Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 4
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. Ils l’appellent : Papy Christophe. 4
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.
Comme tout à l'heure pour Louise, nous assistons à une nouvelle croissance exponentielle de cet étonnant chibre. Bruno hoquette mais ne voulant pas perdre la face devant nous réussit l'exploit et prend en entier le jonc rigoureux dont le gland a affranchi sa glotte. Papy n'insiste pas et le libère du foulard. Bruno retire sa tête en arrière avec lenteur nous faisant admirer son exploit, laissant une trace baveuse sur le chibre.
-Pas mal, pas mal, le félicite (papy Christophe), tu es doué. Maintenant à qui le tour ?
Suite :
Eva, Élisa, Virginie, Léa et moi, Jules, nous regardons, indécis. Je doute de pouvoir le faire, j’ai essayé avec la queue de Bruno et ça a été déjà un exploit d’y arriver, alors avec le sexe de papy qui fait bien six centimètres de plus et surtout son épaisseur… Je n’y arriverai jamais. Comme personne ne se décide, papy se dirige vers Virginie, de nouveau la queue flasque, mais comment fait-il pour contrôler sa libido comme ça ? Il prend sa pine et la présente devant le visage de Virginie.
-Ouvre la bouche et fais ce que tu peux. Si tu vois que tu n’y arrives pas, lève le bras droit. Lui ordonne-t-il.
Elle lui obéit, apeurée, et a déjà des difficultés à prendre les deux tiers de son engin. Il place le foulard, se concentre et se remet à bander. Nous voyons la hampe grossir et elle a des difficultés à supporter l’engin. Papy relâche un peu le foulard car elle n’y arrive pas et plus d’un tiers de cette formidable pine reste visible. Virginie s’y agrippe comme à une bouée pour empêcher une pénétration plus profonde et finalement jette l’éponge en levant le bras libre. Ses yeux sont embués de larmes. Des filets de bave relient encore ses lèvres à l’engin en pleine expansion.
-Désolé papy, mais ton jonc est si massif que je n'ai pu en goûter que la gueule.
-Ne t'excuses pas Virginie, je me doutais bien que plusieurs d'entre vous n'en seraient pas capables. Il y a une autre méthode et je crois que ça sera la solution pour vous. Repose-toi un peu pendant que je vous explique de quelle manière on va procéder. Je vais commencer par Léa et jules. Vous allez vous coucher en travers du lit sur le dos la tête dans le vide.
Je ne sais pas ce qu'il nous réserve mais nous lui obéissons. Cette fois-ci il n'a pas débandé. Il s'approche de moi, me fait pencher au maximum la tête en arrière et me dit d'ouvrir la bouche.
-Jules, quand je te le dirai tu vas prendre une grande respiration et me laisser faire, je te crierai Go.
Je n'en mène pas large quand il introduit une quinzaine de centimètres de son formidable engin entre mes lèvres. Il sonde la profondeur de ma bouche avec son gland jusqu'à ce qu'il le sente buter au fond de ma gorge. Putain qu'il est gros ! J'entends comme dans un état second son « Go» . Je prends donc une grosse respiration pendant qu'il me bloque la tête entre ses deux mains, les pouces bloquants ma mâchoire. Il donne alors un coup de reins et je sens la digue de ma glotte céder devant l'intrus qui trace son chemin dans ma trachée.
Je me retiens pour ne pas serrer les mâchoires et ensanglanter avec mes dents la hampe massive. Ma vue est alors complètement obstruée par les bourses collées contre mon visage. Je ne sais pas si je peux tenir longtemps mais il ne fait que deux va-et-vient et se retire enfin.
-Tu vois Jules, constate-il, tout est possible, il suffit de savoir s'y prendre. Si tes cousines réussissent la même chose, on reparlera de la suite.
C’est au tour de Léa, il se décale sur le côté et lui fait subir la même chose. Quand je vois sa gorge gonflée au passage du gourdin massif, je réalise ce que je viens de subir, c’est incroyablement impressionnant. On dirait un boa avalant un autre serpent guère plus petit que lui.
C’est au tour d’Eva et d’Élisa. Je les vois apeurées mais se soumettant quand même à cette épreuve incroyable avec succès. Il ne reste plus que Virginie. Mais elle se rebiffe tellement que papy n’insiste pas et résume la situation.
-6 à 1, score acceptable mais insuffisant, je n’irai donc pas plus loin avec vous. Dans un sens, je préfère.
Les cousines sont déçues et le travaillent au corps pour qu’il cède. Il ne veut rien savoir mais finit par faire une nouvelle proposition à Virginie.
-Ce qui n'a pu rentrer dans ta bouche en entier peu cependant rentrer dans ton cul. Je sais que ça ne sera pas si facile que ça et que tu risques de souffrir un peu. À toi de voir, si tu refuses je ne veux plus vous entendre chouiner. Si tu acceptes et que tu relèves le défi, je verrai la suite à donner à vos suppliques.
Virginie n’est pas chaude mais ne peut tenir tête bien longtemps aux suppliques de plus en plus insistantes de ses cousines. Elle est encore vierge devant comme derrière et mon cousin et moi devrons donner de notre personne pour dépuceler le cul de notre cousine. Bien entendu, c'est moi avec ma petite bite qui vais passer le premier. C'est une première pour moi aussi mais comment résister à la furie sexuelle de mes cousines. Nous nous retrouvons donc toutes et tous le soir dans ma chambre que je partage avec Bruno. Les filles se chargent de nous dénuder et de me faire bander comme un taureau sous l'assaut de ces multiples mains et bouches, se partageant aussi pour faire monter dans les tours leur cousine. Louise se charge de bien huiler mon piston pendant qu’Eva fait de même avec Virginie en lui badigeonnant le fion d'une couche épaisse de lubrifiant, allant même jusqu'à lui introduire un ou deux doigts dans l’anus. Je ne peux pas dire que je sois très à l'aise de faire ça en public mais l'invitation est trop tentante. Je m'approche par derrière de Virginie la bite au garde-à-vous, mets mes mains sur ses hanches pendant que Louise guide mon missile vers son objectif fripé. Je croyais rencontrer plus de résistance mais c'est avec une facilité déconcertante que j'arrive à m'introduire entre les fesses de Virginie. C'est un tel bonheur pour moi que je ne peux me retenir très longtemps et lui graisse les boyaux de mon jus.
-C'était plus facile que je ne le croyais s'exclame Virginie, il faut dire que Jules a un petit calibre. Mais Bruno, profite qu’il m’a alésée un peu pour introduire ta grosse queue entre mes fesses, mais vas-y quand même doucement hein !
Il ne se fait pas prier, prend à peine le temps de baisser son pantalon et son slip pour exhiber son chibre près au travail et me bouscule pour prendre ma place et sodomiser sans autre forme Virginie.
-Aïe ! Espèce de salaud, tu aurais pu y aller plus doucement et pas à sec, tu me fais mal au cul avec ta grosse pine. Oohh putain !
Mais Bruno n'a aucune considération pour ses jérémiades et l'embroche avec vigueur.
Il est plus résistant que moi et tient pratiquement deux minutes avant de lui graisser à nouveau le fion et de se retirer, la queue en berne.
-Putain Bruno ! Tu n’es qu’un porc ! Tu aurais pu y aller plus doucement. J'ai vraiment souffert au début mais je n'aurais pas cru ressentir aussi vite du plaisir avec ton chibre qui me ramonait le cul. Mais tu n'es quand même pas du même calibre que papy. Je ne sais pas si je pourrai supporter son engin, vous avez vu la taille qu'il fait ?
(La parole est à Virginie maintenant.)
Je ne peux pas dire que ça a été désagréable mais elles sont bien gentilles mes cousines. Ce n'est pas elles qui vont se coltiner papy et se faire sodomiser par une telle poutre. Mais il ne sera pas dit qu’après avoir pris dans mon cul les bites de mes cousins, je vais abdiquer devant l'obstacle. Le lendemain je réussis à m'isoler avec papy et lui dit que je suis prête à relever le défi. Il me conduit alors dans sa chambre, ferme la porte à clé et me fait asseoir sur le bord du lit à ses côtés.
- Virginie, tu sais, tu n'es pas obligée de faire ça, j’ai proposé ça pour me sortir de vos pattes et non pour te faire souffrir en te sodomisant. Je sais que tes cousins sont déjà passé par là mais tu risques quand même de sentir passer mon engin, c'est loin d'être un petit calibre comme celui de Jules, et même celui de Bruno n’a rien de comparable.
-Je sais papy, mais si je ne le fais pas, ça sera un enfer pour moi avec mes cousines. Elles me reprocheront sans arrêt de les avoir empêchées d'être allé plus loin avec toi.
Il me prend par la taille, dans le mouvement la ceinture de ma robe se détache et découvre ma nudité en dessous. Il a de nouveau devant lui mon corps quasiment nu et chaud, il découvre le mini slip blanc dont quelques poils bouclés passent au travers de la dentelle qui dessine la forme de mes lèvres vaginales. Ainsi, je lui fais plus d’effets que complètement nue au bord de la piscine. Son pantalon gonfle sur le devant comme une baudruche. S’il ne se concentre pas, je vais avoir droit à une érection monumentale. Il retire son polo et dégrafe sa ceinture, il ne porte pas de slip dessous et son formidable sexe jaillit comme un diable de sa boite.
-Je veux ta queue, papy.
-Elle est à toi Virginie, mais je ne te force à rien.
Il me prend par les épaules et me met à genoux entre ses cuisses. Je ne me fais pas prier pour caresser sa verge qui continue à grossir une fois libérée du pantalon. J’ai extrêmement envie de l’engloutir, de le sucer, de tout lécher mais je retiens encore mes ardeurs, me souvenant de ma dernière expérience infructueuse.
Ses mains caressent mes cheveux et mes épaules. Il ne cherche pas à aller plus loin pour le moment. Son sexe est dressé à quelques centimètres de ma bouche maintenant, très gros et très dur, de grosses veines pulsent sous la peau ultrafine comme s’il allait exploser tant il est gros et gorgé de sang.
A suivre…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
On l’appelle : Papy Christophe.
Comme tout à l'heure pour Louise, nous assistons à une nouvelle croissance exponentielle de cet étonnant chibre. Bruno hoquette mais ne voulant pas perdre la face devant nous réussit l'exploit et prend en entier le jonc rigoureux dont le gland a affranchi sa glotte. Papy n'insiste pas et le libère du foulard. Bruno retire sa tête en arrière avec lenteur nous faisant admirer son exploit, laissant une trace baveuse sur le chibre.
-Pas mal, pas mal, le félicite (papy Christophe), tu es doué. Maintenant à qui le tour ?
Suite :
Eva, Élisa, Virginie, Léa et moi, Jules, nous regardons, indécis. Je doute de pouvoir le faire, j’ai essayé avec la queue de Bruno et ça a été déjà un exploit d’y arriver, alors avec le sexe de papy qui fait bien six centimètres de plus et surtout son épaisseur… Je n’y arriverai jamais. Comme personne ne se décide, papy se dirige vers Virginie, de nouveau la queue flasque, mais comment fait-il pour contrôler sa libido comme ça ? Il prend sa pine et la présente devant le visage de Virginie.
-Ouvre la bouche et fais ce que tu peux. Si tu vois que tu n’y arrives pas, lève le bras droit. Lui ordonne-t-il.
Elle lui obéit, apeurée, et a déjà des difficultés à prendre les deux tiers de son engin. Il place le foulard, se concentre et se remet à bander. Nous voyons la hampe grossir et elle a des difficultés à supporter l’engin. Papy relâche un peu le foulard car elle n’y arrive pas et plus d’un tiers de cette formidable pine reste visible. Virginie s’y agrippe comme à une bouée pour empêcher une pénétration plus profonde et finalement jette l’éponge en levant le bras libre. Ses yeux sont embués de larmes. Des filets de bave relient encore ses lèvres à l’engin en pleine expansion.
-Désolé papy, mais ton jonc est si massif que je n'ai pu en goûter que la gueule.
-Ne t'excuses pas Virginie, je me doutais bien que plusieurs d'entre vous n'en seraient pas capables. Il y a une autre méthode et je crois que ça sera la solution pour vous. Repose-toi un peu pendant que je vous explique de quelle manière on va procéder. Je vais commencer par Léa et jules. Vous allez vous coucher en travers du lit sur le dos la tête dans le vide.
Je ne sais pas ce qu'il nous réserve mais nous lui obéissons. Cette fois-ci il n'a pas débandé. Il s'approche de moi, me fait pencher au maximum la tête en arrière et me dit d'ouvrir la bouche.
-Jules, quand je te le dirai tu vas prendre une grande respiration et me laisser faire, je te crierai Go.
Je n'en mène pas large quand il introduit une quinzaine de centimètres de son formidable engin entre mes lèvres. Il sonde la profondeur de ma bouche avec son gland jusqu'à ce qu'il le sente buter au fond de ma gorge. Putain qu'il est gros ! J'entends comme dans un état second son « Go» . Je prends donc une grosse respiration pendant qu'il me bloque la tête entre ses deux mains, les pouces bloquants ma mâchoire. Il donne alors un coup de reins et je sens la digue de ma glotte céder devant l'intrus qui trace son chemin dans ma trachée.
Je me retiens pour ne pas serrer les mâchoires et ensanglanter avec mes dents la hampe massive. Ma vue est alors complètement obstruée par les bourses collées contre mon visage. Je ne sais pas si je peux tenir longtemps mais il ne fait que deux va-et-vient et se retire enfin.
-Tu vois Jules, constate-il, tout est possible, il suffit de savoir s'y prendre. Si tes cousines réussissent la même chose, on reparlera de la suite.
C’est au tour de Léa, il se décale sur le côté et lui fait subir la même chose. Quand je vois sa gorge gonflée au passage du gourdin massif, je réalise ce que je viens de subir, c’est incroyablement impressionnant. On dirait un boa avalant un autre serpent guère plus petit que lui.
C’est au tour d’Eva et d’Élisa. Je les vois apeurées mais se soumettant quand même à cette épreuve incroyable avec succès. Il ne reste plus que Virginie. Mais elle se rebiffe tellement que papy n’insiste pas et résume la situation.
-6 à 1, score acceptable mais insuffisant, je n’irai donc pas plus loin avec vous. Dans un sens, je préfère.
Les cousines sont déçues et le travaillent au corps pour qu’il cède. Il ne veut rien savoir mais finit par faire une nouvelle proposition à Virginie.
-Ce qui n'a pu rentrer dans ta bouche en entier peu cependant rentrer dans ton cul. Je sais que ça ne sera pas si facile que ça et que tu risques de souffrir un peu. À toi de voir, si tu refuses je ne veux plus vous entendre chouiner. Si tu acceptes et que tu relèves le défi, je verrai la suite à donner à vos suppliques.
Virginie n’est pas chaude mais ne peut tenir tête bien longtemps aux suppliques de plus en plus insistantes de ses cousines. Elle est encore vierge devant comme derrière et mon cousin et moi devrons donner de notre personne pour dépuceler le cul de notre cousine. Bien entendu, c'est moi avec ma petite bite qui vais passer le premier. C'est une première pour moi aussi mais comment résister à la furie sexuelle de mes cousines. Nous nous retrouvons donc toutes et tous le soir dans ma chambre que je partage avec Bruno. Les filles se chargent de nous dénuder et de me faire bander comme un taureau sous l'assaut de ces multiples mains et bouches, se partageant aussi pour faire monter dans les tours leur cousine. Louise se charge de bien huiler mon piston pendant qu’Eva fait de même avec Virginie en lui badigeonnant le fion d'une couche épaisse de lubrifiant, allant même jusqu'à lui introduire un ou deux doigts dans l’anus. Je ne peux pas dire que je sois très à l'aise de faire ça en public mais l'invitation est trop tentante. Je m'approche par derrière de Virginie la bite au garde-à-vous, mets mes mains sur ses hanches pendant que Louise guide mon missile vers son objectif fripé. Je croyais rencontrer plus de résistance mais c'est avec une facilité déconcertante que j'arrive à m'introduire entre les fesses de Virginie. C'est un tel bonheur pour moi que je ne peux me retenir très longtemps et lui graisse les boyaux de mon jus.
-C'était plus facile que je ne le croyais s'exclame Virginie, il faut dire que Jules a un petit calibre. Mais Bruno, profite qu’il m’a alésée un peu pour introduire ta grosse queue entre mes fesses, mais vas-y quand même doucement hein !
Il ne se fait pas prier, prend à peine le temps de baisser son pantalon et son slip pour exhiber son chibre près au travail et me bouscule pour prendre ma place et sodomiser sans autre forme Virginie.
-Aïe ! Espèce de salaud, tu aurais pu y aller plus doucement et pas à sec, tu me fais mal au cul avec ta grosse pine. Oohh putain !
Mais Bruno n'a aucune considération pour ses jérémiades et l'embroche avec vigueur.
Il est plus résistant que moi et tient pratiquement deux minutes avant de lui graisser à nouveau le fion et de se retirer, la queue en berne.
-Putain Bruno ! Tu n’es qu’un porc ! Tu aurais pu y aller plus doucement. J'ai vraiment souffert au début mais je n'aurais pas cru ressentir aussi vite du plaisir avec ton chibre qui me ramonait le cul. Mais tu n'es quand même pas du même calibre que papy. Je ne sais pas si je pourrai supporter son engin, vous avez vu la taille qu'il fait ?
(La parole est à Virginie maintenant.)
Je ne peux pas dire que ça a été désagréable mais elles sont bien gentilles mes cousines. Ce n'est pas elles qui vont se coltiner papy et se faire sodomiser par une telle poutre. Mais il ne sera pas dit qu’après avoir pris dans mon cul les bites de mes cousins, je vais abdiquer devant l'obstacle. Le lendemain je réussis à m'isoler avec papy et lui dit que je suis prête à relever le défi. Il me conduit alors dans sa chambre, ferme la porte à clé et me fait asseoir sur le bord du lit à ses côtés.
- Virginie, tu sais, tu n'es pas obligée de faire ça, j’ai proposé ça pour me sortir de vos pattes et non pour te faire souffrir en te sodomisant. Je sais que tes cousins sont déjà passé par là mais tu risques quand même de sentir passer mon engin, c'est loin d'être un petit calibre comme celui de Jules, et même celui de Bruno n’a rien de comparable.
-Je sais papy, mais si je ne le fais pas, ça sera un enfer pour moi avec mes cousines. Elles me reprocheront sans arrêt de les avoir empêchées d'être allé plus loin avec toi.
Il me prend par la taille, dans le mouvement la ceinture de ma robe se détache et découvre ma nudité en dessous. Il a de nouveau devant lui mon corps quasiment nu et chaud, il découvre le mini slip blanc dont quelques poils bouclés passent au travers de la dentelle qui dessine la forme de mes lèvres vaginales. Ainsi, je lui fais plus d’effets que complètement nue au bord de la piscine. Son pantalon gonfle sur le devant comme une baudruche. S’il ne se concentre pas, je vais avoir droit à une érection monumentale. Il retire son polo et dégrafe sa ceinture, il ne porte pas de slip dessous et son formidable sexe jaillit comme un diable de sa boite.
-Je veux ta queue, papy.
-Elle est à toi Virginie, mais je ne te force à rien.
Il me prend par les épaules et me met à genoux entre ses cuisses. Je ne me fais pas prier pour caresser sa verge qui continue à grossir une fois libérée du pantalon. J’ai extrêmement envie de l’engloutir, de le sucer, de tout lécher mais je retiens encore mes ardeurs, me souvenant de ma dernière expérience infructueuse.
Ses mains caressent mes cheveux et mes épaules. Il ne cherche pas à aller plus loin pour le moment. Son sexe est dressé à quelques centimètres de ma bouche maintenant, très gros et très dur, de grosses veines pulsent sous la peau ultrafine comme s’il allait exploser tant il est gros et gorgé de sang.
A suivre…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
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