma petite fille.
Il avait raison, cette étrange situation me faisait mouiller et plus il me pénétrait, plus je mouillais. Claudine se faisait remplir par les autres et c'est à ce moment que mon attention fut attirée par un bruit. Mr Paul était en train de nous filmer... le plaisir qui montait en moi m'empêchait de réagir.
Encore ! Ouvrez bien vas chattes mes petite amies.
Les amis de Mr Paul finirent par jouir. J'ai été déçue quand il jouis juste avant que je ne prenne mon pied... Claudine elle, buvait le jus de ces amants.
Hum !... Comme j'aime le foutre...
Cela fait, Mr Paul nous réuni.
Avant de continuer, nous allons boire et manger... Alphonse, tu peux entrer.
J'avais honte de montrer mon corps au domestique... Mais tout le monde semblait s'en moquer.
Très vite j'avais trop bu et Claudine encore plus que moi.
Dis-moi, ma petite Cindy, n'as-tu jamais rêvé avoir les trois trous remplis ?
C'est que mon petit derrière est encore tout neuf.
Mes amis sont habiles... Ils ne te feront pas de mal... Regarde, Claudine les prépare...
En effet, elle était à genoux au milieu' d'eux et les suçaient pour qu'ils badent de nouveau. Malgré la peur mon bas ventre était déjà tout humide... Claudine était une vrai salope.
Ils sont prêts ma chérie... Viens...
Elle me coucha sur un lit et écarta mes cuisses.
Tu vas te coucher en écartant le plus possible.
Le plus grand s'est placé entre mes cuisses, m'enfilant sans le moindre mal tant j'étais mouillée.
A présent tu vas soulever tes jambes afin d'offrir ton petit trou.
Elle glissa ensuite son doigt enduit de vaseline sur mon anus.
Avec ça tu ne sentiras rien.
Un second homme est venu sur le lit et présenta sa bite à l'entrée de cul.
Vas-y doucement, elle est étroite.
Nooon ! J'ai trop mal...
Il venait de commencer à me dilater l'anus et j'avais l'impression d'être déchirée.
Ça rentre... dieu que c'est étroit.
Aieeee !!! C'est trop...
Son gland venait de passer et je les avais tous les deux en moi... Je sentais leurs deux énormes queues entrer et sortir de moi.
Ouvre bien le bec... Voici le troisième...
Claudine me tourna la tête et la troisième bite me baisa la bouche. Mr Paul continuait à filmer... Avec l'alcool avaler et ces trois pieux en moi, j'étais dingue.
C'est trop... Je n'en peux plus... Ooooh... Ces queues qui me remplissent...
Vas-y ma jolie petite pute... Ouvre bien tes trous.
Claudine m'encourageait tout es se masturbant et me caressant le clito. Mais tout à coup, elle ne pu se retenir, l'envie d'une bite était trop forte.
Viens Alphonse, moi aussi j'ai envie de me faire défoncer.
Oh ! Mademoiselle !
Elle se précipita sur lui, et sorti sa bite de son pantalon.
C'est mou ça, tu vas voir, je vais le faire grossir.
Puisque Mademoiselle le désire, je suis à elle.
Elle le suçait et moi j'étais défoncée par trois hommes. Quel beau tableau pour Mr Paul filmer. L'homme qui occupait ma bouche s'est déversé le premier en moi m'obligeant de tout avaler. C'est ensuite dans mon anus qu'une suite de longs jets se sont libérés. J'ai pris un pied fabuleux alors que le troisième me remplissait la chatte. Je n'étais plus qu'une fille comblée. Épuisée, nous regardions Claudine offrir ses fesses à Alphonse qui en oubliait toute retenue.
Que mademoiselle est chaude.
La soirée se termina un peu plus tard et nous sommes reparties comme nous étions venue.
Après cette soirée, je me sentais sale... Je ne parlais pratiquement plus à Claudine qui poursuivait ses activités lucratives. Je savais qu'elle se rendait toujours chez Mr Paul. Surtout quand elle s'habillait comme une putain.
Salut Mlle la pudeur. Je vais m'envoyer en l'air...
Je m'étais calmée et puis mon tempérament de feu a repris le dessus. Un matin , en cours de math la main douce et chaude de mon voisin s’est posée sur ma cuisse. Je l'ai laissé faire et il a certainement senti mon slip déjà humide. J'attendais avec impatience qu'il ose me caresser la chatte.C'était tellement bon et j'en avais tellement envie.
A midi dans la salle de gym... Je connais un coin sympa...
Il venait de me glisser à l'oreille le rendez-vous que j'attendais. Ma tête me disait de ne pas y aller, mon corps était déjà livré à lui.
A midi, je l'ai rejoins et il m'attira dans un petit local inoccupé.
Viens... Ils sont à la cantine... la salle de repos est vide. Tu sais ce matin, je bandais comme un dingue.
C'était l'infirmerie et il me coucha sur le lit.
Ben ma cochonne, tu es déjà toute humide. Je ne faisait rien, ne disais rien. Seul comptais son sexe qui déjà cherchait le chemin de ma fente.
Oh oui ! C'est si bon d'être enfilée...
Tu aimes ça...
Il me pénétrait de plus en plus fort et me caressait en même temps les seins.
Ouiiii... J'aime... prends-moi plus fort...
Tu es chaude et bonne... Je ne vais pas tenir plus longtemps.
Nous avons joui en même temps... Puis nous sommes restés soudés l'un à l'autre pendant de longues minutes et quand il se retira, je sentis son sperme chaud couler le long de mes cuisses.
Moi c'est Bob, et toi ?
Cindy... Tu sais, je t'avais déjà remarqué dans les cours... tu fais ça bien.
Tu veux que l'on fasse cela dans un lit normal ? J'ai envie de te sentir nue contre moi.
Moi aussi, je veux m'occuper de ta queue mon chéri.
Par la suite, nous nous rencontrions dans sa chambre. Il était à la fois doux et viril, j'aimais jouir dans ses bras.
Je n'avais rien dit à Claudine, mais elle se doutait que je n'étais plus la même. Mais un soir tout a basculé. Claudine pleurait lorsque je suis rentrée.
Ça va pas ? Tu as des problèmes ?
Oh, ma chérie, si tu savais... Ils m'ont fouettée chez Mr Paul.
Elle souleva sa robe et je vis son corps lacéré de longues marques rouges.
Je ne voulais pas, mais ils veulent que je te montre ces photos.
Elle me montra plusieurs photos de la fois où j'avais été avec elle.
Ils veulent que tu reviennes avec moi sinon, ils envoient des copies à tes parents.
Comment sauraient-ils où habite ma famille ?
J'ai été obligée de leurs dire, ils m'ont battue jusqu'à ce que je parle.
Ma pauvre chérie... Laisse-moi faire... Je vais te faire du bien.
Sans même réfléchir, je me suis penchée sur elle et après tout j'étais aussi coupable qu'elle en ayant accepté de la suivre chez ces détraqués. Je me rapprochais de sa chatte.
Ma fente... embrasse mon petit bouton. C'est bon... ta langue... Hummm...
Dès le lendemain, nous retrouvions Mr Paul et ses invités... Un couple qui s'est servi de nous toute la nuit.
La femme s'occupant de Claudine, l'homme me pénétrait et maintenant il voulait s'offrir mon cul.
A présent, je vais te la mettre dans le cul !
Oh non ! Ça me fait trop mal...
Je ne suis pas une brute, ta copine va préparer le terrain.
Il m'obligea à me mettre à quatre pattes et Claudine dut me lécher l'anus. J'avais honte d'offrir ainsi mon petit trou à la bouche de mon amie devant ces personnes. Mais pendant ce temps, sa femme s'occupait entretenir son érection en le suçant.
Toi, tu vas me faire bander à mort !
Tout en appréciant l'adresse de Claudine, j'observais l'énorme engin qui allait bientôt me défoncer. Le moment venu, il remplaça Claudine derrière moi.
Assez plaisanté... Tu vas sentir ma queue dans le fion...
Doucement... Je vous en prie...
Ne te crispe pas... écarte les fesses.
Tu vois... ça va rentrer... Bon dieu, tu es serrée...
J'ai hurlé au moment où l'énorme engin s'est enfoncé en moi.
Viens... Bouffe la chatte de ta copine.
La femme poussa Claudine sous moi et elle fut obligée de me lécher la fente dégoulinant de mouille. A travers les larmes qui coulaient le long de mes joues, j'observais la femme qui maintenant se caressait tout en se délectant de ma douleur. La nuit fut longue et par la suite, deux fois par semaine, nous nous rendions chez Mr Paul.
Je continuais à voir Bob, mais mon corps n'avait plus le même désir de ses caresses. Claudine savait et était un peu jalouse de notre amour. Contrairement à elle, je ne voulais pas partager. Mais un soir en rentrant des cours, j'ai découvert leur trahison. Bob sur Claudine lui défonçant la chatte.
Salaud !!!
C'est pas gentil de ne pas faire profiter sa copine des bonnes occasions.
Cindy, tu dois me croire, c'est elle qui m'a attiré ici et m'a fait un numéro pas croyable.
Allons chérie, tu sais bien que personne ne peut résister à ma chatte... pas même toi, sainte-nitouche !
Bob était toujours nu la bite encore dressée et Claudine en profita.
Ce salaud m'a épuisée... Je suis pleine de foutre et tu vois il bande toujours ! Tu vas pouvoir lui offrir ta moule... à moins que ton petit cul...
Mais plutôt que de fuir ou de protester, je me suis laissée dévêtir par mon amie. C'était plus fort que moi, mais ma chatte était déjà toute humide, prête à recevoir le sexe de l’homme qui venait de me tromper.
Vas-y, fourre-là ! Tu vois qu'elle ne demande pas que ça ?
Elle a raison... Viens, prends-moi bien à fond.
Il se coucha sur moi et me pénétra. J'aimais sa bite en moi et rapidement je jouis sous ses assauts.
Ouiiii... c'est si bon...
Petite vicieuse... Bouffe... C'est plein de foutre !
Claudine venait de se mettre au-dessus de mon visage et laissait couler le foutre qui remplissait sa chatte jusque dans ma bouche grande ouverte. Je ne savais plus ce que je faisais... où plutôt, je ne voulais penser qu'au plaisir que me donnaient ces deux sexes qui jouissaient de mon corps en feu.
Je viens... Je vais tout te mettre dans la chatte.
Aaaah ! Moi aussi... Elle me fait vibrer le petit bouton cette sale putain.
Après cette mémorable soirée, je partageais mes nuits entre les partouzes chez Mr Paul et les folles étreintes en compagnie de Claudine, bob et Pierre qui s'était joint à nous. Un soir, je me suis rendue compte que les vacance arrivaient.
C'est dingue, mais je vais regretter la fac...
Hé, oui, ma grande... Les vacances arrivent, va falloir te trouver d'autres étalons...
Cette fois je les ai observé tout en me caressant. Claudine se faisant prendre par devant et par derrière par les deux grosses bites.
Mais je ne me doutais pas que pour moi la vie d'étudiante touchait à sa fin. Le lendemain, j'apprenais le décès de mon père... Un rude coups pour ma mère et l'entreprise de transport qu'il dirigeait. Plus question d'études, j'ai du reprendre les rênes de la société. Me voici aux prises avec une bande d'homme brutaux et bien plus rudes que mes amis de la fac.Mais en tant que patronne, lorsque ça me dérangeait trop, j'en entrainais un dans le garage. J'avais appris à aimer me faire prendre dans les cabines des camions. C'était rapide et peu confortable, mais ça me faisait rudement du bien.
Et maintenant sans cesse, ma mère me demande si j'ai un fiancé. La pauvre si elle savait...
Fin...
Je m'appelle Cindy et j'allais rentré à la fac. J’étais dans le train qui me menait à Paris pour suivre mes études. Je repensais à ma dernière journée passée avec Romain, mon petit ami.
Nous étions seul dans sa chambre et nous nous caressions.
Tu vas me manquer... peut-être que nous pourrions varier un pu les choses pour le dernier jour... Tu ne reviendras pas avant noël.
Hum... Que veux-tu dire ?
J'avais sa bite en main et il me caressait la fente.
J'aimerais sentir ta bouche sur mon sexe... ce serait un peu comme un serment de fidélité entre nous.
Je ne sais pas pourquoi j'ai cédé... Je me suis penchée vers le membre long et dressé de mon copain qui jusqu'à présent se contentait des caresses de mes mains.
Ooooh ! C'est chaud et humide... Dis-donc, tes seins sont durs...
Il avait raison... ce sexe pour la première fois dans ma bouche me faisait un drôle d'effet... Mon corps s’enfiévrait comme ça ne m'était jamais arrivé...
Chérie... C’est si bon... si fort... Ooooh, je vais jouir...
Déçue par autant d'impatience, j'ai reçu son sperme sur les mains... Moi, je n'avais pas eu le temps de prendre mon pied...
Bref, j'étais encore vierge et bien innocente. À présent, je devais rejoindre la fac où je partagerais une chambre avec une autre fille que je connaissais pas. J'étais impatiente de découvrir avec qui j'allais vivre désormais.
Arrivé j'ouvre la porte et je tombe nez à nez avec une femme nue en plein milieu de l'appartement.
Oh ! Désolée, je...
Entre... il ne faut pas être gênée... Tu sais j'aime être à l'aise... Moi, c'est Claudine...
Cindy... Heureuse de faire ta connaissance...
La nudité de Claudine m’intimidait... A part moi, je n'avais encore jamais vu une fille nue... J'avais du mal à me détacher de sa toison brune fournie. Mais elle vu mal être et enfila une nuisette... transparente
Pour te faire plaisir je vais passer ça... tu sais, j'attends un copain... Tu peux pas me laisser un moment seule avec lui ? Tu comprends il y a des choses... Pierre est un type sympa et il a tout ce qu'il faut pour faire jouir une fille. Tu aimes ça, les grosses bites ?
Cette fille me révoltait. Etais-je tombée sur une nymphomane ?
Je... Je ne suis pas vraiment une experte en a matière...
Tu ne vas pas me dire que tu l'es encore ?
Ben oui... avec mon fiancé on se contentait de caresses.
Une fiancé ! Et une pucelle ! Je sens que je vais avoir du boulot avec toi ...
Après avoir fait brièvement connaissance, je l'ai laissée comme promis. Pendant deux heures, je me suis promenée dans la fac en attendant de rejoindre ma chambre. Je l'imaginais le sexe poilu écarté par le membre d'une homme. Ma culotte était trempée tant ma fente mouillait en évoquant ces images. Mais j'y fis aussi une rencontre.
Mlle hume l'odeur des lieux avant la rentrée ?
Je... Oui Monsieur, je viens d'arriver.
J'espère que vous serez à mes cours... J'aime les jolies filles...
L'homme me troublait avec sa voix grave et son visage de jeune premier. Je sentais son regard de mâle, sûr de sa séduction peser sur moi. Il devait lorgner sur mes cuisses dénudées par ma jupe trop courte. J'imaginais les idées qui pouvaient passer par sa tête.
Après les deux heures, je suis rentrée.
Ben ma fille, deux minutes plus tôt et tu nous trouvais en train de baiser... Ce salaud m'a sauté trois fois...
Oh, pardon... Je ne savais pas que tu étais rentrée ?
Hé ! Cochon ! Tu vas faire peur à ma copine.
Salut Cindy ! Claudine m'a parlé de toi... C'est vrai, tu es encore neuve ?
Il venait de sortir de la salle de bain dans le plus simple appareil et je dois avouer qu'il était plutôt bien équipé. Il n'était pas très beau mais son corps était déjà celui d'un homme. Sa nudité me troublait encore plus que l'impudeur de Claudine. Mais il se couvrit avec un essuie et , nous avons fait connaissance avant qu'il ne parte.
Dès le premier jour j'ai retrouvé mon inconnu. En fait, C'était Laurent Dumont, prof de philo. Toutes les filles étaient suspendues à ses lèvres.
Hum... Mlle se sent-elle moins seule que l'autre jour ?
Bof ! À part ma compagne de chambre, je ne connais personne.
Et moi alors ? Tenez, demain soir je vous invite au restaurant. Surtout ne dites pas non !
Comment avais-je pu accepter cette invitation ? Par curiosité ou par désir d'être seule avec cet homme qui me troublait. Mais j'étais encore dans mes pensées quand Pierre entra dans ma chambre.
Salut Cindy ! Alors, alors cette première journée ?
Bonjour Pierre. Bof ! Faut voir... Claudine est partie acheter des bouquins.
Je sais... C'est toi que je viens voir... Depuis l'autre jour je pense sans arrêt à toi...
Il était venus s'asseoir à côté de moi et immédiatement il commença à me peloter les seins.
Que fais-ru ? Il ne faut pas, Claudine est mon amie...
Claudine n'est pas jalouse... Tu sais elle s'envoie en l'air avec d'autres types... C'est un crime de cacher d'aussi beaux nichons...
Pierre... non... Je ne suis pas une fille comme ça...
Il venait de dégager mes seins du tissu de ma robe et il commença à les sucer. Il se montra ensuite de plus en plus entreprenant et je résistais de plus en plus mollement... L'image de son sexe me revenait sans cesse en mémoire... à travers le tissu de son pantalon je le devinait d’ailleurs gros et dur...
Ooooh, Pierre que me fais-tu ?
Maintenant étendue sur mon lit, il me releva la jupe de ma robe et d'un geste me retira ma culotte, dévoilant ma touffe et ma fente trempées.
Pas ça... Nooon...
Une chatte d'une vraie blonde, c'est plutôt rare...
Tu n'aime pas ?... J'ai moins de poils que Claudine...
Au contraire... c'est bien plus agréable à déguster.
Il se coucha entre mes cuisse et plongea sa bouche sur mon sexe
Nooon... C'est sale... on ne me l'a jamais fait...
Tu as beaucoup à apprendre... Laisse-moi faire, tu vas voir comme ça fait du bien...
Honteuse, mais incapable de refuser, je le laissais jouer avec mon clito dressé... me fouiller la fente de sa langue habille...
Aaaaah... Comme c'est bon... encore...
Soudain une grande chaleur m'a traversé le corps... pour la première fois je jouissais vraiment sous les caresses d'une homme.
Tu vois que c'est bon... à présent à toi de me faire du bien...
Il en profita pour baisser son pantalon et cette fois-ci son gros mandrin était en érection... Comment Claudine pouvait-elle prendre un tel engin en elle ? Je voulais le remercier pour le plaisir qu'il m'avait donné et lui montrer que je n'étais pas totalement gourde. Je me suis donc penchée pour prendre sa bite en bouche, mais après quelques vas-et-vient.
Laisse-moi te la mettre dans la chatte... ce sera encore meilleur qu'avec ta bouche ?
Non... Je suis encore vierge... pas encore...
Je sens que tu es une belle salope... Comme Claudine...
J'ai alors continué à lui sucer la bite pendant qu'il me caressait la fente. Soudain nous avons été interrompu.
Je vois que vous ne vous ennuyez pas en m'attendant... Continuez ça m'excite...
Claudine venait de faire irruption dans la chambre et cela sans que nous ayons entendu quoi que ce soit. Mais elle ne semblait pas le moins du monde choquée ou même fâchée. Au contraire, elle posa ses affaire s et enleva sa robe sous laquelle comme à son habitude, elle ne portait rien.
A présent que tu l'as bien préparée, laisse moi la mettre dans ma chatte... Tu vas voir ce que c'est de se faire prendre par une belle queue...
Elle s'approcha de Pierre qui venait de sa coucher sur a lit et le chevaucha. Quel spectacle que de voir le gros membre de Pierre s'enfoncer lentement dans la fente écartelée de Claudine... Sans oser me l'avouer, j'étais jalouse de ma nouvelle amie.
Viens. Chérie, caresse-moi les nichons, pendant qu'il me fait jouir...
Ses seins étaient plus petits que les miens, mais les bouts étaient gros et durs... C'était aussi la première fois que je prenais en main d'autres seins que les miens.
Que c'est bon... Vous allez me faire hurler comme une folle... Aaaaah oui... donne moi tout ton foutre... Aaaaah...
Je sentis Claudine se tendre et son corps fut parcouru de frissons avant qu'elle ne s'effondre sur le lit entre Pierre et moi.
Bon sang ! Ça fait du bien... si tu veux Pierre peut te faire la même chose... Il bande à la demande ce salaud !
Je ne suis pas prête... Vous m'avez laissé entrevoir bien des choses... Je... je voudrais me reposer à présent.
Viens, laissons Mlle à ces rêveries... Je t'offre une toile.
Restée seule sur le lit, je me suis longuement caressée tout en pensant à la grosse queue, -encore un mot que je n'avais jamais prononcé pour désigner le sexe d'un homme-, de Pierre labourant l'intimité de Claudine.
Le lendemain soir, je dînais dans un restaurant chic avec mon professeur de philosophie. Le repas fut agréable... sa voix chaude et l'alcool m’avaient mis dans un état semi-inconscient des plus excitant. Le repas terminé, il m'emmena dans un parc tout proche pour nous prendre l'air.
Cindy, j'ai très envie de vous embrasser... Vous permettez ?
J'étais trop molle pour lui refuser ce baiser... Il embrasait divinement... mon corps se tendait déjà vers lui.
Vous me rendez fou... Je vous en prie... Venez prendre un dernier verre chez moi...
Je savais ce que cette invitation signifiait. Je l'ai pourtant suivi, le cœur battant, jusque chez lui. Il m'invita à boire un verre de champagne et après quelques verres, nous avons longuement dansé. Et sans opposer de résistance, je l'ai laissé faire glisser ma robe à terre.
Que tu est belle... Dès le premier jour, j'ai eu envie de te voir nue..
J’étais en sous-vêtements, il s’assit ensuite entre mes jambes et après avoir baissé ma culotte, il plongea sa bouche sur ma fente.
Ton sexe sent bon la femelle qui attend son mâle..
Ooooh ! Je vous en prie...
Le contact de sa langue sur ma chatte me fit frissonner. Mais impudique, ne me reconnaissant plus, c'est moi qui ensuite l'incitait à me fouiller encore plus profondément... mes jambes ne me soutenait plus tant ses caresses étaient fortes.
Je fût tout à coup incapable de me tenir debout.
Assez... je n'en peux plus... je vais m'évanouir...
Je me suis effondrée au sol à demi-inconsciente. Il me prit dans ses bras et me porta sur son lit. Étendue nue, je le regardais se dévêtir... Son corps était celui d'une homme musclé et fort... Déjà son sexe était dressé, prêt à faire céder l'hymen qui ferait de moi une femme. Envoûte par cette folle soirée, j'avais décidé de lui offrir ma virginité. Il est venu se mettre entre mes cuisses.
Viens... Prends-moi, mais fais doucement, je suis encore vierge.
Vierge ! Quel beau cadeau tu me fais là... Je serais doux et... tu es bien lubrifiée...
Il venait de glisser ses doigts dans ma chatte et déjà je mouillais comme une folle. Il vint ensuite se poster au-dessus de moi et il colla son sexe contre le mien. Il était moins gros que celui de Pierre, mais j'ai eu peur lorsque j'ai senti son membre écarter mes lèvres intimes. Laurent était très tendu... lentement, il vint buter contre le dernier rempart de ma virginité... J'étais chaude et excitée, prête à tout pour me sentir enfin pénétrée par un sexe d'homme.
Viens... Enfonce-toi... Je te veux tout entier en moi !
Quand il laissa tout son poids le faire entrer en moi, j'ai senti une douleur vive lorsqu'il m'a transpercée, puis j'ai eu l'impression curieuse d'être coupée en deux... Il ne bougeait plus... Enfin, il allait et venait avec lenteur... Je n'avais plus mal... au contraire, des ondes inconnues traversaient mon corps fiévreux.
Tu es si étroite... c'est bon... Je vais pas tenir longtemps.
Oh chéri... Je suis si bien... ne... ne jouis pas en moi, je ne prends pas la pilule.
Je viens... Je vais tout cracher...
Il ressortit et de longs jets de sperme chaud arrosaient mon ventre... J'avais aimé cette première fois, mais je n'avais pas connu le bonheur fou dont m'avait parlé Claudine. Il m'a demandé de passer le reste de la nuit avec lui, mais j'ai préféré rentrer à la fac.
J'espère que nous repasserons d'autres soirées comme celle-ci.
Bien sûr... Mais tu comprends, c'était la première fois.
Je suis rentrée très tard à l'appartement et lorsque j'ai été dans la chambre, Claudine était encore réveillée.
Hé ! Hé ! Mlle a découché ?
Oh Claudine si tu savais...
J'ai soudain ressenti de la honte d'avoir laissé ainsi ma virginité s'envoler et je me suis effondrée à côté d'elle.
Je... je viens e perdre mon pucelage...
Pleures pas chérie, c'est toujours comme ça la première fois.
Elle me consola et après m'être changée je me suis endormie à côté d'elle.
Le lendemain, j'ai suivi le cours de Laurent sans le quitter des yeux. Malgré moi, je mouillais... Je voulais le sentir de nouveau en moi. J'ai attendu que tout le monde soit sorti pour être seule avec lui.
Laurent, je veux faire l'amour... Viens, prends-moi !
Voyons Mlle, un peu de tenue... Reprenez-vous et gagnez votre prochain cours.
Le salaud ! Il me repoussait après avoir obtenu ma virginité. Quand je suis rentrée, je me suis blottie dans mon lit en pleurs. Claudine me voyant ainsi est venue me consoler.
Vas-tu te calmer ?... Ton Laurent est un mufle, mais une queue est une queue... Si tu crois que Pierre me suffit !
Tu veux dire que tu as d'autres amants ?
Et comment ! Même des vieux qui me filent du fric pour me baiser. Et j'en connaît un qui aimerai bien s'offrir une nana comme toi.
Elle venait par la même occasion de glisser sa mais dans ma culotte et me titillait le clito.
Plus tard... caresse moi encore... c'est si bon...
Je me suis laissé faire et elle en profita pour parcourir chaque partie de mon corps.
Ouiii... Plus profond tes doigts ma chérie... Tu sais si bien trouver les points sensibles... Ouiiii !!!
Encore une fois je fut surprise en plein ébat. Mais cette fois c'était Pierre que me surpris en compagnie de Claudine.
Hé, les filles, faut fermer à clef lorsque vous vous envoyez en l'air !
Pierre ! Sale petit voyeur... Viens donc nous rejoindre...
Je vais vous laisser...
Tu restes ! Pierre rêve de ton petit cul ma chérie, et je ne suis pas jalouse.
Ces quelques secondes de discutions entre Claudine et moi avaient suffit à Pierre pour se retrouver à poil, le bite dressée.
Viens chéri ! Elle est prête à se faire défoncer !
Effectivement, je n'ai opposé aucune résistance quand il est venu se coucher sur moi.
J'ai honte... comme ça, devant toi...
Et il me pénétra, bien plus brutalement que Laurent, mais il n'avait plus de barrière à franchir.
Bon dieu ! Qu'elle est étroite.
Haaaa... Tu es si gros... Doucement...
Je sentais sa queue entrer et sortir de moi en cadence et j'aimais cela. Quand je vis Claudine au-dessus de moi.
Bouffe moi la chatte... Moi aussi je veux prendre mon pied.
Le sexe de Claudine était chaud et humide... Mon plaisir était à son comble. Je l'ai mordu lorsque j'ai senti le foutre brûlant de Pierre envahir ma chatte.
Quel pied ! Ta copine est une sacrée vicieuse.
Tu vas redonner vie à sa queue... avec ta bouche.
Sans rechigner, j'ai embouché le membre encore couvert du mélange de son sperme et de ma mouille. Claudine avait raison, très vite, il était de nouveau prêt à transpercer.Pendant des longues heures nous avons épuisé Pierre, qui fini par demander grâce. Il nous avait pénétrée à nouveau toutes les deux et même glissé son sexe dans le cul de Claudine. ET c'est épuisée qu'il nous laissa terminer la nuit ensemble.
Au petit matin Claudine et moi étions toujours nues dans le épuisée par notre folle nuit.
Je suis crevée...
Et dans une demi-heure les cours commencent...
Alors qu'elle s'habillait, j'étais jalouse des sous-vêtements qu'elle avait.
Mmm... Tu aimes ?
Oh... Oui, ils sont joli.
Tu peux avoir du blé et en acheter... avec ton joli petit cul... Viens avec moi ce soir.
Ce soir-là, j'ai suivi mon amie... pour l'argent, mais aussi pour savoir.
C'est un vieux friqué à mort... Il aime offrir de jolies filles à ses amis... Lui, il ne peut plus.
Nous sommes arrivées devant une grande demeure.
C'est ici ! Tu fais ce qu'ils demandent, il faut toujours obéir.
Un homme âgé, grand et mince est venu nous ouvrir.
Comme c'est gentil, tu es venue avec une amie.
Ta vas voir, Mr Paul est très gentil.
Il nous amena dans une pièce où trois autres hommes étaient assis. Tous avaient un certain age et un regard lubrique quand il nous regardaient.
Mes ami, notre Claudine est une brave fille... elle nous offre le petite Cindy... presque une pucelle.
Oh...
Tu vas te déshabiller et nous montrer comme tu es belle.
J'avais peur... mais j'avais promis à Claudine d'obéir. Tout en poursuivant mon strip-tease, j'observais Claudine assise entre deux hommes. Je n'aurais jamais imaginé autant de perversité en elle. Elle venait de sortir leurs bites et les branlait tous les deux, alors que le troisième se masturbait en me regardant. Qu'allaient-ils exiger de moi ?
Ta copine a deux beaux nichons, chérie !
Viens près de moi la nouvelle... Viens ma petite fille.
N'aies pas peur... Il est très gentil papy...
Viens sur les genoux de papy...
Il me tira vers lui et assise sur ses genoux, il m'obligea à lui prendre la bite en main.
Sens comme papy est heureux d'avoir sa petite fille.
Qu'elle est douce et grosse la bite de mon papy.
Claudine, elle était maintenant à quatre pattes et offrais son cul aux deux autres compères.
Venez... Prenez-moi... J'en ai trop envie...
Elle fut prise par les deux inconnus. Un lui labourant la chatte alors que l'autre lui baisait la bouche. Moi je sentais le mien me soulever afin de s'enfoncer dans ma chatte.
Comme elle entre bien... Tu es toute excitée ma petite fille.
Il avait raison, cette étrange situation me faisait mouiller et plus il me pénétrait, plus je mouillais. Claudine se faisait remplir par les autres et c'est à ce moment que mon attention fut attirée par un bruit. Mr Paul était en train de nous filmer... le plaisir qui montait en moi m'empêchait de réagir.
Encore ! Ouvrez bien vas chattes mes petite amies.
Les amis de Mr Paul finirent par jouir. J'ai été déçue quand il jouis juste avant que je ne prenne mon pied... Claudine elle, buvait le jus de ces amants.
Hum !... Comme j'aime le foutre...
Cela fait, Mr Paul nous réuni.
Avant de continuer, nous allons boire et manger... Alphonse, tu peux entrer.
J'avais honte de montrer mon corps au domestique... Mais tout le monde semblait s'en moquer.
Très vite j'avais trop bu et Claudine encore plus que moi.
Dis-moi, ma petite Cindy, n'as-tu jamais rêvé avoir les trois trous remplis ?
C'est que mon petit derrière est encore tout neuf.
Mes amis sont habiles... Ils ne te feront pas de mal... Regarde, Claudine les prépare...
En effet, elle était à genoux au milieu' d'eux et les suçaient pour qu'ils badent de nouveau. Malgré la peur mon bas ventre était déjà tout humide... Claudine était une vrai salope.
Ils sont prêts ma chérie... Viens...
Elle me coucha sur un lit et écarta mes cuisses.
Tu vas te coucher en écartant le plus possible.
Le plus grand s'est placé entre mes cuisses, m'enfilant sans le moindre mal tant j'étais mouillée.
A présent tu vas soulever tes jambes afin d'offrir ton petit trou.
Elle glissa ensuite son doigt enduit de vaseline sur mon anus.
Avec ça tu ne sentiras rien.
Un second homme est venu sur le lit et présenta sa bite à l'entrée de cul.
Vas-y doucement, elle est étroite.
Nooon ! J'ai trop mal...
Il venait de commencer à me dilater l'anus et j'avais l'impression d'être déchirée.
Ça rentre... dieu que c'est étroit.
Aieeee !!! C'est trop...
Son gland venait de passer et je les avais tous les deux en moi... Je sentais leurs deux énormes queues entrer et sortir de moi.
Ouvre bien le bec... Voici le troisième...
Claudine me tourna la tête et la troisième bite me baisa la bouche. Mr Paul continuait à filmer... Avec l'alcool avaler et ces trois pieux en moi, j'étais dingue.
C'est trop... Je n'en peux plus... Ooooh... Ces queues qui me remplissent...
Vas-y ma jolie petite pute... Ouvre bien tes trous.
Claudine m'encourageait tout es se masturbant et me caressant le clito. Mais tout à coup, elle ne pu se retenir, l'envie d'une bite était trop forte.
Viens Alphonse, moi aussi j'ai envie de me faire défoncer.
Oh ! Mademoiselle !
Elle se précipita sur lui, et sorti sa bite de son pantalon.
C'est mou ça, tu vas voir, je vais le faire grossir.
Puisque Mademoiselle le désire, je suis à elle.
Elle le suçait et moi j'étais défoncée par trois hommes. Quel beau tableau pour Mr Paul filmer. L'homme qui occupait ma bouche s'est déversé le premier en moi m'obligeant de tout avaler. C'est ensuite dans mon anus qu'une suite de longs jets se sont libérés. J'ai pris un pied fabuleux alors que le troisième me remplissait la chatte. Je n'étais plus qu'une fille comblée. Épuisée, nous regardions Claudine offrir ses fesses à Alphonse qui en oubliait toute retenue.
Que mademoiselle est chaude.
La soirée se termina un peu plus tard et nous sommes reparties comme nous étions venue.
Après cette soirée, je me sentais sale... Je ne parlais pratiquement plus à Claudine qui poursuivait ses activités lucratives. Je savais qu'elle se rendait toujours chez Mr Paul. Surtout quand elle s'habillait comme une putain.
Salut Mlle la pudeur. Je vais m'envoyer en l'air...
Je m'étais calmée et puis mon tempérament de feu a repris le dessus. Un matin , en cours de math la main douce et chaude de mon voisin s’est posée sur ma cuisse. Je l'ai laissé faire et il a certainement senti mon slip déjà humide. J'attendais avec impatience qu'il ose me caresser la chatte.C'était tellement bon et j'en avais tellement envie.
A midi dans la salle de gym... Je connais un coin sympa...
Il venait de me glisser à l'oreille le rendez-vous que j'attendais. Ma tête me disait de ne pas y aller, mon corps était déjà livré à lui.
A midi, je l'ai rejoins et il m'attira dans un petit local inoccupé.
Viens... Ils sont à la cantine... la salle de repos est vide. Tu sais ce matin, je bandais comme un dingue.
C'était l'infirmerie et il me coucha sur le lit.
Ben ma cochonne, tu es déjà toute humide. Je ne faisait rien, ne disais rien. Seul comptais son sexe qui déjà cherchait le chemin de ma fente.
Oh oui ! C'est si bon d'être enfilée...
Tu aimes ça...
Il me pénétrait de plus en plus fort et me caressait en même temps les seins.
Ouiiii... J'aime... prends-moi plus fort...
Tu es chaude et bonne... Je ne vais pas tenir plus longtemps.
Nous avons joui en même temps... Puis nous sommes restés soudés l'un à l'autre pendant de longues minutes et quand il se retira, je sentis son sperme chaud couler le long de mes cuisses.
Moi c'est Bob, et toi ?
Cindy... Tu sais, je t'avais déjà remarqué dans les cours... tu fais ça bien.
Tu veux que l'on fasse cela dans un lit normal ? J'ai envie de te sentir nue contre moi.
Moi aussi, je veux m'occuper de ta queue mon chéri.
Par la suite, nous nous rencontrions dans sa chambre. Il était à la fois doux et viril, j'aimais jouir dans ses bras.
Je n'avais rien dit à Claudine, mais elle se doutait que je n'étais plus la même. Mais un soir tout a basculé. Claudine pleurait lorsque je suis rentrée.
Ça va pas ? Tu as des problèmes ?
Oh, ma chérie, si tu savais... Ils m'ont fouettée chez Mr Paul.
Elle souleva sa robe et je vis son corps lacéré de longues marques rouges.
Je ne voulais pas, mais ils veulent que je te montre ces photos.
Elle me montra plusieurs photos de la fois où j'avais été avec elle.
Ils veulent que tu reviennes avec moi sinon, ils envoient des copies à tes parents.
Comment sauraient-ils où habite ma famille ?
J'ai été obligée de leurs dire, ils m'ont battue jusqu'à ce que je parle.
Ma pauvre chérie... Laisse-moi faire... Je vais te faire du bien.
Sans même réfléchir, je me suis penchée sur elle et après tout j'étais aussi coupable qu'elle en ayant accepté de la suivre chez ces détraqués. Je me rapprochais de sa chatte.
Ma fente... embrasse mon petit bouton. C'est bon... ta langue... Hummm...
Dès le lendemain, nous retrouvions Mr Paul et ses invités... Un couple qui s'est servi de nous toute la nuit.
La femme s'occupant de Claudine, l'homme me pénétrait et maintenant il voulait s'offrir mon cul.
A présent, je vais te la mettre dans le cul !
Oh non ! Ça me fait trop mal...
Je ne suis pas une brute, ta copine va préparer le terrain.
Il m'obligea à me mettre à quatre pattes et Claudine dut me lécher l'anus. J'avais honte d'offrir ainsi mon petit trou à la bouche de mon amie devant ces personnes. Mais pendant ce temps, sa femme s'occupait entretenir son érection en le suçant.
Toi, tu vas me faire bander à mort !
Tout en appréciant l'adresse de Claudine, j'observais l'énorme engin qui allait bientôt me défoncer. Le moment venu, il remplaça Claudine derrière moi.
Assez plaisanté... Tu vas sentir ma queue dans le fion...
Doucement... Je vous en prie...
Ne te crispe pas... écarte les fesses.
Tu vois... ça va rentrer... Bon dieu, tu es serrée...
J'ai hurlé au moment où l'énorme engin s'est enfoncé en moi.
Viens... Bouffe la chatte de ta copine.
La femme poussa Claudine sous moi et elle fut obligée de me lécher la fente dégoulinant de mouille. A travers les larmes qui coulaient le long de mes joues, j'observais la femme qui maintenant se caressait tout en se délectant de ma douleur. La nuit fut longue et par la suite, deux fois par semaine, nous nous rendions chez Mr Paul.
Je continuais à voir Bob, mais mon corps n'avait plus le même désir de ses caresses. Claudine savait et était un peu jalouse de notre amour. Contrairement à elle, je ne voulais pas partager. Mais un soir en rentrant des cours, j'ai découvert leur trahison. Bob sur Claudine lui défonçant la chatte.
Salaud !!!
C'est pas gentil de ne pas faire profiter sa copine des bonnes occasions.
Cindy, tu dois me croire, c'est elle qui m'a attiré ici et m'a fait un numéro pas croyable.
Allons chérie, tu sais bien que personne ne peut résister à ma chatte... pas même toi, sainte-nitouche !
Bob était toujours nu la bite encore dressée et Claudine en profita.
Ce salaud m'a épuisée... Je suis pleine de foutre et tu vois il bande toujours ! Tu vas pouvoir lui offrir ta moule... à moins que ton petit cul...
Mais plutôt que de fuir ou de protester, je me suis laissée dévêtir par mon amie. C'était plus fort que moi, mais ma chatte était déjà toute humide, prête à recevoir le sexe de l’homme qui venait de me tromper.
Vas-y, fourre-là ! Tu vois qu'elle ne demande pas que ça ?
Elle a raison... Viens, prends-moi bien à fond.
Il se coucha sur moi et me pénétra. J'aimais sa bite en moi et rapidement je jouis sous ses assauts.
Ouiiii... c'est si bon...
Petite vicieuse... Bouffe... C'est plein de foutre !
Claudine venait de se mettre au-dessus de mon visage et laissait couler le foutre qui remplissait sa chatte jusque dans ma bouche grande ouverte. Je ne savais plus ce que je faisais... où plutôt, je ne voulais penser qu'au plaisir que me donnaient ces deux sexes qui jouissaient de mon corps en feu.
Je viens... Je vais tout te mettre dans la chatte.
Aaaah ! Moi aussi... Elle me fait vibrer le petit bouton cette sale putain.
Après cette mémorable soirée, je partageais mes nuits entre les partouzes chez Mr Paul et les folles étreintes en compagnie de Claudine, bob et Pierre qui s'était joint à nous. Un soir, je me suis rendue compte que les vacance arrivaient.
C'est dingue, mais je vais regretter la fac...
Hé, oui, ma grande... Les vacances arrivent, va falloir te trouver d'autres étalons...
Cette fois je les ai observé tout en me caressant. Claudine se faisant prendre par devant et par derrière par les deux grosses bites.
Mais je ne me doutais pas que pour moi la vie d'étudiante touchait à sa fin. Le lendemain, j'apprenais le décès de mon père... Un rude coups pour ma mère et l'entreprise de transport qu'il dirigeait. Plus question d'études, j'ai du reprendre les rênes de la société. Me voici aux prises avec une bande d'homme brutaux et bien plus rudes que mes amis de la fac.Mais en tant que patronne, lorsque ça me dérangeait trop, j'en entrainais un dans le garage. J'avais appris à aimer me faire prendre dans les cabines des camions. C'était rapide et peu confortable, mais ça me faisait rudement du bien.
Et maintenant sans cesse, ma mère me demande si j'ai un fiancé. La pauvre si elle savait...
Fin...
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