Clara la libertine - histoire érotique

J’avais pris mes fonctions dans mon nouveau travail depuis quelques mois déjà lorsque la vie privée de ma petite collaboratrice, Clara, fit une entrée fracassante dans mon quotidien.

Dès mon arrivée, j’avais flashé sur ses formes généreuses, qu’elle dissimulait sous des pulls moulants ou dans des pantalons qui laissaient apparaître une belle paire de fesses bien rondes et bien à l’abri d’un désuet petit string mettant en valeur l’ensemble de ses courbes, mais je savais aussi que Clara n’était pas libre, puisque mariée et mère de famille depuis quelques années.

Ayant fini par remarquer combien son joli visage de trentenaire avait perdu le sourire, elle qui était le principal contact commercial de l’entreprise, je fût obligé de la convoquer dans mon bureau pour comprendre les motifs de ce changement.

Après quelques minutes de silence, elle finit par m’indiquer que son mari la délaissait depuis plusieurs semaines et que non seulement il la trompait, mais qu’il venait de lui annoncer qu’il souhaitait la quitter…... elle était seule dans la région, sans repères, et elle finit par craquer sur mon épaule.
Elle m’indiqua sans autre détail, combien elle avait été conciliante avec lui et qu’elle avait cédé, pourtant, à tous ces caprices……..
Les larmes qui coulaient de son joli visage ne pouvaient m’empêcher de penser à ce corps tout entier qui s’abandonnait au réconfort, sa poitrine étant à ce moment là généreusement blottie dans le berceau de mes bras.

Je profitais peut-être de la situation, mais nos lèvres se rencontrèrent, mes mains se baladèrent sur le haut de son corps et une érection énorme apparût dans le bas de mon pantalon.

Comme je passai une main sous son chandail, je sentis qu’elle s’abandonnait un peu plus à mes caresses et que le fait de faire rouler la pointe de ses tétons entre mes doigts la rendait de plus en plus excitée, je la débarrassais du carcan de son soutien-gorge pour mieux gober, un à un, ces globes magnifiques et je fût presque surpris lorsqu’elle quitta notre étreinte pour prendre l’initiative.
Elle dégrafa ma ceinture, baissa mon pantalon et mon caleçon et empoigna d’une manière langoureuse mon sexe, puis mettant son visage à la bonne hauteur, elle engloutit généreusement mon membre tendu, tout en me massant légèrement les couilles et les fesses.
J’étais au comble de la tension, et je n’étais qu’au début de mon aventure.
Comme elle sentait que j’aurai pu craquer à tout moment et libérer dans sa bouche le sperme qui aurait fait baisser mon pavillon, elle fit une pause qui me fût salutaire.
Mais quelle pause, puisqu’en quelques secondes, elle se libérait des derniers effets qu’elle portait encore, puis elle me retira mes chaussures et la plupart de mes vêtements et se mit à califourchon sur le fauteuil de mon bureau, me tendant une croupe garnie de nombreux poils généreusement bruns, elle que j’avais toujours vue en blonde au service de l’entreprise.

Elle ondulait du cul et m’invitait à une levrette, bien méritée, je sentais combien le désir d’être comblée la rendait incontrôlable. Comme ma bite se trouvait à l’entrée de sa chatte toute mouillée de plaisir, elle s’empala littéralement sur mon membre toujours aussi tendu, et il était décidément très agréable de glisser dans ce fourreau lubrifié à l’extrême et très accueillant.
Comme je lui donnais des coups de butoir de plus en plus appuyés, elle laissa échapper un râle bestial et je sentis son corps se raidir tout entier au moment de l’orgasme qu’elle atteignit très rapidement.
Je ne pu m’empêcher de l’accompagner dans cette jouissance et je lâchait un long jet de sperme sur le sillon de son cul, tout offert à la bonne cause.

Fort de cette première expérience, je tentais alors un doigté anal, et loin de déclencher une réticence chez Clara, je compris que je pouvais explorer cet orifice sans économiser le nombre de mes doigts.
Après avoir introduit un, deux puis trois doigts dans son anus et détendu suffisamment son anneau rectal, j’enfonçai ma bite par petits coups jusqu’au moment ou ayant habitué ce conduit à ma présence inopinée, j’entamais un va et vient infernal qui redonna une vraie vigueur à cette bite éprouvée par le premier assaut mais qui finissait par reconnaître que la chaleur et la douceur de cet accès déjà éprouvé était finalement bien agréable.

J’en profitais pour soulever les cheveux de Clara et mordiller légèrement la nuque de ma partenaire qui roucoulait littéralement sous ces caresses appliquées et ces coups de butoirs.
Passant une main sur le devant, j’écartais sa chatte pour mieux caresser ce petit bouton qui s’avèrerait plus tard une vraie bombe à retardement, et je sentais tout le corps de Clara irradier de plaisir et prêt à être à nouveau pris de cette secousse qui sanctionnait chez ma partenaire un orgasme.
Sa chaleur et son envie de s’abandonner ne tardèrent pas à déclencher chez moi la libération d’un long jet de semence qui se répandit dans ses entrailles et je ne pu m’empêcher de saisir les épaules de Clara pour mieux lui faire sentir combien ma jouissance dans son cul atteignait le paroxysme du plaisir.
Lorsqu’elle se retourna vers moi, elle avait ce regard lumineux qui m’avait interpellé dès le premier jour, où je l’avait vu évoluer sous mes yeux, et elle m’embrassa goulûment en refermant ses jambes sur ma taille comme pour me dire combien elle souhaitait retenir notre étreinte et marquer son besoin de fusion.
Me libérant de sa tenaille, je l’allongeais sur mon bureau et enfonçait mon visage dans sa toison, alternant les coups de langues sur son clitoris et les caresses de haut en bas le long de ce sillon qui domine les grandes lèvres de son vagin.
Je tenais absolument à la faire jouir à nouveau et je ne fût pas déçu de mon entreprise, car elle laissa échapper un long jet d’un liquide délicieux au moment où elle atteignit son deuxième orgasme et empoignant vigoureusement mes cheveux elle se mit à trembler comme jamais je n’avais senti trembler une partenaire dans une telle circonstance, elle me demandait d’une voix rauque de la baiser encore et encore plus fort, et je lui promis que si c’était son souhait, je me ferait fort de recommencer au plus tôt, et d’explorer avec elle toutes les sensations accessibles dans le cadre d’une union passionnée…
Nous nous sommes régulièrement retrouvés depuis lors et je ne regrette pas que son mari est décidé de lui rendre sa liberté, car je peux dire que Clara est une vraie libertine…