Clytia de nouveau aux pieds de la Belle Hélène
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Clytia de nouveau aux pieds de la Belle Hélène
L'Odyssée de La Belle Hélène - Clytia de nouveau aux pieds de la Belle Hélène –
Hélène et Thaïs avaient gravi les pentes de la colline menant à la villa du sculpteur Praxitèle dès que le soir avait nimbé les alentours d'Olympie de sa chape nocturne. Elles avaient revêtu d'amples tuniques d'étoffe noire et portaient des masques noircis de théâtre reproduisant la tête de Méduse grimaçante... Elles n'étaient ainsi que deux ombres furtives, se glissant de bosquets en fourrés, de buissons en rochers... avec pour unique objectif la lumière qui scintillait sur le parvis de la luxueuse villa offerte par les Sages de la Cité au plus grand sculpteur de toute la Grèce, Praxitèle, afin qu'il réalise les plus somptueuses statues pour honorer les Dieux protecteurs de la Cité des Jeux Sacrés. Hélène et Thaïs avaient choisi cette nuit, car un voile nuageux cachait la lune, ainsi Séléné (ou pleine lune) par sa lueur ne viendrait pas trahir leur opération destinée à libérer Clytia, l'esclave appartenant à La Belle Hélène mais aujourd'hui entre les mains du sculpteur et de sa belle et perverse compagne, la fameuse odalisque athénienne, Phryné.
C'est justement Phryné qui menait la danse de cette soirée, à l'intérieur de la villa. Dans la très vaste salle où Praxitèle réalisait ses chefs-d'oeuvre, Clytia était toujours suspendue telle une poupée à une sorte de double potence, à laquelle elle était reliée par un jeu complexe de cordes et de poulies, qui permettaient de la contraindre aux poses les plus improbables et parfois les plus obscènes ! A l'instant même, Phryné venait de manipuler les cordes afin de tordre le buste de l'esclave dans la plus inconfortable des positions, le haut du corps tiré en arrière, les hanches décalées, les cuisses ouvertes, une jambe tendue à l'extrême vers l'arrière, l'autre forcée à pointer vers le sol... Clytia grimaçait sous la tension des cordes qui la contraignaient à subir sans aucune possibilité de résister et moins encore d'échapper à ces vicieuses contorsions imposées et dans laquelle elle était ensuite maintenue de longs, parfois très longs, moments. Praxitèle prenait tout son temps pour peaufiner ses créations, s'inspirant du corps comme désarticulé de l'esclave pour inventer des scènes de combats ou des ébats aussi divins que pornographiques... Ces œuvres-là étant des commandes privées de certains Sages...
Cette pose aussi inélégante qu'indécente que subissait Clytia, était destinée à un ensemble de nymphes fort dénudées entourant un Faune au sexe disproportionné en érection et aux yeux exorbités... Mais les séances duraient plus longtemps encore qu'il n'en fallait à l'artiste, car Phryné interrompait fréquemment son compagnon afin que ce dernier assouvisse ses désirs insatiables de la chair. C'est un de ces moments qu'attendaient Hélène et Thaïs pour intervenir... Après avoir au préalable trompé la vigilance des 2 gardes de la demeure, elles étaient allées se dissimuler dans un petit bouquet d'arbres bas dans le vaste jardin situé sur le côté au même niveau de la terrasse de l’atelier de Praxitèle. Elles observaient ainsi toute la scène et attendaient, tendues par l'importance de ce moment... Thaïs s'étant penchée en avant, offrant sa belle et large croupe arrondie qui se dégageait et Hélène posa la main sur les fesses, passant lentement un doigt dans la raie, sentant le corps de la putain se raidir et s'offrir. Mais le temps n'était pas à la bagatelle et la main d’Hélène claqua sur la peau tendue. Hélène murmura :
- Tiens-toi un peu, catin ! Nous avons une mission à remplir et tu serais prête à te rouler dans la terre comme une chienne en chaleur... Tu auras du plaisir quand j'en aurai décidé ainsi, pour le moment tiens-toi prête, je connais ce genre de femme et elle ne devrait pas tarder à céder à ses plus bas instincts...
En effet, excitée par la pose si impudique qu'elle avait choisi pour l'esclave en suspension, Phryné avait bloqué les cordages et s'était adossée à un bloc de pierre brute, remontant sa tunique juste au-dessus de ses cuisses et commençant à se caresser, tout en malaxant ses seins lourds de l'autre main. Praxitèle semblait soudain distrait de son travail. Le marteau tombait avec moins de régularité sur le burin et le sculpteur détournait le regard pour contempler sa compagne qui gémissait en se caressant... Soudain, la voix devenue rauque de Phryné retentit dans la salle avec un écho...
- Viens ! Lâche donc ces outils et viens, viens me planter ton gros burin ! lança-t-elle avec un accent de désir vulgaire...
Sans plus attendre, Praxitèle s'exécuta et rejoignit l'odalisque qui lui tendait les bras et écartait ses cuisses avec obscénité. Il l'étreignit, la saisit aux hanches et la souleva, exhibant une verge dressée sur laquelle il ramena Phryné, l'empalant sur sa queue avant de la limer en la maintenant appuyée contre le bloc de pierre. Il la baisait brutalement, sans imagination mais avec une ardeur méritoire, jugea Hélène qui préférait généralement les amants bien plus originaux... Il est vrai que peu de mortelles pouvaient se vanter d'avoir connu l'étreinte Du Dieu Apollon Lui Même, ainsi que de quelques autres êtres Divins ! Mais La Belle n'était pas venue pour juger des aptitudes sexuelles de l'artiste le plus admiré de Grèce. Elle brandit un glaive court et Thaïs suivit son mouvement, tenant un coutelas fort aiguisé... Elles jaillirent de leur cachette, telles deux créatures démoniaques de la nuit. En quelques bonds, elles traversèrent la terrasse, piétinant au passage de nombreux parterres de fleurs, faisant tomber une ou deux statues décoratives et firent irruption en un éclair, dans la salle. Thaïs d’un ultime bond plaçant son poignard sur la carotide de Praxitèle...
- Ne t'arrête pas petit homme... baise la et ne pense à rien d'autre…
Phryné se figea sentant la menace, tandis que le sculpteur débanda à vue d’œil, trop apeuré par cette subite intervention ayant le couteau sous la gorge, au sens propre du terme ! Tous les deux saisis par la surprise de l’assaut s’immobilisèrent voyant donc le coutelas prêt à trancher une gorge au moindre geste de rébellion. Pendant ce temps, Hélène coupait avec prudence les cordages qui réduisaient Clytia à l'état de pauvre pantin... La Maîtresse voulait éviter qu'une tension brusque ne puisse blesser Son esclave... il lui fallut donc un moment pour enfin pouvoir manier les poulies et ramener l'esclave jusqu'au sol, où elle s'affala comme privée de mouvements. Hélène vint jusqu'à elle et s'accroupit à côté... Clytia entrouvrit un œil :
- Oh ! Divine Maîtresse, je savais que Vous viendriez... Votre venue a été mon unique espoir… Seule l’idée de vous retrouver… d’être à nouveau à Vos Divins pieds, m’a permis de survivre … Vous êtes ma seule raison de vivre…
Et Clytia se mit à pleurer dans les bras de la Belle Maîtresse, trop d’émotions la submergeaient. Hélène lui caressa la joue tendrement, séchant ses larmes de sa divine main. La scène était d’une douceur infinie. Hélène lui adressa un large et rassurant sourire empli de tendresse, d’affection, d’Amour …
- Détends-toi Ma belle esclave, maintenant tu n’as plus rien à craindre, Je suis là et Je vais m'occuper de toi …
Elle rejoignit Thaïs qui s'effaça devant Elle. La Belle Hélène, le glaive menaçant en main, tira Praxitèle par sa tunique et l'écarta. Celui-ci se retrouva de nouveau sous la menace du coutelas de Thaïs. Hélène face à Phryné, gifla l'odalisque d’une volée de baffes puissantes et rapides. La belle Phryné adossée au roc, glissa de tout son corps le long du bloc de pierre, mais Hélène la retint en lui saisissant les cheveux. La tenant ainsi, elle l'entraîna à travers la salle, jusqu'à Clytia qui n'avait pas bougé. Hélène poussa Phryné auprès de l'esclave :
- Masses ses membres ! Masses-la et soulages-la ou je serai sans pitié
Hébétée, l'odalisque comprit cependant qu'il était prudent d'obéir. Et avec application se remémorant les gestes appris dans les plus élégants bordels d'Athènes, elle commença à masser le corps endolori et les membres meurtris de celle qui avait été sa souffre-douleur depuis plusieurs jours... Tandis que Thaïs tenait Praxitèle sous la menace de son poignard, Hélène tenait fermement Phryné par les cheveux tandis que l'odalisque massait les membres endoloris de Clytia qui retrouvait lentement ses esprits. Enfin, l'esclave parvint à se redresser et dans un premier temps, sur un geste quasi instinctif, envoya une terrible gifle à Phryné qui roula sur le sol. Immédiatement après, Clytia se jeta aux pieds d’Hélène, lui baisant le bout de ses sandales souples de cuir noir...
- Oh Maîtresse ! Divine Maîtresse !
La Belle Hélène observait Son esclave tellement dévouée en pleine démonstration de pure et sincère dévotion et savourait cela, savourait cette Vénération sans bornes qu'elle avait su susciter dans l'esprit de cette jeune et belle aristocrate spartiate, élevée dans la fierté de ce qu'elle était et qui avait tout abandonné pour vivre désormais et à jamais dans la servilité et l'humiliation... heureuse d'être à la seule place pour laquelle les Dieux lui avaient prêté vie. Mais avant de pouvoir savourer pleinement le retour de Son esclave à Ses Pieds, imaginant toute sorte de combinaisons avec la délicieuse et perverse Thaïs, Hélène devait tout d'abord rétablir l'ordre des choses en ces lieux. Thaïs qui savait à qui s'en tenir avait déjà déchiré la tunique de Praxitèle et poussait le sculpteur nu comme un ver vers les potences où, un instant plus tôt était exhibée Clytia. Phryné attendait, répandue sur le sol tel un tas de chiffons... Hélène eut un pervers sourire et saisit la brune odalisque par le bras, la forçant à se relever, puis sous les yeux des trois autres, elle pointa son glaive court et déchira la tunique, Phryné rattrapant les pans de sa tunique pour tenter de dissimuler sa nudité...
En effet, depuis ses fameux déboires athéniens, Phryné ne supportait plus que sa nudité soit exhibée, raison pour laquelle Praxitèle avait besoin d'une autre femme afin que celle-ci pose nue. La saisissant à nouveau par les cheveux, Hélène tira Phryné vers Elle et la força à relâcher les pans d'étoffe d'un coup du plat de son glaive sur les mains, l'odalisque éperdue lâche le tissu qui s'étiola sur le sol telle une fleur qui se fane. Dans sa nudité désormais exhibée, Phryné montrait les perfections charnues de ses courbes, le temps n'avait pas eu de prise sur sa magnifique plastique. Le regard ombrageux, elle fixait Hélène tout en cachant ses seins lourds mais pourtant fermes avec les mains.
- Tiens lui les bras, qu'on la voie ! ordonna Hélène en s’adressant à Clytia.
L’esclave de la Belle Hélène se fit une joie de s'approcher de Phryné et de la contraindre à se tenir avec les bras étirés en arrière, révélant sa parfaite poitrine, son ventre bien proportionné, sa chatte à la toison finement ciselée... L'odalisque gigotait mais sans vraiment se défendre, presque soulagée de subir à nouveau cette exhibition humiliante de son corps qu'elle avait tant de fois vendu jadis aux plus illustres Penseurs, Guerriers ou Riches marchands d'Athènes... Du pied, Clytia la forçait à écarter les jambes, afin de se montrer plus nue encore. Mais cette épreuve ne suffisait pas à venger La Belle Hélène...
(A suivre …)
Hélène et Thaïs avaient gravi les pentes de la colline menant à la villa du sculpteur Praxitèle dès que le soir avait nimbé les alentours d'Olympie de sa chape nocturne. Elles avaient revêtu d'amples tuniques d'étoffe noire et portaient des masques noircis de théâtre reproduisant la tête de Méduse grimaçante... Elles n'étaient ainsi que deux ombres furtives, se glissant de bosquets en fourrés, de buissons en rochers... avec pour unique objectif la lumière qui scintillait sur le parvis de la luxueuse villa offerte par les Sages de la Cité au plus grand sculpteur de toute la Grèce, Praxitèle, afin qu'il réalise les plus somptueuses statues pour honorer les Dieux protecteurs de la Cité des Jeux Sacrés. Hélène et Thaïs avaient choisi cette nuit, car un voile nuageux cachait la lune, ainsi Séléné (ou pleine lune) par sa lueur ne viendrait pas trahir leur opération destinée à libérer Clytia, l'esclave appartenant à La Belle Hélène mais aujourd'hui entre les mains du sculpteur et de sa belle et perverse compagne, la fameuse odalisque athénienne, Phryné.
C'est justement Phryné qui menait la danse de cette soirée, à l'intérieur de la villa. Dans la très vaste salle où Praxitèle réalisait ses chefs-d'oeuvre, Clytia était toujours suspendue telle une poupée à une sorte de double potence, à laquelle elle était reliée par un jeu complexe de cordes et de poulies, qui permettaient de la contraindre aux poses les plus improbables et parfois les plus obscènes ! A l'instant même, Phryné venait de manipuler les cordes afin de tordre le buste de l'esclave dans la plus inconfortable des positions, le haut du corps tiré en arrière, les hanches décalées, les cuisses ouvertes, une jambe tendue à l'extrême vers l'arrière, l'autre forcée à pointer vers le sol... Clytia grimaçait sous la tension des cordes qui la contraignaient à subir sans aucune possibilité de résister et moins encore d'échapper à ces vicieuses contorsions imposées et dans laquelle elle était ensuite maintenue de longs, parfois très longs, moments. Praxitèle prenait tout son temps pour peaufiner ses créations, s'inspirant du corps comme désarticulé de l'esclave pour inventer des scènes de combats ou des ébats aussi divins que pornographiques... Ces œuvres-là étant des commandes privées de certains Sages...
Cette pose aussi inélégante qu'indécente que subissait Clytia, était destinée à un ensemble de nymphes fort dénudées entourant un Faune au sexe disproportionné en érection et aux yeux exorbités... Mais les séances duraient plus longtemps encore qu'il n'en fallait à l'artiste, car Phryné interrompait fréquemment son compagnon afin que ce dernier assouvisse ses désirs insatiables de la chair. C'est un de ces moments qu'attendaient Hélène et Thaïs pour intervenir... Après avoir au préalable trompé la vigilance des 2 gardes de la demeure, elles étaient allées se dissimuler dans un petit bouquet d'arbres bas dans le vaste jardin situé sur le côté au même niveau de la terrasse de l’atelier de Praxitèle. Elles observaient ainsi toute la scène et attendaient, tendues par l'importance de ce moment... Thaïs s'étant penchée en avant, offrant sa belle et large croupe arrondie qui se dégageait et Hélène posa la main sur les fesses, passant lentement un doigt dans la raie, sentant le corps de la putain se raidir et s'offrir. Mais le temps n'était pas à la bagatelle et la main d’Hélène claqua sur la peau tendue. Hélène murmura :
- Tiens-toi un peu, catin ! Nous avons une mission à remplir et tu serais prête à te rouler dans la terre comme une chienne en chaleur... Tu auras du plaisir quand j'en aurai décidé ainsi, pour le moment tiens-toi prête, je connais ce genre de femme et elle ne devrait pas tarder à céder à ses plus bas instincts...
En effet, excitée par la pose si impudique qu'elle avait choisi pour l'esclave en suspension, Phryné avait bloqué les cordages et s'était adossée à un bloc de pierre brute, remontant sa tunique juste au-dessus de ses cuisses et commençant à se caresser, tout en malaxant ses seins lourds de l'autre main. Praxitèle semblait soudain distrait de son travail. Le marteau tombait avec moins de régularité sur le burin et le sculpteur détournait le regard pour contempler sa compagne qui gémissait en se caressant... Soudain, la voix devenue rauque de Phryné retentit dans la salle avec un écho...
- Viens ! Lâche donc ces outils et viens, viens me planter ton gros burin ! lança-t-elle avec un accent de désir vulgaire...
Sans plus attendre, Praxitèle s'exécuta et rejoignit l'odalisque qui lui tendait les bras et écartait ses cuisses avec obscénité. Il l'étreignit, la saisit aux hanches et la souleva, exhibant une verge dressée sur laquelle il ramena Phryné, l'empalant sur sa queue avant de la limer en la maintenant appuyée contre le bloc de pierre. Il la baisait brutalement, sans imagination mais avec une ardeur méritoire, jugea Hélène qui préférait généralement les amants bien plus originaux... Il est vrai que peu de mortelles pouvaient se vanter d'avoir connu l'étreinte Du Dieu Apollon Lui Même, ainsi que de quelques autres êtres Divins ! Mais La Belle n'était pas venue pour juger des aptitudes sexuelles de l'artiste le plus admiré de Grèce. Elle brandit un glaive court et Thaïs suivit son mouvement, tenant un coutelas fort aiguisé... Elles jaillirent de leur cachette, telles deux créatures démoniaques de la nuit. En quelques bonds, elles traversèrent la terrasse, piétinant au passage de nombreux parterres de fleurs, faisant tomber une ou deux statues décoratives et firent irruption en un éclair, dans la salle. Thaïs d’un ultime bond plaçant son poignard sur la carotide de Praxitèle...
- Ne t'arrête pas petit homme... baise la et ne pense à rien d'autre…
Phryné se figea sentant la menace, tandis que le sculpteur débanda à vue d’œil, trop apeuré par cette subite intervention ayant le couteau sous la gorge, au sens propre du terme ! Tous les deux saisis par la surprise de l’assaut s’immobilisèrent voyant donc le coutelas prêt à trancher une gorge au moindre geste de rébellion. Pendant ce temps, Hélène coupait avec prudence les cordages qui réduisaient Clytia à l'état de pauvre pantin... La Maîtresse voulait éviter qu'une tension brusque ne puisse blesser Son esclave... il lui fallut donc un moment pour enfin pouvoir manier les poulies et ramener l'esclave jusqu'au sol, où elle s'affala comme privée de mouvements. Hélène vint jusqu'à elle et s'accroupit à côté... Clytia entrouvrit un œil :
- Oh ! Divine Maîtresse, je savais que Vous viendriez... Votre venue a été mon unique espoir… Seule l’idée de vous retrouver… d’être à nouveau à Vos Divins pieds, m’a permis de survivre … Vous êtes ma seule raison de vivre…
Et Clytia se mit à pleurer dans les bras de la Belle Maîtresse, trop d’émotions la submergeaient. Hélène lui caressa la joue tendrement, séchant ses larmes de sa divine main. La scène était d’une douceur infinie. Hélène lui adressa un large et rassurant sourire empli de tendresse, d’affection, d’Amour …
- Détends-toi Ma belle esclave, maintenant tu n’as plus rien à craindre, Je suis là et Je vais m'occuper de toi …
Elle rejoignit Thaïs qui s'effaça devant Elle. La Belle Hélène, le glaive menaçant en main, tira Praxitèle par sa tunique et l'écarta. Celui-ci se retrouva de nouveau sous la menace du coutelas de Thaïs. Hélène face à Phryné, gifla l'odalisque d’une volée de baffes puissantes et rapides. La belle Phryné adossée au roc, glissa de tout son corps le long du bloc de pierre, mais Hélène la retint en lui saisissant les cheveux. La tenant ainsi, elle l'entraîna à travers la salle, jusqu'à Clytia qui n'avait pas bougé. Hélène poussa Phryné auprès de l'esclave :
- Masses ses membres ! Masses-la et soulages-la ou je serai sans pitié
Hébétée, l'odalisque comprit cependant qu'il était prudent d'obéir. Et avec application se remémorant les gestes appris dans les plus élégants bordels d'Athènes, elle commença à masser le corps endolori et les membres meurtris de celle qui avait été sa souffre-douleur depuis plusieurs jours... Tandis que Thaïs tenait Praxitèle sous la menace de son poignard, Hélène tenait fermement Phryné par les cheveux tandis que l'odalisque massait les membres endoloris de Clytia qui retrouvait lentement ses esprits. Enfin, l'esclave parvint à se redresser et dans un premier temps, sur un geste quasi instinctif, envoya une terrible gifle à Phryné qui roula sur le sol. Immédiatement après, Clytia se jeta aux pieds d’Hélène, lui baisant le bout de ses sandales souples de cuir noir...
- Oh Maîtresse ! Divine Maîtresse !
La Belle Hélène observait Son esclave tellement dévouée en pleine démonstration de pure et sincère dévotion et savourait cela, savourait cette Vénération sans bornes qu'elle avait su susciter dans l'esprit de cette jeune et belle aristocrate spartiate, élevée dans la fierté de ce qu'elle était et qui avait tout abandonné pour vivre désormais et à jamais dans la servilité et l'humiliation... heureuse d'être à la seule place pour laquelle les Dieux lui avaient prêté vie. Mais avant de pouvoir savourer pleinement le retour de Son esclave à Ses Pieds, imaginant toute sorte de combinaisons avec la délicieuse et perverse Thaïs, Hélène devait tout d'abord rétablir l'ordre des choses en ces lieux. Thaïs qui savait à qui s'en tenir avait déjà déchiré la tunique de Praxitèle et poussait le sculpteur nu comme un ver vers les potences où, un instant plus tôt était exhibée Clytia. Phryné attendait, répandue sur le sol tel un tas de chiffons... Hélène eut un pervers sourire et saisit la brune odalisque par le bras, la forçant à se relever, puis sous les yeux des trois autres, elle pointa son glaive court et déchira la tunique, Phryné rattrapant les pans de sa tunique pour tenter de dissimuler sa nudité...
En effet, depuis ses fameux déboires athéniens, Phryné ne supportait plus que sa nudité soit exhibée, raison pour laquelle Praxitèle avait besoin d'une autre femme afin que celle-ci pose nue. La saisissant à nouveau par les cheveux, Hélène tira Phryné vers Elle et la força à relâcher les pans d'étoffe d'un coup du plat de son glaive sur les mains, l'odalisque éperdue lâche le tissu qui s'étiola sur le sol telle une fleur qui se fane. Dans sa nudité désormais exhibée, Phryné montrait les perfections charnues de ses courbes, le temps n'avait pas eu de prise sur sa magnifique plastique. Le regard ombrageux, elle fixait Hélène tout en cachant ses seins lourds mais pourtant fermes avec les mains.
- Tiens lui les bras, qu'on la voie ! ordonna Hélène en s’adressant à Clytia.
L’esclave de la Belle Hélène se fit une joie de s'approcher de Phryné et de la contraindre à se tenir avec les bras étirés en arrière, révélant sa parfaite poitrine, son ventre bien proportionné, sa chatte à la toison finement ciselée... L'odalisque gigotait mais sans vraiment se défendre, presque soulagée de subir à nouveau cette exhibition humiliante de son corps qu'elle avait tant de fois vendu jadis aux plus illustres Penseurs, Guerriers ou Riches marchands d'Athènes... Du pied, Clytia la forçait à écarter les jambes, afin de se montrer plus nue encore. Mais cette épreuve ne suffisait pas à venger La Belle Hélène...
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