Cinéma ?
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Cinéma ?
Mon métier ? Employée de bureau au chômage. La vie tourne, je dois faire tourner la
baraque. Un jour je trouve par hasard un emploi dans la publicité. De là à aller plus
bas, sans m'en douter j'arrive à ce que je fais depuis plusieurs semaines.
Un jour, je me suis trouvée nue dans les bras d'une autre. La scène devait se dérouler
dans une chambre d'amoureuse. Moi, les filles je n'en fais pas des caisses. Je préfère
et de loin les amours avec un véritable homme bien monté de préférence, qui bande
comme un âne. Je faisais semblant de prendre mon pied.
Nous devions faire l'amour ensemble sur un grand lit en présence d'un homme qui ne
pouvait plus bander.
Juste avant nous nous sommes rencontrées comme des collègues de travail avec une bise
sur les joues. Je ne la regardais qu'à peine. Avant de nous allonger nous discutions
boutique. Elle était, avant, secrétaire dans un groupe d'assurance qui l'avait
licenciée. Ce devait être assez cocasse pour les techniciens de nous voir bavarder
sans même nous préoccuper de la suite.
J'étais enfin couchée selon les directives du meneur de jeu. L'autre fille venais
presque contre moi. Je sentais sa chaleur. Le studio était fort chaud. Ceci expliquant
cela. C'est elle qui devait m'initier. Elle m'a embrassée avec autant de chaleur qu'un
glaçon. Je devais déguster sa langue.
C'était à moi d'agir en lui prenant une épaule avec une main. En fermant les yeux je
devais dire qu'elle me faisait du bien.Mon corps était à mille lieux du plateau. Sa
main se glissait sur les seins, le ventre, le nombril pour aller se perdre entre mes
cuisses. Je ne sais ce qui lui est passé par la tête, elle m'a bien branlé.
Mon abricot était trempé. Je me laissais aller au vrai plaisir, j'en soupirais d'aise.
Bien sur seule remarquait sur j'allais jouir. Elle continuait pour que mon plaisir
soit parfait.
Je jouissais plusieurs fois sous sa main. Notre baiser devenait vrai. La prise de vue
n'était pas bonne : il fallait recommencer. Cette fois supplémentaire était meilleure
pour nous que la première. Elle murmurait en me demandant si j'aimais ce qu'elle
faisait. Je serrais son bras en murmurant qu'elle savait me donner un vrai plaisir.
Jusqu'à présent mes amants m'envoyaient en l'air, pas comme elle.
Pendant la pose, nous restions assises blotties.
C'est moi qui caressait ses épaules et ses seins. Elle levait son visage vers moi en
souriant.
Nous sommes parties ensemble le soir. Au cours du repas, dans un petit restaurant j'ai
continué à l'entreprendre. J'avais envie de baiser, j'avais envie d'elle. Elle aussi
me regardait tendrement. Les voisins de tables ont du se rendre compte de la suite,
sauf nous.
Ce n'est qu'avant de se séparer que nos lèvres se sont réellement rencontrées. Le
premier baiser de cinéma ne comptait pas.
Plus tard, chez elle, nous buvions un café fort. Normalement je ne prends jamais de
café le soir, mais là avec elle....
Elle m'a déshabillée, je l'ai laissé faire. Elle aussi nue, sauf un string léger, nous
nous sommes embrassées profondément. Les caméras étaient loin, nos corps étaient
proches.
Je sentais ses mains masser mes fesses. Je collais le pubis contre le sien. Elle
s'écartait un peu pour passer ses jambes autour de ma cuisses. Je la sentais se
frotter contre moi. Ainsi elle commençait seule à se masturber sur moi. J'avais envie
d'elle, ma main est venu sur sa figue. Deux de mes doigts suffisaient pour caresser
son sexe.
Elle passait sa main entre les fesses, cherchant et trouvant surtout le petit trou. Un
puis deux doigts entraient en moi. Je ne pouvais rien faire contre l'orgasme
inattendu, sinon gémir.
Elle m'a couché, est venu sur moi. Sa bouche venait tondre ma pelouse. Clouée par le
plaisir je ne répondais pas encore. Après le deuxième orgasme je me réveillais. Ma
langue à son tour divaguais dans la chatte. J'écartais les bords du sous vêtement,
trouvais son bouton presque trop rose. Ma langue le rafraîchissait un peu en léchant.
D'une main passée sur mes cuisses, elle trouvait mon petit trou. Je ne sais combien
elle en a entré : elle me donnait une foule d'orgasme.
Il nous arrive de tourner ensemble. Nous baisons tous les jours chez elle qui est
aussi chez moi depuis longtemps.
baraque. Un jour je trouve par hasard un emploi dans la publicité. De là à aller plus
bas, sans m'en douter j'arrive à ce que je fais depuis plusieurs semaines.
Un jour, je me suis trouvée nue dans les bras d'une autre. La scène devait se dérouler
dans une chambre d'amoureuse. Moi, les filles je n'en fais pas des caisses. Je préfère
et de loin les amours avec un véritable homme bien monté de préférence, qui bande
comme un âne. Je faisais semblant de prendre mon pied.
Nous devions faire l'amour ensemble sur un grand lit en présence d'un homme qui ne
pouvait plus bander.
Juste avant nous nous sommes rencontrées comme des collègues de travail avec une bise
sur les joues. Je ne la regardais qu'à peine. Avant de nous allonger nous discutions
boutique. Elle était, avant, secrétaire dans un groupe d'assurance qui l'avait
licenciée. Ce devait être assez cocasse pour les techniciens de nous voir bavarder
sans même nous préoccuper de la suite.
J'étais enfin couchée selon les directives du meneur de jeu. L'autre fille venais
presque contre moi. Je sentais sa chaleur. Le studio était fort chaud. Ceci expliquant
cela. C'est elle qui devait m'initier. Elle m'a embrassée avec autant de chaleur qu'un
glaçon. Je devais déguster sa langue.
C'était à moi d'agir en lui prenant une épaule avec une main. En fermant les yeux je
devais dire qu'elle me faisait du bien.Mon corps était à mille lieux du plateau. Sa
main se glissait sur les seins, le ventre, le nombril pour aller se perdre entre mes
cuisses. Je ne sais ce qui lui est passé par la tête, elle m'a bien branlé.
Mon abricot était trempé. Je me laissais aller au vrai plaisir, j'en soupirais d'aise.
Bien sur seule remarquait sur j'allais jouir. Elle continuait pour que mon plaisir
soit parfait.
Je jouissais plusieurs fois sous sa main. Notre baiser devenait vrai. La prise de vue
n'était pas bonne : il fallait recommencer. Cette fois supplémentaire était meilleure
pour nous que la première. Elle murmurait en me demandant si j'aimais ce qu'elle
faisait. Je serrais son bras en murmurant qu'elle savait me donner un vrai plaisir.
Jusqu'à présent mes amants m'envoyaient en l'air, pas comme elle.
Pendant la pose, nous restions assises blotties.
C'est moi qui caressait ses épaules et ses seins. Elle levait son visage vers moi en
souriant.
Nous sommes parties ensemble le soir. Au cours du repas, dans un petit restaurant j'ai
continué à l'entreprendre. J'avais envie de baiser, j'avais envie d'elle. Elle aussi
me regardait tendrement. Les voisins de tables ont du se rendre compte de la suite,
sauf nous.
Ce n'est qu'avant de se séparer que nos lèvres se sont réellement rencontrées. Le
premier baiser de cinéma ne comptait pas.
Plus tard, chez elle, nous buvions un café fort. Normalement je ne prends jamais de
café le soir, mais là avec elle....
Elle m'a déshabillée, je l'ai laissé faire. Elle aussi nue, sauf un string léger, nous
nous sommes embrassées profondément. Les caméras étaient loin, nos corps étaient
proches.
Je sentais ses mains masser mes fesses. Je collais le pubis contre le sien. Elle
s'écartait un peu pour passer ses jambes autour de ma cuisses. Je la sentais se
frotter contre moi. Ainsi elle commençait seule à se masturber sur moi. J'avais envie
d'elle, ma main est venu sur sa figue. Deux de mes doigts suffisaient pour caresser
son sexe.
Elle passait sa main entre les fesses, cherchant et trouvant surtout le petit trou. Un
puis deux doigts entraient en moi. Je ne pouvais rien faire contre l'orgasme
inattendu, sinon gémir.
Elle m'a couché, est venu sur moi. Sa bouche venait tondre ma pelouse. Clouée par le
plaisir je ne répondais pas encore. Après le deuxième orgasme je me réveillais. Ma
langue à son tour divaguais dans la chatte. J'écartais les bords du sous vêtement,
trouvais son bouton presque trop rose. Ma langue le rafraîchissait un peu en léchant.
D'une main passée sur mes cuisses, elle trouvait mon petit trou. Je ne sais combien
elle en a entré : elle me donnait une foule d'orgasme.
Il nous arrive de tourner ensemble. Nous baisons tous les jours chez elle qui est
aussi chez moi depuis longtemps.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique comme histoire,je mouille
C'est magnifique les histoires entre femmes, pour tout âge <3