Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 2

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Récit libertin : Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 2
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.

Une fois remis de nos émotions, la cassette est finie et après nous être rhabillés, nous discutons entre nous et décidons que la prochaine fois que nous nous réunirons autour de la piscine, nous enlèverons tout.
Pour les filles ça ne changera pas grand-chose vu qu’elles sont toujours en topless et comme il a rasé leur foufoune, elles n'ont plus grand chose à cacher de leur anatomie. Ça sera peut-être un peu plus dur pour nous les garçons, mais on surmontera ce petit obstacle. Nous avons aussi recherché sur Internet des vidéos des trois acteurs cités pour voir de quoi ils étaient capables.

Suite :
Ça fait plusieurs jours que nous déambulons à poil devant lui. On croyait qu'il allait nous rabrouer, mais il a fait comme s’il n’y avait rien plus naturel, rien de spécial à exhiber nos sexes à notre grand-oncle. Tout ça a changé le jour oui il est revenu plus tôt de sa promenade et nous a surpris dans le salon en train de visionner ses exploits sur la grande télé. On ne savait pas trop comment réagir quand Elisa lui a lancé :
-Tu nous avais caché ça « papy », je sais que ce n'est pas très catholique ce que nous faisons en ce moment mais l'acteur principal de ce porno a l'air d'un sacré chaud lapin avec une bite d'âne.
-Petits salopards ! s'écrit-il, qui vous a autorisé à fouiller dans mon bureau ? Bon, ce qui est fait est fait, j'espère que vous n'en parlerez pas à vos parents. Ils n’en savent rien…

Quelques jours plus tard, à force de le travailler au corps, nous arrivons à le décider à ce qu'il nous raconte comment il en est arrivé à devenir acteur porno. Je lui laisse maintenant la parole.
- Oui, pendant quelques années, j'ai été un acteur porno mais à la naissance des triplés, j'ai complètement arrêté pour m'occuper d’eux et de leur mère à la mort de leur père.
-Comment en es-tu arrivé là ? Lui demande Bruno.

-Si vous éteignez la télé, je veux bien vous raconter.
Il faut remonter en 1975. J'étudiais pour passer un bac technique, notre classe était composée que de garçons sauf une seule fille. Nous étions un an après juillet 1974, l'année où la majorité est passé à 18 ans. Dans l'établissement circulaient des romans-feuilletons où on voyait des couples faire l'amour, des romans érotiques et toute autre chose pour chauffer les jeunes mâles que nous étions. On ne peut pas dire que j'étais un garçon précoce et c'est dans les toilettes que je me suis branlé pour la première fois en regardant ces revues où des femmes suçaient des bites à peu près de la même taille que la mienne. J'ai été tellement surpris par ma première éjaculation que j'en ai crépi la porte des WC. Par la suite pour ne pas avoir à nettoyer, j'y allais avec ma boîte à savon et la remplissait d'un bon centimètre de foutre. J'étais capable de remettre ça deux ou trois fois de suite pratiquement toutes les nuits. J'étais un garçon assez timide et le souffre-douleur d'une grande gueule de la classe.
En attendant l'heure d’étude on se tapait des tarots interminables pendant que certains allaient conter fleurette aux filles dans un coin sombre de la cour. J’étais le souffre-douleur d’un connard qui se prenait pour un Don Juan, il revenait et me narguait en me faisant sentir ses doigts qu’il avait glissé dans la chatte d'une fille. Un soir, il m'a emmené avec lui, sa copine avait fait de même avec une autre fille et devant-nous ils se sont embrassés, il l’a peloté pendant qu'elle ouvrait sa braguette et sortait sa verge. En un rien de temps, elle l'a fait durcir jusqu'à ce qu'il éjacule une minute plus tard. Ensuite ils se sont tournés vers nous, nous harcelant jusqu'à ce qu’Hélène, l'autre fille se décide à faire comme sa copine. Elle a descendu la fermeture éclair de mon pantalon avec fébrilité, a farfouiller dedans et a réussi avec difficulté à extraire mon sexe. Je n'ai pas été aussi prompte à bander que lui ayant trop le trac mais un « Oh putain » de sa copine Christine m'a étonné. J’ai réussi à me dominer et les gestes malhabiles de la fille ont fini par porter leurs fruits. J’ai commencé à bander et ma bite est devenue encore plus dure que quand c'était moi qui me masturbais. Christine et Hélène se sont mis alors toutes les deux à s'occuper de moi délaissant complètement Hervé.
-Tu as déniché un vrai diamant brut, Hélène, je n'ai jamais vu une aussi grosse bite.
Malgré qu'elles soient deux à s'occuper de moi il m'a fallu un temps fou pour que j'arrive à la jouissance en présence de ces deux péronnelles.
-Attention les filles je vais juter, je n'arrive plus à me retenir !

Cette petite mijaurée de Christine a repoussé sa copine pour recevoir ma semence toute seule la bouche grande ouverte, mais elle ne s'attendait sûrement pas à ça. Quand je me suis mis à juter, c'était encore plus effrayant que la première fois dans les toilettes. Des jets d'une puissance folle se succédant sans interruption lui ont maculé ses cheveux, son visage et le haut de ses habits, sans oublier sa bouche, elle en avait partout.
Elle a craché par terre le foutre qui lui remplissait la bouche avant de m'injurier :
-Putain de salaud ! Tu aurais pu prévenir ! J'en ai plein mes habits, va falloir que je passe me nettoyer avant de rejoindre l’étude. Je vais te donner un surnom. L’autre jour on est tombé sur un documentaire sur les chars de la 2e guerre mondiale comparant le char tigre avec son énorme canon qui portait très loin et faisait d’énormes dégâts comparés au Sherman américain. Désormais on t'appellera ; « le Char ».

Et c'est ainsi que ma réputation a été faite, et par le bouche-à-oreille des filles, que chaque soir deux ou trois d'entre elles venaient boire à la source, tout étonnées que je puisse remettre si souvent le couvert et les abreuver pour celles qui le voulaient d'une bonne dose de foutre. Mais le pire c'est quand la fille du « surgé », (surveillant-général), après avoir goûté à ma sucette a voulu régenté tout l'internat. Elle sélectionnait à l'avance les candidates, contrôlant leur âge pour éviter des problèmes à sa mère avec des filles mineurs si ça venait à se savoir, ce qui n'a pas manqué. Un jour j'ai été convoqué dans le bureau de la surveillante générale avec sa fille Solange.
-Qu'est-ce que c'est que cette histoire ? Demanda-t-elle à sa fille, on m'a rapporté que tu t’occupais d’un drôle de manège avec Christophe. Dis-moi tout où ça va barder.
-Bon, je ne vais pas te mentir, de toute façon je suis sûre que des traîtresses t’ont déjà tout raconté. Oui, Christophe que tu vois là a été piégé par son copain Hervé qui l’a emmené dans un coin sombre de la cour pour une fois de plus essayer de le rabaisser. Mais il est tombé sur un os, ou plutôt sur un manche de pioche. Je vais te parler franchement maman, Christophe a la plus grosse queue de tout l'internat, et si ce n'était que ça… Quand il jouit, c’est une vraie lance d'incendie et il peut remettre le couvert plusieurs fois de suite.
- Que racontes tu-là ma fille ! L’interrompt horrifiée la « sur-gé ». Tu n’as pas honte ! Comment peux-tu dire des choses pareilles ? Et en plus tu affabules ma pauvre petite, tu prends tes désirs pour des réalités.
- Oohh tu crois ça, maman ! Eh bien tu vas voir…

Et avant que sa mère de s'y oppose, Solange a ouvert ma braguette et sorti ma verge. Comme j'avais pris beaucoup d'assurance ces derniers temps, la présence de sa mère ne m'a pas dérangé et je me suis mis à bander devant ses yeux horrifiés, constatant par elle-même que sa fille ne lui mentait pas, tout du moins pour la première affirmation.
Sa mère s'est précipitée pour l'interrompre et lui faire lâcher ma bite, mais prestement Solange a retiré sa main et c'est celle de sa mère qui a pris sa place sur ma hampe. Je croyais qu'elle allait aussitôt la lâcher mais à mon grand étonnement ce ne fut pas le cas.
Comme dans un rêve, elle s'est mise à me branler osant même prendre en bouche mon gland turgescent. Cette dévergondée de Solange n'en revenait pas et moi non plus. Sa mère avait beaucoup plus d'expérience que toutes les filles de l'internat. En un rien de temps elle m'a amené à un orgasme ravageur. Je n'ai eu que le temps de la prévenir.
-Oh arrêtez Madame ! Putain je vais jouir ! Attention !

Mais rien ne l'a arrêtée, elle me branlait à toute vitesse, la bouche grande ouverte pour recevoir mon obole. Elle n'a pas été déçue, avalant difficilement gorgée après gorgée le flux ininterrompu de sperme qui noyait sa bouche. Ne pouvant quand même pas tout avaler, des traînées de foutre dégoulinaient au coin de ses lèvres.
-Et bien maman, t'as beau jeu de m'engueuler alors que tu es encore plus salope que moi. mais tu vois je ne t'avais pas menti, il engrosserait tout un troupeau de pouliches à lui tout seul, ou tout l’internat.
-Oui, je dois reconnaître que Christophe est un cas. Tu comprends bien que je ne peux pas accepter ça. Il faut que ça cesse, je compte sur toi avant qu'une catastrophe n’arrive. Mon garçon, vous allez faire des envieux et des groupies. Je n’ai jamais vu une verge de cette taille, et qui plus est aussi dure, ce qui est rare avec un tel calibre. Et que dire de vos éjaculations… Je n’ai jamais vu ça ! Mais ça ne peut pas continuer comme ça. Tout se sait.

Ce qui arriva deux semaines plus tard, cette fois c'est dans le bureau du principal de l'établissement que je fus convoqué en présence de la surveillance générale. Il voulait me renvoyer mais elle défendit ma cause.
-Monsieur Delacroix, vous savez très bien ce qui se passe le soir dans les coins les plus sombres de la cour, il y a toujours eu des amourettes et nous avons fermé les yeux jusqu'à présent. En plus depuis l'année dernière, ils sont pour la plupart majeurs donc libre de leur choix. Et en plus ça ferait une très mauvaise publicité à notre établissement. J'ai déjà discuté avec lui et il m'a promis de se tenir à carreau jusqu'à la fin de l'année.

C'est ainsi que j’ai fini mes études, en respectant ma parole. Mais à chaque fois que j'allais au self, j'étais l'objet de beaucoup de regards, s’il y avait des bananes comme dessert, les filles mimaient une fellation et quand c’étaient des crèmes elle faisaient exprès d’en faire couler des filaments au coin de leurs lèvres, comme un surplus de foutre.

Quelques années plus tard je suis tombé sur Hervé qui avait complètement changé de direction après ses études et était chasseur de tête pour des acteurs et actrices pour toutes sortes de genres de films. C'est comme ça que je me suis retrouvé à tourner mes premiers films pornos. Je me suis expatrié aux États-Unis, espérant ainsi une plus grande discrétion et être moins reconnu quand je revenais en France. En ce temps-là, internet n’existait pas. Vous connaissez la suite.

NB : Toute cette partie en italique est en grande partie véridique. L’auteur.

A suivre…

Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire en toute connaissance de cause.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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