Clara et Scott 2 - histoire érotique

Un vendredi soir, je pris mon portable et je décidais d'appeler Clara. J'avais très envie de la revoir et de coucher avec elle. J'avais un très bon souvenir de la dernière fois et j'avais hâte de remettre ça ! Je composais donc son numéro en espérant qu'elle me réponde. J'attendis quelques secondes et :

- Allô ?
- Salut Clara, c'est Scott. Tu vas bien j'espère ?
- Scott ! T'en as mis du temps pour me rappeler ! Je pensais que tu voudrais me voir pendant les vacances, je suis un peu déçu.
- Oui désolé, à vrai dire je suis parti au ski trois quatre jours et après j'ai pas osé t'appeler, j'avais peur que tu me répondes pas.
- Je t'avais dit que je comptais te rebaiser mon grand, je tiens mes engagements tu sais ! C'est important de respecter ce qu'on dit !
- Donc t'es ok pour qu'on se revoie ?
- Bien sûr bébé ! Je compte bien te baiser comme la dernière fois. Tu veux qu'on se retrouve quand ?
- Ce week-end, ça ira ?
- Ouais ça me va. Mais dimanche plutôt parce que je travaille demain.
- Ok. On se voit vers 15h, ça te va.
- Pas de problème. À dimanche mon grand !


Je raccrochais tout sourire : elle avait accepté ! J'étais trop content ! J'avais maintenant hâte d'être dimanche !


Dimanche était arrivé. Samedi m'avait paru interminable tant mon impatience était grande. Au niveau de la météo, le soleil était au rendez-vous, il n'y avait aucun nuage. Je décidais donc de m'habiller d'un jean et d'un simple T-shirt blanc. Clara m'avait envoyé son adresse par sms. Après m'être préparé, je me rendis chez elle en voiture. Le trajet ne fut pas très long, elle n'habitait pas très loin de chez moi. Une fois arrivé devant son immeuble, je me garais sur le bas-côté et je sortis de la voiture pour lui faire remarquer ma présence. Elle s'avança alors vers moi, tout sourire. Elle avait vraiment un sourire ensorcelant, j'étais encore sous le charme. En plus sa tenue légère me donna encore plus envie d'elle : un mini-short en jean et un débardeur noir. Simple mais terriblement sexy. Elle arriva à ma hauteur et, avant que je ne puisse lui dire bonjour, elle me sauta au cou et m'embrassa langoureusement. J'en fus quelque peu décontenancé mais je ne m'en plaignis pas. Je mis mes mains au creux de ses reins et répondis à son baiser. On resta ainsi pendant près d'une minute quand Clara rompit notre étreinte. Elle me décocha un sourire ravageur et me dit :

- Tu m'as manqué Scott.
- Oui toi aussi tu m'as manqué.


Sur ces chouettes retrouvailles, nous grimpâmes dans la voiture. Je démarrais et Clara me dit :

- Je connais un coin tranquille au bord d'un lac, pas loin. Ça te dirait qu'on aille se baigner ?
- Se baigner ? Au mois de mars?
- T'as vu le soleil qu'il y a aujourd'hui ! L'eau doit être chaude. Et puis en plus, tu me verras en bikini et je serais toute ruisselante d'eau. Ça t'excite pas ça ?


Effectivement, la perspective de voir Clara en bikini et toute mouillée m'excitait déjà. Alors j'acquiesçai :

- Ok, ça me va.
- Super ! S'exclama-t-elle en me faisant un bisou sur la joue.


Nous nous rendîmes donc au lac qu'elle connaissait. Je garais la voiture et nous nous y rendîmes. Clara marcha devant moi, se déhanchant exagérément pour bien me faire admirer son cul. Cela marcha et j'étais tellement absorbé par son derrière que je ne fis pas attention où je marchais et je faillis me casser la gueule. Je pestais contre la branche qui m'avait presque fait tomber tandis que Clara me jeta un coup d’œil amusé. Nous arrivâmes au lac : le coin était sympa, il y avait pas mal de verdure et le bord du lac était recouvert de sable, pratique pour installer une serviette. D'ailleurs Clara sortit deux serviettes de son sac qu'elle étala sur le sol. Elle se déshabilla lentement, dévoilant un bikini noir qui lui allait très bien et qui mettait son corps en valeur. Je restais en admiration devant son corps. Clara s'approcha et me dit :

- Qu'est-ce que t'attends pour te déshabiller ?


Je repris alors mes esprits et me déshabillais entièrement sauf mon caleçon.


- Le caleçon aussi. Me dit-elle d'un ton un peu autoritaire.


J'hésitais un peu, je ne m'étais encore jamais mis nu en extérieur. Clara me rassura :

- Bébé, il n'y a personne ici. En plus tu te doutes bien que si on est venu ici, c'est pas pour jouer à un jeu de société donc tu devras l'enlever obligatoirement dans peu de temps alors retire-le.
- Et toi, tu retires pas ton bikini ?
- Non, pas tout de suite, je veux te faire languir un peu. Me dit-elle d'un sourire coquin.


Son sourire me convainquit et je retirais mon caleçon, dévoilant ma verge qui bandait déjà à voir une splendide fille en bikini. Clara jeta un regard gourmand sur mon sexe et se lécha les babines. Sans attendre, elle m'attrapa par mon gourdin et m'entraîna au bord du lac. Joueuse, elle me poussa dans l'eau et j'eus quelques secondes la tête immergée. Lorsque je sortis ma tête, le niveau de l'eau un peu en dessous de mes pectoraux, je voulus me venger et lui rendre la pareille mais mon plan tomba à l'eau: en effet, Clara avait disparu. Je la cherchais du regard et l'appelais mais elle ne se manifesta pas. J'eus l'idée de la chercher sous l'eau mais au même moment, un corps se colla contre mon dos. Avant que je puisse réagir, deux bras tatoués m’enserrèrent et agrippèrent mon membre. Les tatouages sur ses bras ne me laissaient aucun doute, c'était bien Clara qui me branlait. Je me laissais faire quelques instants, appréciant ses mains branlant ma queue sous l'eau. Elle m'embrassa le cou, me le mordit quelquefois comme une vampire. Elle continua de me branler doucement, de me masser les couilles et de me mordre le cou. Je fermais les yeux et voulut exprimer mon contentement :

- Mmm, c'est b...


Je n'eus pas le temps de finir ma phrase car Clara me bâillonna avec une main. Elle me chuchota à l'oreille :

- Chut, pas un mot.


Elle me souffla doucement sur l'oreille et me mordilla le lobe, m'électrisant légèrement. Elle continua à me branler lentement, m'amenant petit à petit aux portes de l'orgasme. Ma respiration s'accéléra et je donnai des petits coups de bassin pour augmenter le rythme de cette branlette. Clara me branla encore et encore, me mordant le cou et l'oreille. C'en fut trop et je ne pus réprimer un intense orgasme qui me fit gémir, gémissements étouffés par sa main qui me bâillonnait. Après cette superbe branlette, Clara me chuchota :

- Rejoins-moi sur la plage.


Sur ces mots, elle regagna la plage en marchant sensuellement. Impatient d'aller plus loin avec elle, je me hâtais de la rejoindre sur la plage où elle m'attendait, allongée sur le dos et jambes légèrement écartées. Je m'allongeais sur elle et voulut l'embrasser mais alors que mes lèvres n'avaient pas encore rencontré les siennes, elle me renversa sans que je ne puisse réagir. Elle se mit en 69 au-dessus de moi, prit mon sexe en main et m'ordonna :

- Occupe-toi de ma chatte pendant que je m'occupes de ta queue, mon mignon.


Elle prit alors ma queue en bouche allant à un rythme rapide. Je lui retirais son bas de maillot, dévoilant sa belle intimité entièrement épilée qui mouillait d'excitation. Je me mis à lui lécher ses lèvres ainsi que son clitoris. Pendant que je comblais son sexe avec ma langue, mes mains se baladaient sur son fessier bombé. Je massais ses belles fesses puis j'infiltrais un doigt dans son petit trou ce qui la fit gémir. Elle était vraiment douée en fellation et mon cunni ne la gênait absolument pas, elle arrivait à bien me sucer que je lui fasses un cunni ou pas. J'en étais limite vexé de voir que je n'arrivais pas à la déconcentrer mais ce sentiment disparut très vite car elle suçait très bien, tellement bien que c'était moi qui avait du mal à me concentrer sur mon cunni. Nous nous appliquions tous les deux à faire du bien à l'autre : j'avais un doigt dans son cul tandis que ma langue fouillait son intimité et taquinait son clitoris et Clara me malaxait mes couilles tandis qu'elle avalait goulûment ma hampe. Je voulais tenir plus longtemps qu'elle mais ce fut mission impossible : Clara parvint à me mener au bout de ma résistance. Elle accéléra légèrement la cadence et je dus arrêter de la lécher car je gémissais trop pour arriver à continuer à la combler. Mais je n'atteignis pas l'orgasme : en effet Clara arrêta de me sucer alors que j'allais jouir. Elle se redressa, sur moi en facesitting :

- Allez, continue à me lécher mon beau. Je ne te fais pas jouir car je compte te chevaucher après alors j'ai besoin de ta queue bien dure.


Assise sur moi, je n'avais pas d'autres choix que de continuer à la lécher mais de toute façon, je ne comptais pas m'arrêter : je continuais donc à la fouiller, savourant le goût de sa chatte que je prenais plaisir à lécher. Je ne fus pas long à venir à bout de sa résistance et je l'achevais d'un coup de langue bien placé. Clara cria de plaisir et fut bien comblée par mon cunnilingus. À peine avait-elle joui qu'elle s'enleva de ma bouche et s'empala sur ma queue en me faisant face sans attendre. Elle commença une chevauchée vigoureuse, se tenant bien droite sur moi. Alors qu'elle me baisait efficacement, elle retira enfin son haut de maillot, dévoilant sa belle poitrine bien ronde et ses tétons fièrement dressés. Clara se les caressa et me lança un regard coquin :

- Viens les manger, mon beau.


J'en avais terriblement envie alors je me redressais et je pris ses beaux seins en main tout en les dévorant, embrassant et léchant chaque parcelles de ses obus. Clara me mit la main derrière la tête, me plaquant contre ses seins pour mon plus grand plaisir. Elle reprit des coups de bassin plus vigoureux augmentant notre plaisir à tous les deux. Après quelques minutes à baiser ainsi, nos corps collés l'un contre l'autre transpirants de plaisir, je finis par me vider en elle dans un délicieux orgasme tandis que ses mains se crispèrent sur mes cheveux, atteinte elle aussi d'un orgasme tout aussi délicieux. Nous restâmes soudés, nous embrassant tendrement puis nous nous séparâmes pour continuer la journée autre part. Nous nous rhabillâmes et nous allâmes continuer l'après-midi chez elle.


Une fois arrivés chez elle, Clara se dirigea vers sa salle de bains :

- Allez, je vais à la douche !


J'avais très envie de me doucher avec elle alors je la suivis. Sauf qu'elle ne le voulais pas :

- Non Scott, tu ne prendras pas ta douche avec moi. Je veux vraiment prendre une douche et si je la prends avec toi, on ne se lavera pas. Alors tu attends que je prennes ma douche et après tu iras la prendre.
- Mais...


Elle me fit taire en posant son index sur mes lèvres :

- Tu te tais. Après que tu auras pris notre douche, on baisera, t'en fais pas. Mais pour le moment, tu restes ici.


Sans me laisser le temps de protester, elle fila sous la douche. Je restais donc planté là, comme un imbécile. J'attendis plusieurs minutes dans son salon et je commençais à avoir très envie d'aller rejoindre. En effet, de là où j'étais, j'entendais l'eau couler et je m'imaginais donc Clara sous l'eau toute nue, l'eau ruisselante contre son corps, passant entre ses seins, épousant la cambrure de ses fesses. Rien que de penser à ça, j'en avais une trique d'enfer ! Bon, tant pis : je ne tenais plus en place alors je me levais et je rentrais dans sa salle de bain. Les portes coulissantes de sa douche était transparentes, je voyais donc très bien Clara en train de se baigner. Et la voir se doucher était aussi excitant que je l'avais imaginé. Je me hâtais donc de me déshabiller entièrement et j'ouvris les portes coulissantes. Clara tourna la tête vers moi et me lança un sourire narquois :

- Regardez qui est là ? T'en as mis du temps pour me rejoindre dis donc !


Je m'approchais d'elle et l'enserra entre mes bras, calant mon sexe entre ses fesses :

- Tu savais que j'allais te rejoindre ?
- Bien sûr ! Sans vouloir me vanter, je suis irrésistible. J'avais un doute sur le temps qu'il te faudrait pour me rejoindre mais j'aurais mis ma main à couper que tu viendrais.


Je l'embrassais dans le cou et laissais traîner mes mains sur son ventre. Elle se retourna, me caressa le torse d'une main et mon sexe de l'autre :

- Mais je t'avais dit de rester dans le salon et tu ne m'as pas écouté. C'est pas bien ça.


Je l'embrassais langoureusement et lui caressais les seins :

- J'avais trop envie de toi, j'ai pas pu résister, t'es trop sexy.
- C'est flatteur et vu comme ta queue est dure, t'as vraiment très envie de me baiser. Alors, t'attends quoi pour me baiser ?


Je souris et l'embrassais : je soulevais une de ses jambes et je pénétrais sa chatte doucement. Elle gémit légèrement puis elle enroula ses jambes autour de moi, me forçant à la porter. Je posais mes mains sur ses fesses pour avoir un meilleur appui. Je la baisais puissamment prenant appui sur son fessier bombé. Elle continuait à m'embrasser tandis que je faisais aller et venir ma queue en elle. Clara rompit notre baiser et me donna plein de bisous dans le cou qui m'émoustillèrent encore plus. Un peu fatigué de la porter, je la reposais et la retournais pour la plaquer de face contre la vitre de la douche. Elle tourna la tête vers moi et dandina son joli cul, m'invitant à continuer de la baiser. Je me remis donc en elle pour continuer à la prendre vigoureusement. Clara gémit de plus en plus tout en tournant la tête pour me regarder la baiser. Je m'approchais de ses lèvres et l'embrassais tendrement tandis que je la baisais vigoureusement. La situation était vraiment excitante, j'aimais la prendre ainsi dans la douche. En plus, vu que le miroir de la salle de bain se situait en face de la douche, je pouvais voir Clara prendre du plaisir sous mes assauts, ses seins plaqués contre la vitre. Je continuais de la pilonner vigoureusement, profitant de l'espace exigu de la cabine de douche pour pouvoir la dominer. Bon, il faut dire aussi qu'elle me laissait faire mais c'était tout de même plaisant de la baiser à ma guise. Après moult va-et-vient torrides, nous ne pûmes plus nous retenir et nous explosâmes tous deux dans un intense orgasme. Clara haleta puis me dit d'une voix légèrement affaibli par notre baise :

- Mmm, tu m'as bien baisé, Scott.
- Je regrette pas de t'avoir rejoint à la douche.


Clara sourit, se retourna et m'embrassa passionnément. Elle rompit notre baiser et me tendit le gel douche :

- Lave-moi maintenant. Me dit-elle d'un ton autoritaire.


Je lui pris le gel douche et je m'en mis une noisette dans les mains. Je commençais alors à la laver, commençant par ses bras. Une fois ses bras faits, elle se tourna et je passais mes mains dans son dos. Je la caressais plus que je ne la lavais mais elle s'en fichait. Je lui lavais donc tout son dos, passant sensuellement mes mains sur elle. Je m'attaquais ensuite à ses fesses que je malaxais vigoureusement. Cela m'excitait beaucoup et cela se voyait à mon entrejambe qui recommençait à durcir. Ensuite, elle se retourna et je dus ensuite lui laver le devant du haut de son corps. Ce fut plus difficile car mon regard se perdit dans sa sublime poitrine encore mouillée par l'eau ce qui me donna encore plus envie. Clara le vit car elle jeta un coup d’œil à mon entrejambe et elle put voir que je bandais de plus en plus. Je lui lavais donc le ventre et voulut passer à ses jambes mais elle m'interpella :

- Mes seins aussi, Scott.


Je m'occupais donc de ses obus que je caressais sensuellement. J'avais à peine posé mes mains dessus que j'avais déjà une gaule d'enfer ce qui fit sourire Clara. Je m'appliquais donc à laver ses seins, lui pinçant légèrement les tétons au passage ce qui lui fit pousser un petit gémissement. Après avoir bien caressé sa poitrine opulente, je passais ses jambes et ses pieds que je lavais tout aussi consciencieusement. Après que je l'eus bien lavé, Clara prit le pommeau de douche et se rinça. La voir ainsi, l'eau coulant sur son corps, était terriblement excitant. Je voulus alors la baiser encore une fois mais Clara posa une main sur mon torse et me poussa contre la paroi en m'ordonnant :

- Reste tranquille.


Je ne voulus pas l'écouter donc je la pris par les hanches et je voulus la plaquer contre la paroi mais Clara me prit à la gorge d'une main et elle serra mes couilles de l'autre. Elle ne les serrait pas trop fort, mais je compris immédiatement ce qui risquait d'arriver si je lui désobéissais encore. Je décidai de ne pas la contrarier et je restai bien sage, la regardant prendre sa douche. Une fois qu'elle eut finit de se rincer, Clara me jeta un regard langoureux et caressa du bout des doigts ma verge tendue. Elle caressait doucement et me dit :

- Tu veux que je te laves, Scott ?


Je la regardai droit dans les yeux et je lui répondis :

- Oui, j'aimerais beaucoup.


Clara sourit, prit ma queue en main en commençant par quelques va-et-vient. Elle le fit plusieurs fois et... elle sortit de la douche. Surpris et un peu frustré, je la questionnais :

- Qu'est-ce que tu fais ?


Clara prit une serviette et se sécha. Elle me répondit :

- J'ai pas envie de te faire jouir. Du moins pas pour l'instant. Alors lave-toi et rejoins-moi dans ma chambre. Et dépêches-toi.


Et sur ces mots, Clara partit rejoindre sa chambre en se dandinant et en me lançant un clin d’œil. Au moment où elle sortit de la salle de bain, je me rendis compte d'un truc : cette fille me faisait tourner en bourrique. Et, à mon avis, elle aimait faire tourner en bourrique tous les mecs qui lui plaisaient. Cette fille était une dominante, il n'y avait aucun doute là-dessus, et elle était en train de me mettre à ses pieds. Et un sens j'aimais ça même si j'étais touché dans mon ego.


Je pris une douche rapide ayant hâte de la rejoindre pour la baiser. Après m'être rapidement séché, je la rejoignis dans sa chambre. Clara m'attendait sur son lit, étendue sur le côté, les jambes écartées. Clara me lança un regard langoureux et me dit :

- Viens me prendre mon beau.


C'était difficile de dire non à une sublime créature comme elle alors je m'allongeais dans son dos et la pris dans mes bras pour la prendre en cuillère. Clara sourit et tourna la tête pour m'embrasser. Je répondis à son baiser en la prenant vigoureusement et en lui malaxant les seins. Je la baisais délicieusement, caressant son corps de rêve, embrassant sa nuque et son cou. Je gémissais légèrement, le plaisir montant petit à petit en moi.


- Tu aimes ce que je te fais, ma belle ? Lui demandais-je en lui embrassant la nuque une énième fois.


Clara tourna sa tête et me mordit le menton avant de me répondre d'un ton moqueur :

- Bof. Tu m'avais très bien baisé la dernière fois mais là, je sens quasiment rien.
- Tu sens rien ? Lui demandais-je d'un ton surpris.
- Presque rien, oui. Alors baise-moi mieux que ça mon grand.


Un peu vexé, je me mis à la baiser plus vigoureusement et lui titillai le clitoris plus vigoureusement pour lui procurer plus de plaisir et la faire crier. Mais tout ce qu'elle laissa échapper, c'est des petits gémissements. Clara me nargua encore :

- C'est à peine mieux Scott. Si tu ne me baises pas mieux que ça, il se pourrait que je t'effaces de la liste de mes plans culs.


Je fus quelque peu vexé alors je la mis à quatre pattes et je la pris en levrette. Pour la prendre mieux et plus vigoureusement, je lui tirais les cheveux. Je la pilonnai à toute vitesse, lui claquant son fessier bombé et lui titillant le clito bien vigoureusement. Mais ça ne la fit pas plus gémir. Je voulais vraiment la faire crier alors je me retirai d'elle et je voulus la sodomiser mais Clara se redressa et plaqua contre le lit. Totalement surpris, je ne pus rien faire quand elle s'empala sur ma queue en me plaquant mes poignets au dessus de ma tête. Elle me chevaucha rapidement et me mit une petite gifle en me narguant encore :

- Bon, il va falloir que je prenne les choses en main sinon je vais jamais prendre mon pied

Je voulus me redresser mais elle me replaqua mes poignets contre le matelas. Elle me baisa efficacement, me maintenant cloué contre le matelas. Je ne pus rien faire d'autre que de me laisser faire. Clara continua de me baiser vigoureusement jusqu'à elle obtint un orgasme qui la fit crier. Elle se mordit la lèvre de plaisir :

- Il n'y a pas à dire , on n'est jamais mieux servi que par soi-même.


Elle se retira de moi sans m'avoir fait jouir et elle alla chercher un truc dans sa commode. Elle en ressortit des liens et me dit d'un ton dominateur :

- Je vais te mettre à mes pieds et tu vas adorer ça Scott.


Même si d'un côté j'avais envie de lui être soumis, j'avais aussi envie de réussir à la dominer alors je me redressais et je voulus la plaquer contre le lit. Malheureusement pour moi, elle me plaqua contre le matelas avec une facilité déconcertante, je n'avais rien pu faire.


- Comment t'as fait pour me jeter comme ça sur le lit ?


Clara s'assit sur mon torse et elle prit mes poignets pour me ligoter solidement aux barreaux de son lit :

- Je fais des sports de combats pendant mon temps libre. Ça me permet de me débarrasser des mecs un peu trop collants... et aussi de dominer plus facilement au lit. Me répondit-elle en me lançant un clin d’œil.


Après s'être occupée de mes poignets, elle attacha aussi mes chevilles, m'immobilisant complètement. Elle prit ensuite un bandeau et me banda les yeux, m'empêchant maintenant de voir ce qu'elle pourrait me faire. Elle s'assit ensuite sur ma bouche et m'ordonna :

- Allez, lèche-moi esclave. Fais jouir ta maîtresse.


Je lui obéis immédiatement. Je fis tournoyer ma langue autour de son clitoris et je léchai ses lèvres intimes. Je la fis gémir pendant plusieurs minutes et elle me complimenta :

- Mmm t'es vraiment doué avec ta langue mon soumis. Tu me fais mouiller comme une folle.


J'étais ravi de son compliment alors je la léchai plus vigoureusement ce qui lui fit pousser un petit cri. Je sentis Clara trembler et se tortiller sous mes coups de langues, appréciant visiblement beaucoup mon cunni. Après quelques coups de langue, je finis par la faire jouir. Elle poussa un grand cri de satisfaction. Elle se retira de ma bouche et j'attendis qu'elle s'occupe de moi. Mais plusieurs secondes passèrent et rien ne se passa. Je voulus protester quand soudain je sentis quelque chose de chaud et serré autour de mon sexe : je ne pouvais le confirmer car je ne voyais rien mais j'étais presque sûr que j'étais rentré dans son cul. Elle se déhancha sur moi, malmenant ma queue dans son cul. Elle me baisait en me griffant le torse, me faisant grimacer de douleur. Elle se pencha ensuite sur moi et elle m'embrassa sauvagement. Elle se fit aussi plus tigresse en mordant ma lèvre inférieure, mon menton et mon lobe d'oreille. Après quelques puissants coups de bassin sur ma queue qui me faisaient chacun pousser des gémissements, elle me susurra à l'oreille :

- Tu aimes mon cul qui enserre ta queue, esclave ?


Je lui répondis difficilement :

- Oui... J'adore ton cul ma belle.


Clara accéléra encore la cadence, me faisant pousser un cri de plaisir. Elle continua, encore et encore, et elle finit par avoir un orgasme qui la fit vibrer et crier. Je n'allais pas tarder moi aussi à avoir un orgasme et elle le savait : elle accéléra encore, m'amenant de plus en plus vite au septième ciel. Mon torse se soulevait, mes gémissements devenaient des petits cris, et je sentais mon sperme montait en moi. Le plaisir montait, montait et... Clara se retira de moi, m'empêchant de jouir. Il ne m'aurait fallu qu'un coup de rein en plus pour me faire jouir et elle me laissait comme ça, pantelant et au bord de l'orgasme, comme la dernière fois. Je râlai :

- Clara ! Qu'est-ce que tu fais ?


Elle me caressa la joue :

- J'ai envie de jouer avec toi, te faire languir. Tu es mon soumis après tout, c'est moi qui commande après tout.


Je me rebellais :

- J'ai jamais dit que j'étais ton esclave.


Pour me punir, Clara me mit une petite gifle et me gronda en me lançant un regard de défi :

- Si, je suis ta maîtresse et tu es mon esclave. Et vu que tu te rebelles, je vais te punir encore plus.


Sur ces mots, Clara sortit du lit et je l'entendis prendre un truc. Elle revient sur moi et elle me bâillonna avec ce qu'il semblait être un foulard. Je me débattis, mais attaché comme je l'étais, je ne pus rien faire. Clara me tapota sur la joue et me chuchota à l'oreille :

- Je vais te laisser là pour un certain temps. Je m'occuperais de toi si l'envie m'en prend. À tout à l'heure mon soumis.


Elle déposa un baiser sur mon gland puis je l'entendis sortir de la chambre. Je me retrouvais donc allongé sur son lit, nu, ligoté, aveuglé et bâillonné. Je devais bien l'admettre, j'étais soumis à elle mais ça ne me déplaisait pas. Ma queue bandait toujours à fond et je me languissais fortement qu'elle s'occupe de moi. Malheureusement pour moi, à peu près dix minutes passèrent et toujours pas de Clara qui s'occupait de moi. Je commençais à désespérer quand soudain une main s'empara de ma queue. Je poussais immédiatement un soupir de satisfaction, ravi qu'elle s'occupe enfin de ma queue. Je m'inquiétais tout de même un peu car elle aurait pu inviter quelqu'un pour s'occuper de moi mais elle me rassura :

- Au cas où tu te poserais la question, je te promets qu'il n'y que moi qui profite de ton corps, Scott.


Elle me branla ensuite plus vigoureusement tout en me mordillant mes tétons. Elle massa ensuite mes couilles d'une main pour me les masser tandis que son autre main branlait ma hampe. Elle fit tournoyer sa main autour de mon gland tandis que son pouce titillait mon frein. Comme beaucoup de mecs, j'étais très sensible à cet endroit et elle le savait : elle insista donc sur mon gland et mon frein. Le plaisir montait doucement mais sûrement en moi. Je me tortillais, désirant qu'elle approfondisse sa masturbation sur ma verge tremblante d'excitation. Elle me serra doucement mes couilles et pinça légèrement mon gland, me procurant à la fois douce douleur et intense plaisir. Le plaisir finit par m'envahir et menaça de me submerger mais Clara arrêta encore une fois, me laissant une fois de plus frustré de ne pas jouir. Elle m'embrassa ensuite au coin des lèvres et me dit :

- Toujours frustré, mon grand ? Je suis si cruelle avec toi, mon pauvre Scott. Mais c'est ta faute aussi, tu n'as pas voulu admettre que tu m'étais soumis alors maintenant tu en payes les conséquences.


Et elle ressortit de la chambre, me laissant une nouvelle fois mariner. Une nouvelle fois j'attendis totalement impuissant sur son lit qu'elle veuille bien s'occuper de moi. Je désirais tellement qu'elle revienne que mon sexe était toujours tendu à fond et il ne débandait pas du tout. Après un nouveau quart d'heure d'attente, j'entendis enfin Clara revenir. Elle remonta sur le lit et me dit d'une voix coquine :

- Me revoilà ! J'espère que je t'ai pas trop manqué.


Je sentis deux formes rondes et bien fermes autour de ma queue, sûrement ses seins. Elle fit aller et venir ses obus contre ma queue qui ne demandait que ça. Elle me branla vigoureusement, me faisant gémir dans mon bâillon. Elle donnait en même temps des coups de langue sur mon gland qui me faisait vibrer. Sous ce traitement, il ne me fallut pas longtemps pour arriver aux portes de l'orgasme. Mais elle ne s'ouvrirent toujours pas : Clara arrêta une nouvelle fois de me branler. Je poussai un râle de frustration étouffé par mon foulard. Mais cette fois-ci, Clara ne partit pas : elle resta et m'embrassa dans le cou, le torse, les abdos. Bref, elle m'embrassait de partout sauf là où j'en avais le plus envie : mon sexe. Telle une tigresse, elle me mordait aussi le menton et mes tétons. Elle mordit aussi doucement mon gland me faisant doucement frémir. Après plusieurs minutes de baisers tous plus frustrant les uns comme les autres, elle s'empala directement sur moi. Je poussais un cri étouffé, surpris par la soudaineté de son acte.Elle me chevaucha d'abord lentement, prenant appui sur mon torse en le griffant. Elle me dit d'un ton coquin :

- Je vais te baiser mieux que n'importe quelles autres filles.


Heureusement pour moi, ce ne fut pas des paroles en l'air : elle me baisa super bien, presque comme si sa vie en dépendait. Elle me baisait sauvagement, alternant le rythme, tantôt rapidement, tantôt lentement et tantôt un rythme moyen. Elle ne me laissait aucun répit, me baisant mieux que n'importe quelle fille, même April n'était pas à la hauteur ! Mon corps était en feu, son vagin enserrant délicieusement mon sexe tendu à l'extrême me rendait fou. En plus, je pouvais à peine exprimer mon plaisir, bâillonné par son foulard. Je voulais participer un peu alors je lui donnais des coups de reins par en-dessous mais elle me recadra instantanément en me donnant plusieurs puissants coups de reins et en me griffant les pecs. Je poussais un petit cri de plaisir étouffé et je cessais toute rébellion. Clara me prit le menton et me dit entre deux gémissements :

- Tu es à moi Scott. Et tu vas l'admettre, tu verras.


Elle n'avait pas tort. Ce qu'elle me faisait était tellement bon que je désirais jouir plus que tout. Je gémissais de plus en plus, approchant de l'orgasme. J'avais peur que Clara ne me laisse pas jouir et j'avais bien raison : après quelques coups de bassin, Clara eut un orgasme qui la fit trembler mais elle se retira avant que je ne puisse jouir. Mais cette fois-ci, Clara me retira mon bandeau. Elle était nue et elle caressait doucement mon sexe qui ne demandait qu'à se libérer de cette tension. Elle me lécha mon gland doucement, ne me donnant que des petits coups de langues. Elle me tortura ainsi pendant plusieurs minutes. Ses yeux ne faisaient que fixer mon visage, observant mon visage réagir au supplice qu'elle me procurait. Toujours bâillonné, je ne pouvais pas exprimer correctement le plaisir que ses douces caresses m'infligeaient. Elle prit ensuite mes couilles en bouche, les suçant, les aspirant et les léchant. En même temps, elle massa mon gland de la paume de sa main tout en me titillant le frein avec son pouce. Elle prit ensuite mon sexe en bouche pour me faire une chaude fellation. Elle me suça d'abord le gland, n'enfonçant que peu profondément ma verge dans sa bouche. Je me tortillai de désir, luttant contre le plaisir qui montait en moi. Elle me suçait langoureusement, enfonçant de plus en plus mon sexe en elle. Elle me gratifiait d'intenses va-et-vient, tournoyant sa langue autour de ma hampe. Je m'approchais énormément de l'orgasme, il ne fallait plus que quelques va-et-vient pour me faire jouir. Elle le sentit car elle arrêta de me sucer et elle me retira le bâillon. Clara me donna quelques bisous sur le gland puis me demanda :

- Alors, Scott, j'imagine que t'as très envie de jouir, je me trompe ?


C'était une question rhétorique qu'elle me posait, évidemment que j'avais très envie de jouir ! :

- Oui, j'ai très envie de jouir.


Clara me sourit en caressant ma hampe du bout des doigts :

- T'es un grand garçon, j'ai pas besoin de t'expliquer ce qu'il faut que tu fasses pour que tu puisses jouir.


Vaincu et soumis, je capitulais :

- Tu es ma maîtresse et je suis ton esclave. Je t'en supplie Maîtresse, fais-moi jouir.
- Je le savais que je te soumettrais, mon esclave. Je suis trop forte pour toi.


Je ne répondais pas car elle avait raison : elle était bien trop forte pour moi, elle m'avait complètement soumis. J 'étais quelque peu vexé de m'être fait soumettre mais c'était aussi très bon. Et cela le devient encore plus : Clara me lécha le gland, la couronne et le frein tout en me tenant fermement la base de ma verge. Elle fit monter mon sexe en pression, mon corps trembla et, après un ultime coup de langue, ma délivrance arriva : Clara me fit jouir, l'un des meilleurs orgasmes de ma vie, voir le meilleur. Je poussais un cri et me cambrais, incapable de résister au septième ciel. Mon orgasme était tellement intense que j'étais au bord de l'évanouissement, les yeux mi-clos. Clara me détacha et m'embrassa tout mon corps. J'étais tellement sonné que, même détaché, je restais immobile. Clara m'embrassa encore pendant de longues minutes puis elle vint se blottir contre mon torse. Elle m'embrassa dans le cou et me dit :

- Alors Scott, t'as aimé te faire soumettre, pas vrai ?


J'étais vexé mais je me devais de le reconnaître : j'avais pris mon pied comme jamais à être son esclave :

- J'avoue que c'était super bon, tu sais dominer les mecs.


Clara m'embrassa langoureusement et me répondit :

- En même temps, vous êtes tellement faible vous les mecs. Une jolie fille prend les devants et vous perdez tous vos moyens. C'est trop facile.


Je ne répondis car, pour ma part, elle avait raison. Après cette incroyable baise, je n'étais plus en état de faire que ce soit ; nous nous endormîmes ensemble, Clara dans mes bras, paisiblement.