club de lesbiennes - histoire érotique

Leslie à Paris – P35 - Les confidences de Laure, l’absente de Charlotte, Diane.

Rencontre, Diane.
Voila deux mois que Charlotte est partie faire un voyage d’études aux Etats-Unis, deux mois que ma petite amante est loin de moi, en plus elle va rester pendant les congés scolaires et ne revenir que fin septembre, encore trois mois sans elle à l’attendre.
Peu de temps après son départ je suis sortie en boîte lesbienne pour me changer les idées et me distraire avec la secrète pensée de faire une rencontre et d’avoir une aventure sans lendemain, histoire de combler ma solitude.
Ce samedi, une quinzaine de jours après le départ de Charlotte, j’ai fait la rencontre d’une jolie femme de 27 ans, rencontrée dans un club de lesbiennes qui après m’avoir draguée m’a proposée de finir la soirée chez elle.
Le filling était bon et le courant était passé entre nous dès les premiers mots échangés ? Cette jolie femme, lesbienne convaincue ne m’avait pas cachée ses intentions, je lui plaisais et comme elle avait remarquée que j’étais venue seule dans ce club, elle avait supposée à juste titre que j’étais venue dans l’intention de faire une rencontre et m’avais aussitôt abordée.
Cultivée la conversation fut plaisante, mais rapidement Diane me fit des confidences sur sa vie et sur ses projets de la soirée.
Cette belle femme d’un blond platine, habillée chic, arborait un joli sourire qui illuminait son visage, d’un physique agréable comme j’aime mes compagnes, fine et cambrée, elle possédait une jolie poitrine pas trop grosse et une cambrure à faire rêver.
Elle vivait seule dans son appartement ayant été quittée par sa compagne avec qui elle était depuis deux ans, et venait elle aussi chercher une jeune fille qui pourrait répondre à ses attentes, c’est pourquoi elle avait flashée sur moi.
Lorsqu’elle me proposa de m’emmener chez elle ce fut tout naturellement que je la suivie, sachant pertinemment que nous finirions la nuit dans le même lit à nous donner du plaisir.
Nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit, cette jolie lesbienne était vraiment chaude et la nuit fut torride, me laissant pantelante et pleine de souvenirs qui me hantent encore aujourd’hui.
Après de longs préliminaires elle à prit un malin plaisir à visiter tous mes trous de ses doigts et de sa langue, puis à ma grande joie et pour mon plus grand plaisir elle m’a sodomisée longuement avec un gode, prenant tout son temps afin de me donner le plaisir maximum, puis ce fut à mon tour à sa demande de m’occuper d’elle.
Puis, au petit matin, après avoir échangées nos numéros de téléphone, je l’ai quittée pour rentrer chez moi, prendre une douche et me recoucher, doucement bercée par les souvenirs de la soirée passée.

Dans les semaines qui suivirent chaque semaine, et ce plusieurs fois par semaine, je suis retournée dans ce club, espérant revoir Diane et retrouver le plaisir dans ses bras, mais ne la revoyant je me retrouvais en compagnie d’une nouvelle connaissance avec qui le plus souvent je retrouvais à faire l’amour et finir la nuit dans son lit, jusqu’au soir ou j’ai retrouvée Diane.
Nous nous sommes tout de suite remarquées et après s’être expliquées simplement, nous avons dansées dans les bras l’une de l’autre. Diane était partie en voyage d’affaires et de retour elle passait voir si j’étais là.
Nous avons partagées quelques verres ensemble, avant de partager une nouvelle fois les même drapsUne nuit de folie comme la première, me confirmant que Diane est une amante formidable, une lesbienne aimant le sexe et usant de tous ses charmes et de tous ses gadgets pour donner du plaisir à sa compagne et se laisser aller lorsqu’on lui en donne.
Comme la première fois nous nous sommes quittées au petit matin non sans que Diane me promette de m’appeler.

Trois jours plus tard Diane me téléphonait en me demandant de venir la retrouver pour boire un verre à la terrasse d’un café, elle m’attendrait me dit’ elle avec bonheur et impatience, elle me parut heureuse quand je lui promis d’être au rendez-vous.
Nous nous sommes retrouvées avec une joie non dissimulées et avons partagées cet instant comme deux amies de longue date, comme si nous ne nous étions pas vues depuis plusieurs semaines, alors que nous corps se souvenaient de la nuit passées ensemble trois jours plus tôt.
Et c’est avec joie, lorsque Diane m’a proposée d’aller en vacances avec elle, et bien que ce soit dans la maison familiale du sud de la France, que j’ai tout de suite acceptéePour fêter l’évènement nous sommes soties au restaurant et avons terminées la nuit ensemble et les autres qui suivirent jusqu’au moment du départ. Nous nous entendions à merveille et je pense sincèrement que Diane, avec moi, était entrain d’oublier son ancienne compagne et que de mon côté Charlotte était aussi loin physiquement que dans mes pensées. Petit à petit nous devenions amoureuses et nos nuits restaient toujours torrides. Mon petit trou m’en donnait la preuve car Diane était, en plus d’une amante accomplie, une adepte de la sodomie tant sur elle que sur ses compagnes, souvent en rigolant elle me disait :Rien que de penser à la sodomie je sens mon anneau frémir et le désir monter, je suis accroc à cette pratique d’où j’en tire bun plaisir intense.

Diane, les vacances.
Le jour du départ, un samedi matin, nous avons chargées la voiture et sommes parties pour la maison familiale de Montpellier, durant le voyage alors que je conduisait Diane ne put s’empêcher de ma ,caresser intimement me mettant dans tous mes états, si bien qu’en arrivant j’étais très excitée et prête à lui sauter dessus dès que nous aurions un instant d’intimité.
Les parents de Diane nous accueillirent chaleureusement et son père lui dit :- Elle est bien jolie ta nouvelle conquête, en plus elle sent l’amour tu dois la mettre dans des états pas possible.
Je fus surprise de cette réflexion mais ne relevait pas, Diane me donnerait certainement des explications plus tard. En effet Diane le soir même, près avoir fait l’amour me dit sous le ton de la confidence que ses parents étaient bisexuels et adeptes de l’échangisme, et que certaines de ses compagnes avaient été draguées soit par son père ou soit par sa mère, finissant parfois par succomber à l’un ou à l’autre et même l’une d’elles ayant finit entre les deux en trio.
- Tu verras me dit-elle tu n’échapperas pas à la tradition, en plus il savent que je suis lesbienne alors cela ne les dérangent pas le moins du monde.
- Je ne suis pas spécialement intéressée, lui dis-je.
- Tu es libre, me dit-elle, et tu verras au moment voulu.
Je lui fis l’amour et la sodomisais une nouvelle fois lui arrachant des cris que ses parent durent entendre, mais peu nous importait à cet instant seul notre plaisir comptait, je me sentais bien avec Diane et pensais que le séjour allait être bon.
Nous avons dormies dans les bras l’une de l’autre, une main sur nos intimités.

A suivre……