Claire et son fantasme - histoire érotique

Bonjour.

Claire, 32 ans. Blonde, belle poitrine, une bouille un peu ronde, un corps pas exactement athlétique mais très féminin.

J’adore le sexe. Depuis très longtemps. J’aime pas mal de choses du sexe en fait.

Sucer pour commencer. Je m’applique à y aller très progressivement, du bout, jusqu’à vouloir en prendre le plus possible dans ma bouche. Quitte à faire jouir mon partenaire. J’avale, dans ce cas-là. J’aime le goût.

J’aime quand une bite me pénètre, aussi. La pénétration vaginale d’abord. Apprécier le bout du membre que j’admire écartant mes lèvres, sentir la tête du pénis pousser en moi, sentir ce corps entrer en moi, pousser aussi loin qu’il peut, le sentir se glisser en arrière, puis pousser de nouveau, ce va et vient si lubrique m’excite. Et si mon partenaire râle de plaisir c’est encore mieux. Quoique j’ai eu un partenaire d’une discrétion, d’un silence presque total avec qui la chimie sexuelle m’a emmenée dans des zônes de troubles et d’excitation peu communes. J’aime aussi passer en amazone, m’empaler avec plaisir sur un vit dur, monter et descendre pour ressentir ce va et vient sexuel, parfois accompagné de bruits obscènes et de râles et de gémissements trahissant l’excitation des protagonistes.

J’aime aussi l’anal. Quand mon partenaire commence par son doigt mouillé, quand il crache sur mon petit trou, quand tel un film X il fait tout pour que ça glisse, avec une appréciation particulière pour les gels lubrifiants si efficaces, quant enfin il pousse sa queue dans mon cul, qu’il m’encule avec entrain, quand je sens dans mon cul dilaté sa bite pousser et tirer comme une sensation unique, sexuelle.

Et, à 22 ans, j’avais déjà une belle carte de visite : plus de dix partenaires, dont deux paires en même temps, j’alternais entre deux amants selon mon humeur…

Puis, je me suis presque calmée. Un gars a su s’imposer à moi. Pendant presque un an.
Quand il m’a quittée j’ai ressenti comme un appel de ce manque de sexe qui se préparait… Alors, j’ai appelé un de mes ex. Et il n’a pas voulu venir me bourrer. Au lieu de cela, il m’a préparé un coup qui m’a excitée formidablement, et auquel je ne m’attendais pas. Il a su réaliser un fantasme que je n’avais dévoilé à personne…

Il a fait en sorte que j’aie une relation tarifée.

En d’autre termes, j’ai fait la pute pour un client.

Il a fait l’intermédiaire, prenant ainsi le risque inconsidéré d’être vu comme proxénète, pour la mise en relation. Et une fois la prestations sur les rails, il nous a laissés finir.

Me voilà, 23 ans, en train d’échanger des messages salaces avec un riche monsieur de 52 ans.

Et vient le moment de discuter du « cadeau ». J’essaie de maitriser mon excitation…
On se met d’accord, sur le rendez-vous, le paiement. Le dress code. Il paie un hôtel de jour, rien de plus explicite ! J’adore…

Je m’y rend, un peu en avance. Un gars est à l’accueil, un autre lit un journal, et à mon arrivée, le journal se baisse et son lecteur me dit « Je vous attendais »…

Le gars prend la chambre et devant l’accueil, il me pose la question qui me fait mouiller : « Avez-vous pensé aux préservatifs ? ». Je devient cramoisie, et répond « oui ». Le gars de l’accueil, du reste plutôt mignon, semble à peine gêné…

On monte, chambre 112, au 1er étage, la chambre n’a rien d’extraordinaire à part un petit vase et un bouquet. Et on échange quelques banalités, avant que je devienne l’adultère de ce jour du Monsieur.

Il me demande de me déshabiller, m’admire, me caresse du bout de ses doigts tel un propriétaire inspectant sa marchandise, il détaille ainsi chaque parcelle de mon corps, et masse doucement ma fesse gauche de sa main, quand sa main gauche elle glisse entre mes cuisses, le faisant réaliser à quel point je mouille.

J’interromps ses délicatesses pour sortir les préservatifs de mon sac à main, et il en saisit un. Je le déshabille et, sur son instruction, lui enfile la capoter de ma bouche. Il en bande rapidement. Il est excité le bougre !

Alors, il me penche en avant et me prend en levrette. Par derrière. Il me lime de sa bite, lançant des remarques sur mes qualités, dignes d’un service à forte valeur ajoutée, dit-il. Et il me lime, va et vient de façon répétée, inlassablement. Je sens sa bite en moi, je le sens pousser, puis se retirer, sortir carrément dans un « slouitch » obscène puis il remet ça… Il me lime pendant de longs et langoureux moments.

Il en vient alors à glisser son pouce droit sur ma rondelle, et me demande « c’est bien pour cela qu’il y a un supplément ? »… J’en suis cramoisie, excitée, je réponds « Oui, 30 euros pour l’anal Monsieur »… Et peu après je le sens m’enculer non sans avoir préalablement profité du lubrifiant que j’avais amené. Il m’encule de bons et longs moments, jusqu’à ce que ses râles ne trahissent l’imminence de son éjaculation. J’ai joui à ce moment précis, quand j’ai compris qu’il allait inonder la capote. Alors je me suis retirée, j’ai sorti son sexe du préservatif et l’ai fini en bouche. En commençant pas un « c’est cadeau Monsieur ».

Il a joui dans ma bouche, et juste après s’est rhabillé, et a posé les billets sur la table, à côté du bouquet de fleurs.

Il a quitté la chambre, et je me suis ensuite douchée et rhabillée.
Quand j’ai rejoint l’accueil, le gars m’a précisé « Votre client a réglé la chambre Mademoiselle, tout est en ordre »…

Il a souri en me voyant rouge cramoisie. J’ai su après qu’il connaissait mon ex, et qu’il avait fait partie du jeu.

Avec ce que j'ai gagné ce jour-là, j'ai compulsivement acheté des sous-vêtements sexy, que je me porte que pour les grandes occasions.