Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 10
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 10
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.
Ils sont tellement sur les rotules qu’ils ne participent plus et sont avachis chacun dans un fauteuil. En revanche papy a toujours la gaule, il a une jouissance de retard sur mes cousins. Il passe de l’une à l’autre, sondant un anus ou une fente, rechargeant de salive sa verge dans une bouche toujours accueillante. Je ne sais pas si c’est dû à l’anneau qui enserre sa queue, au petit cachet bleu ou alors à son passé d’acteur porno mais il est toujours aussi vaillant.
Comment un seul homme, en plus sexagénaire peut-il contenter cinq demoiselles avides de sexe ? Je me le demande…
Suite :
Nous nous sommes maintenant partagé les taches, deux d’entre nous s’occupe du vieux bouc pendant que les autres chevrettes broutent des minous poilus ou imberbes.
-Petites salopes de biquettes ! S’exclame Papy, à force de me traite, ma laitance va encore sortir !
Il a de l’humour Papy, et encore des réserves… Nous nous précipitons comme à l’halali pour profiter de sa manne, moins abondante, certes, mais que même Bruno lors de sa première éjaculation n’a pu égaler.
Vous croyez qu’il a fini ? Eh bien non ! En attendant d’être de nouveau d’attaque avec sa queue, il se sert de ses doigts poisseux entre les muqueuses abondamment huilées de nos vagins, de ses mains sur nos seins, titillant les pointes, de sa langue gourmande léchant et pénétrant différents trous ou mordillant un clito dardé, déclenchant orgasme sur orgasme.
Et quand enfin sa queue se redresse.
-Désolé les filles, c'est peut-être con, mais vous me faites revenir en arrière et comme le vélo, certaines choses ne s’oublient pas et vous voyez l'effet que ça me fait.
-Oui on voit ça, s’exclame Louise. Tu bandes comme un âne Papy.
Sa queue est désormais droite et dressée entre ses cuisses, sa taille maximale est atteinte, et l’épaisseur avoisine les six centimètres. Quel gourdin !
-Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps une telle séance de baise, reconnait-il, mais c’est vous qui l’avez cherchée.
Il mouille son majeur avec de la salive, puis pousse son doigt pour entrer dans la petite grotte d’Eva et reprend le pilonnage de tout ce qui passe à sa portée. Il lui enfonce son majeur jusqu'à la seconde phalange, la faisant tressaillir lorsqu'il change d’objectif et commence à le faire tournoyer dans son anus !
Il joue ainsi à lui fouiller l'anus, d'abord avec un doigt, puis son index vint rejoindre le majeur, la faisant gémir un peu plus, heureusement qu’il avait préalablement lubrifié ses doigts en allant chercher le jus dans le vagin détrempé.
Je me suis approchée de lui pour qu’il fasse glisser sa langue dardée dans mon intimité et lèche ma chatte dans tous les recoins, jouant avec mon clitoris qu'il fait rouler sous sa langue, l'aspirant. Nous sommes trois à gémir de plus en plus fort qui par sa langue, ses doigts ou sa formidable verge. Il me lèche toujours, les doigts introduits dans la chatte trempée d’Eva qui les avale pendant qui pine le minou de Louise. Avec ce régime nous ne tardons pas à jouir à tour de rôle.
Nous avons encore retiré deux tributs des bourses de papy Christophe avant qu’il n’y mette le « holà ».
-Vous allez me tuer les filles, je ne suis plus tout jeune et n’ai plus les performances de ma jeunesse, je ne suis plus qu’à cinquante pour cent et je trouve que c’est déjà pas si mal à mon âge. Il est loin le temps où je pouvais honorer six ou sept filles dans la même journée.
Cinquante pour cent ? Ah j’aurais bien voulu le connaître quarante ans plus tôt. La joute est terminée et il n’y a pas que papy à être sur les rotules. C’est la première fois de ma vie, et aussi pour mes cousines, que nous avons forniqué aussi longtemps…Putain je n’en reviens pas ! Ça fait pratiquement quatre heures que nous avons commencé !!!
Depuis ce jour, papy est redevenu un grand-père comme les autres, fini les galipettes avec un étalon hyper-membré, à part peut-être avec Virginie à qui il a promis une leçon particulière.
La parole est à Virginie :
Ça fait deux semaines que je patiente, on dirait que Papy a complètement oublié sa promesse, mais pas moi. Aujourd’hui, je me retrouve seule avec lui, les autres sont allés à la plage et j’ai simulé un mal de tête. Je fais la petite fille à son Papy qui cherche du réconfort auprès de lui avec une minijupe et un string minimaliste. Il est en train de faire la sieste sur son fauteuil, je m’assois sur ses genoux, lui tournant le dos. Je ne sais pas si c’est le trémoussement de mon popotin ou un rêve érotique dans son sommeil mais je sens durcir dans son short l’objet de mes désirs. Je n’attends pas que sa verge soit trop dure sachant à quoi m’attendre et me relève le temps de mettre à l’air son chibre puis pose mes fesses le plus près de lui pour guider son engin dans ma petite chatte. Comme il n’est pas complètement en érection, bien que son gland soit en buté tout au fond de moi, c’est encore supportable. Je bouge lascivement pour éviter qu’il se réveille mais l’atavisme fait que « la chose » elle, ne l’entend pas de cette oreille, si je puis l’exprimer ainsi. Sa verge durcit mais pas autant que quand il y avait passé un anneau, et tant que j’y vais prudemment, c’est encore supportable.
Soudain j’entends du bruit, merde ! Nous ne sommes plus seuls… J’étale ma minijupe pour cacher aux regards de mes cousins et cousines ce qui se passe en dessous. Ils sont un peu surpris de me retrouver à califourchon sur les genoux de Papy toujours somnolant mais heureusement n’y font peu de cas. Louise décide alors de mettre au hasard une des cassettes de Papy et des râles de jouissances résonnent dans la pièce. Deux jeunes asiatiques sont en train de se faire bourrer par deux hommes dont l’un est évidemment mon grand-père.
Soudain je sens un léger choc dans mon vagin suivi d’autres tout aussi faibles. Papy garde les yeux fermés mais il doit s’être réveillé et a pris la mesure de ce qui se passe dans la pièce. Mes cousines regardent les scènes qui défilent sur l’écran et tournent souvent la tête vers nous avec un regard d’envie sur l’acteur principale de ce film érotique.
J’ai de plus en plus de difficulté à supporter en moi le sexe de Papy qui a repris du gourdin, devant légèrement avancer mon corps sur ses cuisses pour expulser de mon vagin les centimètres excédentaires que je ne peux décidément pas garder en moi. Ma nouvelle position est parfaite pour la longueur mais n’a aucun effet sur la grosseur de sa poutre, putain ce que je dérouille mais je ne dois rien laisser paraître. Ses coups de reins sont maintenant plus amples puisque j’ai permis à sa verge de coulisser en moi plus facilement en m’avançant, mais toujours avec une extrême douceur. Je plante mes dents dans ma lèvre inférieure pour ne pas hurler. Papy fait durer le plaisir restant quelquefois inactif pendant de longues minutes me permettant de reprendre la maitrise de mon corps. Il fait si bien qu’on arrive au bout du film et que mes cousins et cousines décident d’aller plonger une tête dans la piscine. Eva me demande de les accompagner mais je décline son offre d’un mouvement de la tête.
A peine est-elle sortie que les coups de pine deviennent de plus en plus violents, plus profonds, plus rapprochés. Papy soudain enserre mon corps de ses bras et se redresse, m’entrainant avec lui. Je me retrouve le buste penché en avant, mes jambes de chaque côté de son corps, mes fesses collées à son bas-ventre…et la totalité de son gros dard dans ma caverne qui n’a pas d’autres choix que de s’adapter à son jonc vigoureux.
Putain ce que je déguste… Mais je l’ai bien cherché. L’avantage c’est que le temps du film a permis à ma matrice de prendre la mesure de son engin et de s’y adapter petit à petit.
Papy se déplace en marchant en crabe pour que je puisse poser mes mains sur le dossier du divan et mes genoux sur l’assise et pose ses mains sur mes hanches, ne bougeant plus pour reprendre quelques forces. J'en profite pour m’empaler moi-même en bougeant d'avant en arrière sur son rostre, faisant claquer mes fesses sur ses cuisses. Il ne lui faut que quelques minutes pour qu'enfin je le sente participer. Ses coups de reins sont de plus en plus amples, projetant la quasi-totalité de son mandrin en moi. Bien que ce soit difficilement supportable je sens monter en moi une jouissance impossible à retenir. Mais à peine cet orgasme terminé, il est suivi par d’autres de plus en plus rapprochés. Heureusement que le divan est en cuir sinon il serait à jeter car je coule comme une fontaine. Soudain il s'écrit :
-Ça fait deux semaines que je n'ai pas juté Virginie, je vais te remplir comme une outre.
« Oh ouiiiiiiiii » Je sens on sperme me remplir la chatte et moi je jute en même temps. Putain il a de sacrées réserves Papy ! J'ai le vagin si rempli que les derniers coups de boutoir de son piston qui épouse à la perfection mon conduit produisent un bruit bizarre de compression et que sa semence s’éjecte de ma grotte comme le liquide de frein d’une voiture quand une conduite est percée. Il se retire enfin, pose sa grosse bite blanche sur mes fesses en les claquant comme une baguette sur un tambour, signe qu’il est encore suffisamment en forme. Je me retourne pour la prendre en bouche, la nettoie bien de tout son sperme jusqu'à la moindre goutte puis je promène ma langue sur ses cuisses et son bas-ventre pour récupérer les éclaboussures, léchant sa semence que la pression avait répandu sur lui.
-Bien, bien Virginie ! La dernière leçon est donnée…et tu m’y as forcé un peu. Mais maintenant toi et tes cousins devront de nouveau me considérer comme votre grand-père et non comme un ancien acteur porno. A la rigueur, je veux bien que vous regardiez encore mes exploits sur cassettes, mais ça n’ira pas plus loin. Et j’espère que vous garderez ce secret jusqu’à ma tombe…
Nous avons tenu notre promesse. Bien sûr, il était dur de résister quand nous nous retrouvions entre cousins et cousines autour de la piscine complètements nus avec Papy lui aussi en tenue d’Adam, somnolant en train de se remémorer nos galipettes avec lui avec une gaulle terriblement attirante mais maintenant interdite car il a tenu parole et nous avons dû faire ceinture.
2047. Nous nous retrouvons tous pour l’enterrement de notre grand-père. Nous nous remémorons les bons moments passés chez lui. Le soir venu, une fois rentré chez moi, les souvenirs remontent doucement, merci de les avoir partager avec nous. Tous les cousins et cousines ont des copies des cassettes porno de Papy pour se rappeler ces moments inoubliables. Je n’ai jamais retrouvé un partenaire comme lui avec une queue comme la sienne, que ça soit en proportions, en résistance et surtout avec ses éjaculations monstrueuses. S’il n’y avait pas ses vidéos, je douterais même de cet été 2023…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
Fin.
On l’appelle : Papy Christophe.
Ils sont tellement sur les rotules qu’ils ne participent plus et sont avachis chacun dans un fauteuil. En revanche papy a toujours la gaule, il a une jouissance de retard sur mes cousins. Il passe de l’une à l’autre, sondant un anus ou une fente, rechargeant de salive sa verge dans une bouche toujours accueillante. Je ne sais pas si c’est dû à l’anneau qui enserre sa queue, au petit cachet bleu ou alors à son passé d’acteur porno mais il est toujours aussi vaillant.
Comment un seul homme, en plus sexagénaire peut-il contenter cinq demoiselles avides de sexe ? Je me le demande…
Suite :
Nous nous sommes maintenant partagé les taches, deux d’entre nous s’occupe du vieux bouc pendant que les autres chevrettes broutent des minous poilus ou imberbes.
-Petites salopes de biquettes ! S’exclame Papy, à force de me traite, ma laitance va encore sortir !
Il a de l’humour Papy, et encore des réserves… Nous nous précipitons comme à l’halali pour profiter de sa manne, moins abondante, certes, mais que même Bruno lors de sa première éjaculation n’a pu égaler.
Vous croyez qu’il a fini ? Eh bien non ! En attendant d’être de nouveau d’attaque avec sa queue, il se sert de ses doigts poisseux entre les muqueuses abondamment huilées de nos vagins, de ses mains sur nos seins, titillant les pointes, de sa langue gourmande léchant et pénétrant différents trous ou mordillant un clito dardé, déclenchant orgasme sur orgasme.
Et quand enfin sa queue se redresse.
-Désolé les filles, c'est peut-être con, mais vous me faites revenir en arrière et comme le vélo, certaines choses ne s’oublient pas et vous voyez l'effet que ça me fait.
-Oui on voit ça, s’exclame Louise. Tu bandes comme un âne Papy.
Sa queue est désormais droite et dressée entre ses cuisses, sa taille maximale est atteinte, et l’épaisseur avoisine les six centimètres. Quel gourdin !
-Ça ne m'était pas arrivé depuis longtemps une telle séance de baise, reconnait-il, mais c’est vous qui l’avez cherchée.
Il mouille son majeur avec de la salive, puis pousse son doigt pour entrer dans la petite grotte d’Eva et reprend le pilonnage de tout ce qui passe à sa portée. Il lui enfonce son majeur jusqu'à la seconde phalange, la faisant tressaillir lorsqu'il change d’objectif et commence à le faire tournoyer dans son anus !
Il joue ainsi à lui fouiller l'anus, d'abord avec un doigt, puis son index vint rejoindre le majeur, la faisant gémir un peu plus, heureusement qu’il avait préalablement lubrifié ses doigts en allant chercher le jus dans le vagin détrempé.
Je me suis approchée de lui pour qu’il fasse glisser sa langue dardée dans mon intimité et lèche ma chatte dans tous les recoins, jouant avec mon clitoris qu'il fait rouler sous sa langue, l'aspirant. Nous sommes trois à gémir de plus en plus fort qui par sa langue, ses doigts ou sa formidable verge. Il me lèche toujours, les doigts introduits dans la chatte trempée d’Eva qui les avale pendant qui pine le minou de Louise. Avec ce régime nous ne tardons pas à jouir à tour de rôle.
Nous avons encore retiré deux tributs des bourses de papy Christophe avant qu’il n’y mette le « holà ».
-Vous allez me tuer les filles, je ne suis plus tout jeune et n’ai plus les performances de ma jeunesse, je ne suis plus qu’à cinquante pour cent et je trouve que c’est déjà pas si mal à mon âge. Il est loin le temps où je pouvais honorer six ou sept filles dans la même journée.
Cinquante pour cent ? Ah j’aurais bien voulu le connaître quarante ans plus tôt. La joute est terminée et il n’y a pas que papy à être sur les rotules. C’est la première fois de ma vie, et aussi pour mes cousines, que nous avons forniqué aussi longtemps…Putain je n’en reviens pas ! Ça fait pratiquement quatre heures que nous avons commencé !!!
Depuis ce jour, papy est redevenu un grand-père comme les autres, fini les galipettes avec un étalon hyper-membré, à part peut-être avec Virginie à qui il a promis une leçon particulière.
La parole est à Virginie :
Ça fait deux semaines que je patiente, on dirait que Papy a complètement oublié sa promesse, mais pas moi. Aujourd’hui, je me retrouve seule avec lui, les autres sont allés à la plage et j’ai simulé un mal de tête. Je fais la petite fille à son Papy qui cherche du réconfort auprès de lui avec une minijupe et un string minimaliste. Il est en train de faire la sieste sur son fauteuil, je m’assois sur ses genoux, lui tournant le dos. Je ne sais pas si c’est le trémoussement de mon popotin ou un rêve érotique dans son sommeil mais je sens durcir dans son short l’objet de mes désirs. Je n’attends pas que sa verge soit trop dure sachant à quoi m’attendre et me relève le temps de mettre à l’air son chibre puis pose mes fesses le plus près de lui pour guider son engin dans ma petite chatte. Comme il n’est pas complètement en érection, bien que son gland soit en buté tout au fond de moi, c’est encore supportable. Je bouge lascivement pour éviter qu’il se réveille mais l’atavisme fait que « la chose » elle, ne l’entend pas de cette oreille, si je puis l’exprimer ainsi. Sa verge durcit mais pas autant que quand il y avait passé un anneau, et tant que j’y vais prudemment, c’est encore supportable.
Soudain j’entends du bruit, merde ! Nous ne sommes plus seuls… J’étale ma minijupe pour cacher aux regards de mes cousins et cousines ce qui se passe en dessous. Ils sont un peu surpris de me retrouver à califourchon sur les genoux de Papy toujours somnolant mais heureusement n’y font peu de cas. Louise décide alors de mettre au hasard une des cassettes de Papy et des râles de jouissances résonnent dans la pièce. Deux jeunes asiatiques sont en train de se faire bourrer par deux hommes dont l’un est évidemment mon grand-père.
Soudain je sens un léger choc dans mon vagin suivi d’autres tout aussi faibles. Papy garde les yeux fermés mais il doit s’être réveillé et a pris la mesure de ce qui se passe dans la pièce. Mes cousines regardent les scènes qui défilent sur l’écran et tournent souvent la tête vers nous avec un regard d’envie sur l’acteur principale de ce film érotique.
J’ai de plus en plus de difficulté à supporter en moi le sexe de Papy qui a repris du gourdin, devant légèrement avancer mon corps sur ses cuisses pour expulser de mon vagin les centimètres excédentaires que je ne peux décidément pas garder en moi. Ma nouvelle position est parfaite pour la longueur mais n’a aucun effet sur la grosseur de sa poutre, putain ce que je dérouille mais je ne dois rien laisser paraître. Ses coups de reins sont maintenant plus amples puisque j’ai permis à sa verge de coulisser en moi plus facilement en m’avançant, mais toujours avec une extrême douceur. Je plante mes dents dans ma lèvre inférieure pour ne pas hurler. Papy fait durer le plaisir restant quelquefois inactif pendant de longues minutes me permettant de reprendre la maitrise de mon corps. Il fait si bien qu’on arrive au bout du film et que mes cousins et cousines décident d’aller plonger une tête dans la piscine. Eva me demande de les accompagner mais je décline son offre d’un mouvement de la tête.
A peine est-elle sortie que les coups de pine deviennent de plus en plus violents, plus profonds, plus rapprochés. Papy soudain enserre mon corps de ses bras et se redresse, m’entrainant avec lui. Je me retrouve le buste penché en avant, mes jambes de chaque côté de son corps, mes fesses collées à son bas-ventre…et la totalité de son gros dard dans ma caverne qui n’a pas d’autres choix que de s’adapter à son jonc vigoureux.
Putain ce que je déguste… Mais je l’ai bien cherché. L’avantage c’est que le temps du film a permis à ma matrice de prendre la mesure de son engin et de s’y adapter petit à petit.
Papy se déplace en marchant en crabe pour que je puisse poser mes mains sur le dossier du divan et mes genoux sur l’assise et pose ses mains sur mes hanches, ne bougeant plus pour reprendre quelques forces. J'en profite pour m’empaler moi-même en bougeant d'avant en arrière sur son rostre, faisant claquer mes fesses sur ses cuisses. Il ne lui faut que quelques minutes pour qu'enfin je le sente participer. Ses coups de reins sont de plus en plus amples, projetant la quasi-totalité de son mandrin en moi. Bien que ce soit difficilement supportable je sens monter en moi une jouissance impossible à retenir. Mais à peine cet orgasme terminé, il est suivi par d’autres de plus en plus rapprochés. Heureusement que le divan est en cuir sinon il serait à jeter car je coule comme une fontaine. Soudain il s'écrit :
-Ça fait deux semaines que je n'ai pas juté Virginie, je vais te remplir comme une outre.
« Oh ouiiiiiiiii » Je sens on sperme me remplir la chatte et moi je jute en même temps. Putain il a de sacrées réserves Papy ! J'ai le vagin si rempli que les derniers coups de boutoir de son piston qui épouse à la perfection mon conduit produisent un bruit bizarre de compression et que sa semence s’éjecte de ma grotte comme le liquide de frein d’une voiture quand une conduite est percée. Il se retire enfin, pose sa grosse bite blanche sur mes fesses en les claquant comme une baguette sur un tambour, signe qu’il est encore suffisamment en forme. Je me retourne pour la prendre en bouche, la nettoie bien de tout son sperme jusqu'à la moindre goutte puis je promène ma langue sur ses cuisses et son bas-ventre pour récupérer les éclaboussures, léchant sa semence que la pression avait répandu sur lui.
-Bien, bien Virginie ! La dernière leçon est donnée…et tu m’y as forcé un peu. Mais maintenant toi et tes cousins devront de nouveau me considérer comme votre grand-père et non comme un ancien acteur porno. A la rigueur, je veux bien que vous regardiez encore mes exploits sur cassettes, mais ça n’ira pas plus loin. Et j’espère que vous garderez ce secret jusqu’à ma tombe…
Nous avons tenu notre promesse. Bien sûr, il était dur de résister quand nous nous retrouvions entre cousins et cousines autour de la piscine complètements nus avec Papy lui aussi en tenue d’Adam, somnolant en train de se remémorer nos galipettes avec lui avec une gaulle terriblement attirante mais maintenant interdite car il a tenu parole et nous avons dû faire ceinture.
2047. Nous nous retrouvons tous pour l’enterrement de notre grand-père. Nous nous remémorons les bons moments passés chez lui. Le soir venu, une fois rentré chez moi, les souvenirs remontent doucement, merci de les avoir partager avec nous. Tous les cousins et cousines ont des copies des cassettes porno de Papy pour se rappeler ces moments inoubliables. Je n’ai jamais retrouvé un partenaire comme lui avec une queue comme la sienne, que ça soit en proportions, en résistance et surtout avec ses éjaculations monstrueuses. S’il n’y avait pas ses vidéos, je douterais même de cet été 2023…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quel délicieux moment, à bander comme un âne pendant toute la lecture...
Cyrille
Cyrille
J'ai regardé les vidéos qu'il préconise, putain !!! Si c'est l'auteur, je comprends que ses héros soient si bien montés.
J'ai vu qu'il est devenu le deuxième auteur le plus commenté sans se servir de cette messagerie comme le courrier des lecteurs, lui
À quand sa prochaine histoire ?
C'est la bite de papy ou celle de l'auteur en avatar ? Putain!!! Ça c'est un sacré gourdin.
Sniff, c'est fini