CLAUDE S’ESSAIE AU PORNO. 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2020 dans la catégorie Plus on est
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CLAUDE S’ESSAIE AU PORNO. 3
CLAUDE S’ESSAIE AU PORNO. 3
-Ben mon cochon, tu cachais bien ton jeu, toi ! T’es membré comme Ian Scott ! On peut dire que tu bandes comme un bouc, pauvre chéri. Dans quel état te voilà ? Tu veux que je te branle ?
Et Alexia d’en remettre une couche :-Tu as raison sœurette, le petit poney a une véritable queue d’étalon !
Suite :Son autre main abaisse un peu plus mon slip pour libérer mes bourses et se met à les malaxer frénétiquement. De sa première main elle branle ma vigoureuse verge et chouchoute mon gland avec ses lèvres et sa langue. Elle croit que si elle continue à ce rythme, je ne tiendrai pas longtemps quand elle m’entend gémir mais c’est mal me connaître. Elle accélère sa branlette et aspire fort sur mon gros gland gorgé de sang. Mon sexe est redevenu incroyablement ferme, je me demande s’il n’y avait pas quelques aphrodisiaques dans ce que j’ai bu ou mangé.
Martine dit à Julien de se pencher en avant pour filmer en gros plan et me demande de bien écarter les jambes pour avoir une vue totalement ouverte sur la scène. D’un ton sec, sans tourner la tête en continuant ses indications techniques, elle approuve le plan rapproché :
-Oui, oui, impeccable, Lydie, impeccable… Très bien, très-très bien. Et toi Claude bravo ! Tu combles mes espoirs les plus fous. Mais maintenant, je veux que tu les prennes, que tu passes de l’une à l’autre, tu les prends, les encules le plus longtemps possible, ne t’inquiète-pas, elles ont l’habitude même si elles vont brailler un peu car ton calibre est quand même exceptionnel.
Sa chatte sur ma bouche, Alexia se penche sur mon corps, ses seins s’écrasent sur mon ventre pour venir partager le festin avec sa jumelle. Deux mains branlent en cœur ma verge, deux bouches embrassent mon gland, lèchent ma queue, en appréciant le goût acre et salé de l’engin et des traces des sécrétions de tout à l’heure. Elles n’y tiennent plus et l’engouffrent à tour de rôle dans leur bouche, le sucent goulûment, montant et descendant d’abord doucement puis de plus en plus vite. Mon sexe ruissèle de salive, Lydie me caresse les testicules pendant que la langue agile d’Alexia lèche mon gland et que l’emprise buccale des ses lèvres se resserrent sur ma hampe. Leurs bouches se relaient sur mon gland qu’elles enfournent comme des mortes de faim.
Lydie me demande :
-Les filles doivent couiner avec un tel manche, du dois essuyer des refus.
- Effectivement, je lui réponds d’une voix assourdie par ce qui l’encombre, certaines n’encaissent pas mais j’arrive toujours à trouver chaussure à mon pied…Je les laisse me sucer un bon moment avant que Lydie fasse une drôle de proposition à sa sœur :-Avec lui, on doit pouvoir faire le sandwich, je fais le jambon !
-OK Lydie, mets-toi en position.
Je suis étendu sur le dos, Lydie se couche sur moi, ses fesses appuient sur mon bas-ventre, elle écarte les cuisses pour laisser passer ma verge. Sa vulve épouse la forme de ma hampe, elle emprisonne le plus fort possible mon pénis dont quelques centimètres émergent comme si elle était une shemale. Sa jumelle se couche sur elle, bouche contre bouche, poitrine contre poitrine, pubis contre pubis.
Mais pour le troisième point, Lydie s’embroche sur mon nœud dont les quelques centimètres libres suffisent pour atteindre son point G.
Je supporte difficilement le poids des deux filles qui ne s’occupent plus de moi comme si je n’existais plus. Elles se donnent du plaisir entre elles, échangeant leur place pour connaître chacune à leur tour la montée de l’orgasme. Mais au bout d’un moment, Martine veut un peu plus d’action et reprend la direction des choses.
-Eh les deux gouines ! Occupez-vous plus de Claude ! Et toi, tu es le mâle, prouve-le !
Je dis aux filles de s’allonger sur le lit sur le dos, la tête dans le vide et me place devant une jolie bouche dans laquelle j’enfonce ma queue. Lydie lâche un râle quand en quelques allers-retours, je la possède complètement, sa tête toujours dans le vide, enfonçant mon gland jusqu’à sa glotte, elle n’a pas d’autre choix que d’avaler le morceau. Ses yeux sont noyés de larmes tant la pipe est intense.
Je réitère l’action avec sa sœur, lui baisant littéralement la bouche, manquant plusieurs fois de la faire vomir tant j’y vais sans ménagement. Des larmes coulent des yeux des jumelles, de grands filets de bave relient les deux bouches à ma verge.
Je fais le tour du lit, et l’une après l’autre, je tire sur leurs chevilles pour m’installer confortablement entre leurs cuisses, prenant les seins dans mes mains, les pétrissant, caressant ces corps partout. Quand je sens mon gland positionné au bon endroit, j’entame un lent mouvement du bassin, faisant disparaître petit à petit dans l’une des chattes quelques centimètres de ma virilité puis ressortant pour lui laisser le temps de s’accommoder à la grosseur et de la fermeté de mon pénis. À chaque mouvement, je pénètre de plus en plus jusqu’à ce qu’elle se sente totalement pleine et remplie puis j’entame une cadence plus rapide.
Lydie plaque ses mains sur son bas-ventre, entourant ma verge comme dans un dernier réflexe de défense. Le sourire en coin, elle resserre ses doigts sur mon sexe pour en contrôler la pénétration, ne sachant pas si elle réussira à la prendre toute entière dans son vagin. Mais ce qui est sûr, c’est qu’elle s’agrippe à ma bite pour en atténuer les ruades quand je vais trop loin et écrase de mon gland l’extrémité de sa grotte, prenant maintenant tout mon plaisir à baiser cette fille avant de passer à sa jumelle, claquant sur une fesse quand je veux changer de partenaires. Elles hurlent chacune à leur tour, transportées par les bruits de succion de leur coquillage autour de mon dard. Mais Martine s’impatiente :
-Claude, passe à la suite et encule-les, tu vois bien qu’elles sont prêtes et se sont abondamment graissé le fion !
Mon cerveau doit reprendre la direction des opérations à mon sexe, et soumettre les filles à la volonté de leur patronne.
Charles s’étend de tout son long à coté des filles, le caméscope vissé à l’œil, attendant que je les encule.
Concentré, faisant attention de ne pas jouir, je commence à pistonner la rosette d’Alexia qui se tortille sur le lit, le visage crispé en une mimique de souffrance et de plaisir mêlés, couinant son plaisir ou sa douleur car son anus résiste à l’assaut. Avant même que Martine ne le lui ordonne, elle a passé une main entre ses cuisses, cherchant mes couilles ballottantes.
Je sens mon gros chibre pénétrer l’orifice, écrasant mon propre membre de sa masse sur la rosette qui cède enfin et s’ouvre comme une fleur. Sa sœur inquiète que je déchire son fion, vient saisir ma hampe d’une main ferme.
Comme un navire qui courre sur son aire, ma poussée est inexorable et mon mandrin, comme un gode gonflable, reprend du volume une fois la porte passée si bien que tout mouvement devint impossible tellement mon sexe broyé retrouve sa taille colossale. Je dois attendre que son sphincter se dilate un peu et au bout d'un temps qui me parait interminable, je sens que j’arrive à la garde.
Sa cyprine coule de sa fente et vient huiler le piston qui s’active dans son cul. Je sors ma queue de son cul et plonge dans sa chatte pour une lubrification express de mon chibre. Le contraste est saisissant, autant la progression de ma teub était lente et difficile dans son cul, autant mon gourdin entre dans sa chatte sans résistance.
Que choisir ? La facilité dans sa gaine de velours qui ne peut tout accueillir ou bien le délice de plonger jusqu’à la garde mon jonc dans ce tunnel si serré.
J’alterne entre son cul et sa chatte et plus le retour dans son cul est facile. Je me délecte de l'alternance de pénétration entre ces deux trous. Je fais subir le même sort à Lydie. Même cause, même effet.
Quand J’estime que leur cul est assez lubrifié, je commence à limer uniquement celui-ci de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mais martine ne veut pas que je graisse leur conduit.
-Claude, Couche-toi sur le dos et laisse les filles te finir, je veux te voir jouir en gros plan !
Il m’est difficile de lui obéir mais les filles en bon soldat, me pousse sur le lit. Pas dégouttées, leurs mains et leurs bouches s’activent sur ma verge qui approche de son point de non retour. Je les préviens :
-Attention ! Aaahhh ! Je vais cracher !
Dès que ma lance sort d’une bouche affamée, je ne peux m'empêcher de crier ma jouissance.
Les filles n’arrivent pas à décoller leur regard de ma queue aux proportions inhabituelles qui se dresse fièrement entre leurs mains, vibrante de l’incroyable orgasme qui la secoue et de toute la purée expulsée si furieusement.
-Putain Charles ! J’espère que tout est dans la boite. Regarde-ça ! Il en a jusque dans ses cheveux !
A vous les filles ! Nettoyez-moi ça avec vos bouches !
Les jumelles ne se le font pas dire deux fois et lèchent toute cette semence, en humant son odeur forte et en appréciant la consistance.
Je n’ai pas encore débandé que Martine revient à la charge :
-Te sens-tu suffisamment en forme pour sodomiser Josiane pendant qu’elle est encore dilatée ?
J’ânonne de la tête mais il faut qu’elle vienne tout de suite avant que je ne débande trop.
Josiane qui est revenu dans la pièce, s'approche de moi et guide ma queue directement entre ses fesses après en avoir retiré un Plug. Elle enfonce lentement ma teub dans son cul encore dilaté en grimaçant, luttant contre le monstre qui détruit son petit trou. Heureusement que sa cyprine qui s'écoule presque aussitôt de sa chatte facilite un peu la chose.
- Dernière prise, Charles ! S’écrit Martine.
A chaque millimètre, Josiane a l’impression que son trou de pine démesurément ouvert va se déchirer surtout que je rebande sous la pression folle que son rectum exerce sur mon mandrin.
Je la laisse bouger seule, ma verge se sent à l’étroit dans cette cavité prête à exploser tellement je suis à l’étroit. Je tape enfin au fond de son cul
-Putain, elle me broie la bite !
Si Josiane souffre comme une suppliciée consentante au purgatoire, Martine est aux anges.
-C’est pas vrai ! Il a déjà rebandé ! T’es vraiment un cas toi ! Ne me dis-pas que tu as encore envie ! Tu es une véritable bête de sexe.
Josiane est courageuse car elle est embrochée jusqu’à la garde. Je la laisse faire mais ma queue est devenue si sensible que le frottement me ramène vite au dernier plaisir. Sous ses muscles qui se contractent, je hurle mon bonheur sans plus aucun contrôle et me vide quelques minutes plus tard une dernière fois.
Elle s’écroule sur moi, béate de plaisir et de bonheur. Nous reprenons lentement nos esprits, mon pénis toujours fiché au fond de son cul. Je suis bien. Elle se redresse enfin et se désaccouple, je sens ma grosse queue poisseuse de sperme s’écraser sur mon ventre. Son anus baille et se vide entre ses cuisses d’une bonne quantité de sperme.
Je crois que nous avons passé haut la main le test d’entrée. Avant de nous congédier, Martine rigole :
-Franchement les jeunes, vous m’avez montré une motivation extraordinaire. Je vous rappelle très bientôt. Et toi, Claude, il ne tient qu’à toi de devenir une star du X.
Avant de partir, elle me glisse en main un bout de papier. Une fois parti, je le déplie et lit le texte.
« Je te donne mon numéro de portable, c’est quand tu veux, où tu veux, mais il faut que ça reste un secret entre nous ».
-Ben mon cochon, tu cachais bien ton jeu, toi ! T’es membré comme Ian Scott ! On peut dire que tu bandes comme un bouc, pauvre chéri. Dans quel état te voilà ? Tu veux que je te branle ?
Et Alexia d’en remettre une couche :-Tu as raison sœurette, le petit poney a une véritable queue d’étalon !
Suite :Son autre main abaisse un peu plus mon slip pour libérer mes bourses et se met à les malaxer frénétiquement. De sa première main elle branle ma vigoureuse verge et chouchoute mon gland avec ses lèvres et sa langue. Elle croit que si elle continue à ce rythme, je ne tiendrai pas longtemps quand elle m’entend gémir mais c’est mal me connaître. Elle accélère sa branlette et aspire fort sur mon gros gland gorgé de sang. Mon sexe est redevenu incroyablement ferme, je me demande s’il n’y avait pas quelques aphrodisiaques dans ce que j’ai bu ou mangé.
Martine dit à Julien de se pencher en avant pour filmer en gros plan et me demande de bien écarter les jambes pour avoir une vue totalement ouverte sur la scène. D’un ton sec, sans tourner la tête en continuant ses indications techniques, elle approuve le plan rapproché :
-Oui, oui, impeccable, Lydie, impeccable… Très bien, très-très bien. Et toi Claude bravo ! Tu combles mes espoirs les plus fous. Mais maintenant, je veux que tu les prennes, que tu passes de l’une à l’autre, tu les prends, les encules le plus longtemps possible, ne t’inquiète-pas, elles ont l’habitude même si elles vont brailler un peu car ton calibre est quand même exceptionnel.
Sa chatte sur ma bouche, Alexia se penche sur mon corps, ses seins s’écrasent sur mon ventre pour venir partager le festin avec sa jumelle. Deux mains branlent en cœur ma verge, deux bouches embrassent mon gland, lèchent ma queue, en appréciant le goût acre et salé de l’engin et des traces des sécrétions de tout à l’heure. Elles n’y tiennent plus et l’engouffrent à tour de rôle dans leur bouche, le sucent goulûment, montant et descendant d’abord doucement puis de plus en plus vite. Mon sexe ruissèle de salive, Lydie me caresse les testicules pendant que la langue agile d’Alexia lèche mon gland et que l’emprise buccale des ses lèvres se resserrent sur ma hampe. Leurs bouches se relaient sur mon gland qu’elles enfournent comme des mortes de faim.
Lydie me demande :
-Les filles doivent couiner avec un tel manche, du dois essuyer des refus.
- Effectivement, je lui réponds d’une voix assourdie par ce qui l’encombre, certaines n’encaissent pas mais j’arrive toujours à trouver chaussure à mon pied…Je les laisse me sucer un bon moment avant que Lydie fasse une drôle de proposition à sa sœur :-Avec lui, on doit pouvoir faire le sandwich, je fais le jambon !
-OK Lydie, mets-toi en position.
Je suis étendu sur le dos, Lydie se couche sur moi, ses fesses appuient sur mon bas-ventre, elle écarte les cuisses pour laisser passer ma verge. Sa vulve épouse la forme de ma hampe, elle emprisonne le plus fort possible mon pénis dont quelques centimètres émergent comme si elle était une shemale. Sa jumelle se couche sur elle, bouche contre bouche, poitrine contre poitrine, pubis contre pubis.
Mais pour le troisième point, Lydie s’embroche sur mon nœud dont les quelques centimètres libres suffisent pour atteindre son point G.
Je supporte difficilement le poids des deux filles qui ne s’occupent plus de moi comme si je n’existais plus. Elles se donnent du plaisir entre elles, échangeant leur place pour connaître chacune à leur tour la montée de l’orgasme. Mais au bout d’un moment, Martine veut un peu plus d’action et reprend la direction des choses.
-Eh les deux gouines ! Occupez-vous plus de Claude ! Et toi, tu es le mâle, prouve-le !
Je dis aux filles de s’allonger sur le lit sur le dos, la tête dans le vide et me place devant une jolie bouche dans laquelle j’enfonce ma queue. Lydie lâche un râle quand en quelques allers-retours, je la possède complètement, sa tête toujours dans le vide, enfonçant mon gland jusqu’à sa glotte, elle n’a pas d’autre choix que d’avaler le morceau. Ses yeux sont noyés de larmes tant la pipe est intense.
Je réitère l’action avec sa sœur, lui baisant littéralement la bouche, manquant plusieurs fois de la faire vomir tant j’y vais sans ménagement. Des larmes coulent des yeux des jumelles, de grands filets de bave relient les deux bouches à ma verge.
Je fais le tour du lit, et l’une après l’autre, je tire sur leurs chevilles pour m’installer confortablement entre leurs cuisses, prenant les seins dans mes mains, les pétrissant, caressant ces corps partout. Quand je sens mon gland positionné au bon endroit, j’entame un lent mouvement du bassin, faisant disparaître petit à petit dans l’une des chattes quelques centimètres de ma virilité puis ressortant pour lui laisser le temps de s’accommoder à la grosseur et de la fermeté de mon pénis. À chaque mouvement, je pénètre de plus en plus jusqu’à ce qu’elle se sente totalement pleine et remplie puis j’entame une cadence plus rapide.
Lydie plaque ses mains sur son bas-ventre, entourant ma verge comme dans un dernier réflexe de défense. Le sourire en coin, elle resserre ses doigts sur mon sexe pour en contrôler la pénétration, ne sachant pas si elle réussira à la prendre toute entière dans son vagin. Mais ce qui est sûr, c’est qu’elle s’agrippe à ma bite pour en atténuer les ruades quand je vais trop loin et écrase de mon gland l’extrémité de sa grotte, prenant maintenant tout mon plaisir à baiser cette fille avant de passer à sa jumelle, claquant sur une fesse quand je veux changer de partenaires. Elles hurlent chacune à leur tour, transportées par les bruits de succion de leur coquillage autour de mon dard. Mais Martine s’impatiente :
-Claude, passe à la suite et encule-les, tu vois bien qu’elles sont prêtes et se sont abondamment graissé le fion !
Mon cerveau doit reprendre la direction des opérations à mon sexe, et soumettre les filles à la volonté de leur patronne.
Charles s’étend de tout son long à coté des filles, le caméscope vissé à l’œil, attendant que je les encule.
Concentré, faisant attention de ne pas jouir, je commence à pistonner la rosette d’Alexia qui se tortille sur le lit, le visage crispé en une mimique de souffrance et de plaisir mêlés, couinant son plaisir ou sa douleur car son anus résiste à l’assaut. Avant même que Martine ne le lui ordonne, elle a passé une main entre ses cuisses, cherchant mes couilles ballottantes.
Je sens mon gros chibre pénétrer l’orifice, écrasant mon propre membre de sa masse sur la rosette qui cède enfin et s’ouvre comme une fleur. Sa sœur inquiète que je déchire son fion, vient saisir ma hampe d’une main ferme.
Comme un navire qui courre sur son aire, ma poussée est inexorable et mon mandrin, comme un gode gonflable, reprend du volume une fois la porte passée si bien que tout mouvement devint impossible tellement mon sexe broyé retrouve sa taille colossale. Je dois attendre que son sphincter se dilate un peu et au bout d'un temps qui me parait interminable, je sens que j’arrive à la garde.
Sa cyprine coule de sa fente et vient huiler le piston qui s’active dans son cul. Je sors ma queue de son cul et plonge dans sa chatte pour une lubrification express de mon chibre. Le contraste est saisissant, autant la progression de ma teub était lente et difficile dans son cul, autant mon gourdin entre dans sa chatte sans résistance.
Que choisir ? La facilité dans sa gaine de velours qui ne peut tout accueillir ou bien le délice de plonger jusqu’à la garde mon jonc dans ce tunnel si serré.
J’alterne entre son cul et sa chatte et plus le retour dans son cul est facile. Je me délecte de l'alternance de pénétration entre ces deux trous. Je fais subir le même sort à Lydie. Même cause, même effet.
Quand J’estime que leur cul est assez lubrifié, je commence à limer uniquement celui-ci de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mais martine ne veut pas que je graisse leur conduit.
-Claude, Couche-toi sur le dos et laisse les filles te finir, je veux te voir jouir en gros plan !
Il m’est difficile de lui obéir mais les filles en bon soldat, me pousse sur le lit. Pas dégouttées, leurs mains et leurs bouches s’activent sur ma verge qui approche de son point de non retour. Je les préviens :
-Attention ! Aaahhh ! Je vais cracher !
Dès que ma lance sort d’une bouche affamée, je ne peux m'empêcher de crier ma jouissance.
Les filles n’arrivent pas à décoller leur regard de ma queue aux proportions inhabituelles qui se dresse fièrement entre leurs mains, vibrante de l’incroyable orgasme qui la secoue et de toute la purée expulsée si furieusement.
-Putain Charles ! J’espère que tout est dans la boite. Regarde-ça ! Il en a jusque dans ses cheveux !
A vous les filles ! Nettoyez-moi ça avec vos bouches !
Les jumelles ne se le font pas dire deux fois et lèchent toute cette semence, en humant son odeur forte et en appréciant la consistance.
Je n’ai pas encore débandé que Martine revient à la charge :
-Te sens-tu suffisamment en forme pour sodomiser Josiane pendant qu’elle est encore dilatée ?
J’ânonne de la tête mais il faut qu’elle vienne tout de suite avant que je ne débande trop.
Josiane qui est revenu dans la pièce, s'approche de moi et guide ma queue directement entre ses fesses après en avoir retiré un Plug. Elle enfonce lentement ma teub dans son cul encore dilaté en grimaçant, luttant contre le monstre qui détruit son petit trou. Heureusement que sa cyprine qui s'écoule presque aussitôt de sa chatte facilite un peu la chose.
- Dernière prise, Charles ! S’écrit Martine.
A chaque millimètre, Josiane a l’impression que son trou de pine démesurément ouvert va se déchirer surtout que je rebande sous la pression folle que son rectum exerce sur mon mandrin.
Je la laisse bouger seule, ma verge se sent à l’étroit dans cette cavité prête à exploser tellement je suis à l’étroit. Je tape enfin au fond de son cul
-Putain, elle me broie la bite !
Si Josiane souffre comme une suppliciée consentante au purgatoire, Martine est aux anges.
-C’est pas vrai ! Il a déjà rebandé ! T’es vraiment un cas toi ! Ne me dis-pas que tu as encore envie ! Tu es une véritable bête de sexe.
Josiane est courageuse car elle est embrochée jusqu’à la garde. Je la laisse faire mais ma queue est devenue si sensible que le frottement me ramène vite au dernier plaisir. Sous ses muscles qui se contractent, je hurle mon bonheur sans plus aucun contrôle et me vide quelques minutes plus tard une dernière fois.
Elle s’écroule sur moi, béate de plaisir et de bonheur. Nous reprenons lentement nos esprits, mon pénis toujours fiché au fond de son cul. Je suis bien. Elle se redresse enfin et se désaccouple, je sens ma grosse queue poisseuse de sperme s’écraser sur mon ventre. Son anus baille et se vide entre ses cuisses d’une bonne quantité de sperme.
Je crois que nous avons passé haut la main le test d’entrée. Avant de nous congédier, Martine rigole :
-Franchement les jeunes, vous m’avez montré une motivation extraordinaire. Je vous rappelle très bientôt. Et toi, Claude, il ne tient qu’à toi de devenir une star du X.
Avant de partir, elle me glisse en main un bout de papier. Une fois parti, je le déplie et lit le texte.
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