Cinéma sous les tropiques
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cinéma sous les tropiques
CINÉMA SOUS LES TROPIQUES
À la fin de l’année 1959, alors que je viens d’avoir 26 ans je pars travailler à
l’étranger sans ma famille. Seul à X. durant un mois, je me tape quelques Espagnoles
en tournée dans les établissements de spectacle de la ville – pas vraiment tarifiés –
mais bon ! Pas d’autochtones, pas assez clean et je suis marié avec des enfants.
Ensuite, toujours seul pour deux mois, je suis affecté par ma société dans le pays
voisin situé à 1200 km tout de même.
Un soir au cinéma en plein air, chacun apporte un coussin et un plaid pour les
banquettes en bois qui sont mises à la disposition du public. J’ai pour voisins un
couple d’Européens ; la femme, aux alentours de la cinquantaine, des cheveux blonds et
frisés, avec une jupe en coton assez ample elle s’assoit à côté de moi et comme tous
les spectateurs, elle recouvre ses jambes avec le plaid qu’elle a apporté. À cette
époque nous avons droit à deux grands films qui changent tous les jours ; pas
d’actualités ni de documentaire comme en métropole, nous voilà donc partis pour trois
heures minimum. Dès le début du premier film je sens une main qui se glisse sous ma
couverture et qui, sans hésiter, tâte mon pantalon à la hauteur de ma braguette. Je
bande immédiatement et la femme, décidemment très hardie, défait les boutons de la
dite braguette et glisse ses doigts à l’intérieur. Je jette des coups d’œil sur ce que
je suppose être le mari, mais apparemment il ne se rend compte de rien. Pendant ce
temps les doigts agiles ont sortis ma bite de l’enveloppe du slip où il se trouve,
heureusement sous la couverture, complètement dégagé et astiqué par la main de mon
audacieuse voisine. Elle me masturbe avec une grande habileté, sachant très bien faire
glisser mon prépuce jusqu’à dégager entièrement mon gland qu’elle triture et pince
avec ses doigts agiles ; elle me branle lentement et fait durer le plaisir pendant
plus d’une demi-heure jusqu’à ce que j’éjacule dans sa main repliée en conque autour
de ma verge. Elle essuie sa main sur mon plaid et la retire tout doucement. Elle ne
m’a pas regardé une seule fois, apparemment très occupée par le film.
Ayant repris mes esprits et remis mon engin dans mon slip et refermé mon pantalon, me
voici libre pour étudier un peu mieux ma voisine. Elle a un beau visage, à peine
marqué par l’âge ; des seins volumineux tendent son corsage outrageusement. Je
m’enhardis à glisser une main sous le plaid qui recouvre ses cuisses et je suis
surpris de sentir aussitôt une peau nue sous mes doigts : en fait elle a relevé sa
jupe en rabattant la couverture sur elle pour me faciliter certainement l’introduction
de ma main et l’accès à ses cuisses que je sens charnues sous mes doigts qui
s’activent. Elle desserre son entrejambe et ouvre le compas de ses cuisses en sentant
ma main remonter vers son pubis ; là encore une surprise ! Je ne trouve aucunement le
rempart d’un sous-vêtement : slip, culotte que sais-je ? Mes doigts explorent le
pubis, une toison assez fine et duveteuse ; ce pourrait-il que ce soit une vraie
blonde ? Puis je touche la vulve entrouverte, ce qui fait frémir ma voisine dont le
ventre se soulève spasmodiquement. Je jette un coup d’œil au mari, ayant tout de même
un peu peur qu’il s’aperçoive que je suis en train de masturber son épouse. Toujours
rien de ce côté là ; aussi je m’enhardis et plonge mes doigts dans la fente vaginale,
inondée de mouille et aussi brûlante que le café du bistrot du coin. Ma voisine
audacieuse pousse quelques soupirs, qui heureusement, peuvent se rapporter au film
romantique qui passe sur l’écran, mais elle s’agite aussi quelque peu sur notre banc
commun. Je m’applique à la masturber consciencieusement, mes doigts caressant son
clitoris avec délicatesse, puis s’enfonçant le plus profondément entre ses lèvres
grandes ouvertes qui bavent une liqueur abondante. Je regrette de ne pouvoir boire à
sa source et la faire jouir avec mes lèvres et ma langue, mais dans notre situation et
dans ce cinéma c’est vraiment impossible. La cinquantenaire a déjà eu plusieurs
orgasmes qu’elle s’est efforcée de dissimuler à son compagnon, refermant brutalement
ses cuisses sur ma main lorsqu’elle ne supporte plus les caresses que je lui prodigue.
Aussitôt calmée, je recommence très doucement à agiter mes doigts dans sa cramouille
en feu ; elle tourne alors sa tête vers moi et me regarde avec beaucoup d’insistance
dans les yeux. Elle prend son pied et j’en suis très heureux. Je la mène comme cela
jusqu’à la fin du second film et retire ma main avant que le mot fin n’apparaisse sur
l’écran. Lorsque la lumière se rallume et que tous les spectateurs se lèvent, elle
profite du brouhaha pour me dire du bout de lèvres : « merci ». Je n’ai jamais revu
cette femme durant les trois ans passés dans ce pays et je n’ai jamais su qui elle
était. Du peu que j’en ai vu, elle paraissait magnifique, plantureuse à souhait et
très baisable. Ce que je n’ai jamais pu faire et pour cause et ce sera pour moi un
grand regret.
Deux semaines plus tard ma famille arrive pour la première fois sous les tropiques.
Les retrouvailles avec mon épouse que j’ai quittée trois mois auparavant sont
émouvantes. La chaleur tropicale exacerbant les sens de ma femme, nous faisons l’amour
plusieurs fois par jour et j’en profite pour l’initier à la fellation. Je fais aussi
des tentatives de sodomisation, bien que pour cette dernière pratique c’est un peu
trop tôt.
À la fin de l’année 1959, alors que je viens d’avoir 26 ans je pars travailler à
l’étranger sans ma famille. Seul à X. durant un mois, je me tape quelques Espagnoles
en tournée dans les établissements de spectacle de la ville – pas vraiment tarifiés –
mais bon ! Pas d’autochtones, pas assez clean et je suis marié avec des enfants.
Ensuite, toujours seul pour deux mois, je suis affecté par ma société dans le pays
voisin situé à 1200 km tout de même.
Un soir au cinéma en plein air, chacun apporte un coussin et un plaid pour les
banquettes en bois qui sont mises à la disposition du public. J’ai pour voisins un
couple d’Européens ; la femme, aux alentours de la cinquantaine, des cheveux blonds et
frisés, avec une jupe en coton assez ample elle s’assoit à côté de moi et comme tous
les spectateurs, elle recouvre ses jambes avec le plaid qu’elle a apporté. À cette
époque nous avons droit à deux grands films qui changent tous les jours ; pas
d’actualités ni de documentaire comme en métropole, nous voilà donc partis pour trois
heures minimum. Dès le début du premier film je sens une main qui se glisse sous ma
couverture et qui, sans hésiter, tâte mon pantalon à la hauteur de ma braguette. Je
bande immédiatement et la femme, décidemment très hardie, défait les boutons de la
dite braguette et glisse ses doigts à l’intérieur. Je jette des coups d’œil sur ce que
je suppose être le mari, mais apparemment il ne se rend compte de rien. Pendant ce
temps les doigts agiles ont sortis ma bite de l’enveloppe du slip où il se trouve,
heureusement sous la couverture, complètement dégagé et astiqué par la main de mon
audacieuse voisine. Elle me masturbe avec une grande habileté, sachant très bien faire
glisser mon prépuce jusqu’à dégager entièrement mon gland qu’elle triture et pince
avec ses doigts agiles ; elle me branle lentement et fait durer le plaisir pendant
plus d’une demi-heure jusqu’à ce que j’éjacule dans sa main repliée en conque autour
de ma verge. Elle essuie sa main sur mon plaid et la retire tout doucement. Elle ne
m’a pas regardé une seule fois, apparemment très occupée par le film.
Ayant repris mes esprits et remis mon engin dans mon slip et refermé mon pantalon, me
voici libre pour étudier un peu mieux ma voisine. Elle a un beau visage, à peine
marqué par l’âge ; des seins volumineux tendent son corsage outrageusement. Je
m’enhardis à glisser une main sous le plaid qui recouvre ses cuisses et je suis
surpris de sentir aussitôt une peau nue sous mes doigts : en fait elle a relevé sa
jupe en rabattant la couverture sur elle pour me faciliter certainement l’introduction
de ma main et l’accès à ses cuisses que je sens charnues sous mes doigts qui
s’activent. Elle desserre son entrejambe et ouvre le compas de ses cuisses en sentant
ma main remonter vers son pubis ; là encore une surprise ! Je ne trouve aucunement le
rempart d’un sous-vêtement : slip, culotte que sais-je ? Mes doigts explorent le
pubis, une toison assez fine et duveteuse ; ce pourrait-il que ce soit une vraie
blonde ? Puis je touche la vulve entrouverte, ce qui fait frémir ma voisine dont le
ventre se soulève spasmodiquement. Je jette un coup d’œil au mari, ayant tout de même
un peu peur qu’il s’aperçoive que je suis en train de masturber son épouse. Toujours
rien de ce côté là ; aussi je m’enhardis et plonge mes doigts dans la fente vaginale,
inondée de mouille et aussi brûlante que le café du bistrot du coin. Ma voisine
audacieuse pousse quelques soupirs, qui heureusement, peuvent se rapporter au film
romantique qui passe sur l’écran, mais elle s’agite aussi quelque peu sur notre banc
commun. Je m’applique à la masturber consciencieusement, mes doigts caressant son
clitoris avec délicatesse, puis s’enfonçant le plus profondément entre ses lèvres
grandes ouvertes qui bavent une liqueur abondante. Je regrette de ne pouvoir boire à
sa source et la faire jouir avec mes lèvres et ma langue, mais dans notre situation et
dans ce cinéma c’est vraiment impossible. La cinquantenaire a déjà eu plusieurs
orgasmes qu’elle s’est efforcée de dissimuler à son compagnon, refermant brutalement
ses cuisses sur ma main lorsqu’elle ne supporte plus les caresses que je lui prodigue.
Aussitôt calmée, je recommence très doucement à agiter mes doigts dans sa cramouille
en feu ; elle tourne alors sa tête vers moi et me regarde avec beaucoup d’insistance
dans les yeux. Elle prend son pied et j’en suis très heureux. Je la mène comme cela
jusqu’à la fin du second film et retire ma main avant que le mot fin n’apparaisse sur
l’écran. Lorsque la lumière se rallume et que tous les spectateurs se lèvent, elle
profite du brouhaha pour me dire du bout de lèvres : « merci ». Je n’ai jamais revu
cette femme durant les trois ans passés dans ce pays et je n’ai jamais su qui elle
était. Du peu que j’en ai vu, elle paraissait magnifique, plantureuse à souhait et
très baisable. Ce que je n’ai jamais pu faire et pour cause et ce sera pour moi un
grand regret.
Deux semaines plus tard ma famille arrive pour la première fois sous les tropiques.
Les retrouvailles avec mon épouse que j’ai quittée trois mois auparavant sont
émouvantes. La chaleur tropicale exacerbant les sens de ma femme, nous faisons l’amour
plusieurs fois par jour et j’en profite pour l’initier à la fellation. Je fais aussi
des tentatives de sodomisation, bien que pour cette dernière pratique c’est un peu
trop tôt.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi excitant ces jouissances partagées l'une après l'autre ! Et séparés, en plus...Presque amusantes. Didier qui y a retrouvé de nombreux souvenirs...