Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 9
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2023 dans la catégorie Plus on est
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 9
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur grand-oncle était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.
La parole est à Eva :
Quelle chance ! Je vais pouvoir faire un deuxième tour de manège, et avec seulement mon Papy en plus ! Contrairement à Virginie, la verge massive de mon grand-oncle ne me fait pas peur, pourtant dans ma vie sexuelle, je n’ai jamais été confronté à un tel pal, et l’anneau qui enserre sa bite entre les bourses et son bas-ventre rend sa verge encore plus imposante, et surtout d’une dureté que je n’ai jamais connue, un vrai tison.
Mais cette fois-ci, il ne veut plus resté passif et me demande de me mettre à quatre pattes sur le parquet. L’effet a l’air de le rendre encore plus excité et il me fesse copieusement en me traitant de petite dévergondée avant de me flairer le cul.
-Tu pues la mouille pas fraiche. Il va falloir que je nettoie ça !
Suite :
Et à grands coups de langue, il entreprend de me lécher la fente encore dégoulinante en me gardant à quatre pattes, allant aussi jusqu’à mon anus. Je pourrais être morte de honte mais l’idée de me faire nettoyer la fente, bien qu’avilissante me fait presque jouir. Il appuie l’index sur ma rondelle, petite contraction des fesses pour la forme quand son doigt force le passage pas suffisamment lubrifié. Il entre deux doigts à l'intérieur et me ramone doucement.
-Oui Papy, je mouille pour toi pour que tu puisses me foutre ta grosse queue à fond quand tu le voudras.
Il glisse un doigt, puis deux pour me faire grimper une seconde fois, avant de me présenter son gland à ma chatte.
- Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement …
Il pose enfin contre ma chatte noyée son défonce cul, me prend par la taille et s'enfonce lentement en moi. Je serre un peu les dents mais ne peux retenir un cri de plaisir quand sa queue me pénètre. Je grimace et serre les dents, ma chatte avale petit à petit son pal. « Ooooooh putain que c'est gros ! »
Il s’enfonce doucement puis s’arrête, comme pour me laisser le temps d’apprécier et de me faire à la taille peu courante de son sexe.
Puis il reprend le rythme, s’enfonçant, et se retirant, toujours plus loin. A chaque aller-retour, je pousse des cris de plaisir, son sexe me remplissant complètement, je me laisse faire. Il est presque enfoncé jusqu'a la garde et commence de lents va et vient, à chaque poussée son gland massif frappe le col de l’utérus. Je glapis de plaisir en sentant cette bite dure et chaude m’élargir mon conduit vaginal au-delà de ses limites et racler mes parois intimes. Ses coups de reins me procurent une chaleur qui irradie dans tout mon corps. Il se retire complètement, me laissant béante et présente à l’une de mes cousines agenouillée le monstre dont elle gobe difficilement le gland, la bouche distendue suçant comme elle peut,
tétant l 'énormité de la pine de Papy. C’est à peine s’il y fait cas, passant sa main sur ma fente.
-Putain de petite chienne, tu es trempée !!!
Il repénètre un peu plus vite mon minou, me relève le buste pouvant ainsi agripper mes seins et jouer avec. Il me ballotte telle une poupée, agrippant tantôt mes fesses, tantôt mes seins, les malaxant, pétrissant ou fessant suivant ses envies. Ses pénétrations sont de plus en plus amples et malgré la violence de ses assauts, j'en redemande :
- Achève-moi, je suis ta cochonne de petite truie...mmmpppfff, ouii, baise moi encore Papy.
- T'en veux encore ma petite cochonne ?
- OH OUIIIII !!!
Je n’ai jamais pris tant de plaisir avec les quelques garçons qui ont eu l’honneur de me troncher. Le mandrin puissant de Papy me fore à me faire défaillir. Je ne compte plus mes orgasmes où je me cabre et explose à en rendre sourds toutes les personnes présentes dans la pièce. Ouiiii !! Je gicle comme une bonne salope quand soudain Papy redouble ses coups de boutoirs puis se bloque et envoie au fond de mes entrailles des décharges puissantes de sperme brûlant. Il me repousse enfin, se relève et met ses mains sur ses hanches, sa verge malgré sa jouissance n’a pas perdu ne serait-ce qu’un millimètre que ce soit en longueur ou en épaisseur car l’anneau encore plus incrusté à la base de son sexe agit comme un sens unique.
La parole est à Léa :
J’en reviens pas ! Pire qu’un étalon reproducteur le Papy ! mais il est hors de question que je passe mon tour. Je m’approche de lui, je suis la plus petite et la plus légère de mes cousines mais mon appétit de bites est inversement proportionné. Je saute au coup de Papy et enserre son corps entre mes jambes. Il glisse une de ses mains sous mes fesses et de l’autre guide son missile vers ce nouvel objectif puis laisse la gravité agir. Heureusement que j’ai déjà pris la mesure exceptionnelle de ce cep noueux car tel le Comte DRACUL, il m’empale si loin que je dois m’accrocher comme une noyée à son cou de taureau pour ne pas déchirer ma matrice. A la force de mes bras, je fais jouer ce formidable piston dans ma gaine distendue comme jamais.
- Putain, tu te cambres toute seule, t'as vraiment envie de te faire enfiler comme une salope !
Me tenant fermement par les fesses il donne de légers coups de reins et je sens sa bite au plus profond de moi. Il commence alors à coulisser son énorme mandrin rapidement entre mes petites fesses. Il positionne soudain son chibre contre mon anus, ne bougeant plus, laissant son gland collé à mon sphincter puis donne un très gros coup de boutoir, m'embrochant jusqu'aux couilles, enfin c’est ce que je croyais quand j’entends Virginie qui est déjà passé par là :
-Le chapeau est entré, attends de voir ce que ça fait quand le pied du champignon trace son chemin.
Papy me regarde dans les yeux, me soumettant encore un peu plus à sa virilité sans aucune violence en me caressant les fesses tout en m’honorant avec ardeur. Chaque coup de reins
permettant à son défonce-cul de grignoter de quelques centimètre supplémentaires mon anus martyrisé.
- Hum… non… pas par-là Papy…
- Chuuuuut…. Laisse-toi faire… ne te fais pas plus pucelle que Virginie.
Je suis aux anges, il fait glisser son énorme chibre à travers ma rondelle, et m'enfile toujours plus loin. Sodomisée pour la première fois par mon Papy, je pousse un gémissement de douleur quand son pubis frappe sur ma fente esseulée, puis il prend un rythme profond et puissant. Papy me prend le cul tout en me caressant la chatte, je crie et en redemande, il m’enfonce deux doigts dans la chatte, ses jambes fléchissent sous l’effort mais il essaie tant bien que mal à rester debout, continuant à m’enculer tellement je crie de en jouissant du cul. Quand enfin il me repose et se retire, je tombe à genoux pour reprendre mon souffle pendant que papy me caresse les cheveux pour reprendre lui aussi son souffle.
Il met ses deux mains sur ma tête et la dirige vers sa verge toujours dressée, me force à ouvrir les mâchoires et prendre en bouche ce qui vient de sortir de mon cul. J’en reconnais d’ailleurs le goût mais n’en tiens pas compte. Après m'avoir démonté la mâchoire pendant plusieurs minutes, il se retire de ma bouche en poussant un cri de jouissance et de puissants jets de foutre inondent mon visage. L’un d’entre eux atteint mes yeux, m'aveuglant instantanément. Le reste s'écrase sur mes lèvres, mon nez, mes joues mon front et dans ma chevelure. Pour sa deuxième jouissance de la journée, Papy prend tout son temps pour se vider les couilles sur mon visage, m'arrosant à loisir comme si c’était naturel qu’un homme de 66 ans qui a déjà jouit crache autant.
Quand je ne sens plus de jets parvenir de son sexe, que j’espère totalement vidé, je passe mes doigts sur mes yeux pour retrouver la vue. Néanmoins, toujours fermement maintenue par papy, il me racle le visage de son gros pinceau pour étaler le foutre sur toute ma figure. Malgré cette deuxième jouissance et une perte de rigidité remarquable de son engin, son sexe ferait la convoitise de pas mal d’hommes se disant « bien montés ». comme à la curée, mes cousines se précipitent pour me lécher le visage comme le feraient des chiennes avec leur maîtresse. Je croyais qu’après de tels exploits il serait out pour un bon bout de temps mais c’est mal le connaître…
-Les filles, si je ne veux pas y passer la journée il va falloir changer de méthode. Vous allez déjà vous occuper de vos cousins pour qu’ils puissent tenir un round de plus et si vous manquez de mâle, amusez-vous entre filles. Moi je vais butiner de ci, de là, je vous préviens que rien ne me sera interdit, que vous le vouliez ou non, mon sabre essaiera différents fourreaux, avec deux lèvres ou quatre ou sans aucune, filles ou garçons. Si c’est trop pour vous, quittez la pièce maintenant.
Nous savons à quoi nous nous exposons mais personne ne se dérobe. Pendant les dix minutes qui suivent, nous nous en donnons à cœur-joie, butinant qui un pistil, une grotte fendue ou un anneau fripé. Les cousins ont enfin rebandé nous permettant de varier les plaisirs et les tailles des pistons. De temps en temps un beuglement ou un râle plus puissant attire nos regards quand Papy force une bouche ou un cul sans distinction de genre. Les cousins ont tenu cette fois un peu plus longtemps mais leurs bourses pratiquement vides ne laissent plus couler qu’un minuscule filet de sperme quasiment liquide. Ils sont tellement sur les rotules qu’ils ne participent plus et sont avachis chacun dans un fauteuil. En revanche papy a toujours la gaule, il a une jouissance de retard sur mes cousins. Il passe de l’une à l’autre, sondant un anus ou une fente, rechargeant de salive sa verge dans une bouche toujours accueillante. Je ne sais pas si c’est dû à l’anneau qui enserre sa queue, au petit cachet bleu ou alors à son passé d’acteur porno mais il est toujours aussi vaillant.
Comment un seul homme, en plus sexagénaire peut-il contenter cinq demoiselles avides de sexe ? Je me le demande…
A suivre :
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
On l’appelle : Papy Christophe.
La parole est à Eva :
Quelle chance ! Je vais pouvoir faire un deuxième tour de manège, et avec seulement mon Papy en plus ! Contrairement à Virginie, la verge massive de mon grand-oncle ne me fait pas peur, pourtant dans ma vie sexuelle, je n’ai jamais été confronté à un tel pal, et l’anneau qui enserre sa bite entre les bourses et son bas-ventre rend sa verge encore plus imposante, et surtout d’une dureté que je n’ai jamais connue, un vrai tison.
Mais cette fois-ci, il ne veut plus resté passif et me demande de me mettre à quatre pattes sur le parquet. L’effet a l’air de le rendre encore plus excité et il me fesse copieusement en me traitant de petite dévergondée avant de me flairer le cul.
-Tu pues la mouille pas fraiche. Il va falloir que je nettoie ça !
Suite :
Et à grands coups de langue, il entreprend de me lécher la fente encore dégoulinante en me gardant à quatre pattes, allant aussi jusqu’à mon anus. Je pourrais être morte de honte mais l’idée de me faire nettoyer la fente, bien qu’avilissante me fait presque jouir. Il appuie l’index sur ma rondelle, petite contraction des fesses pour la forme quand son doigt force le passage pas suffisamment lubrifié. Il entre deux doigts à l'intérieur et me ramone doucement.
-Oui Papy, je mouille pour toi pour que tu puisses me foutre ta grosse queue à fond quand tu le voudras.
Il glisse un doigt, puis deux pour me faire grimper une seconde fois, avant de me présenter son gland à ma chatte.
- Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement …
Il pose enfin contre ma chatte noyée son défonce cul, me prend par la taille et s'enfonce lentement en moi. Je serre un peu les dents mais ne peux retenir un cri de plaisir quand sa queue me pénètre. Je grimace et serre les dents, ma chatte avale petit à petit son pal. « Ooooooh putain que c'est gros ! »
Il s’enfonce doucement puis s’arrête, comme pour me laisser le temps d’apprécier et de me faire à la taille peu courante de son sexe.
Puis il reprend le rythme, s’enfonçant, et se retirant, toujours plus loin. A chaque aller-retour, je pousse des cris de plaisir, son sexe me remplissant complètement, je me laisse faire. Il est presque enfoncé jusqu'a la garde et commence de lents va et vient, à chaque poussée son gland massif frappe le col de l’utérus. Je glapis de plaisir en sentant cette bite dure et chaude m’élargir mon conduit vaginal au-delà de ses limites et racler mes parois intimes. Ses coups de reins me procurent une chaleur qui irradie dans tout mon corps. Il se retire complètement, me laissant béante et présente à l’une de mes cousines agenouillée le monstre dont elle gobe difficilement le gland, la bouche distendue suçant comme elle peut,
tétant l 'énormité de la pine de Papy. C’est à peine s’il y fait cas, passant sa main sur ma fente.
-Putain de petite chienne, tu es trempée !!!
Il repénètre un peu plus vite mon minou, me relève le buste pouvant ainsi agripper mes seins et jouer avec. Il me ballotte telle une poupée, agrippant tantôt mes fesses, tantôt mes seins, les malaxant, pétrissant ou fessant suivant ses envies. Ses pénétrations sont de plus en plus amples et malgré la violence de ses assauts, j'en redemande :
- Achève-moi, je suis ta cochonne de petite truie...mmmpppfff, ouii, baise moi encore Papy.
- T'en veux encore ma petite cochonne ?
- OH OUIIIII !!!
Je n’ai jamais pris tant de plaisir avec les quelques garçons qui ont eu l’honneur de me troncher. Le mandrin puissant de Papy me fore à me faire défaillir. Je ne compte plus mes orgasmes où je me cabre et explose à en rendre sourds toutes les personnes présentes dans la pièce. Ouiiii !! Je gicle comme une bonne salope quand soudain Papy redouble ses coups de boutoirs puis se bloque et envoie au fond de mes entrailles des décharges puissantes de sperme brûlant. Il me repousse enfin, se relève et met ses mains sur ses hanches, sa verge malgré sa jouissance n’a pas perdu ne serait-ce qu’un millimètre que ce soit en longueur ou en épaisseur car l’anneau encore plus incrusté à la base de son sexe agit comme un sens unique.
La parole est à Léa :
J’en reviens pas ! Pire qu’un étalon reproducteur le Papy ! mais il est hors de question que je passe mon tour. Je m’approche de lui, je suis la plus petite et la plus légère de mes cousines mais mon appétit de bites est inversement proportionné. Je saute au coup de Papy et enserre son corps entre mes jambes. Il glisse une de ses mains sous mes fesses et de l’autre guide son missile vers ce nouvel objectif puis laisse la gravité agir. Heureusement que j’ai déjà pris la mesure exceptionnelle de ce cep noueux car tel le Comte DRACUL, il m’empale si loin que je dois m’accrocher comme une noyée à son cou de taureau pour ne pas déchirer ma matrice. A la force de mes bras, je fais jouer ce formidable piston dans ma gaine distendue comme jamais.
- Putain, tu te cambres toute seule, t'as vraiment envie de te faire enfiler comme une salope !
Me tenant fermement par les fesses il donne de légers coups de reins et je sens sa bite au plus profond de moi. Il commence alors à coulisser son énorme mandrin rapidement entre mes petites fesses. Il positionne soudain son chibre contre mon anus, ne bougeant plus, laissant son gland collé à mon sphincter puis donne un très gros coup de boutoir, m'embrochant jusqu'aux couilles, enfin c’est ce que je croyais quand j’entends Virginie qui est déjà passé par là :
-Le chapeau est entré, attends de voir ce que ça fait quand le pied du champignon trace son chemin.
Papy me regarde dans les yeux, me soumettant encore un peu plus à sa virilité sans aucune violence en me caressant les fesses tout en m’honorant avec ardeur. Chaque coup de reins
permettant à son défonce-cul de grignoter de quelques centimètre supplémentaires mon anus martyrisé.
- Hum… non… pas par-là Papy…
- Chuuuuut…. Laisse-toi faire… ne te fais pas plus pucelle que Virginie.
Je suis aux anges, il fait glisser son énorme chibre à travers ma rondelle, et m'enfile toujours plus loin. Sodomisée pour la première fois par mon Papy, je pousse un gémissement de douleur quand son pubis frappe sur ma fente esseulée, puis il prend un rythme profond et puissant. Papy me prend le cul tout en me caressant la chatte, je crie et en redemande, il m’enfonce deux doigts dans la chatte, ses jambes fléchissent sous l’effort mais il essaie tant bien que mal à rester debout, continuant à m’enculer tellement je crie de en jouissant du cul. Quand enfin il me repose et se retire, je tombe à genoux pour reprendre mon souffle pendant que papy me caresse les cheveux pour reprendre lui aussi son souffle.
Il met ses deux mains sur ma tête et la dirige vers sa verge toujours dressée, me force à ouvrir les mâchoires et prendre en bouche ce qui vient de sortir de mon cul. J’en reconnais d’ailleurs le goût mais n’en tiens pas compte. Après m'avoir démonté la mâchoire pendant plusieurs minutes, il se retire de ma bouche en poussant un cri de jouissance et de puissants jets de foutre inondent mon visage. L’un d’entre eux atteint mes yeux, m'aveuglant instantanément. Le reste s'écrase sur mes lèvres, mon nez, mes joues mon front et dans ma chevelure. Pour sa deuxième jouissance de la journée, Papy prend tout son temps pour se vider les couilles sur mon visage, m'arrosant à loisir comme si c’était naturel qu’un homme de 66 ans qui a déjà jouit crache autant.
Quand je ne sens plus de jets parvenir de son sexe, que j’espère totalement vidé, je passe mes doigts sur mes yeux pour retrouver la vue. Néanmoins, toujours fermement maintenue par papy, il me racle le visage de son gros pinceau pour étaler le foutre sur toute ma figure. Malgré cette deuxième jouissance et une perte de rigidité remarquable de son engin, son sexe ferait la convoitise de pas mal d’hommes se disant « bien montés ». comme à la curée, mes cousines se précipitent pour me lécher le visage comme le feraient des chiennes avec leur maîtresse. Je croyais qu’après de tels exploits il serait out pour un bon bout de temps mais c’est mal le connaître…
-Les filles, si je ne veux pas y passer la journée il va falloir changer de méthode. Vous allez déjà vous occuper de vos cousins pour qu’ils puissent tenir un round de plus et si vous manquez de mâle, amusez-vous entre filles. Moi je vais butiner de ci, de là, je vous préviens que rien ne me sera interdit, que vous le vouliez ou non, mon sabre essaiera différents fourreaux, avec deux lèvres ou quatre ou sans aucune, filles ou garçons. Si c’est trop pour vous, quittez la pièce maintenant.
Nous savons à quoi nous nous exposons mais personne ne se dérobe. Pendant les dix minutes qui suivent, nous nous en donnons à cœur-joie, butinant qui un pistil, une grotte fendue ou un anneau fripé. Les cousins ont enfin rebandé nous permettant de varier les plaisirs et les tailles des pistons. De temps en temps un beuglement ou un râle plus puissant attire nos regards quand Papy force une bouche ou un cul sans distinction de genre. Les cousins ont tenu cette fois un peu plus longtemps mais leurs bourses pratiquement vides ne laissent plus couler qu’un minuscule filet de sperme quasiment liquide. Ils sont tellement sur les rotules qu’ils ne participent plus et sont avachis chacun dans un fauteuil. En revanche papy a toujours la gaule, il a une jouissance de retard sur mes cousins. Il passe de l’une à l’autre, sondant un anus ou une fente, rechargeant de salive sa verge dans une bouche toujours accueillante. Je ne sais pas si c’est dû à l’anneau qui enserre sa queue, au petit cachet bleu ou alors à son passé d’acteur porno mais il est toujours aussi vaillant.
Comment un seul homme, en plus sexagénaire peut-il contenter cinq demoiselles avides de sexe ? Je me le demande…
A suivre :
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
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Il a de l'endurance, papy