Cloé (1/2)
Récit érotique écrit par JH45 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cloé (1/2)
Clo
J’ai 26 ans, c’est l’été et je suis célibataire. Mes sens sont constamment mis à l’épreuve par les barbecues, le sport, les odeurs de monoi, les rires lors de moments entre amis et les corps bronzés des femmes qui m’entourent.
Je passe beaucoup de temps avec un groupe de plusieurs collègues, devenus pour certains des amis. Dans ce joli cercle, Cloé. Nous sommes proches de bien des manières ; nous partageons le même humour, nous aimons sortir et s’enivrer, nous faisons souvent du sport ensemble. Elle arrive facilement à me comprendre et elle devine mes besoins. Nous nous livrons facilement sur nos vies, nos blessures et nos rêves. Je sais qu’elle est attachée à son petit ami mais comprend que c’est loin d’être l’amour fou. Etant en couple depuis longtemps et ayant une façon bien à elle de paraître aux yeux des autres, personne ne la considère vraiment comme une potentielle partenaire… Je ne différais pas beaucoup. Pourtant, dès notre rencontre, elle m’avait fait forte impression. Moi qui s’intéressais exclusivement aux petites brunes, j’avais flashé sur cette grande blonde aux yeux bleus. J’adorais sa silhouette sportive et légèrement musclée. Son naturel et son bonne humeur m’avait fait adorer sa compagnie et nous devinrent rapidement de supers potes.
Seulement, l’été passait et je me rendais compte que plus nous passions du temps ensemble, plus j’étais attiré par elle. C’était obsessionnel. J’avais du mal à rester calme à côté d’elle. Quand je la regardais, je la regardais de haut en bas. Je cherchais le détail physique que je n’avais pas encore remarqué. Un élément supplémentaire qui me ferait la découvrir un peu plus. Comme je me sentais mal de la regarder autant… ! Un peu Candide, elle répondait toujours à mes sourires. Mon attirance envers elle transparaissait. Elle en avait conscience et en m’attrapant en pleine contemplation de ses fesses rebondies, elle ria simplement. Il n’y avait aucune gêne entre nous. Aucun tabou. Lors d’une soirée entre amis, nous avions passé un long moment à danser tout les deux. Il n’y avait que son corps qui pouvait m’envouter au point de me trainer sur une piste improvisée. J’eu le privilège de voir ses formes de très près. Un corps entièrement galbé, d’un ventre plat à une paire de fesses dont j’étais raide dingue. Sa bouche me sussurait d’une voix douce que je n’étais qu’un piètre danseur tandis que sa croupe frottait mon entrejambe dans un rythme suave.
En peu de temps, j’avais le cerveau retourné. Sa gentillesse et sa douceur m’amadouaient. Ses lèvres pulpeuses, son sex-appeal me rendaient esclave. Un peu plus tard lors de cette même soirée, Cloé s’était glissée derrière moi et me prodiguait un massage des épaules. Sa maladresse et son allure gauche ne gâchaient rien. Elle dansait comme une pro mais j’avais quelque chose à lui apprendre pour ce qui était du massage. Lorsqu’elle accepta d’inverser les rôles, je compris que nous devenions très tactiles. Tout deux à califourchon sur un banc, alors que je passais mes mains sur certaines zones de son dos, libérant des tensions musculaires, une réelle tension sexuelle était également palpable. Quand mes pouces atteignirent le bas de son dos moite, elle se cambra d’un coup et, d’un geste brusque, rejetai ses cheveux parfumés sur mon visage. Une fois décrispée, elle laissa doucement retomber l’arrière de sa tête sur mon épaule. Sa joue frottait la mienne, elle avait profité de ce moment pour se rapprocher. Mes cuisses serraient les siennes et mes mains avaient doucement glissé sur le haut de ses hanches. Un début d’érection m’anima et j’eus une furieuse envie de l’embrasser. A ce moment, des invités firent un gros bruit qui nous coupa dans notre progression. Notre bulle s’était rompue mais tandis que nous tournions la tête pour voir les troublions, elle mit ses mains sur les miennes et les serra.
L’attirance était réciproque. Lorsque que certains convives se dirigèrent vers la piscine, Cloé me proposait une baignade nocturne. Ses yeux étaient vifs, sa voix avait changé. Elle ne m’avait jamais parlé de la sorte. J’aurais pu lui faire l’amour sur la table devant tout le monde si on m’en avait laissé l’opportunité tellement elle m’hypnotisait.
Une fois dans l’eau et après quelques mouvements approximatifs de nage et quelques jeux aquatiques enfantins, je l’enlaçais. Son bronzage ressortait encore plus avec l’eau et la basse luminosité. Elle était divine. Très peu maquillée, elle ressemblait à une des ses mannequins de pub de parfum. J’admirais chaque portion de sa peau lorsqu’elle était parcourue de frissons. Je regardais certaines gouttes d’eau courir sur sa joue, d’autres stagner sur ses lèvres. Je voulais être l’une d’elle. La commissure de ses lèvres s’agrandit à la réception du baiser sur la joue que je lui fis, dessinant son sourire. De celui-ci, j’en étais raide dingue. Alors qu’elle rattachait ses cheveux et me faisait face, mes mains s’étaient repositionnées sur le haut de ses hanches, lui caressant doucement les flancs. Elle se colla à moi tout en positionnant son visage face au mien, sa bouche à quelques centimètres de la mienne. Elle me défiait et me provoquait, usant de ses charmes pour me faire céder. Mes mains parcouraient l’entièreté de son dos. Les autres s’amusaient dans la piscine sans nous déranger. Certains s’amusaient de notre rapprochement. Je n’en étais aucunement déstabilisé.
Cloé me tourna le dos et s’appuya alors contre moi. Elle non plus ne fut pas déstabilisée en entendant les remarques de nos potes. Elle ne fut pas non plus déstabilisée lorsqu’elle sentit mon sexe, dur comme du bois, se faire une place de choix entre ses fesses. Au contraire, elle crut bon de tendre encore plus son bassin vers moi et de faire des mouvements variés autour de mon entrejambe.
Je sentais mon ventre me bruler et une chaleur immense m’envahir malgré la fraicheur de l’eau. Alors qu’elle frottait ses fesses discrètement de haut en bas sur mon sexe, je lui mis la main dans les cheveux et l’embrassait.
J’ai 26 ans, c’est l’été et je suis célibataire. Mes sens sont constamment mis à l’épreuve par les barbecues, le sport, les odeurs de monoi, les rires lors de moments entre amis et les corps bronzés des femmes qui m’entourent.
Je passe beaucoup de temps avec un groupe de plusieurs collègues, devenus pour certains des amis. Dans ce joli cercle, Cloé. Nous sommes proches de bien des manières ; nous partageons le même humour, nous aimons sortir et s’enivrer, nous faisons souvent du sport ensemble. Elle arrive facilement à me comprendre et elle devine mes besoins. Nous nous livrons facilement sur nos vies, nos blessures et nos rêves. Je sais qu’elle est attachée à son petit ami mais comprend que c’est loin d’être l’amour fou. Etant en couple depuis longtemps et ayant une façon bien à elle de paraître aux yeux des autres, personne ne la considère vraiment comme une potentielle partenaire… Je ne différais pas beaucoup. Pourtant, dès notre rencontre, elle m’avait fait forte impression. Moi qui s’intéressais exclusivement aux petites brunes, j’avais flashé sur cette grande blonde aux yeux bleus. J’adorais sa silhouette sportive et légèrement musclée. Son naturel et son bonne humeur m’avait fait adorer sa compagnie et nous devinrent rapidement de supers potes.
Seulement, l’été passait et je me rendais compte que plus nous passions du temps ensemble, plus j’étais attiré par elle. C’était obsessionnel. J’avais du mal à rester calme à côté d’elle. Quand je la regardais, je la regardais de haut en bas. Je cherchais le détail physique que je n’avais pas encore remarqué. Un élément supplémentaire qui me ferait la découvrir un peu plus. Comme je me sentais mal de la regarder autant… ! Un peu Candide, elle répondait toujours à mes sourires. Mon attirance envers elle transparaissait. Elle en avait conscience et en m’attrapant en pleine contemplation de ses fesses rebondies, elle ria simplement. Il n’y avait aucune gêne entre nous. Aucun tabou. Lors d’une soirée entre amis, nous avions passé un long moment à danser tout les deux. Il n’y avait que son corps qui pouvait m’envouter au point de me trainer sur une piste improvisée. J’eu le privilège de voir ses formes de très près. Un corps entièrement galbé, d’un ventre plat à une paire de fesses dont j’étais raide dingue. Sa bouche me sussurait d’une voix douce que je n’étais qu’un piètre danseur tandis que sa croupe frottait mon entrejambe dans un rythme suave.
En peu de temps, j’avais le cerveau retourné. Sa gentillesse et sa douceur m’amadouaient. Ses lèvres pulpeuses, son sex-appeal me rendaient esclave. Un peu plus tard lors de cette même soirée, Cloé s’était glissée derrière moi et me prodiguait un massage des épaules. Sa maladresse et son allure gauche ne gâchaient rien. Elle dansait comme une pro mais j’avais quelque chose à lui apprendre pour ce qui était du massage. Lorsqu’elle accepta d’inverser les rôles, je compris que nous devenions très tactiles. Tout deux à califourchon sur un banc, alors que je passais mes mains sur certaines zones de son dos, libérant des tensions musculaires, une réelle tension sexuelle était également palpable. Quand mes pouces atteignirent le bas de son dos moite, elle se cambra d’un coup et, d’un geste brusque, rejetai ses cheveux parfumés sur mon visage. Une fois décrispée, elle laissa doucement retomber l’arrière de sa tête sur mon épaule. Sa joue frottait la mienne, elle avait profité de ce moment pour se rapprocher. Mes cuisses serraient les siennes et mes mains avaient doucement glissé sur le haut de ses hanches. Un début d’érection m’anima et j’eus une furieuse envie de l’embrasser. A ce moment, des invités firent un gros bruit qui nous coupa dans notre progression. Notre bulle s’était rompue mais tandis que nous tournions la tête pour voir les troublions, elle mit ses mains sur les miennes et les serra.
L’attirance était réciproque. Lorsque que certains convives se dirigèrent vers la piscine, Cloé me proposait une baignade nocturne. Ses yeux étaient vifs, sa voix avait changé. Elle ne m’avait jamais parlé de la sorte. J’aurais pu lui faire l’amour sur la table devant tout le monde si on m’en avait laissé l’opportunité tellement elle m’hypnotisait.
Une fois dans l’eau et après quelques mouvements approximatifs de nage et quelques jeux aquatiques enfantins, je l’enlaçais. Son bronzage ressortait encore plus avec l’eau et la basse luminosité. Elle était divine. Très peu maquillée, elle ressemblait à une des ses mannequins de pub de parfum. J’admirais chaque portion de sa peau lorsqu’elle était parcourue de frissons. Je regardais certaines gouttes d’eau courir sur sa joue, d’autres stagner sur ses lèvres. Je voulais être l’une d’elle. La commissure de ses lèvres s’agrandit à la réception du baiser sur la joue que je lui fis, dessinant son sourire. De celui-ci, j’en étais raide dingue. Alors qu’elle rattachait ses cheveux et me faisait face, mes mains s’étaient repositionnées sur le haut de ses hanches, lui caressant doucement les flancs. Elle se colla à moi tout en positionnant son visage face au mien, sa bouche à quelques centimètres de la mienne. Elle me défiait et me provoquait, usant de ses charmes pour me faire céder. Mes mains parcouraient l’entièreté de son dos. Les autres s’amusaient dans la piscine sans nous déranger. Certains s’amusaient de notre rapprochement. Je n’en étais aucunement déstabilisé.
Cloé me tourna le dos et s’appuya alors contre moi. Elle non plus ne fut pas déstabilisée en entendant les remarques de nos potes. Elle ne fut pas non plus déstabilisée lorsqu’elle sentit mon sexe, dur comme du bois, se faire une place de choix entre ses fesses. Au contraire, elle crut bon de tendre encore plus son bassin vers moi et de faire des mouvements variés autour de mon entrejambe.
Je sentais mon ventre me bruler et une chaleur immense m’envahir malgré la fraicheur de l’eau. Alors qu’elle frottait ses fesses discrètement de haut en bas sur mon sexe, je lui mis la main dans les cheveux et l’embrassait.
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