Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur papy était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 6
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur papy était un acteur porno. On l’appelle : Papy Christophe. 6
Cinq cousines et deux cousins découvrent que leur papy était un acteur porno.
On l’appelle : Papy Christophe.
Je ressens alors les soubresauts de l'éjaculation de Papy, le sperme chaud qui coule dans ma bouche avec abondance et le râle assourdi de son énorme jouissance résonne à l'intérieur de la pièce.
J'ai dans ma tête la vision charnelle et incestueuse de nous deux, le grand-père et la petite fille, jouant à des jeux que la morale réprouve. Mais Papy n’est pas un grand-père comme les autres…
-Papy, pourquoi tu ne m’as pas déflorée ? Je suis la seule vierge parmi mes cousines et j’étais prête, pourquoi ?
Suite :
-Virginie, je ne suis qu’un vieux crouton par rapport à ta jeunesse, ce n’est pas à moi de prendre ta virginité, ce qu’on vient de faire n’est déjà pas très moral.
-Pourtant, je le coupe, si je réussissais cette épreuve, tu nous as promis d’aller beaucoup plus loin avec nous, et que reste-t-il d’autre que de sauter tes petites filles, et même de faire connaître à mes cousins ce que tu viens de me faire subir. Tu veux revenir sur ta parole ?
-Tu as raison Virginie, je me suis piégé tout seul, admet-il, mais reconnais que pour moi je devrai trahir la confiance de mes propres enfants qui vous ont confiés à moi, et que leur but n’était pas que je vous déprave et vous saute autant que vous êtes, tu ne crois-pas ?
-Peut-être Papy, peut-être… Mais c’est nous qui le désirons, et nous sommes tous majeurs et vaccinés. Tu sais, comme pratiquement tous les jeunes maintenant, il y a longtemps que nous avons regardé des films de cul sur nos portables, avec des acteurs pornos montés comme des ânes. Alors, tu penses bien que depuis que nous avons découvert que notre papy a été une star du X, nous ne pensons qu’à une chose, surtout les filles, nous faire prendre par toi et ton braquemard de compétition.
-Je vois, je vois, marmonne-t-il, je ne vais pas y couper. Mais ne venez-pas vous plaindre après car je ne vous ménagerai pas et comme tu as pu le constater, je suis loin d’avoir le calibre de Jules.
La parole est à Louise :
Je suis jalouse de Virginie. Cette petite sainte-nitouche a goûté avant moi à la poutre de Papy, ça se paiera un jour. Mais d’un autre côté, si elle n’avait pas réussi à relever le défi, on était niqué faute d’être niqué par Papy, alors …
Nous revenons donc toutes à l’assaut deux jours plus tard car les garçons se sont dégonflés. C’est la soirée et nous sommes toutes au salon avec Papy, les cousins jouent à la console dans leur chambre. Le film est naze alors je prends le taureau par les cornes. Je me lève, vais dans la chambre de papy et ramène une cassette au titre évocateur de : Manneken Piss et les petites suédoises.
Je reviens au salon, mets la cassette dans le magnétoscope et lance le film. Papy Christophe me fait les gros yeux mais ne bouge pas. Je m’enhardis aussitôt en me mettant à poil devant lui et mes cousines, m’assois à côté de lui pour prendre sa main que je pose sur ma foufoune, il se laisse faire. Le porno est très subjectif car l’homme à côté de moi, avec quarante années de moins, passe de filles en filles pour leur bouffer la minette, triturer des seins, titiller mamelons et clitoris. Mes cousines Eva, Elisa, Léa et Virginie ne voulant pas rester à la traine se sont aussi dévêtues. Cinq filles pour un sexagénaire, va-t-il pouvoir assurer ?
-Puisque c’est comme ça, annonce-t-il, vous attendez quoi pour me dévêtir ?
Nous lui retirons son polo et il se soulève pour nous faciliter la tâche pour descendre son short et son slip. Malgré le film et nos corps dénudés, il ne bande même pas et sa verge est couchée mollement sur ses bourses pleines. Nous attendons toutes de le voir entrer en érection mais il ne l’entend pas de cette oreille et nous indique la marche à suivre.
-On va faire un peu de turn-over, je veux deux filles à côté de moi pour que je puisse vous doigter la chatte, la troisième montera sur le dossier du divan pour que je puisse lui manger l’abricot et les deux dernières seront chargées de mon service trois pièces. Quand je claquerai les fesses de celle que je brouterai, vous changerez de place. Allez, au boulot !!!
On ne se fait pas prier et j’ai la chance d’être celle qui va le faire bander avec une de mes cousines. Mais il est si pris par ses diverses occupations que je rencontre des difficultés à faire entrer en érection son pénis. Je sens enfin son sexe durcir de plus en plus dans ma main et grossir pour atteindre une nouvelle fois sa taille optimum. Son sexe est énorme, très raide, la barre de chair dévoile ce que cachait tous ses plis, ses veinures, la peau rose luisante, elle est aussi épaisse que mon poignet. Le gland est aussi gros qu’une petite pomme de moisson, rouge-violet. Une palpitation agite ma chatte. Voir la queue raide de papy Christophe rend mon sexe humide et chaud. Elle est si grosse que j’ai peur de lui faire mal avec mes dents, je me contente donc de lui lécher la hampe et de bien lui sucer le gland. Je commence à sentir de plus en plus une chaleur agréable entre mes cuisses et espère pouvoir profiter de l'expérience de cet homme beaucoup plus âgé que nous. Je le suce consciencieusement en me livrant à mes pensées plaisantes, mais devant le partager. J’entends un claquement sec et doit lâcher ma proie pour prendre la place de Virginie à la droite de mon papy.
Nous suivons ses instructions, et il va continuer ses aventures avec mon corps. Sa main droite me masse la poitrine, ses doigts entreprennent de me pincer gentiment les tétons, définitivement durs. Il sait y faire, et je ne peux retenir un soupir de plaisir. Il continue son massage pendant quelques instants pendant lesquels je ferme les yeux pour profiter de ses caresses. Après une ou deux minutes de ce traitement, je guide sa main bien plus bas, beaucoup plus bas. Je sens un doigt sur la raie de mes fesses en éclaireur. Avant que je puisse protester, son doigt s’est posé sur ma rondelle, et entreprend une douce caresse. J’essaie de résister pour ne pas succomber si facilement au plaisir.
Heureusement que je suis étendue à côté de lui car j’ai les jambes en coton. J’apprécie le premier contact de ses doigts sur mon sexe, cet effleurement me met pratiquement en transe et lorsque qu’il s’occupe de mon clito, mon corps réagit et sans que je le réalise, j’écarte mes jambes, mon clito se durcit, mes lèvres vaginales s’entrouvrent, ma chatte s’humidifie encore plus. Mon corps réagit à ses sublimes caresses. Il arrive à baragouiner malgré la chatte de Léa qui étouffe ses mots :
-Louise, détends-toi et profite de la caresse de mes doigts sur ta chatte et sur tes fesses. Tu sens ma main qui te tâte le cul. Ton anus est chaud et bandant mais ta chatte est une fournaise et tu mouilles comme une folle. Tu te régales ma petite, grreumpff, tu aimes que je te doigte le con, ton clito apprécie que je le branle fort, comme celui d’Elisa d’ailleurs.
Tout en titillant et pinçant mon clito entre son pouce et son index, son majeur s’introduit de quelques millimètres dans ma chatte brûlante. Ses caresses me vrillent le corps et mes lèvres vaginales s’ouvrent pour que son doigt entre doucement dans ma chatte qui l’avale d’envie et se contracte sur lui. Les mouvements de mon bassin l’accompagnant, allant à sa rencontre dans ses mouvements d’entrée et de sortie digitale. Je gémis de plus en plus fort, et je ne suis pas la seule, sous son doigtage, ondulant du bassin en rythme. Ses doigts sont maintenant en train de me fouiller plus profondément, dégoulinants de cyprine ils pénètrent très facilement mon vagin bien ouvert, ressortant à chaque fois pour venir frotter mon petit bouton.
A chaque passage il me triture et le pince entre ses doigts ce qui me procure des décharges d’hormones, de puissantes vibrations de plaisir traversent tout mon corps et je me laisse aller au plaisir.
Ses doigts lâchent mon clito, certains ouvrant ma chatte en grand pendant qu’il introduit son pouce dans mon anus, je me sens prise comme un pack de bière sous ces attaques simultanées et me tords de plaisir. Soudain il se retire complètement et un claquement sec nous oblige à changer de position.
Je suis maintenant confortablement installée sur le dossier du divan, les mains en appui sur le mur pour offrir mon jardin secret à sa bouche avide. Ma vulve humide à peine duveteuse, avec les lèvres bien visibles déjà entrebâillées et mes seins fièrement dressés aux pointes déjà durcies qui dansent à chacun de mes mouvements. Papy me chatouille le bouton du bout de sa langue, en appréciant le degré de lubrification.
- Oh ouuiii… bouffe-moi…dévore-moi la chatte…
A grands coups de langue, il étale ma cyprine sur toute mon intimité, n’oubliant surtout pas d’aller explorer mon petit œillet intime. Je suis à point quand il titille mon clito de la pointe de sa langue. Ma phrase à peine finie, le visage enfoui de Papy entre mes jambes, il lape mon sexe et je sens sa langue se mêler à la fête.
Quelle merveilleuse sensation que cette langue perverse qui cherche à prendre la meilleure place pour venir me prodiguer du plaisir. J’y prends tellement goût que j’avance mon bassin vers l’avant pour mieux ressentir cette intrusion râpeuse dans mon intimité, l’empêchant presque de respirer.
Je m’aperçois seulement à ce moment-là que Bruno et Jules nous ont rejoints et qu’ils se branlent dans leur coin en profitant du spectacle donné par papy Christophe et leurs cousines comme un essaim d’abeilles sur un fruit bien mûr. Je leur fais un signe pour qu’ils s’approchent et comme j’ai les mains libres, je saisis dans chacune d’elles une verge tendue. Celle de Bruno pourrait à la rigueur tenir quelques instants trompeurs la comparaison avec le chibre de Papy. En revanche, Jules et sa biroute doit douter de sa virilité avec son « petit robinet ». Ils saisissent fermement mes seins pendant que Papy ne se doutant de rien me lèche profondément la moule sous mes ondulations du bassin pour suivre les coups de langues savamment placés aux endroits les plus sensibles de ma foufoune.
Je prends maintenant sa tête à pleines mains pour pouvoir mieux appuyer sa fouille buccale, libérant d’importants bruits de succion qui rendent la scène encore plus perverse et torride. Je lâche un premier râle de plaisir, aidant sa fouille en appuyant fermement son visage contre ma vulve.
- Oh oui Papy, oui… suce-moi… ouiiii…
Soudain, je me laisse jouir comme une vraie trainée, saisissant de nouveau les deux verges dressées à portée de main en abreuvant Papy d’une cyprine abondante, comme si je ne voulais pas tomber de plaisir, impudique et perverse.
A suivre…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
On l’appelle : Papy Christophe.
Je ressens alors les soubresauts de l'éjaculation de Papy, le sperme chaud qui coule dans ma bouche avec abondance et le râle assourdi de son énorme jouissance résonne à l'intérieur de la pièce.
J'ai dans ma tête la vision charnelle et incestueuse de nous deux, le grand-père et la petite fille, jouant à des jeux que la morale réprouve. Mais Papy n’est pas un grand-père comme les autres…
-Papy, pourquoi tu ne m’as pas déflorée ? Je suis la seule vierge parmi mes cousines et j’étais prête, pourquoi ?
Suite :
-Virginie, je ne suis qu’un vieux crouton par rapport à ta jeunesse, ce n’est pas à moi de prendre ta virginité, ce qu’on vient de faire n’est déjà pas très moral.
-Pourtant, je le coupe, si je réussissais cette épreuve, tu nous as promis d’aller beaucoup plus loin avec nous, et que reste-t-il d’autre que de sauter tes petites filles, et même de faire connaître à mes cousins ce que tu viens de me faire subir. Tu veux revenir sur ta parole ?
-Tu as raison Virginie, je me suis piégé tout seul, admet-il, mais reconnais que pour moi je devrai trahir la confiance de mes propres enfants qui vous ont confiés à moi, et que leur but n’était pas que je vous déprave et vous saute autant que vous êtes, tu ne crois-pas ?
-Peut-être Papy, peut-être… Mais c’est nous qui le désirons, et nous sommes tous majeurs et vaccinés. Tu sais, comme pratiquement tous les jeunes maintenant, il y a longtemps que nous avons regardé des films de cul sur nos portables, avec des acteurs pornos montés comme des ânes. Alors, tu penses bien que depuis que nous avons découvert que notre papy a été une star du X, nous ne pensons qu’à une chose, surtout les filles, nous faire prendre par toi et ton braquemard de compétition.
-Je vois, je vois, marmonne-t-il, je ne vais pas y couper. Mais ne venez-pas vous plaindre après car je ne vous ménagerai pas et comme tu as pu le constater, je suis loin d’avoir le calibre de Jules.
La parole est à Louise :
Je suis jalouse de Virginie. Cette petite sainte-nitouche a goûté avant moi à la poutre de Papy, ça se paiera un jour. Mais d’un autre côté, si elle n’avait pas réussi à relever le défi, on était niqué faute d’être niqué par Papy, alors …
Nous revenons donc toutes à l’assaut deux jours plus tard car les garçons se sont dégonflés. C’est la soirée et nous sommes toutes au salon avec Papy, les cousins jouent à la console dans leur chambre. Le film est naze alors je prends le taureau par les cornes. Je me lève, vais dans la chambre de papy et ramène une cassette au titre évocateur de : Manneken Piss et les petites suédoises.
Je reviens au salon, mets la cassette dans le magnétoscope et lance le film. Papy Christophe me fait les gros yeux mais ne bouge pas. Je m’enhardis aussitôt en me mettant à poil devant lui et mes cousines, m’assois à côté de lui pour prendre sa main que je pose sur ma foufoune, il se laisse faire. Le porno est très subjectif car l’homme à côté de moi, avec quarante années de moins, passe de filles en filles pour leur bouffer la minette, triturer des seins, titiller mamelons et clitoris. Mes cousines Eva, Elisa, Léa et Virginie ne voulant pas rester à la traine se sont aussi dévêtues. Cinq filles pour un sexagénaire, va-t-il pouvoir assurer ?
-Puisque c’est comme ça, annonce-t-il, vous attendez quoi pour me dévêtir ?
Nous lui retirons son polo et il se soulève pour nous faciliter la tâche pour descendre son short et son slip. Malgré le film et nos corps dénudés, il ne bande même pas et sa verge est couchée mollement sur ses bourses pleines. Nous attendons toutes de le voir entrer en érection mais il ne l’entend pas de cette oreille et nous indique la marche à suivre.
-On va faire un peu de turn-over, je veux deux filles à côté de moi pour que je puisse vous doigter la chatte, la troisième montera sur le dossier du divan pour que je puisse lui manger l’abricot et les deux dernières seront chargées de mon service trois pièces. Quand je claquerai les fesses de celle que je brouterai, vous changerez de place. Allez, au boulot !!!
On ne se fait pas prier et j’ai la chance d’être celle qui va le faire bander avec une de mes cousines. Mais il est si pris par ses diverses occupations que je rencontre des difficultés à faire entrer en érection son pénis. Je sens enfin son sexe durcir de plus en plus dans ma main et grossir pour atteindre une nouvelle fois sa taille optimum. Son sexe est énorme, très raide, la barre de chair dévoile ce que cachait tous ses plis, ses veinures, la peau rose luisante, elle est aussi épaisse que mon poignet. Le gland est aussi gros qu’une petite pomme de moisson, rouge-violet. Une palpitation agite ma chatte. Voir la queue raide de papy Christophe rend mon sexe humide et chaud. Elle est si grosse que j’ai peur de lui faire mal avec mes dents, je me contente donc de lui lécher la hampe et de bien lui sucer le gland. Je commence à sentir de plus en plus une chaleur agréable entre mes cuisses et espère pouvoir profiter de l'expérience de cet homme beaucoup plus âgé que nous. Je le suce consciencieusement en me livrant à mes pensées plaisantes, mais devant le partager. J’entends un claquement sec et doit lâcher ma proie pour prendre la place de Virginie à la droite de mon papy.
Nous suivons ses instructions, et il va continuer ses aventures avec mon corps. Sa main droite me masse la poitrine, ses doigts entreprennent de me pincer gentiment les tétons, définitivement durs. Il sait y faire, et je ne peux retenir un soupir de plaisir. Il continue son massage pendant quelques instants pendant lesquels je ferme les yeux pour profiter de ses caresses. Après une ou deux minutes de ce traitement, je guide sa main bien plus bas, beaucoup plus bas. Je sens un doigt sur la raie de mes fesses en éclaireur. Avant que je puisse protester, son doigt s’est posé sur ma rondelle, et entreprend une douce caresse. J’essaie de résister pour ne pas succomber si facilement au plaisir.
Heureusement que je suis étendue à côté de lui car j’ai les jambes en coton. J’apprécie le premier contact de ses doigts sur mon sexe, cet effleurement me met pratiquement en transe et lorsque qu’il s’occupe de mon clito, mon corps réagit et sans que je le réalise, j’écarte mes jambes, mon clito se durcit, mes lèvres vaginales s’entrouvrent, ma chatte s’humidifie encore plus. Mon corps réagit à ses sublimes caresses. Il arrive à baragouiner malgré la chatte de Léa qui étouffe ses mots :
-Louise, détends-toi et profite de la caresse de mes doigts sur ta chatte et sur tes fesses. Tu sens ma main qui te tâte le cul. Ton anus est chaud et bandant mais ta chatte est une fournaise et tu mouilles comme une folle. Tu te régales ma petite, grreumpff, tu aimes que je te doigte le con, ton clito apprécie que je le branle fort, comme celui d’Elisa d’ailleurs.
Tout en titillant et pinçant mon clito entre son pouce et son index, son majeur s’introduit de quelques millimètres dans ma chatte brûlante. Ses caresses me vrillent le corps et mes lèvres vaginales s’ouvrent pour que son doigt entre doucement dans ma chatte qui l’avale d’envie et se contracte sur lui. Les mouvements de mon bassin l’accompagnant, allant à sa rencontre dans ses mouvements d’entrée et de sortie digitale. Je gémis de plus en plus fort, et je ne suis pas la seule, sous son doigtage, ondulant du bassin en rythme. Ses doigts sont maintenant en train de me fouiller plus profondément, dégoulinants de cyprine ils pénètrent très facilement mon vagin bien ouvert, ressortant à chaque fois pour venir frotter mon petit bouton.
A chaque passage il me triture et le pince entre ses doigts ce qui me procure des décharges d’hormones, de puissantes vibrations de plaisir traversent tout mon corps et je me laisse aller au plaisir.
Ses doigts lâchent mon clito, certains ouvrant ma chatte en grand pendant qu’il introduit son pouce dans mon anus, je me sens prise comme un pack de bière sous ces attaques simultanées et me tords de plaisir. Soudain il se retire complètement et un claquement sec nous oblige à changer de position.
Je suis maintenant confortablement installée sur le dossier du divan, les mains en appui sur le mur pour offrir mon jardin secret à sa bouche avide. Ma vulve humide à peine duveteuse, avec les lèvres bien visibles déjà entrebâillées et mes seins fièrement dressés aux pointes déjà durcies qui dansent à chacun de mes mouvements. Papy me chatouille le bouton du bout de sa langue, en appréciant le degré de lubrification.
- Oh ouuiii… bouffe-moi…dévore-moi la chatte…
A grands coups de langue, il étale ma cyprine sur toute mon intimité, n’oubliant surtout pas d’aller explorer mon petit œillet intime. Je suis à point quand il titille mon clito de la pointe de sa langue. Ma phrase à peine finie, le visage enfoui de Papy entre mes jambes, il lape mon sexe et je sens sa langue se mêler à la fête.
Quelle merveilleuse sensation que cette langue perverse qui cherche à prendre la meilleure place pour venir me prodiguer du plaisir. J’y prends tellement goût que j’avance mon bassin vers l’avant pour mieux ressentir cette intrusion râpeuse dans mon intimité, l’empêchant presque de respirer.
Je m’aperçois seulement à ce moment-là que Bruno et Jules nous ont rejoints et qu’ils se branlent dans leur coin en profitant du spectacle donné par papy Christophe et leurs cousines comme un essaim d’abeilles sur un fruit bien mûr. Je leur fais un signe pour qu’ils s’approchent et comme j’ai les mains libres, je saisis dans chacune d’elles une verge tendue. Celle de Bruno pourrait à la rigueur tenir quelques instants trompeurs la comparaison avec le chibre de Papy. En revanche, Jules et sa biroute doit douter de sa virilité avec son « petit robinet ». Ils saisissent fermement mes seins pendant que Papy ne se doutant de rien me lèche profondément la moule sous mes ondulations du bassin pour suivre les coups de langues savamment placés aux endroits les plus sensibles de ma foufoune.
Je prends maintenant sa tête à pleines mains pour pouvoir mieux appuyer sa fouille buccale, libérant d’importants bruits de succion qui rendent la scène encore plus perverse et torride. Je lâche un premier râle de plaisir, aidant sa fouille en appuyant fermement son visage contre ma vulve.
- Oh oui Papy, oui… suce-moi… ouiiii…
Soudain, je me laisse jouir comme une vraie trainée, saisissant de nouveau les deux verges dressées à portée de main en abreuvant Papy d’une cyprine abondante, comme si je ne voulais pas tomber de plaisir, impudique et perverse.
A suivre…
Ps : On me reproche souvent d’affubler mes héros d’un sexe hors-norme. Si vous voulez voir sur quel sujet je m’appuie, (moi pour tout vous dire), je vous invite à visionner deux vidéos que j’ai posté sur le net, tapez sur votre clavier : « hors-normes2folie » et « belles éjaculations au ralenti » et une fois votre idée faite, postez votre commentaire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien monté le papy.
Vive super papy... et l'énorme bite de cheval de l'auteur.