Cléïa IV
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cléïa IV
<p>Moi qui adorait les fellations, jamais je n’aurais pensé qu’un jour c’est moi qui en ferais une.
Mais le pire était à venir, je le découvris le lendemain seulement.
Comme chaque fois, au moindre coup de téléphone de Maîtresse, j’accourais comme un petit chien bien dressé, j’étais devenu sa chose, son objet.
Une fois nu dans son appartement, elle attacha le collier que je portais toujours à présent, au manche en cuir qui lui servait à me promener. Elle me fit enfiler une grande veste qui cachait ma nudité, et me dit seulement :
- Je t’ai réservé une surprise.
Qu’avait elle encore bien inventé pour cette soirée.
Au lieu de nous diriger vers sa voiture au sous sol, elle partit directement vers la sortie, toujours sans un mot. Nous nous rendions certainement chez une autre de ses amies, qui n’habitait pas très loin. Heureusement qu’il faisait nuit, quoique les quelques personnes que nous avions rencontrées, ont bien du se demander à quoi servait le manche tendu à travers ma veste, vers mon intimité.
Arrivés sur place, Maîtresse embrassa tendrement son amie, à laquelle elle ne daigna même pas me présenter.
- Alors voilà ton petit chéri, il a l’air bien fait.
Maîtresse se tourna vers moi, m’enleva le collier, et me montra le lit qui trônait au milieu de la pièce dans laquelle nous nous tenions. Elle n’eu pas besoin de dire un seul mot je pris immédiatement la position qu’elle attendait de moi : bien droit sur mes genoux, les mains derrière la tête, et surtout les cuisses écartées. Son amie s’approcha alors de moi, et commença à me palper délicatement les bourses, mon sexe commença naturellement à prendre du volume. Ensuite, elle me masturba distraitement tout en continuant de deviser avec Maîtresse. Semblant de nouveau s’intéresser à moi, elle interrogea Maîtresse :
- Il est aussi bien fait de partout ?
Le seul fait de me dire « Raoul. » suffit pour que je comprenne ce qu’elle désirait :
Sans perdre une seule seconde, je me mis alors à 4 pattes les fesses tournées vers elles, comme Maîtresse aimait que je me présente aussi. Les 2 femmes restèrent un moment à me regarder dans cette position.
Cette exposition ne parut par satisfaire pleinement l’amie, car elle appuya fortement sur mes reins, afin de me faire prendre appui sur mes coudes, et faire ressortir ma croupe. Puis elle me força à écarter davantage les cuisses.
Je sentis ensuite les mains de Maîtresse se positionner sur mes fesses. Elle prit alors bien son temps pour me les écarter longuement, comme jamais elle ne l’avait fait auparavant. J’étais rouge de honte devant Maîtresse et cette inconnue, qui me regardait avec concupiscence.
L’amie reprit ses caresses, je sentis alors un doigt inquisiteur courir autour de mes bourses, et remonter ensuite vers mon petit trou. Ce petit manège dura plusieurs minutes, et à chaque fois son doigt appuyait plus fortement sur mon intimité.
Maîtresse proposa alors :
- Si tu lui montrais la surprise que tu lui as réservée ?
- Il a juste à tourner la tête, et il la découvrira tout seul.
Je m’empressai alors de regarder alentour, quelle pouvait bien être cette surprise. Je découvris avec embarras, trois vibromasseurs posés sur un plateau, à même pas un mètre de moi.
Non, pensai-je, elles ne vont tout de même pas m’enfiler ça. D’après leurs ricanements, je compris avec stupéfaction que j’avais vu juste.
Ils étaient tous trois semblables en forme et en couleur, seules leurs tailles les différenciaient. L’amie s’empara alors du premier, le plus petit, d’un diamètre environ de celui d’un rouge à lèvre mais bien plus long, en déclarant.
- Celui là ne devrait pas poser de problème.
Après avoir entendu le ronronnement caractéristique, je perçu les fines vibrations sur mes bourses. L’amie avait repris le manège précédent comme avec son doigt, mais avec le petit vibro à présent.
Maîtresse, quant à elle, me tenait toujours les fesses écartées. Ce ne fut seulement après plusieurs minutes, et que l’amie eut déclaré : « Tu vois je te l’avais dit. », que je compris que l’engin avait pénétré malgré moi dans mon intimité.
Les premiers doigts entrés auparavant avaient déjà fait le chemin. A présent, je sentais un peu plus nettement les va et vient entre mes fesses. Leur petit jeu dura encore quelques secondes avant que je ne voie l’amie réapparaître devant moi.
- Maintenant tu vas goûter au deuxième, m’annonça t’elle, il est un peu plus gros. Aussi, je te conseille de bien le lubrifier, si tu ne veux pas trop le sentir.
Disant cela, elle approcha l’engin de ma bouche, en me conseillant de commencer par bien le lécher tout autour. Lorsqu’elle l’eut tourné et retourné dans tous les sens, et que ma langue l’eut bien humecté, elle me l’enfonça dans la bouche. Elle fit de nombreux va et vient en l’enfonçant chaque fois un peu plus.
- Ca devrait suffire comme cela. Dit elle.
Puis elle rejoignit Maîtresse. Le petit jeu des attouchements reprit comme avant, le premier vibro quitta sa place. Cette fois, les pressions autour de ma rondelle durèrent un peu plus longtemps, toujours en tournant au bord, puis en s’enfonçant à chaque fois de plus belle. Maîtresse me tenait à nouveau les fesses bien disjointes.
Il fallait bien que cela arrive, le gadget s’insinua finalement au plus profond de mon intérieur intime. Contrairement à ce que je redoutais, la douleur ne fut pas si forte que je ne l’aurais pensé. L’amie lui fit prendre le va et vient habituel pendant quelques minutes, puis passa la main à Maîtresse, en expliquant :
- Tu vas voir que cela va lui plaire. J’apporte le dernier.
« Me plaire » il fallait le dire vite, en fait, je subissais plus je n’avais le choix. Mais c’est vrai que ce n’était pas atroce, voire très supportable.
Une fois le dernier modèle en main, l’amie le présenta devant moi sans rien me dire. J’avais bien retenu la leçon, je léchai et suçai l’olisbos comme si c’était un geste naturel pour moi. Puis jugeant que j’avais bien fait mon travail, elle repartit derrière moi l’objet en main.
Cette fois, plus de préparation, elle retira le dernier en place, et m’enficha directement celui là sans préambule. La douleur se fit sentir plus intensément cette fois. Instinctivement, je serrai les fesses, une claque sonore me ramena à la réalité de mon supplice, et fit accessoirement rougir ma croupe.
Rapidement les mouvements d’aller et retour se firent à nouveau sentir, cependant que je sentis une main me caresser le sexe.
Au fur et à mesure des mouvements, tant sur mon sexe que ceux du vibro, je perçus l’excitation me gagner. Les filles s’en aperçurent rapidement.
- Tu vois, Cléïa, je te l’avais bien dit, qu’il aimerait ça. Annonça l’amie.
- On va lui faire goûter maintenant un produit plus naturel. Ajouta t’elle.
Qu’avaient elles encore imaginé ? Je n’eus pas le temps de réfléchir à la question que j’entendis l’amie crier: « Jack ! »
L’instant d’après, un jeune homme entra nu dans la pièce, présentant un début d’érection. Sans que l’une des filles ne lui parle, il exhiba son sexe à quelques centimètres de mon visage.
- Tu vas faire comme avec les vibromasseurs, bien le lubrifier. Intima Cléïa.
Puis elle prit le sexe du garçon en main, et l’approcha de ma bouche en disant :
- Ta langue.
Pendant ce temps, et pour ne pas me laisser d’autre choix, son amie appliqua une méthode qui faisait recette à chaque fois : prendre mes « affaires » en main, et commencer à les serrer progressivement. Elle ne cessa pas pour autant les allées et venues du dernier vibro dans mon fondement.
Comme je l’avais fait auparavant, je m’appliquai à passer ma langue partout, pour ne pas décevoir Maîtresse. Le sexe de Jack grossissait à vue d’œil, semblant ne jamais vouloir s’arrêter d’enfler. Maîtresse me fit comprendre à présent qu’il fallait que je le prenne en bouche, et que je continue ma lubrification.
Heureusement, la taille de l’engin qui obstruait ma bouche avait cessé sa croissance. Il était maintenant à peine plus gros que le vibro qui fouraillait dans mes entrailles.
Maîtresse fit signe à Jack qu’il pouvait maintenant officier à son tour. Après qu’il se fut placé derrière moi, l’amie retira son vibro. Le sexe de Jack s’empara immédiatement de la place laissée libre, et reprit tranquillement la cadence.
L’amie délaissa mes bourses pour prendre le plus grand soin de ma virilité, qu’elle entretint savamment par une douce masturbation. Le contact des bourses de Jack qui venaient régulièrement heurter les miennes, me fit un drôle d’effet. Je commençais à prendre goût à cette caresse particulière. L’amie dut s’en rendre compte, car elle accéléra progressivement les mouvements de son poignet.
Jack se libéra rapidement en m’inondant l’intérieur de sa sève. Les caresses de l’amie eurent tôt fait de ma résistance, et à mon tour je me lâchai sur le lit.
Après m’avoir fait lécher ma liqueur, les deux amies applaudirent conjointement au spectacle que je leur avais offert, bien malgré moi.
- Il faudra recommencer plus souvent, qu’il prenne l’habitude. Annonça l’amie qui, je l’appris à ce moment là, se prénommait Claire.
J’avais déjà entendu cette phrase la veille, décidément les 3 femmes avaient fermement l’intention de s’occuper de mon cas.
C’est ainsi qu’à cause, ou grâce à Cléïa, je perdis un autre pucelage.
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Mais le pire était à venir, je le découvris le lendemain seulement.
Comme chaque fois, au moindre coup de téléphone de Maîtresse, j’accourais comme un petit chien bien dressé, j’étais devenu sa chose, son objet.
Une fois nu dans son appartement, elle attacha le collier que je portais toujours à présent, au manche en cuir qui lui servait à me promener. Elle me fit enfiler une grande veste qui cachait ma nudité, et me dit seulement :
- Je t’ai réservé une surprise.
Qu’avait elle encore bien inventé pour cette soirée.
Au lieu de nous diriger vers sa voiture au sous sol, elle partit directement vers la sortie, toujours sans un mot. Nous nous rendions certainement chez une autre de ses amies, qui n’habitait pas très loin. Heureusement qu’il faisait nuit, quoique les quelques personnes que nous avions rencontrées, ont bien du se demander à quoi servait le manche tendu à travers ma veste, vers mon intimité.
Arrivés sur place, Maîtresse embrassa tendrement son amie, à laquelle elle ne daigna même pas me présenter.
- Alors voilà ton petit chéri, il a l’air bien fait.
Maîtresse se tourna vers moi, m’enleva le collier, et me montra le lit qui trônait au milieu de la pièce dans laquelle nous nous tenions. Elle n’eu pas besoin de dire un seul mot je pris immédiatement la position qu’elle attendait de moi : bien droit sur mes genoux, les mains derrière la tête, et surtout les cuisses écartées. Son amie s’approcha alors de moi, et commença à me palper délicatement les bourses, mon sexe commença naturellement à prendre du volume. Ensuite, elle me masturba distraitement tout en continuant de deviser avec Maîtresse. Semblant de nouveau s’intéresser à moi, elle interrogea Maîtresse :
- Il est aussi bien fait de partout ?
Le seul fait de me dire « Raoul. » suffit pour que je comprenne ce qu’elle désirait :
Sans perdre une seule seconde, je me mis alors à 4 pattes les fesses tournées vers elles, comme Maîtresse aimait que je me présente aussi. Les 2 femmes restèrent un moment à me regarder dans cette position.
Cette exposition ne parut par satisfaire pleinement l’amie, car elle appuya fortement sur mes reins, afin de me faire prendre appui sur mes coudes, et faire ressortir ma croupe. Puis elle me força à écarter davantage les cuisses.
Je sentis ensuite les mains de Maîtresse se positionner sur mes fesses. Elle prit alors bien son temps pour me les écarter longuement, comme jamais elle ne l’avait fait auparavant. J’étais rouge de honte devant Maîtresse et cette inconnue, qui me regardait avec concupiscence.
L’amie reprit ses caresses, je sentis alors un doigt inquisiteur courir autour de mes bourses, et remonter ensuite vers mon petit trou. Ce petit manège dura plusieurs minutes, et à chaque fois son doigt appuyait plus fortement sur mon intimité.
Maîtresse proposa alors :
- Si tu lui montrais la surprise que tu lui as réservée ?
- Il a juste à tourner la tête, et il la découvrira tout seul.
Je m’empressai alors de regarder alentour, quelle pouvait bien être cette surprise. Je découvris avec embarras, trois vibromasseurs posés sur un plateau, à même pas un mètre de moi.
Non, pensai-je, elles ne vont tout de même pas m’enfiler ça. D’après leurs ricanements, je compris avec stupéfaction que j’avais vu juste.
Ils étaient tous trois semblables en forme et en couleur, seules leurs tailles les différenciaient. L’amie s’empara alors du premier, le plus petit, d’un diamètre environ de celui d’un rouge à lèvre mais bien plus long, en déclarant.
- Celui là ne devrait pas poser de problème.
Après avoir entendu le ronronnement caractéristique, je perçu les fines vibrations sur mes bourses. L’amie avait repris le manège précédent comme avec son doigt, mais avec le petit vibro à présent.
Maîtresse, quant à elle, me tenait toujours les fesses écartées. Ce ne fut seulement après plusieurs minutes, et que l’amie eut déclaré : « Tu vois je te l’avais dit. », que je compris que l’engin avait pénétré malgré moi dans mon intimité.
Les premiers doigts entrés auparavant avaient déjà fait le chemin. A présent, je sentais un peu plus nettement les va et vient entre mes fesses. Leur petit jeu dura encore quelques secondes avant que je ne voie l’amie réapparaître devant moi.
- Maintenant tu vas goûter au deuxième, m’annonça t’elle, il est un peu plus gros. Aussi, je te conseille de bien le lubrifier, si tu ne veux pas trop le sentir.
Disant cela, elle approcha l’engin de ma bouche, en me conseillant de commencer par bien le lécher tout autour. Lorsqu’elle l’eut tourné et retourné dans tous les sens, et que ma langue l’eut bien humecté, elle me l’enfonça dans la bouche. Elle fit de nombreux va et vient en l’enfonçant chaque fois un peu plus.
- Ca devrait suffire comme cela. Dit elle.
Puis elle rejoignit Maîtresse. Le petit jeu des attouchements reprit comme avant, le premier vibro quitta sa place. Cette fois, les pressions autour de ma rondelle durèrent un peu plus longtemps, toujours en tournant au bord, puis en s’enfonçant à chaque fois de plus belle. Maîtresse me tenait à nouveau les fesses bien disjointes.
Il fallait bien que cela arrive, le gadget s’insinua finalement au plus profond de mon intérieur intime. Contrairement à ce que je redoutais, la douleur ne fut pas si forte que je ne l’aurais pensé. L’amie lui fit prendre le va et vient habituel pendant quelques minutes, puis passa la main à Maîtresse, en expliquant :
- Tu vas voir que cela va lui plaire. J’apporte le dernier.
« Me plaire » il fallait le dire vite, en fait, je subissais plus je n’avais le choix. Mais c’est vrai que ce n’était pas atroce, voire très supportable.
Une fois le dernier modèle en main, l’amie le présenta devant moi sans rien me dire. J’avais bien retenu la leçon, je léchai et suçai l’olisbos comme si c’était un geste naturel pour moi. Puis jugeant que j’avais bien fait mon travail, elle repartit derrière moi l’objet en main.
Cette fois, plus de préparation, elle retira le dernier en place, et m’enficha directement celui là sans préambule. La douleur se fit sentir plus intensément cette fois. Instinctivement, je serrai les fesses, une claque sonore me ramena à la réalité de mon supplice, et fit accessoirement rougir ma croupe.
Rapidement les mouvements d’aller et retour se firent à nouveau sentir, cependant que je sentis une main me caresser le sexe.
Au fur et à mesure des mouvements, tant sur mon sexe que ceux du vibro, je perçus l’excitation me gagner. Les filles s’en aperçurent rapidement.
- Tu vois, Cléïa, je te l’avais bien dit, qu’il aimerait ça. Annonça l’amie.
- On va lui faire goûter maintenant un produit plus naturel. Ajouta t’elle.
Qu’avaient elles encore imaginé ? Je n’eus pas le temps de réfléchir à la question que j’entendis l’amie crier: « Jack ! »
L’instant d’après, un jeune homme entra nu dans la pièce, présentant un début d’érection. Sans que l’une des filles ne lui parle, il exhiba son sexe à quelques centimètres de mon visage.
- Tu vas faire comme avec les vibromasseurs, bien le lubrifier. Intima Cléïa.
Puis elle prit le sexe du garçon en main, et l’approcha de ma bouche en disant :
- Ta langue.
Pendant ce temps, et pour ne pas me laisser d’autre choix, son amie appliqua une méthode qui faisait recette à chaque fois : prendre mes « affaires » en main, et commencer à les serrer progressivement. Elle ne cessa pas pour autant les allées et venues du dernier vibro dans mon fondement.
Comme je l’avais fait auparavant, je m’appliquai à passer ma langue partout, pour ne pas décevoir Maîtresse. Le sexe de Jack grossissait à vue d’œil, semblant ne jamais vouloir s’arrêter d’enfler. Maîtresse me fit comprendre à présent qu’il fallait que je le prenne en bouche, et que je continue ma lubrification.
Heureusement, la taille de l’engin qui obstruait ma bouche avait cessé sa croissance. Il était maintenant à peine plus gros que le vibro qui fouraillait dans mes entrailles.
Maîtresse fit signe à Jack qu’il pouvait maintenant officier à son tour. Après qu’il se fut placé derrière moi, l’amie retira son vibro. Le sexe de Jack s’empara immédiatement de la place laissée libre, et reprit tranquillement la cadence.
L’amie délaissa mes bourses pour prendre le plus grand soin de ma virilité, qu’elle entretint savamment par une douce masturbation. Le contact des bourses de Jack qui venaient régulièrement heurter les miennes, me fit un drôle d’effet. Je commençais à prendre goût à cette caresse particulière. L’amie dut s’en rendre compte, car elle accéléra progressivement les mouvements de son poignet.
Jack se libéra rapidement en m’inondant l’intérieur de sa sève. Les caresses de l’amie eurent tôt fait de ma résistance, et à mon tour je me lâchai sur le lit.
Après m’avoir fait lécher ma liqueur, les deux amies applaudirent conjointement au spectacle que je leur avais offert, bien malgré moi.
- Il faudra recommencer plus souvent, qu’il prenne l’habitude. Annonça l’amie qui, je l’appris à ce moment là, se prénommait Claire.
J’avais déjà entendu cette phrase la veille, décidément les 3 femmes avaient fermement l’intention de s’occuper de mon cas.
C’est ainsi qu’à cause, ou grâce à Cléïa, je perdis un autre pucelage.
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