Claude 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Claude 2
Claude 2
Le soir comme convenu, je me rends chez lui.
Il a recouvert la lampe de chevet d'un voile rouge. Il est en short et tee-shirt échancrés.
Il me prends dans ses bras et m'étreint fortement. Cela me détend et je respire son odeur. C'est aussi de l'affection dont nous avons besoin.
Puis il prend ma bouche et je découvre son haleine mentholée. Notre baiser s’éternise, nos langues s'emmêlent tandis que nous sommes toujours debout. Ses bras descendent et passe sous mon sweat shirt.
Nous sommes silencieux car les cloisons sont du papier à cigarette et on entend tout des chambres voisines occupées à ces heures.
Il caresse ma poitrine et saisit mes tétons qu'il fait rouler et les pince doucement. Il m'enlève mon sweat sous lequel je suis nu. Il quitte ma bouche pour mes tétons qu'il embrasse, lèche, suce, aspire et mordille alternativement. Ses caresses m'excitent et m'électrisent. Mon sexe est à l'étroit dans mon jeans et demande à être libéré. Il le sent bien et s'active sur ma ceinture qu'il défait. Je fais tomber le bas pour qu'il s'empare de mes attributs mais il fait durer l'attente. Ses mains caressent mes fesses, mes cuisses et s'insinuent dans ma raie, caresse ma rondelle. Il le mouille et joue avec, effectuant de petits cercles avant de glisser l'index pour en éprouver la souplesse.
De mon côté cela fait longtemps que je me suis emparé de sa matraque qui est maintenant opérationnelle.
Soudain, il me retourne et me couche le buste sur le lit. Il écarte mes cuisses, s agenouille et sa langue fond sur ma rosette. Il reproduit ce qu'il m'a prodigué sur les tétons, le mordillement en moins… il bave énormément et glisse son index puis son majeur qu'il fait tourner et glisser.
A ce stade, je ne ressens aucune douleur, un plaisir très diffus avec les caresses de sa langue et plus précis avec ses doigts. Je sens qu'il me masse la prostate, je voudrais me masturber mais ma position ne le permet pas. A l'écoute de mon plaisir, il me retourne et je suis sur le dos.
Il se met , lui aussi sur le lit à genoux et me présente son sexe. Je gobe son champignon, il pousse pour s’enfoncer un maximum mais ma mâchoire est distendue et il bute contre ma luette alors qu'il n'est pas enfoncé à fond. Il ressort avant que je m'étouffe. Pour la première fois, il manifeste une lueur sadique en exigeant une gorge profonde, il répète la pénétration et murmure à mon oreille que je suis une petite salope qui va se faire mettre.
Ses paroles m'excitent, je sens que je suis sa chose mais je ne peux lui répondre la bouche pleine.
Je parviens quand même à saisir la base et à pomper son gland sous ses commentaires salaces.
Puis il redescend du lit, il enfile un préservatif et se présente à l'entrée.
Je relève le bassin et saisis mes chevilles pour lui faciliter la tâche. Il fait des petits coups successifs et commence la pénétration. C'est difficile et je frappe sur le matelas pour ne pas alerter les autres étudiants.
Il fouille dans ses affaires et ressort une lotion hydratante qu'il fait pénétrer et qui m'appaise puis il enduit le préservatif d'une crème à base de vaseline.
Deuxième essai, je le sens m'envahir, me remplir complètement. Son pubis frotte sur mes fesses.
Il entame un long va et vient. Il bouge un peu le bassin. Après plusieurs minutes de ce labourage il ressort complètement pour me pénétrer à nouveau. Je sens l'air frais me remplir l'anus. Il a pris mes chevilles en mains et les a posées sur ses épaules. Ses mains me pincent les tétons devenus très sensibles. Mon sexe coule sur mon ventre quand enfin, il accélère et éjacule. Il se retire peu après.
Il me jette une serviette et direction les douches désertes à cette heure. On se nettoie mutuellement, un petit bisou. Je lui souhaite bonne nuit, il me répond « A demain, salope ! »
Le soir comme convenu, je me rends chez lui.
Il a recouvert la lampe de chevet d'un voile rouge. Il est en short et tee-shirt échancrés.
Il me prends dans ses bras et m'étreint fortement. Cela me détend et je respire son odeur. C'est aussi de l'affection dont nous avons besoin.
Puis il prend ma bouche et je découvre son haleine mentholée. Notre baiser s’éternise, nos langues s'emmêlent tandis que nous sommes toujours debout. Ses bras descendent et passe sous mon sweat shirt.
Nous sommes silencieux car les cloisons sont du papier à cigarette et on entend tout des chambres voisines occupées à ces heures.
Il caresse ma poitrine et saisit mes tétons qu'il fait rouler et les pince doucement. Il m'enlève mon sweat sous lequel je suis nu. Il quitte ma bouche pour mes tétons qu'il embrasse, lèche, suce, aspire et mordille alternativement. Ses caresses m'excitent et m'électrisent. Mon sexe est à l'étroit dans mon jeans et demande à être libéré. Il le sent bien et s'active sur ma ceinture qu'il défait. Je fais tomber le bas pour qu'il s'empare de mes attributs mais il fait durer l'attente. Ses mains caressent mes fesses, mes cuisses et s'insinuent dans ma raie, caresse ma rondelle. Il le mouille et joue avec, effectuant de petits cercles avant de glisser l'index pour en éprouver la souplesse.
De mon côté cela fait longtemps que je me suis emparé de sa matraque qui est maintenant opérationnelle.
Soudain, il me retourne et me couche le buste sur le lit. Il écarte mes cuisses, s agenouille et sa langue fond sur ma rosette. Il reproduit ce qu'il m'a prodigué sur les tétons, le mordillement en moins… il bave énormément et glisse son index puis son majeur qu'il fait tourner et glisser.
A ce stade, je ne ressens aucune douleur, un plaisir très diffus avec les caresses de sa langue et plus précis avec ses doigts. Je sens qu'il me masse la prostate, je voudrais me masturber mais ma position ne le permet pas. A l'écoute de mon plaisir, il me retourne et je suis sur le dos.
Il se met , lui aussi sur le lit à genoux et me présente son sexe. Je gobe son champignon, il pousse pour s’enfoncer un maximum mais ma mâchoire est distendue et il bute contre ma luette alors qu'il n'est pas enfoncé à fond. Il ressort avant que je m'étouffe. Pour la première fois, il manifeste une lueur sadique en exigeant une gorge profonde, il répète la pénétration et murmure à mon oreille que je suis une petite salope qui va se faire mettre.
Ses paroles m'excitent, je sens que je suis sa chose mais je ne peux lui répondre la bouche pleine.
Je parviens quand même à saisir la base et à pomper son gland sous ses commentaires salaces.
Puis il redescend du lit, il enfile un préservatif et se présente à l'entrée.
Je relève le bassin et saisis mes chevilles pour lui faciliter la tâche. Il fait des petits coups successifs et commence la pénétration. C'est difficile et je frappe sur le matelas pour ne pas alerter les autres étudiants.
Il fouille dans ses affaires et ressort une lotion hydratante qu'il fait pénétrer et qui m'appaise puis il enduit le préservatif d'une crème à base de vaseline.
Deuxième essai, je le sens m'envahir, me remplir complètement. Son pubis frotte sur mes fesses.
Il entame un long va et vient. Il bouge un peu le bassin. Après plusieurs minutes de ce labourage il ressort complètement pour me pénétrer à nouveau. Je sens l'air frais me remplir l'anus. Il a pris mes chevilles en mains et les a posées sur ses épaules. Ses mains me pincent les tétons devenus très sensibles. Mon sexe coule sur mon ventre quand enfin, il accélère et éjacule. Il se retire peu après.
Il me jette une serviette et direction les douches désertes à cette heure. On se nettoie mutuellement, un petit bisou. Je lui souhaite bonne nuit, il me répond « A demain, salope ! »
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