Claudette, Mathieu...et Jean (4) second dimanche à la pêche.Mathieu est cocu.

- Par l'auteur HDS Matcalin -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Claudette, Mathieu...et Jean (4) second dimanche à la pêche.Mathieu est cocu. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Claudette, Mathieu...et Jean (4) second dimanche à la pêche.Mathieu est cocu.
Second Dimanche
Une nouvelle semaine est passée. Comme dimanche dernier, ils se sont retrouvés à l’étang. Cet idiot de Mathieu n’a toujours rien compris. Il n’a pas compris les intentions de Jean qui lundi après leur dimanche et leurs jeux dans l’eau lui a proposé un poste dans son service au contrôle qualité avec une augmentation de salaire. Au cours de la semaine à plusieurs reprises, il l’a frôlée en passant derrière elle dans leur petit laboratoire. Les passages étant étroits, elle ne pouvait se dérober, mais curieuse de voir ce qu’il allait oser après ses approches lors de leur baignade à l’étang, elle ne faisait rien pour éviter son contact. Au fil des jours, le jeune homme s’est enhardi, encouragé sans doute par sa passivité. Il bandait parfois et le lui faisait sentir en appuyant furtivement son bassin contre sa croupe. Elle ne se dérobait pas amusée par son jeu, se doutant que le soir il se masturbait en pensant à son petit cul. Le matin maintenant elle lui fait la bise en arrivant au bureau pour lui dire bonjour. Ils sont devenus amis, presqu’intimes. Elle s’est fait charrier par ses copines à qui cela n’a pas échappé. Certaines sont même allé à lui demander en plaisantant si c’était un bon coup. Parfois leur baiser matinal déviait même un peu, presqu’à la limite de ses lèvres, sans qu’elle s’en offusque. Son nouveau travail lui plaît. Lors de ses masturbations solitaires près de son mari endormi, Jean est maintenant dans ses jeux érotiques imaginaires. Jean et le beau paysan son amant au pays de sa mère. Elle déteste Isabelle la jeune femme de son fougueux amant. Elle la connait bien celle-là. C’est elle, qui a fait que son jeune étalon de la campagne a rompu avec elle. Après cette rupture, elle s’est rabattue sur Mathieu qui lui courait après.
Jean, vendredi lui a même dit qu’elle était belle et qu’elle lui rappelle sa femme. Cà elle ne l’a pas dit à Mathieu. Et puis son mari, elle le sait, aussi parfois regarde les autres femmes dans la rue, leurs culs surtout. Il ne la trompe pas, mais doit aussi avoir envie d’en baiser une autre. Quand ils font l’amour, il s’excite quand elle lui parle d’un autre homme qui serait avec eux pour la prendre. C’est vrai qu’à ce moment-là, elle le voudrait bien, pour jouir encore plus longtemps. Mathieu sait et n’a rien dit quand elle lui a raconté les approches de Jean. A croire qu’il est d’accord pour qu’elle le trompe.

De nouveau ce dimanche Mathieu préfère la pêche à la baignade. Il la laisse partir vers la petite plage avec Jean. Dès que le rideau d’arbres les masque, sans savoir comment, Claudette se retrouve dans les bras de Jean et lui tend sa bouche. Leur premier baiser est passionné, fougueux, violent. Les mains impatientes de Jean sont sur elle, partout sur son petit corps qui se tend avec tendresse vers cet homme si malheureux avec sa femme infirme. Puis ses mains chaudes si caressantes la prennent sous les fesses, les cuisses, la soulèvent.
L’ appuient contre un arbre proche et complice. Une main impatiente de désir écarte son slip de bains, fouille sa vulve ouverte et déjà humide d’envie pour laisser très vite la place à un gland, chaud, dur, si dur au bout d’une bite qu’elle sait toute raide pour elle.
-Jean, Jean, non, non il ne faut pas. Mathieu ; Mathieu…il pourrait nous surprendre, pas ici, ailleurs si tu veux, ou tu veux,……mais il la caresse toujours, il est habile et elle se sent fondre, elle a envie de sexe, d’avoir sa queue dans son ventre, sa queue qu’elle sent si dure contre son ventre.
-Claudette, Claudette, ma chérie, j’ai envie, envie ; Si envie…..laisse toi faire, sois mienne la chérie. Toute la semaine j’ai attendu, je te veux…
-oui ! Prends-moi ! Tant pis elle en a trop envie, elle soupçonne aussi que Mathieu la pousse dans les bras de son ami.
-Ma chérie…
Cela la laisse sans force, l’affole, son corps lui échappe. Il veut être cocu, il va être servi l’imbécile. Il pêche, ils n’ont qu’à faire vite.
-Jean…Jean…mon chéri, mon amour prends moi, fais-moi tout ce que tu veux. Ta queue va me faire jouir, je le sais, toute la semaine je l’ai su qu’on le ferait aujourd’hui. Moi aussi j’avais envie dans le laboratoire, baise moi !
Vaincue par le désir de Jean, elle cède, consent, le prend par le cou pour l’ aider, s’ouvre en ouvrant ses cuisses.
Jean d’une main glissée entre leurs deux corps soudés par le désir s’apprête. Ils sont tous les deux en maillots de bains. Il a sorti son membre et écarte le fond de son slip de bains. De sa main, il guide son gland dans sa fente, elle est mouillée, ouverte. Le gland entre un peu dans l’entrée de son vagin. D’une poussée l’homme la prend enfin, la fait sienne. Accrochée au coup de son amant Claudette goûte l’instant. La verge de l’homme plus massive que celle de son mari remplit délicieusement son vagin, coulisse en elle au rythme de leurs coups de reins impatients. Le gland dur de désir d’elle, frappe en cadence le fond de sa grotte d’amour. Ils sont bouche à bouche langue emmêlées. Contre elle, Jean s’active, va de plus en plus vite. Elle devine qu’il ne va pas tenir longtemps, qu’il va jouir très vite, trop vite. Mais il a raison aussi car Mathieu est là tout proche et pourrait les surprendre.
En suivant Jean tout à l’heure, elle savait que cela allait se produire. Comme si Mathieu l’avait poussée dans les bras de son copain. Mathieu et aussi ses pensées à elle, car toute la semaine elle a pensé à Jean, à son envie qu’il avait d’elle et qu’elle avait deviné contre ses fesses lors de la baignade. Jean étant trop timide pour lui déclarer son désir. Jean qu’elle avait tant envie de consoler toute cette semaine.
Trop excité pour tenir longtemps, Jean a joui puissamment dans son ventre, les giclées de sperme abondantes et chaudes ont frappé avec force le fond de sa matrice. Après moult baisers et caresses, l’eau fraîche les a lavés, complice des deux amants, elle a ôté les traces de sperme de ses cuisses.
Non loin Mathieu vient de pêcher un brochet et ne s’est pas soucié d’eux. Allongés sur la plage, ils se dévorent de baisers passionnés. Contre son ventre Claudette sent la verge de son amant reprendre de la vigueur. Leur étreinte trop rapide n’a pas apaisé son envie de sexe. Elle a encore envie de le sentir en elle. Elle espère qu’un autre brochet va occuper son idiot de mari et qu’ils pourront de nouveau faire l’amour. Elle veut de nouveau l’avoir dans son ventre, sentir dans sa chatte les jets puissants et chauds de son foutre.

Mathieu a vu le jeune couple disparaitre entre les arbres vers la plage. Il bande, il devine que ce cochon de Jean va essayer de baiser sa petite femme. Il sait que Claudette en a envie. Cette semaine dans son sommeil il l’a entendue geindre, appeler « Jean mon chéri » et jouir en ondulant sur leur couche comme si elle était sous lui. Il veut voir, sait qu’il va être jaloux, qu’il va avoir mal de regarder sa femme prise par un autre. Ils ne sont pas dans l’eau, ils doivent baiser dans l’herbe près de la plage.
Sans bruit il s’est approché des arbres. Entre les branches il les aperçoit. Claudette est étendue sur le sable et Jean est sur elle, entre ses cuisses ouvertes. Il arrive juste à temps pour voir Jean baisser son slip de bains sur ses cuisses nerveuses. Il distingue le pénis raidi de désir, devine à la poussée des reins que son copain vient de s’enfoncer dans le ventre de sa femme chérie. Elle n’a plus sa culotte de bains qui repose près d’eux sur le sable. Il la baise et Claudette se tend, s’accroche, se donne à l’homme qui la chevauche, offre avidement ses lèvres sa bouche. Il distingue les coups de reins de sa femme pour bien enfoncer le membre de son amant dans sa chatte. De temps en temps, les amants s’arrêtent, regardent vers le lieu où normalement il doit se trouver occupé à pêcher. Puis bouche à bouche, rassurés ils reprennent leur étreinte. Dissimulé par le feuillage, Mathieu a sorti sa verge et se branle. Il éjacule sur l’herbe, alors que tout près sur la petite plage un autre ensemence virilement sa femme.
Quand ils sont sortis des arbres, il leur a fièrement montrés les deux brochets pêchés en leur absence.
Le soir dans le lit conjugal, avant leur étreinte Claudette s’est confiée à demi à Mathieu.
-Tu sais ton copain,…Jean.
-Oui.
-Je crois qu’il me drague. Il a profité qu’on jouait dans l’eau pour me toucher les seins.
-T’es folle, c’est en jouant pour te mettre dans l’eau.
-Ouais mon œil, et en plus il l’avait toute raide le cochon, il était derrière moi pour me soulever et me mettre sous l’eau. J’ai bien senti, il l’avait toute raide contre mes fesses.
-Il jouait. Tu te fais des idées.
-Non il l’avait toute raide.
-il est en manque, c’est pour ça! il bande pour toi.
-Oui. Et tu n’es pas jaloux qu’il me pelote un peu en jouant!
-j’ai confiance en toi ma chérie. Il se frotte un peu c’est tout.
-Cochon çà t’excite hein qu’il me touche!
-Un peu oui. Et toi?
-Quoi moi ?
-Ben tu es restée sur la plage avec lui après le bain. Au retour vous étiez secs.
-Oui et alors. Il m’amuse, je n’ai pas peur de lui.
-Il t’a embrassée, caressé la chatte?
-T’es fou!
-Menteuse !
-Bon….il voulait, si tu veux tout savoir.
-Il voulait quoi ?
-Ben, baiser, baiser avec moi, mais j’ai dit non. Il n’a pas insisté.
-Sur la plage ?
-Oui, après le bain quand on se séchait.
-Il était sur toi et t’embrassait?
-Oui si tu veux savoir il embrasse bien. Oui et il bandait il était couché sur moi, il me montait et me pelotait partout et sa langue tournait dans ma bouche, dans ma culotte aussi. Il voulait qu’on le fasse je sentais sa bite bien raide se frotter sur mon ventre. J’ai pas voulu te tromper.
-Salope, salope chérie !
-Salaud tu bandes ! Claudette sous le drap a saisi la verge de son mari. Mathieu bande, il sait que sa femme ment, quelle a baisé avec son copain et cela l’excite.
-Tu aimerais qu’il me baise hein, ça te fais bander d’y penser mon gros cochon chéri ?
-Si tu en as envie, oui, mais je vous regarde le faire !
-Cochon comme quand on étaient ados hein !. Tu mériterais que je te fasse cocu. En attendant viens, baise moi, mets-moi ta queue toute raide, ma petite chatte a faim. Tu m’excites avec ce que tu me dis !
-Cochonne ; il t’a bien chauffée avec sa queue raide.
-Oui, et alors tu en profite mon chéri.
Quand il la pénétrée, elle était mouillée, l’orée du vagin largement ouverte par l’excitation.
Tout en la besognant il a continué à l’exciter. Elle connait le jeu et lui a répondu. Leur excitation a encore monté d’un cran. Ils ont toujours eu recours à ces fantasmes pour décupler leur plaisir et ne s’en privent pas. Ce n’est pas le premier homme qu’il évoque ainsi pour partager leur couche et leurs joutes d’amour.
-T’aimes çà, t’aimes ma queue! La queue de Jean aussi tu la voudrais hein ! Tu la voudrais dans ta chatte !
-Cochon, t’es un cochon, ça t’exciterai hein de me voir avec lui!
-Cochonne ; toi tu aimerais hein, tu aimerais qu’il soit là dans notre lit avec nous !
-Salaud, oui là t’es content. Il serait là et me prendrait devant toi. Tu guiderais sa queue dans ma petite chatte. Avant tu le branlerais un peu pour qu’il l’ait bien raide. Si on baise c’est tous les trois, moi toi, moi et lui, toi avec lui. Dommage que sa femme n’est pas là, tu la baiserais, on baiserait toutes les deux avec vous mes chéris !
-Ton chéri, il t’a déjà baisée hein ! Il t’a baisée à l’usine ?
-Non, non, je te jure, mais puisse que tu veux que je le fasse avec lui, la prochaine fois je le laisse me le faire.
-Tu vois, tu l’avoues, tu as envie de sa queue. De sa bite bien au fond dans ta chatte.
-Ouiii ! ouiii j’en ai envie, j’ai envie qu’il me baise fort ! Plus fort, plus fort mon chéri ! Oui, encore, encore, bouge bien ta queue dans ma petite chatte, je suis à toi, rien qu’à toi mon amour, c’est bon !!
-Tu la sens ma queue, tu la sens sa queue !
-Oui, ta queue mon chéri, et sa queue dure dans ma chatte toutes les deux. Oh c’est bon c’est bon, je jouis, je jouis !!! Appelle-le mon chéri, appelle-le qu’il vienne me baiser lui aussi ce soir!
-T’es folle !
-C’est toi qui le veux, alors oui ! Dimanche je me fais baiser par lui devant toi. En attendant mon chéri baise moi, baise moi ! Je suis ta petite femme, ta petite putain chérie !
A ce rythme, Mathieu trop excité a encore joui vite la laissant insatisfaite. Elle s’est donné seule le plaisir libérateur. Apaisée, elle s’endort à son tour pour rejoindre ses deux amants en rêve.

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