Clytia et le Sage d'Olympie
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Clytia et le Sage d'Olympie
L'Odyssée de La Belle Hélène - Clytia et le Sage d'Olympie –
Quelle impudeur ! Les hommes massés tout autour de l'estrade du marchand d'esclaves demeuraient saisis par la danse lascive de Clytia qui se livrait totalement, faisant passer l'élégance de ses gestes si sensuels et avec tant de volupté après l'indécence de ses positions. A la façon dont elle s'exhibait au gré de ses ondulations, roulant des hanches et exposant sa croupe, il n'était plus un seul point de son anatomie qui eut pu échapper aux regards de ces hommes émoustillés dont la plupart sentaient leur verge se gonfler sans qu'ils puissent retenir l'excitation qui les gagnait à ce chaud et vicieux spectacle. Patnos, lui, enrageait ! Dans son esprit, l'esclave lui appartenait ! Il l'avait conquise, domptée, possédée... Bien sûr, il savait qu'elle se livrait ainsi car tel était l'état de l'esclave, qu'elle ne pouvait se soustraire aux exigences de celui qui venait de l'acquérir, dans le seul et unique but de la revendre à prix d'or, ayant flairé en la belle Clytia, une pièce rare ! Elle n'était au fond qu'une esclave, une créature servile, destinée à l'obéissance, il était naturel qu'elle se soumit ainsi aux volontés de son actuel propriétaire, comme elle se plierait demain aux caprices de Celui qui l'aurait achetée...
Patnos donc, serra les poings ! Nul autre que lui ne plierait ce merveilleux corps à ses désirs ! Nul autre ! Ruminant sa colère, il attendit que débute la vente. Même en s'étant rendu seul maître de la bourse emplie de pièces, bourse gonflée par la vente de Clytia et celle d'Endymion, dérobée à ses anciens complices, il n'aurait sans doute pas la somme suffisante pour surenchérir. Il attendrait son heure et pour cela, devait voir qui allait remporter l'enchère. D'un claquement de fouet, le marchand mit fin à l'exhibition de son esclave. Avec habileté, il avait réussi à enrouler l'extrémité de son fouet autour du cou de Clytia, sans pour autant mordre assez la chair pour la marquer. Juste assez pour interrompre sa danse et l'attirer jusqu'à lui, la plaquant contre son corps et passant sa main libre sur le corps lisse et ruisselant de sueur :
- C'est bien, esclave, très bien... Ils sont bouillants de désir ! Tu vas me rapporter une grosse fortune ma belle chienne susurra-t-il à Clytia
Celle-ci reprenait son souffle. Il la toisa avec gourmandise avant de libérer le cou gracile et de pousser l'esclave mise à la vente sur le devant de l'estrade, exposée dans toute la splendeur de sa nudité. Pour ceux qui n'avaient jamais eu l'incommensurable honneur de contempler La Belle Hélène, Clytia pouvait passer pour l'une des plus belles femmes jamais née dans le Monde Grec. Si la jeune femme avait le port noble de sa naissance aristocratique, un corps aux courbes parfaites et l'impudeur de la plus perverse des catins, elle ne pouvait pourtant pas rivaliser avec La Divine Hélène, qui avait séduit les Rois, entraîné l'anéantissement d'Une Cité, provoqué la plus grande guerre qui eut jamais agité le monde grec ! Mais ici, dans les faubourgs d'Olympie, dans cet immense marché aux esclaves, où des milliers d'humains étaient réduits à l'état de bétail asservi, Clytia brillait d'une beauté sans pareille. Et la transpiration qui faisait luire son corps ne lui ajoutait que plus de charmes encore… Dès que la vente fut lancée, les offres grimpèrent en flèche ! Les plus riches Olympiens étaient présents et tous voulaient pouvoir éblouir en se rendant acquéreurs de cette beauté qui les avait fait bander si dur ! Les sommes s'envolaient, les hommes présents, certains en tout cas, étant prêts à dépenser pour cette seule femelle ce qu'ils n'auraient pas déboursé pour une centaine de mâles vigoureux qui leur rapporteraient en usant leurs forces dans les mines… Peu à peu, le nombre de prétendants s'amenuisait cependant, vues les sommes de plus en plus élevées qui fusèrent ci et là. Ils n'étaient plus que trois notables... Un riche sculpteur, un homme d'affaires du commerce de la soie et le représentant des Sages d'Olympie, qui voyait dans cette femelle une parfaite récompense pour l'un des futurs vainqueurs des Jeux Sacrés et donc auparavant, naturellement, il reviendrait aux Sages de juger des qualités de cette esclave dont ils auraient la garde...
Les sommes avancées pour acheter Clytia faisaient tourner les têtes. Patnos était fasciné par la valeur que l'on accordait ici à celle qui, la veille encore offrait docilement sa bouche pour soulager sa verge excitée... Il l'avait eue maintes fois, avait pénétré et possédé chacun des orifices de cette magnifique femelle dont il voulait faire sa propriété définitive... Quel que soit le vainqueur des enchères, le jeune brigand était bien décidé à lui faire rendre gorge et à reprendre "sa" Clytia... Finalement, un arrangement était survenu entre le sculpteur et le Sage du temple d'Olympie. Alliés et apparemment amis, ils venaient de mettre fin aux enchères, l'homme d'affaires quittant l'estrade en maudissant les complots, très en colère... Selon les termes de l'accord qu'ils avaient conclu, les Sages disposeraient d'abord de l'esclave afin de déterminer si elle était digne de figurer au nombre des offrandes, puis, elle serait confiée au sculpteur afin qu'il put immortaliser ses courbes dans le marbre pour en faire une statue grandeur nature, puis elle reviendrait au Temple et serait préparée pour devenir l'un des lots destinés aux futurs champions olympiques. Car Seul un presque Dieu, un vainqueur des plus grands Jeux du Monde Grec pouvait se voir offrir comme récompense une telle femelle. Clytia fut donc livrée au Sage... deux gardes du bataillon sacré d'Olympie s'approchèrent et passèrent une corde au cou de l'esclave, entravant également ses poignets dans le dos... Puis à la suite du Sage, ils l'entraînèrent à leur suite vers les dépendances extérieures, puisque nulle femelle, libre ou esclave, ne devait franchir les limites de l'enceinte Sacrée d'Olympie pendant la durée de l'Olympiade.
Patnos contempla "sa" Clytia qui s'éloignait, suivant docilement son nouveau propriétaire, fendant la foule curieuse dont certains osaient parfois tendre une main afin d'effleurer ce corps, cette peau veloutée, si désirable... Le brigand savait qu'il ne serait pas de taille à récupérer Clytia chez les Sages, où les lieux étaient trop bien protégés par toute une escorte de gardes armés, mais ayant bien entendu l’accord convenu entre les 2 notables, il savait qu'elle serait bientôt chez le sculpteur et là... il ne manquerait pas de reconquérir celle qui, dans son esprit fasciné, n'avait jamais cessé de lui appartenir. Une fois dans l'enceinte Sacrée, les gardes laissèrent Clytia en compagnie du Sage qui l'avait achetée. Ils étaient dans une vaste salle dont le centre était occupé par une grande table sur laquelle s'entassaient des tas de documents... Le Sage entraîna Clytia :
- Tu appartiens désormais à la Cité d'Olympie et tu seras offerte au plus glorieux des champions, parmi d'autres babioles. Mais auparavant, il nous faut savoir si tu es digne de ce destin !…
Sans plus de mots et soudainement, il saisit Clytia et la fit pencher sur la table, buste en avant... il la prit par les hanches, dégagea son pénis de sa tunique et encula l'esclave d'un coup sec ! Le vieux Sage ahanait en enculant la belle esclave qui n'esquissa aucun mouvement de refus. Au contraire, elle s'ouvrait et s'offrait autant que ses entraves et sa position le lui permettait, pendant que le vieil homme encore fort viril poussait son sexe au plus profond de son cul. Il l'encula brutalement, violemment... prestement... et pas très longtemps, lâchant un flot de semence dans un râle bruyant... Il était encore vert, mais plutôt brièvement, ce qui n'était pas pour satisfaire Clytia, tellement excitée par la danse qu'elle avait effectué et par l'onde de désir qu'elle avait ressentie devant de ce parterre d'hommes en rut ! Elle avait envie de sexe, envie de foutre ! Envie d'être bousculée, pénétrée, possédée, ainsi que savait le faire le petit Patnos, certes maladroit et inexpérimenté mais tellement viril ! Le Sage venait de se pencher sur elle, lui léchant le dos, fouillant son intimité de ses doigts noueux... il respirait fort et lui murmurait des mots obscènes tout en bavant sur elle... Puis, il la retourna et poursuivit ainsi ses attouchements, poissant ses doigts de mouille qu'il lui faisait ensuite lécher.
- Suffit, putain ! lança-t-il soudain
Ce fut dit d’un ton autoritaire et sans appel tout en se redressant et forçant Clytia à se lever de la table avant de la gifler à toute volée. Il se saisit d'une fine badine de roseau qui traînait sur la table et commença à la flageller... Il la fit mettre à quatre pattes ou plutôt couchée sur le ventre car elle avait les poignets entravés dans le dos. Et lui frappait avec énergie, marquant les fesses nues et sans défense de Clytia que ses entraves empêchaient de se protéger. Le Sage la poussait du pied sans cesser les coups de badine, dosant sciemment ceux-ci afin de lui infliger une rude correction sans pour autant abîmer celle qu'il avait payée si cher ! Tout en la frappant, le vieux Sage se mettait à bander à nouveau !
- Viens là ! Viens ! ordonna-t-il à l'esclave
Clytia alors avança en rampant jusqu'à lui, telle une larve privée de membres, sous les coups qui pleuvaient plus rapidement au fur et à mesure que l'excitation gagnait le Sage. Enfin avec difficulté, elle parvint à s'agenouiller à ses pieds et elle ouvrit grand la bouche, ayant naturellement compris ce qu'il voulait. Sans se servir de ses mains, il avança son membre tendu vers les lèvres tremblantes et l'enfonça dans la bouche offerte, poussant jusqu'à heurter le palais en se maintenant ainsi jusqu'à couper le souffle de Clytia. Il commença alors à aller et venir dans la bouche de l'esclave qui le suçait avec dévouement, aspirant la verge dure, l'avalant jusqu'à la garde en prenant bien soin de ne jamais l'effleurer de ses petites dents nacrées.
- Aaah ! Aaaah salope ! Chienne ! Sale chienne !, hurlait-il en fourrant sa grosse queue à grands coups de reins, dans la bouche docile...
Jusqu'à un nouveau râle de plaisir lorsqu'une seconde fois, il expulsa sa semence, inondant la bouche de Clytia d'un flot moins abondant que précédemment et tellement plus clair... L'esclave avala ce foutre, puis s'appliqua à lécher et sucer la verge qui ramollissait, la prenant toute entière en bouche et léchant le gland de sa langue douce et soyeuse... Le Sage haletait, ses bras pendant le long de son corps, tenant encore la badine qu'il n'avait plus la force de lever, bien qu'il eut tellement envie de voir encore ce si beau corps aux courbes harmonieuses gigoter sous les coups. Clytia demeurait agenouillée, docilement, consciente que le Sage ne l'était pas tant que ça, sage, et qu'il avait sans doute encore quelques abus à lui infliger avant de la présenter à d'autres... En effet, gémissant un peu, il saisit sa queue et se mit à pisser en dirigeant le jet de liquide doré vers le visage de l'esclave qui reçut sans broncher cette douche soudaine et odorante. Il pissait d'abondance, aspergeant le visage et le corps de la femelle qui recevait la pisse sur elle la tête renversée en arrière, bouche ouverte, des filets d'urine dégoulinant dans sa bouche, sur son corps, comme des ruisseaux se frayant un chemin entre monts et vallons... Clytia subissait, humblement, docilement, elle n'avait qu'une idée en tête... être acceptée, mériter la confiance de ses maîtres pour mieux les tromper, leur échapper et rejoindre enfin sa Divine Maîtresse, La Seule, La Belle Hélène à qui elle avait voué sa vie...
(A suivre…)
Quelle impudeur ! Les hommes massés tout autour de l'estrade du marchand d'esclaves demeuraient saisis par la danse lascive de Clytia qui se livrait totalement, faisant passer l'élégance de ses gestes si sensuels et avec tant de volupté après l'indécence de ses positions. A la façon dont elle s'exhibait au gré de ses ondulations, roulant des hanches et exposant sa croupe, il n'était plus un seul point de son anatomie qui eut pu échapper aux regards de ces hommes émoustillés dont la plupart sentaient leur verge se gonfler sans qu'ils puissent retenir l'excitation qui les gagnait à ce chaud et vicieux spectacle. Patnos, lui, enrageait ! Dans son esprit, l'esclave lui appartenait ! Il l'avait conquise, domptée, possédée... Bien sûr, il savait qu'elle se livrait ainsi car tel était l'état de l'esclave, qu'elle ne pouvait se soustraire aux exigences de celui qui venait de l'acquérir, dans le seul et unique but de la revendre à prix d'or, ayant flairé en la belle Clytia, une pièce rare ! Elle n'était au fond qu'une esclave, une créature servile, destinée à l'obéissance, il était naturel qu'elle se soumit ainsi aux volontés de son actuel propriétaire, comme elle se plierait demain aux caprices de Celui qui l'aurait achetée...
Patnos donc, serra les poings ! Nul autre que lui ne plierait ce merveilleux corps à ses désirs ! Nul autre ! Ruminant sa colère, il attendit que débute la vente. Même en s'étant rendu seul maître de la bourse emplie de pièces, bourse gonflée par la vente de Clytia et celle d'Endymion, dérobée à ses anciens complices, il n'aurait sans doute pas la somme suffisante pour surenchérir. Il attendrait son heure et pour cela, devait voir qui allait remporter l'enchère. D'un claquement de fouet, le marchand mit fin à l'exhibition de son esclave. Avec habileté, il avait réussi à enrouler l'extrémité de son fouet autour du cou de Clytia, sans pour autant mordre assez la chair pour la marquer. Juste assez pour interrompre sa danse et l'attirer jusqu'à lui, la plaquant contre son corps et passant sa main libre sur le corps lisse et ruisselant de sueur :
- C'est bien, esclave, très bien... Ils sont bouillants de désir ! Tu vas me rapporter une grosse fortune ma belle chienne susurra-t-il à Clytia
Celle-ci reprenait son souffle. Il la toisa avec gourmandise avant de libérer le cou gracile et de pousser l'esclave mise à la vente sur le devant de l'estrade, exposée dans toute la splendeur de sa nudité. Pour ceux qui n'avaient jamais eu l'incommensurable honneur de contempler La Belle Hélène, Clytia pouvait passer pour l'une des plus belles femmes jamais née dans le Monde Grec. Si la jeune femme avait le port noble de sa naissance aristocratique, un corps aux courbes parfaites et l'impudeur de la plus perverse des catins, elle ne pouvait pourtant pas rivaliser avec La Divine Hélène, qui avait séduit les Rois, entraîné l'anéantissement d'Une Cité, provoqué la plus grande guerre qui eut jamais agité le monde grec ! Mais ici, dans les faubourgs d'Olympie, dans cet immense marché aux esclaves, où des milliers d'humains étaient réduits à l'état de bétail asservi, Clytia brillait d'une beauté sans pareille. Et la transpiration qui faisait luire son corps ne lui ajoutait que plus de charmes encore… Dès que la vente fut lancée, les offres grimpèrent en flèche ! Les plus riches Olympiens étaient présents et tous voulaient pouvoir éblouir en se rendant acquéreurs de cette beauté qui les avait fait bander si dur ! Les sommes s'envolaient, les hommes présents, certains en tout cas, étant prêts à dépenser pour cette seule femelle ce qu'ils n'auraient pas déboursé pour une centaine de mâles vigoureux qui leur rapporteraient en usant leurs forces dans les mines… Peu à peu, le nombre de prétendants s'amenuisait cependant, vues les sommes de plus en plus élevées qui fusèrent ci et là. Ils n'étaient plus que trois notables... Un riche sculpteur, un homme d'affaires du commerce de la soie et le représentant des Sages d'Olympie, qui voyait dans cette femelle une parfaite récompense pour l'un des futurs vainqueurs des Jeux Sacrés et donc auparavant, naturellement, il reviendrait aux Sages de juger des qualités de cette esclave dont ils auraient la garde...
Les sommes avancées pour acheter Clytia faisaient tourner les têtes. Patnos était fasciné par la valeur que l'on accordait ici à celle qui, la veille encore offrait docilement sa bouche pour soulager sa verge excitée... Il l'avait eue maintes fois, avait pénétré et possédé chacun des orifices de cette magnifique femelle dont il voulait faire sa propriété définitive... Quel que soit le vainqueur des enchères, le jeune brigand était bien décidé à lui faire rendre gorge et à reprendre "sa" Clytia... Finalement, un arrangement était survenu entre le sculpteur et le Sage du temple d'Olympie. Alliés et apparemment amis, ils venaient de mettre fin aux enchères, l'homme d'affaires quittant l'estrade en maudissant les complots, très en colère... Selon les termes de l'accord qu'ils avaient conclu, les Sages disposeraient d'abord de l'esclave afin de déterminer si elle était digne de figurer au nombre des offrandes, puis, elle serait confiée au sculpteur afin qu'il put immortaliser ses courbes dans le marbre pour en faire une statue grandeur nature, puis elle reviendrait au Temple et serait préparée pour devenir l'un des lots destinés aux futurs champions olympiques. Car Seul un presque Dieu, un vainqueur des plus grands Jeux du Monde Grec pouvait se voir offrir comme récompense une telle femelle. Clytia fut donc livrée au Sage... deux gardes du bataillon sacré d'Olympie s'approchèrent et passèrent une corde au cou de l'esclave, entravant également ses poignets dans le dos... Puis à la suite du Sage, ils l'entraînèrent à leur suite vers les dépendances extérieures, puisque nulle femelle, libre ou esclave, ne devait franchir les limites de l'enceinte Sacrée d'Olympie pendant la durée de l'Olympiade.
Patnos contempla "sa" Clytia qui s'éloignait, suivant docilement son nouveau propriétaire, fendant la foule curieuse dont certains osaient parfois tendre une main afin d'effleurer ce corps, cette peau veloutée, si désirable... Le brigand savait qu'il ne serait pas de taille à récupérer Clytia chez les Sages, où les lieux étaient trop bien protégés par toute une escorte de gardes armés, mais ayant bien entendu l’accord convenu entre les 2 notables, il savait qu'elle serait bientôt chez le sculpteur et là... il ne manquerait pas de reconquérir celle qui, dans son esprit fasciné, n'avait jamais cessé de lui appartenir. Une fois dans l'enceinte Sacrée, les gardes laissèrent Clytia en compagnie du Sage qui l'avait achetée. Ils étaient dans une vaste salle dont le centre était occupé par une grande table sur laquelle s'entassaient des tas de documents... Le Sage entraîna Clytia :
- Tu appartiens désormais à la Cité d'Olympie et tu seras offerte au plus glorieux des champions, parmi d'autres babioles. Mais auparavant, il nous faut savoir si tu es digne de ce destin !…
Sans plus de mots et soudainement, il saisit Clytia et la fit pencher sur la table, buste en avant... il la prit par les hanches, dégagea son pénis de sa tunique et encula l'esclave d'un coup sec ! Le vieux Sage ahanait en enculant la belle esclave qui n'esquissa aucun mouvement de refus. Au contraire, elle s'ouvrait et s'offrait autant que ses entraves et sa position le lui permettait, pendant que le vieil homme encore fort viril poussait son sexe au plus profond de son cul. Il l'encula brutalement, violemment... prestement... et pas très longtemps, lâchant un flot de semence dans un râle bruyant... Il était encore vert, mais plutôt brièvement, ce qui n'était pas pour satisfaire Clytia, tellement excitée par la danse qu'elle avait effectué et par l'onde de désir qu'elle avait ressentie devant de ce parterre d'hommes en rut ! Elle avait envie de sexe, envie de foutre ! Envie d'être bousculée, pénétrée, possédée, ainsi que savait le faire le petit Patnos, certes maladroit et inexpérimenté mais tellement viril ! Le Sage venait de se pencher sur elle, lui léchant le dos, fouillant son intimité de ses doigts noueux... il respirait fort et lui murmurait des mots obscènes tout en bavant sur elle... Puis, il la retourna et poursuivit ainsi ses attouchements, poissant ses doigts de mouille qu'il lui faisait ensuite lécher.
- Suffit, putain ! lança-t-il soudain
Ce fut dit d’un ton autoritaire et sans appel tout en se redressant et forçant Clytia à se lever de la table avant de la gifler à toute volée. Il se saisit d'une fine badine de roseau qui traînait sur la table et commença à la flageller... Il la fit mettre à quatre pattes ou plutôt couchée sur le ventre car elle avait les poignets entravés dans le dos. Et lui frappait avec énergie, marquant les fesses nues et sans défense de Clytia que ses entraves empêchaient de se protéger. Le Sage la poussait du pied sans cesser les coups de badine, dosant sciemment ceux-ci afin de lui infliger une rude correction sans pour autant abîmer celle qu'il avait payée si cher ! Tout en la frappant, le vieux Sage se mettait à bander à nouveau !
- Viens là ! Viens ! ordonna-t-il à l'esclave
Clytia alors avança en rampant jusqu'à lui, telle une larve privée de membres, sous les coups qui pleuvaient plus rapidement au fur et à mesure que l'excitation gagnait le Sage. Enfin avec difficulté, elle parvint à s'agenouiller à ses pieds et elle ouvrit grand la bouche, ayant naturellement compris ce qu'il voulait. Sans se servir de ses mains, il avança son membre tendu vers les lèvres tremblantes et l'enfonça dans la bouche offerte, poussant jusqu'à heurter le palais en se maintenant ainsi jusqu'à couper le souffle de Clytia. Il commença alors à aller et venir dans la bouche de l'esclave qui le suçait avec dévouement, aspirant la verge dure, l'avalant jusqu'à la garde en prenant bien soin de ne jamais l'effleurer de ses petites dents nacrées.
- Aaah ! Aaaah salope ! Chienne ! Sale chienne !, hurlait-il en fourrant sa grosse queue à grands coups de reins, dans la bouche docile...
Jusqu'à un nouveau râle de plaisir lorsqu'une seconde fois, il expulsa sa semence, inondant la bouche de Clytia d'un flot moins abondant que précédemment et tellement plus clair... L'esclave avala ce foutre, puis s'appliqua à lécher et sucer la verge qui ramollissait, la prenant toute entière en bouche et léchant le gland de sa langue douce et soyeuse... Le Sage haletait, ses bras pendant le long de son corps, tenant encore la badine qu'il n'avait plus la force de lever, bien qu'il eut tellement envie de voir encore ce si beau corps aux courbes harmonieuses gigoter sous les coups. Clytia demeurait agenouillée, docilement, consciente que le Sage ne l'était pas tant que ça, sage, et qu'il avait sans doute encore quelques abus à lui infliger avant de la présenter à d'autres... En effet, gémissant un peu, il saisit sa queue et se mit à pisser en dirigeant le jet de liquide doré vers le visage de l'esclave qui reçut sans broncher cette douche soudaine et odorante. Il pissait d'abondance, aspergeant le visage et le corps de la femelle qui recevait la pisse sur elle la tête renversée en arrière, bouche ouverte, des filets d'urine dégoulinant dans sa bouche, sur son corps, comme des ruisseaux se frayant un chemin entre monts et vallons... Clytia subissait, humblement, docilement, elle n'avait qu'une idée en tête... être acceptée, mériter la confiance de ses maîtres pour mieux les tromper, leur échapper et rejoindre enfin sa Divine Maîtresse, La Seule, La Belle Hélène à qui elle avait voué sa vie...
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