Clorinde revient (20)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Clorinde revient (20)
Les clients entraient. Sortaient. C’était un perpétuel va-et-vient. Il servait, encaissait et me jetait de temps en temps de petits coups d’œil par en dessous. En bouillant manifestement d’impatience. Une demi-heure ça a duré. Et puis, enfin, on a été seuls.
Il a attaqué d’emblée.
Vous savez où elle est ?
Non. Vous non plus apparemment.
Il a esquissé une grimace.
Pas la moindre idée. Elle m’a appelé ce matin. Pour me prévenir qu’elle ne viendrait pas travailler aujourd’hui. Demain non plus. Et sans doute pas de toute la semaine. Mais qu’elle reviendrait. Sûr. Il faudrait. Parce que je suis dans de beaux draps sinon. Déjà que Lucie, mon autre serveuse, vient de me donner son préavis.
Elle s’en va ?
Elle s’en va, oui. Des problèmes de couple, paraît-il. Alors si Clorinde me fait aussi faux bond… Si je sais quoi que ce soit, je vous tiens au courant. Promis.
Je veux bien, oui, merci.
Avec un peu de chance, elle va revenir profiter de ma piscine. J’espère, parce que c’était en bonne voie. En très bonne voie. Vous savez que j’ai réussi à faire des photos de ses seins ?
Il a dégluti.
De ses seins ?
De ses seins, oui. Deux merveilles de petits seins. Et quand je dis petits, c’est une façon de parler. Vous voulez les voir ?
S’il voulait !
J’ai sorti mon smartphone. Il s’est penché dessus. J’ai fait défiler. Une fois. Deux fois. Trois.
Pas mal, hein !
Il s’est fait admiratif.
Plutôt, oui. Plutôt !
Et je ne désespère pas de finir par avoir son petit minou. Si je m’y prends bien…J’ai enfoui mon smartphone dans ma poche.
Il m’a regardé faire.
Je… Oui ?
Je pourrais pas les avoir ?
J’ai fait mine d’hésiter.
En maillot, c’était une chose, mais là… Ça restera entre nous. Strictement entre nous. Vous avez ma parole.
Dans ces conditions…Et je les lui ai envoyées.
Il s’est servi un demi. En a poussé un autre dans ma direction. A soupiré.
Je me demande quand même bien où elle a pu passer.
J’avais bien ma petite idée, moi !
Elle serait avec ce Savoy que ça m’étonnerait même pas.
Il y avait pensé, lui aussi, oui.
Surtout qu’il a réglé sa chambre. Qu’il est parti.
Comme par hasard.
Et que… Que ?
Que ça donnait tous les deux hier matin.
Ah, parce que vous les avez…Il a esquissé un petit sourire mi-coupable mi-complice.
La chambre voisine était libre. C’était trop tentant.
Et alors ?
Elle a des orgasmes tonitruants.
Ça m’étonne pas… Je la vois bien dans le rôle. Vous avez enregistré ?
Il a eu l’air interloqué.
Si j’ai… Moi, c’est ce que j’aurais fait à votre place. Et c’est ce que vous avez fait, non ?
Il n’a pas nié.
Ben… Vous m’en faites profiter ? Je vous ai bien offert ses seins, moi ! Donnant donnant, non ? D’autant que j’aurai sûrement encore beaucoup de choses à partager avec vous.
L’argument a porté. Il ne s’est pas fait prier.
Mais top secret, hein !
Ça coule de source.
En attendant, si c’était ça, s’il en était de la comédie avec ce Savoy, à mon avis il y avait pas trop à s’inquiéter.
Parce que ça s’essouffle vite, les histoires de cul.
* * *
C’est moi, Clorinde !
Oui, ça, je t’avais reconnue.
Je vous appelle en coup de vent. Vite fait. J’ai pas trop le temps. Vous êtes passé à l’hôtel aujourd’hui ?
J’y étais passé, oui.
Et alors ? Il prend les choses comment ?
Oh, plutôt pas mal. Je lui ai donné tes seins. Il était ravi. Et il a enregistré tes ébats avec Savoy, l’autre soir.
Ah, ben ça !
Ce qui l’aide à patienter en attendant ton retour. Ça n’a pas été très facile, mais j’ai réussi à lui en soutirer une copie. Tu veux que je te l’envoie ?
Pas la peine, non. J’aurai pas le temps de l’écouter. Quand je reviendrai, on verra ça.
Et tu reviens quand ?
Aucune idée. C’est trop bien ce qu’on vit là, lui et moi. Je suis sur un petit nuage. Je vous raconterai. Tout, bien en détail. Et vous, ça va ? Lydie est avec vous ?
Elle vient juste d’arriver.
Je vous laisse alors. Vous devez avoir plein de choses à vous dire.
Elle a ri.
Et à faire. Mais, hé ! Vous m’attendez, hein, pour écouter l’enregistrement. Et vous tombez pas amoureux. Vous savez bien. Interdit.
Ça, c’est le refrain.
Elle a ri.
Eh, oui !
Et elle a raccroché.
Ça lui rappelait quelque chose, à Lydie, cette histoire de patron qui écoute son employée s’envoyer en l’air.
Eh ben, vas-y, raconte !
C’était au magasin de chaussures où je travaille. Un jeudi. Et le jeudi après-midi, le patron, il va faire le tour des fournisseurs. On reste que toutes les trois. Les trois vendeuses. On se débrouille. On a l’habitude. Sauf que, ce jeudi-là, Léa a profité de son absence pour aller s’enfermer dans notre vestiaire avec un mec qui lui avait tapé dans l’œil. À l’étage il est, ce vestiaire, juste à côté d’un petit bureau qui lui sert, à lui, pour remplir ses paperasses. Et ce qui s’est passé, c’est qu’ils étaient à peine enfermés là-haut, les deux autres, qu’il est revenu. Il avait oublié un truc. Il a grimpé quatre à quatre les escaliers. Et il y est resté là-haut, tu penses bien ! Surtout qu’ils boudaient pas leur plaisir. Comme il y avait pas de clients, nous, Emma et moi, on est allées se mettre sur les premières marches. Ah, pour y aller, ça y allait ! Elle te braillait d’une force, la Léa ! C’est seulement quand ils ont eu fini qu’il est redescendu, lui. Il était rouge, mais rouge ! Ça l’a fait rire aux éclats, elle, quand on lui a raconté après. « Il était là, c’est vrai ? Oh, ben alors, je devrais demander une augmentation. Je l’ai bien méritée, non ? » Et elle l’a fait. Sans lui parler de ça, non, évidemment, mais elle l’a fait.
Et elle l’a obtenue ?
Elle l’a obtenue, oui. Et nous aussi, par la même occasion. C’est vraiment pas le genre de fille qui se prend la tête, Léa. Elle dit ce qu’elle pense. Et elle fait ce qu’elle a envie. Sans se préoccuper du quoi, du comment ni du qu’est-ce. Tu verrais le nombre de types qu’elle se tape dans une année. C’est hallucinant. Et c’est elle qui décide. Toujours. Elle lui demande carrément au mec. « Toi, tu me plais. Ça te dirait pas ? » Tu penses bien qu’ils sautent sur l’occasion. Mais pas tous : il y en a, ça les déstabilise complètement qu’une fille puisse leur faire des avances. Ça l’amuse. « J’aime bien ça aussi, les déboussoler. T’as le dessus sur eux dans ces cas-là. Et moi, avoir le dessus sur un mec… » Emma, elle, c’est un style complètement différent. Disons que, quand elle a quelqu’un, ça dure plus longtemps. Quelques semaines. Quelquefois trois ou quatre mois. Ça dépend. Le temps qu’elle se lasse. Ou qu’elle ait envie de nouveauté.
Et toi ?
Moi ?
Ben oui, toi ! T’es plutôt dans le registre Léa ou plutôt dans le registre Emma ?
Oh, ni l’un ni l’autre.
Lequel alors ?
Pour que je couche, moi, faut qu’il y ait un contexte. Que je sente que le type, d’une façon ou d’une autre, il va me permettre de réaliser l’un de mes fantasmes. Ça m’intéresse pas sinon. Je vais pas réussir à avoir envie. Et ce qui me met le plus dans tous mes états… C’est ?
C’est quelque chose dans le genre de ce que je t’ai raconté l’autre jour. Les types de l’équipe de rugby que je faisais se battre pour moi, là, dans les vestiaires. Dans la vie réelle, un type qui me flashe dessus, j’y fais pas attention plus que ça. Mais dès qu’il y en a deux en même temps, alors là ! Là, je les joue l’un contre l’autre. Je les allume tant que je peux. Je les laisse espérer. Je m’arrange pour qu’ils sachent, l’un comme l’autre, qu’ils ont un rival. Pour qu’ils sachent qui c’est. Tu verrais les trésors d’ingéniosité qu’ils déploient alors pour le supplanter, pour me séduire. Lequel je vais choisir ? Jusqu’au dernier moment j’en sais rien. Mais il y en aura qu’un. Il faut qu’il y en ait qu’un. Et quand je me suis enfin décidé, comme il est comblé, l’heureux élu ! Comme il fait plaisir à voir, son bonheur. ! Comme je me laisse voluptueusement aller dans ses bras !
Et l’autre ?
L’autre ? Il est déçu, forcément. Tellement déçu.
Et elle te ravit, sa déception. Elle te procure un plaisir fou. Beaucoup plus que n’importe quoi d’autre… Non ?
Je… Tu es beaucoup trop perspicace, toi !
Il a attaqué d’emblée.
Vous savez où elle est ?
Non. Vous non plus apparemment.
Il a esquissé une grimace.
Pas la moindre idée. Elle m’a appelé ce matin. Pour me prévenir qu’elle ne viendrait pas travailler aujourd’hui. Demain non plus. Et sans doute pas de toute la semaine. Mais qu’elle reviendrait. Sûr. Il faudrait. Parce que je suis dans de beaux draps sinon. Déjà que Lucie, mon autre serveuse, vient de me donner son préavis.
Elle s’en va ?
Elle s’en va, oui. Des problèmes de couple, paraît-il. Alors si Clorinde me fait aussi faux bond… Si je sais quoi que ce soit, je vous tiens au courant. Promis.
Je veux bien, oui, merci.
Avec un peu de chance, elle va revenir profiter de ma piscine. J’espère, parce que c’était en bonne voie. En très bonne voie. Vous savez que j’ai réussi à faire des photos de ses seins ?
Il a dégluti.
De ses seins ?
De ses seins, oui. Deux merveilles de petits seins. Et quand je dis petits, c’est une façon de parler. Vous voulez les voir ?
S’il voulait !
J’ai sorti mon smartphone. Il s’est penché dessus. J’ai fait défiler. Une fois. Deux fois. Trois.
Pas mal, hein !
Il s’est fait admiratif.
Plutôt, oui. Plutôt !
Et je ne désespère pas de finir par avoir son petit minou. Si je m’y prends bien…J’ai enfoui mon smartphone dans ma poche.
Il m’a regardé faire.
Je… Oui ?
Je pourrais pas les avoir ?
J’ai fait mine d’hésiter.
En maillot, c’était une chose, mais là… Ça restera entre nous. Strictement entre nous. Vous avez ma parole.
Dans ces conditions…Et je les lui ai envoyées.
Il s’est servi un demi. En a poussé un autre dans ma direction. A soupiré.
Je me demande quand même bien où elle a pu passer.
J’avais bien ma petite idée, moi !
Elle serait avec ce Savoy que ça m’étonnerait même pas.
Il y avait pensé, lui aussi, oui.
Surtout qu’il a réglé sa chambre. Qu’il est parti.
Comme par hasard.
Et que… Que ?
Que ça donnait tous les deux hier matin.
Ah, parce que vous les avez…Il a esquissé un petit sourire mi-coupable mi-complice.
La chambre voisine était libre. C’était trop tentant.
Et alors ?
Elle a des orgasmes tonitruants.
Ça m’étonne pas… Je la vois bien dans le rôle. Vous avez enregistré ?
Il a eu l’air interloqué.
Si j’ai… Moi, c’est ce que j’aurais fait à votre place. Et c’est ce que vous avez fait, non ?
Il n’a pas nié.
Ben… Vous m’en faites profiter ? Je vous ai bien offert ses seins, moi ! Donnant donnant, non ? D’autant que j’aurai sûrement encore beaucoup de choses à partager avec vous.
L’argument a porté. Il ne s’est pas fait prier.
Mais top secret, hein !
Ça coule de source.
En attendant, si c’était ça, s’il en était de la comédie avec ce Savoy, à mon avis il y avait pas trop à s’inquiéter.
Parce que ça s’essouffle vite, les histoires de cul.
* * *
C’est moi, Clorinde !
Oui, ça, je t’avais reconnue.
Je vous appelle en coup de vent. Vite fait. J’ai pas trop le temps. Vous êtes passé à l’hôtel aujourd’hui ?
J’y étais passé, oui.
Et alors ? Il prend les choses comment ?
Oh, plutôt pas mal. Je lui ai donné tes seins. Il était ravi. Et il a enregistré tes ébats avec Savoy, l’autre soir.
Ah, ben ça !
Ce qui l’aide à patienter en attendant ton retour. Ça n’a pas été très facile, mais j’ai réussi à lui en soutirer une copie. Tu veux que je te l’envoie ?
Pas la peine, non. J’aurai pas le temps de l’écouter. Quand je reviendrai, on verra ça.
Et tu reviens quand ?
Aucune idée. C’est trop bien ce qu’on vit là, lui et moi. Je suis sur un petit nuage. Je vous raconterai. Tout, bien en détail. Et vous, ça va ? Lydie est avec vous ?
Elle vient juste d’arriver.
Je vous laisse alors. Vous devez avoir plein de choses à vous dire.
Elle a ri.
Et à faire. Mais, hé ! Vous m’attendez, hein, pour écouter l’enregistrement. Et vous tombez pas amoureux. Vous savez bien. Interdit.
Ça, c’est le refrain.
Elle a ri.
Eh, oui !
Et elle a raccroché.
Ça lui rappelait quelque chose, à Lydie, cette histoire de patron qui écoute son employée s’envoyer en l’air.
Eh ben, vas-y, raconte !
C’était au magasin de chaussures où je travaille. Un jeudi. Et le jeudi après-midi, le patron, il va faire le tour des fournisseurs. On reste que toutes les trois. Les trois vendeuses. On se débrouille. On a l’habitude. Sauf que, ce jeudi-là, Léa a profité de son absence pour aller s’enfermer dans notre vestiaire avec un mec qui lui avait tapé dans l’œil. À l’étage il est, ce vestiaire, juste à côté d’un petit bureau qui lui sert, à lui, pour remplir ses paperasses. Et ce qui s’est passé, c’est qu’ils étaient à peine enfermés là-haut, les deux autres, qu’il est revenu. Il avait oublié un truc. Il a grimpé quatre à quatre les escaliers. Et il y est resté là-haut, tu penses bien ! Surtout qu’ils boudaient pas leur plaisir. Comme il y avait pas de clients, nous, Emma et moi, on est allées se mettre sur les premières marches. Ah, pour y aller, ça y allait ! Elle te braillait d’une force, la Léa ! C’est seulement quand ils ont eu fini qu’il est redescendu, lui. Il était rouge, mais rouge ! Ça l’a fait rire aux éclats, elle, quand on lui a raconté après. « Il était là, c’est vrai ? Oh, ben alors, je devrais demander une augmentation. Je l’ai bien méritée, non ? » Et elle l’a fait. Sans lui parler de ça, non, évidemment, mais elle l’a fait.
Et elle l’a obtenue ?
Elle l’a obtenue, oui. Et nous aussi, par la même occasion. C’est vraiment pas le genre de fille qui se prend la tête, Léa. Elle dit ce qu’elle pense. Et elle fait ce qu’elle a envie. Sans se préoccuper du quoi, du comment ni du qu’est-ce. Tu verrais le nombre de types qu’elle se tape dans une année. C’est hallucinant. Et c’est elle qui décide. Toujours. Elle lui demande carrément au mec. « Toi, tu me plais. Ça te dirait pas ? » Tu penses bien qu’ils sautent sur l’occasion. Mais pas tous : il y en a, ça les déstabilise complètement qu’une fille puisse leur faire des avances. Ça l’amuse. « J’aime bien ça aussi, les déboussoler. T’as le dessus sur eux dans ces cas-là. Et moi, avoir le dessus sur un mec… » Emma, elle, c’est un style complètement différent. Disons que, quand elle a quelqu’un, ça dure plus longtemps. Quelques semaines. Quelquefois trois ou quatre mois. Ça dépend. Le temps qu’elle se lasse. Ou qu’elle ait envie de nouveauté.
Et toi ?
Moi ?
Ben oui, toi ! T’es plutôt dans le registre Léa ou plutôt dans le registre Emma ?
Oh, ni l’un ni l’autre.
Lequel alors ?
Pour que je couche, moi, faut qu’il y ait un contexte. Que je sente que le type, d’une façon ou d’une autre, il va me permettre de réaliser l’un de mes fantasmes. Ça m’intéresse pas sinon. Je vais pas réussir à avoir envie. Et ce qui me met le plus dans tous mes états… C’est ?
C’est quelque chose dans le genre de ce que je t’ai raconté l’autre jour. Les types de l’équipe de rugby que je faisais se battre pour moi, là, dans les vestiaires. Dans la vie réelle, un type qui me flashe dessus, j’y fais pas attention plus que ça. Mais dès qu’il y en a deux en même temps, alors là ! Là, je les joue l’un contre l’autre. Je les allume tant que je peux. Je les laisse espérer. Je m’arrange pour qu’ils sachent, l’un comme l’autre, qu’ils ont un rival. Pour qu’ils sachent qui c’est. Tu verrais les trésors d’ingéniosité qu’ils déploient alors pour le supplanter, pour me séduire. Lequel je vais choisir ? Jusqu’au dernier moment j’en sais rien. Mais il y en aura qu’un. Il faut qu’il y en ait qu’un. Et quand je me suis enfin décidé, comme il est comblé, l’heureux élu ! Comme il fait plaisir à voir, son bonheur. ! Comme je me laisse voluptueusement aller dans ses bras !
Et l’autre ?
L’autre ? Il est déçu, forcément. Tellement déçu.
Et elle te ravit, sa déception. Elle te procure un plaisir fou. Beaucoup plus que n’importe quoi d’autre… Non ?
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