Claude ep.1
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Claude ep.1
Claude
Je m'appelle Claude, ma mère était très jeune et soumise à sa propre mère, elle-même divorcée d'un mari violent et alcoolique.
Ma mère, était ce que l'on appelait à l'époque une fille mère. Premier flirt où elle avait été forcée par le coq du village qui l'avait aussitôt ignorée.
C'était un soir de bal de la fête votive et il avait un peu abusé sur la bière, dans la chaleur de la nuit.
Elle, elle avait cru au Prince charmant.
Elle avait gardé le silence et c'est que quelques mois plus tard qu'est apparue l'évidence.
Elle a continué ses études et c'est ma jeune grand-mère qui m'a élevé en même temps que sa jeune sœur. C’est pourquoi l'on m'a appelé Claude.
J'ai été élevé comme une fille. J'avais un corps mince, élancé, blond frisé, de très beaux yeux bleu.
J'étais vif et intelligent, on dirait précoce aujourd'hui.
J'avais le nez dans les bouquins et je ne fréquentais pas les garçons de mon village. Je dansais avec ma jeune tante et je jouais du piano.
A l'école on me disait que ma mère était une pute et avec mes manières efféminées, on me traitait de gonzesse, de PD, de tarlouze et j'en passe…
Ma grand-mère avait une attitude ambiguë à mon égard, tantôt, elle me câlinait et était fière de mes résultats scolaires, tantôt, je l'insupportais par ma seule présence vécue comme une malédiction dû à mon sexe.
Au lycée, je fus placé en internat, titulaire d'une bourse, ma mère de son côté avait refait sa vie.
Mes débuts furent difficiles. Mauvais en sports collectifs, j'excellais par contre en endurance et l'inscription à un club était souhaitable pour mon dossier scolaire, on m'inscrivit en natation, épreuve du baccalauréat.
Mon professeur principal pensait que ce sport allait modifier ma stature et la rendre plus virile.
Quand je suis arrivé dans ce grand Lycée réputé, j'ai d'abord été bizuté pendant tout le premier trimestre, j'avais tout juste seize ans et j'avais à peine entamé ma puberté. Ma voix de fausset ne faisait qu'empirer les choses.
Les brimades étaient très variées : nous étions dans un grand dortoir de 24 lits communs aux secondes et premières, nous devions faire leurs lits, nous prenions les douches en premier pour que l'eau et la pièce soient chaudes. Nous étions réveillés en pleine nuit et nous devions ramper sous les lits et autres joyeusetés. Le pion dormait dans une chambre contiguë et n'intervenait pas.
J'étais ‘’petite bite’’ car je n'avais que quelques poils et un sexe d'enfant. Par contre, les plus âgés n'hésitaient pas à s'exhiber en pleine érection matinale et à se comparer.
Une autre cérémonie avait lieu dans les douches, nous devions passer au milieu d'une haie où nous recevions des coups de serviettes mouillées. Il fallait chanter des chants stupides et se prosterner devant le grand Manitou qui énonçait sentences, épreuves ou amnisties .
Le mercredi après-midi j'allais à la piscine. Comme je l'ai déjà dit, j'étais grand, fin, souple et endurant .
J'excellais en crawl sur 200 et 400.
C'est aussi là que j'ai vécu mes premières expériences sexuelles. Lors des séances d'entraînement, nous utilisions des casiers individuels et des cabines.
Les nageurs souvent plus âgés venaient de différents établissements.
Au fil des séances, j'admirais la plastique de certains de mes camarades. Je flashais en particulier sur un grand baraqué avec un sourire ravageur. Il avait une cour qui l'attendait à la sortie, aussi j'ai été très étonné qu'il se rapproche de moi. Une après midi, il me demande de lui laver le dos, j'en ai profité pour le masser sur tout le dos et les épaules.
La fois suivante, il m'a rendu la pareille puis , profitant que nous soyons seuls, il m'a embrassé furtivement sur les lèvres. Ce jeu a duré plusieurs fois, il enlevait son maillot pour le rincer , je faisais de même et il se collait à moi. Dès que nous entendions quelqu'un arriver, nous nous enveloppions dans nos serviettes puis nous nous réfugions dans une grande cabine discrètement.
Au début, nous nous séchions mutuellement puis nos mains courraient sur nos bras et torse. Nous hésitions à aller plus loin. Nous étions dans l'embarras, nous avions envie de s'embrasser fougueusement, de fusionner mais nous n'osions pas. Je voyais son sexe se dresser vers moi et je me contentais de le caresser. Il faisait la même chose avec le mien qu'il décalottait, un liquide claire s'en échappait, il l'étalait de son pouce sur mon gland, je gémissais puis il imprimait à ma main des aller-retours de plus en plus rapides
Nous avons été surpris par les premières saccades de sperme. C'était sa première éjaculation. Il s'était déjà réveillé avec son pyjama poisseux. Nous avions tous fait l'expérience des pollutions nocturnes mais jamais nous n'avions provoqué la chose.
Les fois suivantes, nous nous sommes embrassés vraiment, volontairement et pris beaucoup de plaisir mais nous ne pouvions aller plus loin dans les cabines de la piscine sans se faire remarquer.
Il avait un scooter et nous allions chez lui en l'absence de ses parents.
Nous avons appris à se caresser, exciter nos tétons, et pratiquer nos premières fellations. Nos connaissances étaient empiriques : Internet n'existait pas et l'homosexualité était taboue, réprimée et honteuse.
Nous avions conscience de nos différences et nous nous aimions sincèrement. Je l'aidais pour ses devoirs de maths, il m'accompagnait durant mes sorties.
En terminale, j'obtins de ma grand-mère, l'autorisation de dormir chez lui, le week-end.
Je dormais dans sa chambre dans un lit gigogne en étant très discret quant à nos activités. De son côté, il avait beaucoup de succès auprès des filles et donnait le change en flirtant ouvertement.
Nous avons gardé le contact durant de nombreuses années. Il s'est marié et fréquente toujours des lieux de rencontre masculin.
Le bac réussi avec mention très bien, j'ai été admis en classe préparatoire. Je bénéficiais d'une chambre universitaire et toujours dans les douches, j'ai rencontré mon second amour plus éphémère. C'était un garçon maghrébin, mat, frisé, râblé, un peu enrobé pour son âge. Il était infatigable avec un sexe imposant : lourd, large et avec un gros gland circoncis.
Il faut dire aussi que ma sexualité s'était métamorphosée. D'enfant timide et chaste, j'étais devenu un adulte affamé de sexe et de travail. Je dormais peu et surtout j'ai rencontré deux personnes qui m'ont transformé.
Pendant les vacances, j'avais trouvé des engagements comme pianiste pour des restaurants, bals ou mariages. Nous répétions dans l'appartement de mon professeur. Un jour, profitant que nous étions seuls, il m'a caressé puis embrassé. Il était beaucoup plus âgé que moi. Il ma sucé s'est déshabillé puis a tendu sa croupe pour que je le sodomise, ce que je n'avais fait. Cela s'est reproduit souvent. C'était en quelque sorte, notre récompense et notre manière de décompresser.
A la rentrée, j'ai dû m'absenter deux semaines pour raison de santé et le professeur de maths m'a invité chez lui pour me faire rattraper mon retard.
Rapidement, nous nous sommes embrassés puis caressés et sucés. Ensuite dans sa chambre, il m'a lécher l'anus longuement, j'ai beaucoup apprécié cette caresse et j'ai compris qu'il voulait me sodomiser. Je lui ai expliqué que j'étais vierge. Très compréhensif il a pris plaisir à me détendre en insérant un doigt avec du gel puis un deuxième qu'il faisait tourner alternativement, un troisième avant de mettre un gode. J'ai su plus tard que c'était un plug , resserré à la base .
Je l'ai à nouveau sucé puis branlé avant qu’il ne mette un préservatif. Il a remis du gel sur mon anus assoupli et sur sa verge. Il m'a demandé de pousser comme pour aller aux toilettes. L'anneau a cédé facilement et je l'ai senti m'investir complètement. J'ai senti ses poils du pubis sur ma peau. Après quelques secondes, il a entamé un va et vient profond, ressortant pour mieux s'enfoncer. Il m'a sodomisé longtemps. Ma verge coulait sans discontinuer sur le drap. La sensation était extraordinaire. Il a fini par éjaculer dans son condom.
Remis de nos émotions, il m'a avoué qu'il avait flashé sur moi dès qu'il m'a vu dans l'amphi et il souhaitait me revoir régulièrement.
De mon côté, je lui ai fait part de mon inexpérience. Il a pris mes coordonnées me promettant de m'inviter bientôt.
Ma rencontre avec mon second amour plus éphémère a été rapide.
J'allais prendre ma douche, la serviette autour de la taille quand il en sortait. Je l'ai heurté et sa serviette est tombée à terre.
Il va pour la saisir en s'excusant quand je vois une trompe d'éléphant qui bat sur sa cuisse. .je le complimente, ramasse sa serviette que je lui tends et il la met sur ses épaules. Je le pousse dans la première douche libre et il prend son sexe en main. Il me regarde droit dans les yeux et me sourit.
Je descends ma main, le frôle et sa verge durcit. Sous son poids, elle ne se redresse pas complètement, par contre la mienne est au garde à vous et soulève ma serviette. Il me saisit les bourses tandis que je commence à le masturber. Il fait de même. Je m'agenouille sur le sol mouillé et prend son gland en bouche. C'est un magnifique champignon circoncis. Mes mains font à peine le tour, je le masturbe en même temps que ma bouche suce, lèche, aspire.
Ses mains se pose sur ma tête et je manque d'étouffer et de vomir. Je le masturbe énergiquement, il ferme les yeux et se retire en expulsant de longs jets blanchâtres sur les parois.
La tension retombe, ses bras m'entourent et il m'embrasse fougueusement.
Il me donne le numéro de sa chambre et se promettant de se retrouver le soir
Je m'appelle Claude, ma mère était très jeune et soumise à sa propre mère, elle-même divorcée d'un mari violent et alcoolique.
Ma mère, était ce que l'on appelait à l'époque une fille mère. Premier flirt où elle avait été forcée par le coq du village qui l'avait aussitôt ignorée.
C'était un soir de bal de la fête votive et il avait un peu abusé sur la bière, dans la chaleur de la nuit.
Elle, elle avait cru au Prince charmant.
Elle avait gardé le silence et c'est que quelques mois plus tard qu'est apparue l'évidence.
Elle a continué ses études et c'est ma jeune grand-mère qui m'a élevé en même temps que sa jeune sœur. C’est pourquoi l'on m'a appelé Claude.
J'ai été élevé comme une fille. J'avais un corps mince, élancé, blond frisé, de très beaux yeux bleu.
J'étais vif et intelligent, on dirait précoce aujourd'hui.
J'avais le nez dans les bouquins et je ne fréquentais pas les garçons de mon village. Je dansais avec ma jeune tante et je jouais du piano.
A l'école on me disait que ma mère était une pute et avec mes manières efféminées, on me traitait de gonzesse, de PD, de tarlouze et j'en passe…
Ma grand-mère avait une attitude ambiguë à mon égard, tantôt, elle me câlinait et était fière de mes résultats scolaires, tantôt, je l'insupportais par ma seule présence vécue comme une malédiction dû à mon sexe.
Au lycée, je fus placé en internat, titulaire d'une bourse, ma mère de son côté avait refait sa vie.
Mes débuts furent difficiles. Mauvais en sports collectifs, j'excellais par contre en endurance et l'inscription à un club était souhaitable pour mon dossier scolaire, on m'inscrivit en natation, épreuve du baccalauréat.
Mon professeur principal pensait que ce sport allait modifier ma stature et la rendre plus virile.
Quand je suis arrivé dans ce grand Lycée réputé, j'ai d'abord été bizuté pendant tout le premier trimestre, j'avais tout juste seize ans et j'avais à peine entamé ma puberté. Ma voix de fausset ne faisait qu'empirer les choses.
Les brimades étaient très variées : nous étions dans un grand dortoir de 24 lits communs aux secondes et premières, nous devions faire leurs lits, nous prenions les douches en premier pour que l'eau et la pièce soient chaudes. Nous étions réveillés en pleine nuit et nous devions ramper sous les lits et autres joyeusetés. Le pion dormait dans une chambre contiguë et n'intervenait pas.
J'étais ‘’petite bite’’ car je n'avais que quelques poils et un sexe d'enfant. Par contre, les plus âgés n'hésitaient pas à s'exhiber en pleine érection matinale et à se comparer.
Une autre cérémonie avait lieu dans les douches, nous devions passer au milieu d'une haie où nous recevions des coups de serviettes mouillées. Il fallait chanter des chants stupides et se prosterner devant le grand Manitou qui énonçait sentences, épreuves ou amnisties .
Le mercredi après-midi j'allais à la piscine. Comme je l'ai déjà dit, j'étais grand, fin, souple et endurant .
J'excellais en crawl sur 200 et 400.
C'est aussi là que j'ai vécu mes premières expériences sexuelles. Lors des séances d'entraînement, nous utilisions des casiers individuels et des cabines.
Les nageurs souvent plus âgés venaient de différents établissements.
Au fil des séances, j'admirais la plastique de certains de mes camarades. Je flashais en particulier sur un grand baraqué avec un sourire ravageur. Il avait une cour qui l'attendait à la sortie, aussi j'ai été très étonné qu'il se rapproche de moi. Une après midi, il me demande de lui laver le dos, j'en ai profité pour le masser sur tout le dos et les épaules.
La fois suivante, il m'a rendu la pareille puis , profitant que nous soyons seuls, il m'a embrassé furtivement sur les lèvres. Ce jeu a duré plusieurs fois, il enlevait son maillot pour le rincer , je faisais de même et il se collait à moi. Dès que nous entendions quelqu'un arriver, nous nous enveloppions dans nos serviettes puis nous nous réfugions dans une grande cabine discrètement.
Au début, nous nous séchions mutuellement puis nos mains courraient sur nos bras et torse. Nous hésitions à aller plus loin. Nous étions dans l'embarras, nous avions envie de s'embrasser fougueusement, de fusionner mais nous n'osions pas. Je voyais son sexe se dresser vers moi et je me contentais de le caresser. Il faisait la même chose avec le mien qu'il décalottait, un liquide claire s'en échappait, il l'étalait de son pouce sur mon gland, je gémissais puis il imprimait à ma main des aller-retours de plus en plus rapides
Nous avons été surpris par les premières saccades de sperme. C'était sa première éjaculation. Il s'était déjà réveillé avec son pyjama poisseux. Nous avions tous fait l'expérience des pollutions nocturnes mais jamais nous n'avions provoqué la chose.
Les fois suivantes, nous nous sommes embrassés vraiment, volontairement et pris beaucoup de plaisir mais nous ne pouvions aller plus loin dans les cabines de la piscine sans se faire remarquer.
Il avait un scooter et nous allions chez lui en l'absence de ses parents.
Nous avons appris à se caresser, exciter nos tétons, et pratiquer nos premières fellations. Nos connaissances étaient empiriques : Internet n'existait pas et l'homosexualité était taboue, réprimée et honteuse.
Nous avions conscience de nos différences et nous nous aimions sincèrement. Je l'aidais pour ses devoirs de maths, il m'accompagnait durant mes sorties.
En terminale, j'obtins de ma grand-mère, l'autorisation de dormir chez lui, le week-end.
Je dormais dans sa chambre dans un lit gigogne en étant très discret quant à nos activités. De son côté, il avait beaucoup de succès auprès des filles et donnait le change en flirtant ouvertement.
Nous avons gardé le contact durant de nombreuses années. Il s'est marié et fréquente toujours des lieux de rencontre masculin.
Le bac réussi avec mention très bien, j'ai été admis en classe préparatoire. Je bénéficiais d'une chambre universitaire et toujours dans les douches, j'ai rencontré mon second amour plus éphémère. C'était un garçon maghrébin, mat, frisé, râblé, un peu enrobé pour son âge. Il était infatigable avec un sexe imposant : lourd, large et avec un gros gland circoncis.
Il faut dire aussi que ma sexualité s'était métamorphosée. D'enfant timide et chaste, j'étais devenu un adulte affamé de sexe et de travail. Je dormais peu et surtout j'ai rencontré deux personnes qui m'ont transformé.
Pendant les vacances, j'avais trouvé des engagements comme pianiste pour des restaurants, bals ou mariages. Nous répétions dans l'appartement de mon professeur. Un jour, profitant que nous étions seuls, il m'a caressé puis embrassé. Il était beaucoup plus âgé que moi. Il ma sucé s'est déshabillé puis a tendu sa croupe pour que je le sodomise, ce que je n'avais fait. Cela s'est reproduit souvent. C'était en quelque sorte, notre récompense et notre manière de décompresser.
A la rentrée, j'ai dû m'absenter deux semaines pour raison de santé et le professeur de maths m'a invité chez lui pour me faire rattraper mon retard.
Rapidement, nous nous sommes embrassés puis caressés et sucés. Ensuite dans sa chambre, il m'a lécher l'anus longuement, j'ai beaucoup apprécié cette caresse et j'ai compris qu'il voulait me sodomiser. Je lui ai expliqué que j'étais vierge. Très compréhensif il a pris plaisir à me détendre en insérant un doigt avec du gel puis un deuxième qu'il faisait tourner alternativement, un troisième avant de mettre un gode. J'ai su plus tard que c'était un plug , resserré à la base .
Je l'ai à nouveau sucé puis branlé avant qu’il ne mette un préservatif. Il a remis du gel sur mon anus assoupli et sur sa verge. Il m'a demandé de pousser comme pour aller aux toilettes. L'anneau a cédé facilement et je l'ai senti m'investir complètement. J'ai senti ses poils du pubis sur ma peau. Après quelques secondes, il a entamé un va et vient profond, ressortant pour mieux s'enfoncer. Il m'a sodomisé longtemps. Ma verge coulait sans discontinuer sur le drap. La sensation était extraordinaire. Il a fini par éjaculer dans son condom.
Remis de nos émotions, il m'a avoué qu'il avait flashé sur moi dès qu'il m'a vu dans l'amphi et il souhaitait me revoir régulièrement.
De mon côté, je lui ai fait part de mon inexpérience. Il a pris mes coordonnées me promettant de m'inviter bientôt.
Ma rencontre avec mon second amour plus éphémère a été rapide.
J'allais prendre ma douche, la serviette autour de la taille quand il en sortait. Je l'ai heurté et sa serviette est tombée à terre.
Il va pour la saisir en s'excusant quand je vois une trompe d'éléphant qui bat sur sa cuisse. .je le complimente, ramasse sa serviette que je lui tends et il la met sur ses épaules. Je le pousse dans la première douche libre et il prend son sexe en main. Il me regarde droit dans les yeux et me sourit.
Je descends ma main, le frôle et sa verge durcit. Sous son poids, elle ne se redresse pas complètement, par contre la mienne est au garde à vous et soulève ma serviette. Il me saisit les bourses tandis que je commence à le masturber. Il fait de même. Je m'agenouille sur le sol mouillé et prend son gland en bouche. C'est un magnifique champignon circoncis. Mes mains font à peine le tour, je le masturbe en même temps que ma bouche suce, lèche, aspire.
Ses mains se pose sur ma tête et je manque d'étouffer et de vomir. Je le masturbe énergiquement, il ferme les yeux et se retire en expulsant de longs jets blanchâtres sur les parois.
La tension retombe, ses bras m'entourent et il m'embrasse fougueusement.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super bandant ton récit
Homme bi en manque te tout: tendresse, sexe…
Homme bi en manque te tout: tendresse, sexe…
Un récit très sensuel. Merci
Merci beaucoup pour ce récit d'une grande qualité.
Je ne suis pas sûre qu'on puisse féminiser quelqu'un par l'éducation mais j'ai avalé toutes les expériences de Claude avec grand plaisir.
Je ne suis pas sûre qu'on puisse féminiser quelqu'un par l'éducation mais j'ai avalé toutes les expériences de Claude avec grand plaisir.
Merci beaucoup pour ce récit d'une grande qualité.
Je ne suis pas sûre qu'on puisse féminiser quelqu'un par l'éducation, mais pour le reste j'ai avalé toutes les expériences de Claude avec grand plaisir.
Je ne suis pas sûre qu'on puisse féminiser quelqu'un par l'éducation, mais pour le reste j'ai avalé toutes les expériences de Claude avec grand plaisir.