Claire et L'Orchidée Noire
Récit érotique écrit par Klasnic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Claire et L'Orchidée Noire
L'Orchidée Noire
Cela fait maintenant une semaine qu'Claire est rentrée de vacances. Elle avait repris le boulot, retrouvé son appartement et sa routine. Mais aussi retrouvé sa solitude.
Si cela ne l'avait jamais gênée dans sa vie quotidienne, cela était autre chose dans sa vie intime. Et ce vendredi-là, Claire avait envie de s'amuser. Mais avec qui ?
Elle avait bien eu un sex-friend il y a quelques mois, mais n'avait pas trouvé son équilibre dans cette relation. Alors ?
Elle repensa à ce nom soufflé par son amie en vacances : l'Orchidée Noire... Ce nom la faisait frissonner d'envie, de mystère et peur mélangée. Elle qui était introvertie et pas très sociable, ce lieu était-il pour elle ?
Le club étant ouvert ce vendredi après-midi, elle se lança pour une visite à l'imprévue.
Après 20 minutes de tramway, elle retrouva l'hyper centre de Nantes et se dirige vers le club. Celui-ci est très discret, une seule porte austère rouge signale sa présence. Il est 15h30, la rue est déserte et Claire est morte de trouille à l'idée de frapper à la porte. Elle hésite, quand une voix l'interpelle :- « Bonjour, tu veux rentrer ? Je suis Mylène la gérante » La voix vient d'une fenêtre à l'étage, ou une femme est penchée en direction d'Claire- « je t'ouvre ma belle »Et Claire de s'engouffrer à l'intérieur... Elle est accueilli par Mylène, une femme d'une quarantaine d'années, en jeans et baskets, très décontractée, et pas franchement le stéréotype de ce genre d'endroit. Immédiatement mis en confiance, Claire avoue avoir eu un peu de mal à frapper et explique que c'est la première fois qu'elle rentre dans ce genre de club. Mylène lui propose un thé, et c'est autour de ce thé que les deux femmes échangent pendant une heure. Le fonctionnement du club, la clientèle, Claire est au fait maintenant. Elle accepte aussi la proposition de revenir ce soir, thème de la soirée « transparence ».
Une fois sortie, Claire est décidée à revenir mais il lui faut respecter le dress-code pour cette première soirée. Direction donc le Dorcel store en périphérie. Si le lieu est rempli de gadgets en tous genres, Claire file vers les tenues et tout de suite repère une robe noir cintrée. Elle file en cabine et la passe sur elle. Le dos est en tulle transparente ainsi que le décolleté du cou jusqu'au nombril en voile noir. Celle-ci lui va à ravir. Elle y joint un loup en velours noir pour plus de discrétion et direction son appartement.
Il est maintenant 20 heures et Claire est plus excitée que jamais. Elle se coule un bain et s'y prélasse avant de se préparer. Elle se maquille élégamment, sans en rajouter, se coiffe calmement et sort ses vêtements. Une paire de bas noir, un mini-string noir aussi et sa robe. Elle sort une paire d'escarpin noir jamais portés depuis un mariage il y a deux ans, et c'est en femme fatale qu'elle sort discrètement de chez elle, couverte d'un large manteau dissimulant sa tenue. Celle-ci ne lui ressemblait pas mais elle se sentait belle et puissante, désirable et excitante. Elle était quelqu'un d'autre, et n'était là que pour assouvir ses envies et fantasmes. Un taxi envoyé par le club l'attend en bas de chez elle et quelques minutes plus tard la voilà à l'intérieur du club. Celui-ci ressemble plus à une boite de nuit ou une centaine de personnes dansent dans une ambiance mi- érotique, mi beauf. Claire n'a jamais aimé danser et cette ambiance ne lui convient guère. Mylène en a bien conscience et lui ouvre l'accès au carré privé.
Voici le cœur du club, les membres sont sélectionnés, l'ambiance est plus cosy et les mœurs y sont plus libérés. Claire traverse le long couloir, fait le tour de la salle, toisant les hommes présents et faisant remarquer sa silhouette cintrée dans sa robe transparente, avant de se diriger vers la pièce dite « solo ». C'est une pièce pour une personne, noire et faiblement éclairée. D'un mètre de large, deux de ses parois sont percées de larges trous, et comme elle s'y attendait, rapidement un sexe apparu par l'orifice. Un beau sexe, long et fin, qu'elle caressa doucement avant de le prendre en bouche. Elle s'applique, faisant redescendre sa langue le long de la verge avant de l'engloutir en entier. Encore quelques instants avant de sentir l'homme se raidir et le faire jouir dans sa bouche. Le sperme coule encore le long de son menton lorsqu'elle se retourne vers un second sexe, tendu à travers la paroi. Celui-ci est beaucoup plus épais et Claire a du mal à l’insérer dans sa bouche. Elle s'applique quelques instants, usant de la même technique, avant de sentir le sperme chaud remplir sa bouche. Elle enchaîne les fellations, et son visage ainsi que sa robe sont maintenant maculées de sperme. Une dizaine d'hommes se sont répandus sur elle et Claire peut maintenant discrètement s’éclipser sous le regard complice de Mylène. Il est 1h quand le taxi la dépose chez elle, et Claire peut profiter d'une nuit méritée.
Elle ne ressent aucune honte, aucune gêne, au contraire. Son week-end se passe le plus normalement du monde, son retour au bureau le lundi aussi. Elle a conscience d'avoir franchi une ligne jaune, un tabou mais personne n'est là pour la juger.
Très calculatrice, elle laisse passer plusieurs soirées et plusieurs messages de Mylène pour entretenir une part de mystère. Elle surveille le calendrier des soirées et échange régulièrement avec Mylène. Claire n'est que peu intéressée par les soirées exhibe, et cela Mylène l'a bien compris. Elle lui propose de passer le jeudi après-midi ensemble, chose qu'Claire s'empresse d'accepter.
Les deux femmes s'installent en terrasse du Storie's, un bar du centre-ville. Celui-ci est tenu par Christelle et Erik, deux amis de Mylène. L'ambiance y est détendue, et en cette fin juin, la terrasse est baignée de soleil. Claire fait la connaissance du couple, très charmants, curieux et à l'écoute de leur convive. Tous deux la quarantaine, eux aussi fréquentent l'Orchidée Noire de temps en temps. Claire explique son parcours, sa vie professionnelle, autour de plusieurs verres et ce durant l'après-midi. A 19h, l'invitation est lancée de poursuivre la soirée chez Erik et Christelle, en banlieue de Nantes, immédiatement acceptée !
Leur maison est un beau pavillon, meublé et décoré avec soin, une grande terrasse en bois domine une piscine à l'eau cristalline. Le petit groupe s'installe au bord de celle-ci, trinquant avant de passer à table. Claire se sent à l'aise dans cet échange, l'alcool aidant à la confidence... C'est Mylène qui la première parle de la piscine. Il est maintenant 23h, et Claire regarde les deux femmes se dévêtir avant de plonger dans l'eau. Malgré leurs essais, Claire ne s'assume pas pleinement et préfère rester en retrait. Mylène est une charmante femme méditerranéenne. Ses cheveux sont d'un noir profond, son teint est mat et ses rondeurs assumées. A l'opposée, Christelle est toute menue, elle aussi extravertie mais plus discrète. Bizarrement la soirée se termine comme ça, sans moments charnels, mais l'ambiance ne s'y prêtait pas. C'était une bonne soirée, avec ou sans sexe, se dit-elle.
Cela fait maintenant une semaine qu'Claire est rentrée de vacances. Elle avait repris le boulot, retrouvé son appartement et sa routine. Mais aussi retrouvé sa solitude.
Si cela ne l'avait jamais gênée dans sa vie quotidienne, cela était autre chose dans sa vie intime. Et ce vendredi-là, Claire avait envie de s'amuser. Mais avec qui ?
Elle avait bien eu un sex-friend il y a quelques mois, mais n'avait pas trouvé son équilibre dans cette relation. Alors ?
Elle repensa à ce nom soufflé par son amie en vacances : l'Orchidée Noire... Ce nom la faisait frissonner d'envie, de mystère et peur mélangée. Elle qui était introvertie et pas très sociable, ce lieu était-il pour elle ?
Le club étant ouvert ce vendredi après-midi, elle se lança pour une visite à l'imprévue.
Après 20 minutes de tramway, elle retrouva l'hyper centre de Nantes et se dirige vers le club. Celui-ci est très discret, une seule porte austère rouge signale sa présence. Il est 15h30, la rue est déserte et Claire est morte de trouille à l'idée de frapper à la porte. Elle hésite, quand une voix l'interpelle :- « Bonjour, tu veux rentrer ? Je suis Mylène la gérante » La voix vient d'une fenêtre à l'étage, ou une femme est penchée en direction d'Claire- « je t'ouvre ma belle »Et Claire de s'engouffrer à l'intérieur... Elle est accueilli par Mylène, une femme d'une quarantaine d'années, en jeans et baskets, très décontractée, et pas franchement le stéréotype de ce genre d'endroit. Immédiatement mis en confiance, Claire avoue avoir eu un peu de mal à frapper et explique que c'est la première fois qu'elle rentre dans ce genre de club. Mylène lui propose un thé, et c'est autour de ce thé que les deux femmes échangent pendant une heure. Le fonctionnement du club, la clientèle, Claire est au fait maintenant. Elle accepte aussi la proposition de revenir ce soir, thème de la soirée « transparence ».
Une fois sortie, Claire est décidée à revenir mais il lui faut respecter le dress-code pour cette première soirée. Direction donc le Dorcel store en périphérie. Si le lieu est rempli de gadgets en tous genres, Claire file vers les tenues et tout de suite repère une robe noir cintrée. Elle file en cabine et la passe sur elle. Le dos est en tulle transparente ainsi que le décolleté du cou jusqu'au nombril en voile noir. Celle-ci lui va à ravir. Elle y joint un loup en velours noir pour plus de discrétion et direction son appartement.
Il est maintenant 20 heures et Claire est plus excitée que jamais. Elle se coule un bain et s'y prélasse avant de se préparer. Elle se maquille élégamment, sans en rajouter, se coiffe calmement et sort ses vêtements. Une paire de bas noir, un mini-string noir aussi et sa robe. Elle sort une paire d'escarpin noir jamais portés depuis un mariage il y a deux ans, et c'est en femme fatale qu'elle sort discrètement de chez elle, couverte d'un large manteau dissimulant sa tenue. Celle-ci ne lui ressemblait pas mais elle se sentait belle et puissante, désirable et excitante. Elle était quelqu'un d'autre, et n'était là que pour assouvir ses envies et fantasmes. Un taxi envoyé par le club l'attend en bas de chez elle et quelques minutes plus tard la voilà à l'intérieur du club. Celui-ci ressemble plus à une boite de nuit ou une centaine de personnes dansent dans une ambiance mi- érotique, mi beauf. Claire n'a jamais aimé danser et cette ambiance ne lui convient guère. Mylène en a bien conscience et lui ouvre l'accès au carré privé.
Voici le cœur du club, les membres sont sélectionnés, l'ambiance est plus cosy et les mœurs y sont plus libérés. Claire traverse le long couloir, fait le tour de la salle, toisant les hommes présents et faisant remarquer sa silhouette cintrée dans sa robe transparente, avant de se diriger vers la pièce dite « solo ». C'est une pièce pour une personne, noire et faiblement éclairée. D'un mètre de large, deux de ses parois sont percées de larges trous, et comme elle s'y attendait, rapidement un sexe apparu par l'orifice. Un beau sexe, long et fin, qu'elle caressa doucement avant de le prendre en bouche. Elle s'applique, faisant redescendre sa langue le long de la verge avant de l'engloutir en entier. Encore quelques instants avant de sentir l'homme se raidir et le faire jouir dans sa bouche. Le sperme coule encore le long de son menton lorsqu'elle se retourne vers un second sexe, tendu à travers la paroi. Celui-ci est beaucoup plus épais et Claire a du mal à l’insérer dans sa bouche. Elle s'applique quelques instants, usant de la même technique, avant de sentir le sperme chaud remplir sa bouche. Elle enchaîne les fellations, et son visage ainsi que sa robe sont maintenant maculées de sperme. Une dizaine d'hommes se sont répandus sur elle et Claire peut maintenant discrètement s’éclipser sous le regard complice de Mylène. Il est 1h quand le taxi la dépose chez elle, et Claire peut profiter d'une nuit méritée.
Elle ne ressent aucune honte, aucune gêne, au contraire. Son week-end se passe le plus normalement du monde, son retour au bureau le lundi aussi. Elle a conscience d'avoir franchi une ligne jaune, un tabou mais personne n'est là pour la juger.
Très calculatrice, elle laisse passer plusieurs soirées et plusieurs messages de Mylène pour entretenir une part de mystère. Elle surveille le calendrier des soirées et échange régulièrement avec Mylène. Claire n'est que peu intéressée par les soirées exhibe, et cela Mylène l'a bien compris. Elle lui propose de passer le jeudi après-midi ensemble, chose qu'Claire s'empresse d'accepter.
Les deux femmes s'installent en terrasse du Storie's, un bar du centre-ville. Celui-ci est tenu par Christelle et Erik, deux amis de Mylène. L'ambiance y est détendue, et en cette fin juin, la terrasse est baignée de soleil. Claire fait la connaissance du couple, très charmants, curieux et à l'écoute de leur convive. Tous deux la quarantaine, eux aussi fréquentent l'Orchidée Noire de temps en temps. Claire explique son parcours, sa vie professionnelle, autour de plusieurs verres et ce durant l'après-midi. A 19h, l'invitation est lancée de poursuivre la soirée chez Erik et Christelle, en banlieue de Nantes, immédiatement acceptée !
Leur maison est un beau pavillon, meublé et décoré avec soin, une grande terrasse en bois domine une piscine à l'eau cristalline. Le petit groupe s'installe au bord de celle-ci, trinquant avant de passer à table. Claire se sent à l'aise dans cet échange, l'alcool aidant à la confidence... C'est Mylène qui la première parle de la piscine. Il est maintenant 23h, et Claire regarde les deux femmes se dévêtir avant de plonger dans l'eau. Malgré leurs essais, Claire ne s'assume pas pleinement et préfère rester en retrait. Mylène est une charmante femme méditerranéenne. Ses cheveux sont d'un noir profond, son teint est mat et ses rondeurs assumées. A l'opposée, Christelle est toute menue, elle aussi extravertie mais plus discrète. Bizarrement la soirée se termine comme ça, sans moments charnels, mais l'ambiance ne s'y prêtait pas. C'était une bonne soirée, avec ou sans sexe, se dit-elle.
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