Clara...
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Clara...
Clara, je l'avais connue pendant les vacances de l'année précédente. Elle avait rejoint le groupe et je n'avais pas d'attaches particulières avec elle parce qu'elle était aussi sympa que la plupart des autres. et je ne m'attendais pas à la retrouver cette année. Je venais d'arriver et comme chaque année, je profitais de mon premier soir pour longer la plage et retrouver les odeurs de la mer et aussi mes repères quand je l'ai vue venir vers moi. Elle n'était pas seule doublement parce qu'elle était avec sa mère que j'avais déjà rencontrée et ensuite parce que Clara était enceinte. Impossible pour elle de le cacher parce que son ventre était déjà bien arrondi. Elles m'ont tout de suite reconnue.
- Bonjour, madame !
- Bonjour !
- Sept mois, m'a dit Clara avant toute chose !
Elle semblait être heureuse et dans son état, elle n'était plus la même. Je l'ai serrée dans mes bras. Elle m'a demandé de mes nouvelles alors que sa mère se tenait à l'écart puis Clara m'a dit qu'on se verrait demain matin à l'hôtel que je fréquentais depuis des années avec mes parents. Le lendemain, je prenais mon café sur la terrasse de l'hôtel quand elle est arrivée. Je me suis levée pour l'accueillir et elle s'est assise à côté de moi. J'avais plein de questions pour elles et que j'avais ruminées durant la nuit.
- Alors, ça fait combien de mois ? Tu me présenteras ton copain ! Tu es heureuse ?
Clara m'a laissée terminer puis elle m'a répondu qu'elle en était à sept mois, qu'elle est incapable de dire qui est le futur papa et qu'elle est heureuse d'avoir un enfant puisque c'est une fille qu'elle attend.
- Comment ça, tu es incapable de dire qui est le père, lui ai-je demandé ?
Je lui répétais exactement ce qu'elle venait de me dire et Clara m'a répondu qu'elle avait fait la fête avec des amis et qu'ils lui avaient fait mis quelque chose dans son verre et que pour la suite, elle ne se souvient plus de ce qu'elle a fait ou plutôt avec qui elle a fait l'amour.
- Mais, tu n'étais pas avec Paul, lui ai-je objecté ?
- Si, m'a répondu Clara, mais il n'était pas avec moi ce soir-là et tu penses que quand il a appris que j'étais enceinte, il a pris la fuite !
- Et ta mère, lui ai-je encore demandé ?
- Elle était furieuse quand elle l'a appris et même encore aujourd'hui... Elle aurait préféré que je me fasse avorter, a ajouté Clara !
- En tout cas, tu es vraiment belle, ai-je ajouté en posant la main sur son ventre !
Clara a éclaté de rire et je lui ai demandé ce qu'il y avait.
- Tu te souviens quand nous avions fait le concours de nichons, m'a-t-elle demandé ?
Je m'en souvenais très bien parce que j'avais gagné ce concours que nous avions organisés, ou plutôt que les garçons de notre groupe sur la plage, pour classer les filles par la taille de leurs seins. Le prix en avait été un godemiché qu'un des leurs avait recouvert de peinture dorée et que j'avais jeté de peur de rapporter ça à l'hôtel.
- Tu avais fini avant-dernière, lui ai-je répondu ! Septième sur huit !
- Oui, m'a confirmé Clara ! A l'époque j'avais de touts petits seins mais depuis, c'est...
- C'est quoi, lui ai-je demandé ?
- C'est que depuis, a continué Clara... Il faut que tu les voies !
Je la regardais et à part son gros ventre, elle ne semblait pas avoir plus de poitrine, ou peut-être un peu plus que l'année dernière.
- Tu veux que je te les montre, a insisté Clara ?
Elle semblait impatiente et je lui ai dit qu'elle n'allait pas me les montrer ici, sur la terrasse.
- Non, m'a répondu Clara, mais on va bien trouver un petit coin ? Dans ta chambre ?
Je ne pouvais pas parce que mes parents occupaient la chambre mitoyenne et la porte de communication avait été déverrouillée et ils n'étaient pas encore venus déjeuner.
- Il faut que je te les montre, a encore insisté Clara, sinon, tu ne vas pas me croire ! J'ai juste à déboutonner le haut de ma robe...
On s'est levées et on a quitté la terrasse. La petite rue qui longe l'hôtel, là où ils déposent leurs poubelles, me semblait appropriée ou du moins plus discrète. J'y suis allée avec Clara et elle a déboutonné le haut de sa robe et d'abord, j'ai pu voir qu'elle n'avait pas de soutien-gorge et ensuite que ses seins s'ils n'étaient pas vraiment plus gros que l'an dernier, s'étaient beaucoup allongés et les aréoles que j'ai vues quand elle a encore défait deux boutons, lui mangeaient la moitié des seins. Je lui ai dit de cacher tout ça et nous sommes retournées sur l'avenue de la Mer pour marcher un peu et nous asseoir sur un banc et continuer à discuter et j'en ai profité pour passer un coup de fil à mes parents et leur dire que j'allais déjeuner avec une amie puis nous sommes allées nous faire bronzer jambes et bras au soleil avant d'aller dans un petit restaurant et en sortant de table, j'ai suivi Clara chez sa mère. Je savais qu'ils louaient une maison tous les ans.
- Maman, a crié Clara en entrant !
Personne ne lui a répondu et je l'ai suivie à l'intérieur et nous sommes montées dans sa chambre pour écouter de la musique et continuer à papoter et alors que je lui demandais si elle cherchait quelqu'un pour remplacer le père inconnu, Clara m'a répondu qu'elle en avait soupé des hommes.
- Qu'est-ce que tu veux dire, lui ai-je demandé ? Ne me dis pas que tu a viré ta cutie, me suis-je étonnée, à moitié moqueuse et à moitié curieuse.
- Moi, lesbienne, m'a répondu Clara ! Jamais de la vie !
Pourtant, quelques minutes plus tard, alors que je me penchais par-dessus elle pour changer de morceau de musique, elle m'a renversée sur le dos et elle m'a embrassée sur les lèvres puis elle a cherché à enfoncer sa langue et je l'ai repoussée aussitôt.
- Je te demande pardon, m'a dit Clara ! Je n'ai pas pu me retenir !
Je la regardais. Je m'étais éloignée d'elle et je m'étais assise tout au bout de son lit.
- Pourquoi moi, ai-je fini par lui demander ?
- Tu ne vas pas te fâcher si je t'avoue que tu me plais et que je pense à toi depuis qu'on s'est quittés l'année dernière... Tu ris pas, hein, si je te dis que je me masturbe en pensant à tes seins !
Je lui ai répondu qu'elle est folle mais je suis restée assise sur son lit et je n'ai rien dit ni fait quand elle s'est rapprochée de moi puis elle a pris ma main et elle a croisé ses doigts avec les miens tout en me regardant dans les yeux. Elle était émouvante et elle s'est encore rapprochée de moi puis elle m'a embrassée et elle a enfoncé sa langue à la recherche de la mienne.
- J'ai vraiment besoin de toi, m'a susurré Clara quand nous avons interrompu notre baiser.
- Je lui ai répondu qu'elle est la première femme que j'embrasse sur la bouche et nous avons ri toutes les deux.
- Il faut que tu me touches, a enchaîné Clara pendant qu'elle déboutonnait sa robe puis elle l'a jetée sur la descente de lit et elle m'a, ensuite, aidée à retirer la mienne puis mon soutien-gorge et nous nous sommes embrassées à nouveau avant qu'elle n'embrasse mes seins et tété mes mamelons puis j'ai tété les siens et j'en ai fait jaillir des gouttes de lait qui ont giclé sur ma langue. Clara en a profité pour glisser sa main entre mes cuisses et j'ai bien été forcée de retirer ma petite culotte pour l'aider à me masturber et je me suis vengée dès que j'ai pu. Clara s'était adossée contre ses oreillers et ses seins pendaient sur ses côtes et elle n'était plus que son gros ventre puis je l'ai embrassée tout en la masturbant et c'est là que ça a mal tourné. Un cri a jailli à la porte de sa chambre :
- Mon dieu, a fait sa mère qui s'est enfuie en descendant l'escalier !
Clara m'a repoussée puis elle a renfilé sa robe en se trompant en la boutonnant puis elle a descendu l'escalier à la poursuite de sa mère. Je me suis dite que ça tournerait mal pour ma réputation si ça venait aux oreilles de mes parents et je me suis rhabillée et j'ai commencé à descendre l'escalier avant de me demander comment je pourrais passer devant la mère de Clara. Je me suis arrêtée à la moitié des marches.
- Maman, plaidait Clara devant sa mère ! Il ne s'est rien passé ! Promets-moi de ne rien dire à papa !
Clara s'est mise à pleurer. Sa mère lui a demandé comment elle avait pu faire ça.
- Mon dieu, tu es ma fille, continuait sa mère ! Comment as-tu pu me faire ça ! En tout cas, je ne veux plus voir cette traînée dans ma maison !
J'ai descendu les marches une à une puis j'ai fait attention que sa mère ne puisse me voir et j'ai pris la porte et je me suis enfuie. Deux jours plus tard, j'ai à nouveau croisé Clara dans une rue et je lui ai dit qu'elle m'avait bien eue.
- Bravo, lui ai-je reproché ! C'était pas la peine de me dire que tu n'es pas lesbienne !
- Ça ne t'a pas gênée, m'a répondue Clara ! A ce que je sache, je ne t'ai pas forcée !
J'avais vingt-deux ans et pour la première fois depuis longtemps, j'ai passé la fin de mes vacances avec mes parents puis je suis rentrée et à croire que c'était une épidémie, à peine rentrée, j'ai reçu un coup de téléphone de ma cousine Zoé qui a mon âge. Elle m'a appris qu'elle était enceinte de quatre mois et que son copain l'avait larguée en l'apprenant.
- Et qu'est-ce que je pourrais faire, lui ai-je demandé ?
Le cas de Clara était encore trop frais pour que je ne me méfie pas.
- Ce que tu pourrais faire, m'a répété ma cousine ? Tu as un grand appartement et tu pourrais m'héberger pendant un moment !
Zoé a tellement insisté que j'ai fini par accepter. J'occupais, depuis juste avant les vacances, l'appartement qu'habitait ma grand-mère avant qu'elle ne nous quitte et que mon oncle et mon père ne se pressaient pas de vendre. Ma cousine est arrivé un après-midi avec deux valises. Il y avait encore tous les meubles et à moins de partager le grand lit, il n'y avait d'autre solution que de camper dans le salon.
- Alors, on fait quoi, lui ai-je demandé ? On va acheter un matelas ?
Zoé m'a répondu que ce serait idiot de faire des dépenses alors qu'on pouvait partager le lit.
- Je te préviens, lui ai-je répondu ! Je ne suis pas lesbienne et je ne fais pas l'amour avec toi !
Ça l'a fait rire puis elle m'a juré qu'elle aussi ne l'était pas et bien que je lui ai dit que mes parents, quand ils me rendraient visite, se demanderaient bien où elle couche, elle n'a pas voulu changer d'avis.
- Tu ne mets pas de soutif, m'a demandé ma cousine, quand je me suis changée pour aller me coucher !
- Et je ne mets pas de chemise de nuit, lui ai-je répondu ! Ça fait des années que je rêve de cette vie-là ! Alors, il faudra bien que tu l'accepte ! Je porte des soutifs que quand j'y suis obligée ! Tiens, d'abord, je ne t'ai pas demandé ! Tu es enceinte de combien ?
- Cinq mois, m'a répondu ma cousine ! Ça nous laisse du temps, mais quand j'aurai le gros ballon...
- Oui, on n'aura plus de place dans le lit, mais je te promets qu'on va se trouver un canapé pour mettre dans le salon !
Le canapé, on a fini par le trouver et par l'installer en entassant des meubles de ma grand-mère dans le débarras mais on n'a pas cessé pour autant de partager le même lit car, forcément, quand deux filles dorment nues dans le même lit, ça finit par leur donner des envies et comme avec Clara, je me suis retrouvée dans les bras de ma cousine et nous nous sommes embrassées comme des amoureux puis nous avons fait l'amour ensemble, tout étonnées que ça nous plaise autant. Son ventre et sa poitrine étaient devenus énormes. Quand mes parents sont venus voir comment je me débrouillais, ils ont découvert leur nièce et ils se sont étonnés que je l'héberge, vu que c'était eux qui payaient les charges.
- Et en plus, tu es enceinte, lui a dit maman ! Il n'a pas de père ?
Une fois de plus, Zoé a dû s'expliquer et cette fois devant ma mère parce que mon père était sorti du salon comme s'il ne voulait pas entendre.
- Tu dors là, a ajouté ma mère en montrant le canapé ! Tu n'aurais pas pu dormir dans la chambre dans ton état et Hélène ici, a-t-elle ajouté !
Zoé a répondu que ça lui plaisait comme ça et elle a promis qu'elle partirait une fois la naissance mais une fois mes parents partis, je lui ai dit qu'elle pourrait rester avec moi parce que j'ai besoin de ma cousine et parce que je suis bien avec elle puis je lui ai promis qu'on irait en vacances chez une de mes amies. Clara m'avait écrit pour m'avertir qu'elle avait eu un enfant et qu'elle habitait dans une petite maison que lui avait laissé son oncle. L'avenir pouvait donc être amusant.
- Bonjour, madame !
- Bonjour !
- Sept mois, m'a dit Clara avant toute chose !
Elle semblait être heureuse et dans son état, elle n'était plus la même. Je l'ai serrée dans mes bras. Elle m'a demandé de mes nouvelles alors que sa mère se tenait à l'écart puis Clara m'a dit qu'on se verrait demain matin à l'hôtel que je fréquentais depuis des années avec mes parents. Le lendemain, je prenais mon café sur la terrasse de l'hôtel quand elle est arrivée. Je me suis levée pour l'accueillir et elle s'est assise à côté de moi. J'avais plein de questions pour elles et que j'avais ruminées durant la nuit.
- Alors, ça fait combien de mois ? Tu me présenteras ton copain ! Tu es heureuse ?
Clara m'a laissée terminer puis elle m'a répondu qu'elle en était à sept mois, qu'elle est incapable de dire qui est le futur papa et qu'elle est heureuse d'avoir un enfant puisque c'est une fille qu'elle attend.
- Comment ça, tu es incapable de dire qui est le père, lui ai-je demandé ?
Je lui répétais exactement ce qu'elle venait de me dire et Clara m'a répondu qu'elle avait fait la fête avec des amis et qu'ils lui avaient fait mis quelque chose dans son verre et que pour la suite, elle ne se souvient plus de ce qu'elle a fait ou plutôt avec qui elle a fait l'amour.
- Mais, tu n'étais pas avec Paul, lui ai-je objecté ?
- Si, m'a répondu Clara, mais il n'était pas avec moi ce soir-là et tu penses que quand il a appris que j'étais enceinte, il a pris la fuite !
- Et ta mère, lui ai-je encore demandé ?
- Elle était furieuse quand elle l'a appris et même encore aujourd'hui... Elle aurait préféré que je me fasse avorter, a ajouté Clara !
- En tout cas, tu es vraiment belle, ai-je ajouté en posant la main sur son ventre !
Clara a éclaté de rire et je lui ai demandé ce qu'il y avait.
- Tu te souviens quand nous avions fait le concours de nichons, m'a-t-elle demandé ?
Je m'en souvenais très bien parce que j'avais gagné ce concours que nous avions organisés, ou plutôt que les garçons de notre groupe sur la plage, pour classer les filles par la taille de leurs seins. Le prix en avait été un godemiché qu'un des leurs avait recouvert de peinture dorée et que j'avais jeté de peur de rapporter ça à l'hôtel.
- Tu avais fini avant-dernière, lui ai-je répondu ! Septième sur huit !
- Oui, m'a confirmé Clara ! A l'époque j'avais de touts petits seins mais depuis, c'est...
- C'est quoi, lui ai-je demandé ?
- C'est que depuis, a continué Clara... Il faut que tu les voies !
Je la regardais et à part son gros ventre, elle ne semblait pas avoir plus de poitrine, ou peut-être un peu plus que l'année dernière.
- Tu veux que je te les montre, a insisté Clara ?
Elle semblait impatiente et je lui ai dit qu'elle n'allait pas me les montrer ici, sur la terrasse.
- Non, m'a répondu Clara, mais on va bien trouver un petit coin ? Dans ta chambre ?
Je ne pouvais pas parce que mes parents occupaient la chambre mitoyenne et la porte de communication avait été déverrouillée et ils n'étaient pas encore venus déjeuner.
- Il faut que je te les montre, a encore insisté Clara, sinon, tu ne vas pas me croire ! J'ai juste à déboutonner le haut de ma robe...
On s'est levées et on a quitté la terrasse. La petite rue qui longe l'hôtel, là où ils déposent leurs poubelles, me semblait appropriée ou du moins plus discrète. J'y suis allée avec Clara et elle a déboutonné le haut de sa robe et d'abord, j'ai pu voir qu'elle n'avait pas de soutien-gorge et ensuite que ses seins s'ils n'étaient pas vraiment plus gros que l'an dernier, s'étaient beaucoup allongés et les aréoles que j'ai vues quand elle a encore défait deux boutons, lui mangeaient la moitié des seins. Je lui ai dit de cacher tout ça et nous sommes retournées sur l'avenue de la Mer pour marcher un peu et nous asseoir sur un banc et continuer à discuter et j'en ai profité pour passer un coup de fil à mes parents et leur dire que j'allais déjeuner avec une amie puis nous sommes allées nous faire bronzer jambes et bras au soleil avant d'aller dans un petit restaurant et en sortant de table, j'ai suivi Clara chez sa mère. Je savais qu'ils louaient une maison tous les ans.
- Maman, a crié Clara en entrant !
Personne ne lui a répondu et je l'ai suivie à l'intérieur et nous sommes montées dans sa chambre pour écouter de la musique et continuer à papoter et alors que je lui demandais si elle cherchait quelqu'un pour remplacer le père inconnu, Clara m'a répondu qu'elle en avait soupé des hommes.
- Qu'est-ce que tu veux dire, lui ai-je demandé ? Ne me dis pas que tu a viré ta cutie, me suis-je étonnée, à moitié moqueuse et à moitié curieuse.
- Moi, lesbienne, m'a répondu Clara ! Jamais de la vie !
Pourtant, quelques minutes plus tard, alors que je me penchais par-dessus elle pour changer de morceau de musique, elle m'a renversée sur le dos et elle m'a embrassée sur les lèvres puis elle a cherché à enfoncer sa langue et je l'ai repoussée aussitôt.
- Je te demande pardon, m'a dit Clara ! Je n'ai pas pu me retenir !
Je la regardais. Je m'étais éloignée d'elle et je m'étais assise tout au bout de son lit.
- Pourquoi moi, ai-je fini par lui demander ?
- Tu ne vas pas te fâcher si je t'avoue que tu me plais et que je pense à toi depuis qu'on s'est quittés l'année dernière... Tu ris pas, hein, si je te dis que je me masturbe en pensant à tes seins !
Je lui ai répondu qu'elle est folle mais je suis restée assise sur son lit et je n'ai rien dit ni fait quand elle s'est rapprochée de moi puis elle a pris ma main et elle a croisé ses doigts avec les miens tout en me regardant dans les yeux. Elle était émouvante et elle s'est encore rapprochée de moi puis elle m'a embrassée et elle a enfoncé sa langue à la recherche de la mienne.
- J'ai vraiment besoin de toi, m'a susurré Clara quand nous avons interrompu notre baiser.
- Je lui ai répondu qu'elle est la première femme que j'embrasse sur la bouche et nous avons ri toutes les deux.
- Il faut que tu me touches, a enchaîné Clara pendant qu'elle déboutonnait sa robe puis elle l'a jetée sur la descente de lit et elle m'a, ensuite, aidée à retirer la mienne puis mon soutien-gorge et nous nous sommes embrassées à nouveau avant qu'elle n'embrasse mes seins et tété mes mamelons puis j'ai tété les siens et j'en ai fait jaillir des gouttes de lait qui ont giclé sur ma langue. Clara en a profité pour glisser sa main entre mes cuisses et j'ai bien été forcée de retirer ma petite culotte pour l'aider à me masturber et je me suis vengée dès que j'ai pu. Clara s'était adossée contre ses oreillers et ses seins pendaient sur ses côtes et elle n'était plus que son gros ventre puis je l'ai embrassée tout en la masturbant et c'est là que ça a mal tourné. Un cri a jailli à la porte de sa chambre :
- Mon dieu, a fait sa mère qui s'est enfuie en descendant l'escalier !
Clara m'a repoussée puis elle a renfilé sa robe en se trompant en la boutonnant puis elle a descendu l'escalier à la poursuite de sa mère. Je me suis dite que ça tournerait mal pour ma réputation si ça venait aux oreilles de mes parents et je me suis rhabillée et j'ai commencé à descendre l'escalier avant de me demander comment je pourrais passer devant la mère de Clara. Je me suis arrêtée à la moitié des marches.
- Maman, plaidait Clara devant sa mère ! Il ne s'est rien passé ! Promets-moi de ne rien dire à papa !
Clara s'est mise à pleurer. Sa mère lui a demandé comment elle avait pu faire ça.
- Mon dieu, tu es ma fille, continuait sa mère ! Comment as-tu pu me faire ça ! En tout cas, je ne veux plus voir cette traînée dans ma maison !
J'ai descendu les marches une à une puis j'ai fait attention que sa mère ne puisse me voir et j'ai pris la porte et je me suis enfuie. Deux jours plus tard, j'ai à nouveau croisé Clara dans une rue et je lui ai dit qu'elle m'avait bien eue.
- Bravo, lui ai-je reproché ! C'était pas la peine de me dire que tu n'es pas lesbienne !
- Ça ne t'a pas gênée, m'a répondue Clara ! A ce que je sache, je ne t'ai pas forcée !
J'avais vingt-deux ans et pour la première fois depuis longtemps, j'ai passé la fin de mes vacances avec mes parents puis je suis rentrée et à croire que c'était une épidémie, à peine rentrée, j'ai reçu un coup de téléphone de ma cousine Zoé qui a mon âge. Elle m'a appris qu'elle était enceinte de quatre mois et que son copain l'avait larguée en l'apprenant.
- Et qu'est-ce que je pourrais faire, lui ai-je demandé ?
Le cas de Clara était encore trop frais pour que je ne me méfie pas.
- Ce que tu pourrais faire, m'a répété ma cousine ? Tu as un grand appartement et tu pourrais m'héberger pendant un moment !
Zoé a tellement insisté que j'ai fini par accepter. J'occupais, depuis juste avant les vacances, l'appartement qu'habitait ma grand-mère avant qu'elle ne nous quitte et que mon oncle et mon père ne se pressaient pas de vendre. Ma cousine est arrivé un après-midi avec deux valises. Il y avait encore tous les meubles et à moins de partager le grand lit, il n'y avait d'autre solution que de camper dans le salon.
- Alors, on fait quoi, lui ai-je demandé ? On va acheter un matelas ?
Zoé m'a répondu que ce serait idiot de faire des dépenses alors qu'on pouvait partager le lit.
- Je te préviens, lui ai-je répondu ! Je ne suis pas lesbienne et je ne fais pas l'amour avec toi !
Ça l'a fait rire puis elle m'a juré qu'elle aussi ne l'était pas et bien que je lui ai dit que mes parents, quand ils me rendraient visite, se demanderaient bien où elle couche, elle n'a pas voulu changer d'avis.
- Tu ne mets pas de soutif, m'a demandé ma cousine, quand je me suis changée pour aller me coucher !
- Et je ne mets pas de chemise de nuit, lui ai-je répondu ! Ça fait des années que je rêve de cette vie-là ! Alors, il faudra bien que tu l'accepte ! Je porte des soutifs que quand j'y suis obligée ! Tiens, d'abord, je ne t'ai pas demandé ! Tu es enceinte de combien ?
- Cinq mois, m'a répondu ma cousine ! Ça nous laisse du temps, mais quand j'aurai le gros ballon...
- Oui, on n'aura plus de place dans le lit, mais je te promets qu'on va se trouver un canapé pour mettre dans le salon !
Le canapé, on a fini par le trouver et par l'installer en entassant des meubles de ma grand-mère dans le débarras mais on n'a pas cessé pour autant de partager le même lit car, forcément, quand deux filles dorment nues dans le même lit, ça finit par leur donner des envies et comme avec Clara, je me suis retrouvée dans les bras de ma cousine et nous nous sommes embrassées comme des amoureux puis nous avons fait l'amour ensemble, tout étonnées que ça nous plaise autant. Son ventre et sa poitrine étaient devenus énormes. Quand mes parents sont venus voir comment je me débrouillais, ils ont découvert leur nièce et ils se sont étonnés que je l'héberge, vu que c'était eux qui payaient les charges.
- Et en plus, tu es enceinte, lui a dit maman ! Il n'a pas de père ?
Une fois de plus, Zoé a dû s'expliquer et cette fois devant ma mère parce que mon père était sorti du salon comme s'il ne voulait pas entendre.
- Tu dors là, a ajouté ma mère en montrant le canapé ! Tu n'aurais pas pu dormir dans la chambre dans ton état et Hélène ici, a-t-elle ajouté !
Zoé a répondu que ça lui plaisait comme ça et elle a promis qu'elle partirait une fois la naissance mais une fois mes parents partis, je lui ai dit qu'elle pourrait rester avec moi parce que j'ai besoin de ma cousine et parce que je suis bien avec elle puis je lui ai promis qu'on irait en vacances chez une de mes amies. Clara m'avait écrit pour m'avertir qu'elle avait eu un enfant et qu'elle habitait dans une petite maison que lui avait laissé son oncle. L'avenir pouvait donc être amusant.
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