Cloé (2/2)
Récit érotique écrit par JH45 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cloé (2/2)
J'aimerai faire durer ce baiser des heures. Alors que Cloé et moi sommes plus proches que jamais dans cette piscine, j'ai le souffle court… ainsi qu'une vive érection. Après un long échange de sourires et de caresses, je lui fais part de mon souhait d'aller nous réchauffer au calme et dans la maison. "On va dans ma chambre?" me propose-t-elle d'un air innocent mais non sans arrière-pensées.
Arrivés dans sa chambre avec nos serviettes, une petite gêne s'installait. Rien de grave, seulement ce stress du point de non-retour. Deux personnes qui se plaisent, venant de s'embrasser, réunies dans une chambre à coucher à moitié dévêtues et en serviettes. Rien n’est dit, pourtant elle et moi savons ce qu’il va se passer d’ici peu. Nos corps vont s’aimanter, nos esprits se connecter dans cette chambre à la lumière tamisée. Ma main agrippant la sienne, je l’entraînais vers moi. D’un visage légèrement tendu, ses lèvres esquissaient désormais un beau sourire. Ces yeux malicieux me fixaient comme jamais ; nous nous connaissions depuis longtemps, pourtant je n’avais jamais reçu un regard aussi intense de sa part. Ses bras m’enlacèrent, nos corps se collèrent. Nous fîmes tomber nos serviettes, laissant entre nous le tissu humide de nos maillots de bains respectifs.
Cloé m’attirait sur le lit en m’embrassant intensément. Sa bouche m’avait longtemps fait fantasmer. J’aimais la regarder parler, voir ses lèvres charnues prendre des formes improbables. Désormais, je goûtais cette bouche exquise. Obnubilé par ce baiser, je laissais mes mains courir sur son dos, ses bras, sa nuque. Chaque centimètre carré de sa peau recevait mon attention par la caresse de mes doigts. Cloé parcourait mon torse, dessinait les contours de mes abdominaux saillants qu’elle complimenta. Voyant mon inconfort à force de bander, Cloé me libéra du joug de mon maillot en prenant mon sexe dans sa main. Je l’observais découvrir mon entrejambe avec avidité. Elle la fit sienne en la caressant doucement, elle l’embrassant. Elle poussa un rire vif lorsqu’elle me vit ouvrir la bouche, comme si j’étais bloqué. J’essayais de me retenir car j’avais terriblement envie d’elle.
Après un long moment de douces caresses durant lequel nos corps se détendaient, je pris soin d’enlever le reste de ses vêtements tandis que ma queue découvrait sa langue et ses lèvres délicieuses. Allongé sur le dos, je profitais de cette fellation exquise de Cloé. Elle utilisait divinement sa langue, employant beaucoup de salive pour faire disparaître complètement ma hampe tout en me fixant du regard. Je regardais ses beaux yeux bleus en respirant lentement pour profiter au maximum. Placée à quatre pattes, elle se caressait tout en s’occupant de moi, ce qui m’excitait au plus haut point. Après lui avoir tenu la tête tout en faisant d’amples va-et-vient, je glissais ma tête entre ses cuisses. Elle se tenait en position assise sur ma bouche, je l’admirais se toucher les seins. Sa petite poitrine me faisait beaucoup d’effet, notamment grâce à ses petits tétons qui pointaient fermement. Tantôt suçotant, tantôt léchant son clitoris, je lui glissais mon majeur en lui frottant une zone qui lui faisait énormément d’effet. Sa cyprine coulait abondamment sur mes lèvres et je sentais vibrer les parois de son vagin. De plus en plus crispée, Cloé lâchait un râle dans une respiration saccadée. Ses cuisses se contractaient en me serrant le visage, sa bouche était grande ouverte et ses yeux fermés alors que son visage se plissait de jouissance.
Je la laissais reprendre ses esprits en l’enlaçant, la couvrant de caresses. Elle à genoux, je me glissais derrière elle pour masser son dos, toucher son ventre et caresser ses seins durcis de désir. Tournant la tête pour m’embrasser, Cloé me montrait son visage rougi de plaisir. C’était dingue de se dire que la soirée continuait dans la maison, que nos amis s’amusaient habillés alors que j’étais avec elle, nu dans son lit. Nous fusionnions. Mon érection lui marquait sans cesse mon désir, frottant sur sa vulve trempée de plaisir. J’entamais un petit mouvement de bassin régulier, mon sexe glissant sur ses lèvres et son clitoris encore sensible. Elle tenait ma queue pour que mon gland titille son bouton du bonheur puis la plaçait vers l’entrée de son vagin…
Alors que mon gland se frayait un chemin facilement en elle, ses fesses se tendaient vers mon bas-ventre. Je rentrais en elle de quelques centimètres puis ressortais. Cloé tendait encore plus sa croupe, se positionnant à quatre pattes, les coudes posés sur le matelas. Elle me regardait avec interrogation suite à ce retrait. J’agrippais alors ses hanches, frottant mes testicules pleines sur ses lèvres. Elle ondulait sur mon entrejambe, demandant qu’on la délivre de son désir.
Par le passé, j’avais passé un temps fou à reluquer ses cuisses et ses fesses. De belles fesses galbées par le sport que je rêvais de toucher, embrasser, lécher, pénétrer. Au fur et à mesure du temps passé ensemble, j’imaginais Cloé et son corps nu. J’avais désormais ses fesses implorantes entre les mains. Après l’avoir fait languir un moment, je mis fin à son attente. J’enfonçais mon sexe entièrement et intensément en elle puis laissait ma partenaire glisser sur ma tige. Cloé donnait de forts à-coups et ses fesses butaient contre mon ventre. Nous avions souvent parlé de sexe et je connaissais une part de ce qui lui plaisait. Je sortais ma queue entièrement, puis lui rentrait brusquement d’un coup sec. Elle mouillait toujours plus, son nectar coulant sur mes cuisses et mes testicules. Mes coups de boutoir s’intensifiaient et je soignais l’angle de la pénétration pour stimuler cette fameuse zone dans le vagin lui donnant bien du plaisir.
Non loin de l’orgasme, mon sexe se trouvait compressé par de violents spasmes. Accompagnant ses nouvelles contractions musculaires de soupirs très sonores, Cloé avait un nouvel orgasme encore plus intense que le premier. Je l’embrassais, mon sexe bandé en elle. Ma déesse à la crinière d’or me repoussa puis me renversa sur le dos. Une nouvelle fois, elle se plaçait entre mes jambes écartées et engouffrait instinctivement mon chibre enduit de sa mouille au fond de sa gorge, sans que cela ne la dérange. L’application de ses lèvres autour de mon gland me faisait pousser des râles de plaisir : quelques va-et-vient suffirent pour me faire venir et Cloé me souriait tout en recevant ma semence sur la langue. Mes spasmes étaient longs et très intenses, tout comme ce moment que nous partagions ensemble. J’avais du mal à retrouver mon souffle, je me concentrais sur son sourire et sa peau dorée que je caressais sans arrêt depuis notre premier baiser. Je n’avais qu’une hâte, remettre le couvert. Maintenant ou plus tard.
Arrivés dans sa chambre avec nos serviettes, une petite gêne s'installait. Rien de grave, seulement ce stress du point de non-retour. Deux personnes qui se plaisent, venant de s'embrasser, réunies dans une chambre à coucher à moitié dévêtues et en serviettes. Rien n’est dit, pourtant elle et moi savons ce qu’il va se passer d’ici peu. Nos corps vont s’aimanter, nos esprits se connecter dans cette chambre à la lumière tamisée. Ma main agrippant la sienne, je l’entraînais vers moi. D’un visage légèrement tendu, ses lèvres esquissaient désormais un beau sourire. Ces yeux malicieux me fixaient comme jamais ; nous nous connaissions depuis longtemps, pourtant je n’avais jamais reçu un regard aussi intense de sa part. Ses bras m’enlacèrent, nos corps se collèrent. Nous fîmes tomber nos serviettes, laissant entre nous le tissu humide de nos maillots de bains respectifs.
Cloé m’attirait sur le lit en m’embrassant intensément. Sa bouche m’avait longtemps fait fantasmer. J’aimais la regarder parler, voir ses lèvres charnues prendre des formes improbables. Désormais, je goûtais cette bouche exquise. Obnubilé par ce baiser, je laissais mes mains courir sur son dos, ses bras, sa nuque. Chaque centimètre carré de sa peau recevait mon attention par la caresse de mes doigts. Cloé parcourait mon torse, dessinait les contours de mes abdominaux saillants qu’elle complimenta. Voyant mon inconfort à force de bander, Cloé me libéra du joug de mon maillot en prenant mon sexe dans sa main. Je l’observais découvrir mon entrejambe avec avidité. Elle la fit sienne en la caressant doucement, elle l’embrassant. Elle poussa un rire vif lorsqu’elle me vit ouvrir la bouche, comme si j’étais bloqué. J’essayais de me retenir car j’avais terriblement envie d’elle.
Après un long moment de douces caresses durant lequel nos corps se détendaient, je pris soin d’enlever le reste de ses vêtements tandis que ma queue découvrait sa langue et ses lèvres délicieuses. Allongé sur le dos, je profitais de cette fellation exquise de Cloé. Elle utilisait divinement sa langue, employant beaucoup de salive pour faire disparaître complètement ma hampe tout en me fixant du regard. Je regardais ses beaux yeux bleus en respirant lentement pour profiter au maximum. Placée à quatre pattes, elle se caressait tout en s’occupant de moi, ce qui m’excitait au plus haut point. Après lui avoir tenu la tête tout en faisant d’amples va-et-vient, je glissais ma tête entre ses cuisses. Elle se tenait en position assise sur ma bouche, je l’admirais se toucher les seins. Sa petite poitrine me faisait beaucoup d’effet, notamment grâce à ses petits tétons qui pointaient fermement. Tantôt suçotant, tantôt léchant son clitoris, je lui glissais mon majeur en lui frottant une zone qui lui faisait énormément d’effet. Sa cyprine coulait abondamment sur mes lèvres et je sentais vibrer les parois de son vagin. De plus en plus crispée, Cloé lâchait un râle dans une respiration saccadée. Ses cuisses se contractaient en me serrant le visage, sa bouche était grande ouverte et ses yeux fermés alors que son visage se plissait de jouissance.
Je la laissais reprendre ses esprits en l’enlaçant, la couvrant de caresses. Elle à genoux, je me glissais derrière elle pour masser son dos, toucher son ventre et caresser ses seins durcis de désir. Tournant la tête pour m’embrasser, Cloé me montrait son visage rougi de plaisir. C’était dingue de se dire que la soirée continuait dans la maison, que nos amis s’amusaient habillés alors que j’étais avec elle, nu dans son lit. Nous fusionnions. Mon érection lui marquait sans cesse mon désir, frottant sur sa vulve trempée de plaisir. J’entamais un petit mouvement de bassin régulier, mon sexe glissant sur ses lèvres et son clitoris encore sensible. Elle tenait ma queue pour que mon gland titille son bouton du bonheur puis la plaçait vers l’entrée de son vagin…
Alors que mon gland se frayait un chemin facilement en elle, ses fesses se tendaient vers mon bas-ventre. Je rentrais en elle de quelques centimètres puis ressortais. Cloé tendait encore plus sa croupe, se positionnant à quatre pattes, les coudes posés sur le matelas. Elle me regardait avec interrogation suite à ce retrait. J’agrippais alors ses hanches, frottant mes testicules pleines sur ses lèvres. Elle ondulait sur mon entrejambe, demandant qu’on la délivre de son désir.
Par le passé, j’avais passé un temps fou à reluquer ses cuisses et ses fesses. De belles fesses galbées par le sport que je rêvais de toucher, embrasser, lécher, pénétrer. Au fur et à mesure du temps passé ensemble, j’imaginais Cloé et son corps nu. J’avais désormais ses fesses implorantes entre les mains. Après l’avoir fait languir un moment, je mis fin à son attente. J’enfonçais mon sexe entièrement et intensément en elle puis laissait ma partenaire glisser sur ma tige. Cloé donnait de forts à-coups et ses fesses butaient contre mon ventre. Nous avions souvent parlé de sexe et je connaissais une part de ce qui lui plaisait. Je sortais ma queue entièrement, puis lui rentrait brusquement d’un coup sec. Elle mouillait toujours plus, son nectar coulant sur mes cuisses et mes testicules. Mes coups de boutoir s’intensifiaient et je soignais l’angle de la pénétration pour stimuler cette fameuse zone dans le vagin lui donnant bien du plaisir.
Non loin de l’orgasme, mon sexe se trouvait compressé par de violents spasmes. Accompagnant ses nouvelles contractions musculaires de soupirs très sonores, Cloé avait un nouvel orgasme encore plus intense que le premier. Je l’embrassais, mon sexe bandé en elle. Ma déesse à la crinière d’or me repoussa puis me renversa sur le dos. Une nouvelle fois, elle se plaçait entre mes jambes écartées et engouffrait instinctivement mon chibre enduit de sa mouille au fond de sa gorge, sans que cela ne la dérange. L’application de ses lèvres autour de mon gland me faisait pousser des râles de plaisir : quelques va-et-vient suffirent pour me faire venir et Cloé me souriait tout en recevant ma semence sur la langue. Mes spasmes étaient longs et très intenses, tout comme ce moment que nous partagions ensemble. J’avais du mal à retrouver mon souffle, je me concentrais sur son sourire et sa peau dorée que je caressais sans arrêt depuis notre premier baiser. Je n’avais qu’une hâte, remettre le couvert. Maintenant ou plus tard.
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