COCHONNE!
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COCHONNE!
-Voisin…voisin ! Fait la voisine venant à ma rencontre alors que je sors de ma voiture fraichement garée.
Elle des cheveux bonds cendrés, d’une taille assez élancée qui fait oublier quelques rondeurs et un grand sourire.
-Que vous arrive-t-il ?
-Une fuite ! Lâche-t-elle essoufflée, voir paniquée.
-Allons-y, je vous suis.
Elle me devance d’un pas rapide. J’ai même du mal à la suivre.
-Entrez…entrez, me fait-elle alors que je stoppe devant la porte d’entrée.
Elle me guide jusqu’à la cuisine. Là je ne vois aucune trace d’eau sur le carrelage. Je prends ça pour un traquenard. Pas le temps d’approfondir la question que déjà elle ouvre les portes du meuble se tenant sous l’évier. Mon regard se porte alors sur une bassine sous le siphon. Elle ouvre le robinet et très vite une bonne quantité d’eau s’échappe du siphon et s’écoule dans la cuvette.
-Vous voyez ! Me lâche-t-elle.
-Je vois.
-J’aurai dû m’abstenir de le démonté, vous ne croyez pas ?
Je réplique tout de suite lui demandant ce qu’elle a fait.
-Ça n’arrêter pas de fuir. Alors j’ai attendu que mon mari parte pour trois jours au cabanon avec ses potes pour le démonter et voila le résultat. Vous pouvez faire quelque chose, dites-moi voisin. Je ne voudrais pas que mon mari le sache.
-Ça je ne sais pas. Ce n’est pas mon métier !
-Je vous en supplie faite de votre mieux.
-Bon…bon, je vais essayer. Mais je ne vous promets rien.
Je retourne chez moi et reviens avec ma caisse à outils. Avec une pince je démonte le siphon. Et très vite je m’aperçois de l’absence du joint. Mais ça je me garde bien de lui dire. Je fais semblant de m’intéresser sur le mal et remonte le siphon et bien sûr ça fuit. J’entends derrière mon dos la femme s’affoler.
-Je suis dans la merde. Je vais devoir faire appel à un plombier. Et combien cela va me coûter. Mon mari va me tuer.
-Nous n’en sommes pas encore là, Madame. Laisser-moi le temps d’approfondir la chose.
Je démonte dans son entier le siphon et déclare à la dame complètement angoissé que je l’emmène chez moi.
- Je voulais encore vous remercier pour votre aide.
-Ce n’est rien. Entre voisins, il faut bien s’entraider.
-Oui ! Mais quand même, c’était très gentil de votre part.
A mon retour elle est patiemment en train de m’attendre.
-Alors, j’espère que vous avez de bonne nouvelle pour moi, me fait-elle.
-Il faut pour ça, que je le remonte.
-Je vous remercie encore de bien vouloir réparer les bêtises d’une vieille femme.
-Je ne vous trouve pas vieille. Fais-je en m’accroupissant sous l’évier.
-Vous êtes un flatteur, mais je viens de fêter mes soixante-douze anniversaires.
-Vous me charrier-là!
- Je n’oserai pas.
- Clairement Madame je vous trouve vous êtes bien physiquement.
- Vous êtes très flatteur !
- Pas du tout ! Je vous trouve très…
- Très quoi ?
- Je ne sais pas si je dois vous le dire.
- Oh ! N’hésitez pas. Je suis prête à entendre tout !
- Très… à mon goût !
- Oh le chenapan !
Le siphon installé, je me redresse, et alors que je tourne le robinet j’en profite pour lui glisser à l’oreille.
- Je vous trouve bandante.
- Oh, ça alors ! Vous m’en direz tant !
Là, Fleuriane, (son prénom) est morte de rire. Elle m’enlace et m’embrasse chastement sur les joues, mais finit par un petit baiser sur mes lèvres. Je reste sottement les bras ballants.
-Regardez ! Me fait-elle, ça ne fuit plus.
Effectivement pas une goute ne perlée du siphon.
-Je suis heureux Madame, de vous avoir rendue service.
-Et moi donc. Appelez-moi Fleuriane voulez-vous ?
-D’accord. Je n’osais pas vous le demandez si je pouvais.
-Osez, osez, Alain !
Elle est enchantée.
-Je vous offre un café ?
-Va pour un café, et après je retourne bosser chez moi.
Elle m’invite à prendre place autour de la table de la cuisine. Pendant ce temps là elle me verse un café fraichement passé. Elle lève ses yeux vers moi en souriant. Elle a l’air émue et je le suis aussi. Là je ne sais qui d’elle où de moi avant à rapprocher sa bouche de l’autre ais ce que je sis c’est que nous lèvres se sont touché. Et très vite nos langues se sont cherchées. Notre baiser se prolonge longtemps, longtemps, avec parfois de brèves interruptions pendant lesquelles nos yeux se dévorent. Mais très vite nous avons le besoin de reprendre le contact.
Ma main gauche restée libre se pose sur sa poitrine. Fleuriane ne fait rien pour la repousser, au contraire, elle pose la sienne sur mon entrejambe où elle trouve une bonne érection. Quand nous nous divisons, je vois les yeux de Fleuriane qui brillent. J’ai envie d’elle et je sens qu’elle est dans les mêmes dispositions vis-à-vis de moi.
-Que c’est bon ! dit-elle doucement. C’est fou ce que c’est bon !
-Je m’excuse. Fais-je.
-Et pourquoi donc ?
-De même laisser entrainer.
-Vous ne pouvez pas savoir le plaisir qui est en moi de plaire encore, à mon âge. Ma culotte est trempée, je ne vous dis pas !
Je m’entends alors lui dire :
-Je demande à voir.
-Chiche !
Elle glisse ses mains sous la robe pour descendre sa culotte. Bien sûr, je m’en saisis et la porte à mon nez pour la sentir. Elle est bien humide et les effluves de son linge intime sont délicieux. Ses fragrances m’enchantent.
-J’ai affaire à un voisin cochon à ce que vois !
Je replonge sur sa bouche, alors que la mienne est encore imbibée de sa mouille et nous reprenons nos baisers enfiévrés. Je glisse une main sous sa robe et Fleuriane ne fait aucun obstacle. J’ai même l’impression qu’elle écarte bien ses cuisses.
Quand mes doigts touchent sa vulve, je découvre un bon buisson de poils rêches.
-Quelle toison !
-Mon mari adore cela. Tu aimes ?
Passant du vouvoiement au tutoiement.
-J’adore les chattes poilues !
J’enfonce deux doigts dans sa chatte brûlante et trempée. Je la branle ainsi sans oublier son petit bouton que je sens tout dur. Fleuriane réclame :
-Oui…oui encore !
En quelques secondes, Fleuriane a joui sous mes doigts et quand je me recule, je peux voir ses yeux bleus troublés de plaisir.
-Oh merci ! Que c’est bon ! Tu te rends compte qu’on est là chez moi, et que c’est la première fois que je fais cocue à mon mari et cela au bout de quarante trois années de mariage.
-J’adore depuis toujours les femmes mûres.
- Mais tu ne m’as pas dit. As-tu eu des expériences avec des vieilles.
-Quand j’avais vingt-deux ans, j’ai craqué pour ma grand-mère qui dormait dans ma chambre. J’avais commencé par me souler avec ses sous-vêtements portés avant que ma curiosité me pousse quelques jours plus tard, à me glisser sous ses draps alors qu’elle dormait profondément, torche en main avec le projet d’apercevoir son sexe.
-Et alors ? Me fait-elle.
-Eh bien j’ai eu la chance de le voir. Une chatte grise, enfin, plutôt d’un roux cendré où sa fente baillait déjà !
-Et c’est tout ? Me lâche-t-elle.
-Non ! Mais je ne sais pas si je dois.
-Et comment que tu dois, il ne fallait pas commencer.
-Et bien au troisième jour je me suis autorisé de la goûter.
-Tu me charries là !
-Pas du tout !
-Et ta grand-mère dans tout ça ?
-Rien ! Elle dormait…
-Mon cul, qu’elle dormait. Elle n’a pas voulu se trahir, un point c’est tout.
-Enfin ce que je sais c’est que je lui ai fait découvrir le léchage d’une chatte.
- Tu es un cochon pervers, ce n’est pas pour me déplaire.
On s’embrasse à nouveau furieusement. Je prends l’initiative de la déshabiller, aidé par Fleuriane. Je la découvre enfin dans ses sous-vêtements. Elle est un peu anxieuse. Pour la rassurer et parce que je le pense, je lui déclare :
-Tu es superbe !
Passant moi aussi au tutoiement.
-Je ne te crois pas !
Je fais glisser sa culotte et je dévoile son bas-ventre poilu avec de jolies lèvres un peu pendantes. J’entreprends son soutien-gorge et je peux alors voir ses seins. Certes, ils tombent, mais gardent un beau galbe. Ils ont de grandes aréoles presque noires avec des tétons déjà bien dressés. Je plonge dessus et me régale de les téter. Ils sont bien durs et j’en roule un entre mes doigts. Fleuriane se recule et me guide jusqu’à sa chambre. Face à elle, je me déshabille et exhibe fièrement une belle érection.
-Et bien, murmure-t-elle. Elle est belle… et toute rasée. J’adore !
Une fois nu, je m’agenouille entre ses jambes pour y retrouver ses effluves odorants. Je me délecte rapidement de son jus abondant. Fleuriane appuie ses mains sur ma tête alors que ma langue plonge dans ses nymphes. Je suçote ses lèvres et débusque son bouton que je cajole. Elle se pâme, mais la cochonne en veut plus. Comme souvent les femmes de son âge !
Nul besoin de me guider. Je m’enfonce lentement dans son antre liquoreux, en provoquant des soupirs de plaisir chez ma partenaire. Longuement, en alternant les pénétrations profondes, les sorties et les petits coups à l’entrée de son vagin, je la baise, elle semble apprécier notre rapport. Elle noue ses jambes autour de ma taille et me donne sa bouche couverte de ses sucs.
Elle ne tarde pas à jouir une première fois. Je me découple, la retourne et c’est en levrette que je la reprends alors. Son généreux cul m’offre une vue aphrodisiaque. Je vois au-dessus de ma queue, son anus qui palpite. Je sais déjà que je pourrai la prendre par là sans qu’elle ne refuse, mais pour l’instant, je me consacre à sa chatte qui en réclame encore.
La position de ma maîtresse du jour fait que je sens monter ma jouissance. Nous ne risquons rien, aussi je me laisse aller à éjaculer mon foutre gluant dans la chatte enfiévrée alors que Fleuriane jouit à nouveau.
-J’y crois pas ! Me fait-elle un peu plus tard. Au secours, je suis tombée sur un fou !
-Et tu aimes ça le cul !
-Oh oui ! Cela me change de mon mari Baise-moi comme tu veux et… si tu veux… aucun problème !
-J’ai bien vu que ton trou du cul frémissait.
-Non tu n’y pense pas ? Monstre que tu es !
- Vieille salope ! Tu n’as pas honte de faire ça à ton mari ?
-J’adore quand tu me parles comme ça !
-Tiens salope suce ma queue !
-Je n’ai jamais fait ça encore !
-Il y a un début à tout !
-Comment je fais ?
-Tu suces avec ta bouche et tu me branles avec ta main.
Elle s’installe et prend ma queue en main et commence à lécher mon gland tout en branlant la tige. À nouveau bien dur, je la relève et la pousse sur le lit conjugal. D’elle-même, elle se penche, m’offrant la vue de son beau cul. Sans plus attendre, d’une seule poussée, je m’enfonce jusqu’aux couilles dans son vagin. J’agrippe ses hanches pleines et fais claquer mon bas-ventre sur ses fesses blanches. Fleuriane manifeste son plaisir. Je sens sa mouille couler sur ma queue alors que d’une main, elle s’astique le bouton. Encore une fois, elle jouit en poussant un râle profond qui résonne dans la chambre.
Lasse d’avoir donné autant de mon énergie, je m’allonge de tout mon long sur le lit.
-Cochonne ! Lui fais-je.
-Cochon, toi-même !
Elle des cheveux bonds cendrés, d’une taille assez élancée qui fait oublier quelques rondeurs et un grand sourire.
-Que vous arrive-t-il ?
-Une fuite ! Lâche-t-elle essoufflée, voir paniquée.
-Allons-y, je vous suis.
Elle me devance d’un pas rapide. J’ai même du mal à la suivre.
-Entrez…entrez, me fait-elle alors que je stoppe devant la porte d’entrée.
Elle me guide jusqu’à la cuisine. Là je ne vois aucune trace d’eau sur le carrelage. Je prends ça pour un traquenard. Pas le temps d’approfondir la question que déjà elle ouvre les portes du meuble se tenant sous l’évier. Mon regard se porte alors sur une bassine sous le siphon. Elle ouvre le robinet et très vite une bonne quantité d’eau s’échappe du siphon et s’écoule dans la cuvette.
-Vous voyez ! Me lâche-t-elle.
-Je vois.
-J’aurai dû m’abstenir de le démonté, vous ne croyez pas ?
Je réplique tout de suite lui demandant ce qu’elle a fait.
-Ça n’arrêter pas de fuir. Alors j’ai attendu que mon mari parte pour trois jours au cabanon avec ses potes pour le démonter et voila le résultat. Vous pouvez faire quelque chose, dites-moi voisin. Je ne voudrais pas que mon mari le sache.
-Ça je ne sais pas. Ce n’est pas mon métier !
-Je vous en supplie faite de votre mieux.
-Bon…bon, je vais essayer. Mais je ne vous promets rien.
Je retourne chez moi et reviens avec ma caisse à outils. Avec une pince je démonte le siphon. Et très vite je m’aperçois de l’absence du joint. Mais ça je me garde bien de lui dire. Je fais semblant de m’intéresser sur le mal et remonte le siphon et bien sûr ça fuit. J’entends derrière mon dos la femme s’affoler.
-Je suis dans la merde. Je vais devoir faire appel à un plombier. Et combien cela va me coûter. Mon mari va me tuer.
-Nous n’en sommes pas encore là, Madame. Laisser-moi le temps d’approfondir la chose.
Je démonte dans son entier le siphon et déclare à la dame complètement angoissé que je l’emmène chez moi.
- Je voulais encore vous remercier pour votre aide.
-Ce n’est rien. Entre voisins, il faut bien s’entraider.
-Oui ! Mais quand même, c’était très gentil de votre part.
A mon retour elle est patiemment en train de m’attendre.
-Alors, j’espère que vous avez de bonne nouvelle pour moi, me fait-elle.
-Il faut pour ça, que je le remonte.
-Je vous remercie encore de bien vouloir réparer les bêtises d’une vieille femme.
-Je ne vous trouve pas vieille. Fais-je en m’accroupissant sous l’évier.
-Vous êtes un flatteur, mais je viens de fêter mes soixante-douze anniversaires.
-Vous me charrier-là!
- Je n’oserai pas.
- Clairement Madame je vous trouve vous êtes bien physiquement.
- Vous êtes très flatteur !
- Pas du tout ! Je vous trouve très…
- Très quoi ?
- Je ne sais pas si je dois vous le dire.
- Oh ! N’hésitez pas. Je suis prête à entendre tout !
- Très… à mon goût !
- Oh le chenapan !
Le siphon installé, je me redresse, et alors que je tourne le robinet j’en profite pour lui glisser à l’oreille.
- Je vous trouve bandante.
- Oh, ça alors ! Vous m’en direz tant !
Là, Fleuriane, (son prénom) est morte de rire. Elle m’enlace et m’embrasse chastement sur les joues, mais finit par un petit baiser sur mes lèvres. Je reste sottement les bras ballants.
-Regardez ! Me fait-elle, ça ne fuit plus.
Effectivement pas une goute ne perlée du siphon.
-Je suis heureux Madame, de vous avoir rendue service.
-Et moi donc. Appelez-moi Fleuriane voulez-vous ?
-D’accord. Je n’osais pas vous le demandez si je pouvais.
-Osez, osez, Alain !
Elle est enchantée.
-Je vous offre un café ?
-Va pour un café, et après je retourne bosser chez moi.
Elle m’invite à prendre place autour de la table de la cuisine. Pendant ce temps là elle me verse un café fraichement passé. Elle lève ses yeux vers moi en souriant. Elle a l’air émue et je le suis aussi. Là je ne sais qui d’elle où de moi avant à rapprocher sa bouche de l’autre ais ce que je sis c’est que nous lèvres se sont touché. Et très vite nos langues se sont cherchées. Notre baiser se prolonge longtemps, longtemps, avec parfois de brèves interruptions pendant lesquelles nos yeux se dévorent. Mais très vite nous avons le besoin de reprendre le contact.
Ma main gauche restée libre se pose sur sa poitrine. Fleuriane ne fait rien pour la repousser, au contraire, elle pose la sienne sur mon entrejambe où elle trouve une bonne érection. Quand nous nous divisons, je vois les yeux de Fleuriane qui brillent. J’ai envie d’elle et je sens qu’elle est dans les mêmes dispositions vis-à-vis de moi.
-Que c’est bon ! dit-elle doucement. C’est fou ce que c’est bon !
-Je m’excuse. Fais-je.
-Et pourquoi donc ?
-De même laisser entrainer.
-Vous ne pouvez pas savoir le plaisir qui est en moi de plaire encore, à mon âge. Ma culotte est trempée, je ne vous dis pas !
Je m’entends alors lui dire :
-Je demande à voir.
-Chiche !
Elle glisse ses mains sous la robe pour descendre sa culotte. Bien sûr, je m’en saisis et la porte à mon nez pour la sentir. Elle est bien humide et les effluves de son linge intime sont délicieux. Ses fragrances m’enchantent.
-J’ai affaire à un voisin cochon à ce que vois !
Je replonge sur sa bouche, alors que la mienne est encore imbibée de sa mouille et nous reprenons nos baisers enfiévrés. Je glisse une main sous sa robe et Fleuriane ne fait aucun obstacle. J’ai même l’impression qu’elle écarte bien ses cuisses.
Quand mes doigts touchent sa vulve, je découvre un bon buisson de poils rêches.
-Quelle toison !
-Mon mari adore cela. Tu aimes ?
Passant du vouvoiement au tutoiement.
-J’adore les chattes poilues !
J’enfonce deux doigts dans sa chatte brûlante et trempée. Je la branle ainsi sans oublier son petit bouton que je sens tout dur. Fleuriane réclame :
-Oui…oui encore !
En quelques secondes, Fleuriane a joui sous mes doigts et quand je me recule, je peux voir ses yeux bleus troublés de plaisir.
-Oh merci ! Que c’est bon ! Tu te rends compte qu’on est là chez moi, et que c’est la première fois que je fais cocue à mon mari et cela au bout de quarante trois années de mariage.
-J’adore depuis toujours les femmes mûres.
- Mais tu ne m’as pas dit. As-tu eu des expériences avec des vieilles.
-Quand j’avais vingt-deux ans, j’ai craqué pour ma grand-mère qui dormait dans ma chambre. J’avais commencé par me souler avec ses sous-vêtements portés avant que ma curiosité me pousse quelques jours plus tard, à me glisser sous ses draps alors qu’elle dormait profondément, torche en main avec le projet d’apercevoir son sexe.
-Et alors ? Me fait-elle.
-Eh bien j’ai eu la chance de le voir. Une chatte grise, enfin, plutôt d’un roux cendré où sa fente baillait déjà !
-Et c’est tout ? Me lâche-t-elle.
-Non ! Mais je ne sais pas si je dois.
-Et comment que tu dois, il ne fallait pas commencer.
-Et bien au troisième jour je me suis autorisé de la goûter.
-Tu me charries là !
-Pas du tout !
-Et ta grand-mère dans tout ça ?
-Rien ! Elle dormait…
-Mon cul, qu’elle dormait. Elle n’a pas voulu se trahir, un point c’est tout.
-Enfin ce que je sais c’est que je lui ai fait découvrir le léchage d’une chatte.
- Tu es un cochon pervers, ce n’est pas pour me déplaire.
On s’embrasse à nouveau furieusement. Je prends l’initiative de la déshabiller, aidé par Fleuriane. Je la découvre enfin dans ses sous-vêtements. Elle est un peu anxieuse. Pour la rassurer et parce que je le pense, je lui déclare :
-Tu es superbe !
Passant moi aussi au tutoiement.
-Je ne te crois pas !
Je fais glisser sa culotte et je dévoile son bas-ventre poilu avec de jolies lèvres un peu pendantes. J’entreprends son soutien-gorge et je peux alors voir ses seins. Certes, ils tombent, mais gardent un beau galbe. Ils ont de grandes aréoles presque noires avec des tétons déjà bien dressés. Je plonge dessus et me régale de les téter. Ils sont bien durs et j’en roule un entre mes doigts. Fleuriane se recule et me guide jusqu’à sa chambre. Face à elle, je me déshabille et exhibe fièrement une belle érection.
-Et bien, murmure-t-elle. Elle est belle… et toute rasée. J’adore !
Une fois nu, je m’agenouille entre ses jambes pour y retrouver ses effluves odorants. Je me délecte rapidement de son jus abondant. Fleuriane appuie ses mains sur ma tête alors que ma langue plonge dans ses nymphes. Je suçote ses lèvres et débusque son bouton que je cajole. Elle se pâme, mais la cochonne en veut plus. Comme souvent les femmes de son âge !
Nul besoin de me guider. Je m’enfonce lentement dans son antre liquoreux, en provoquant des soupirs de plaisir chez ma partenaire. Longuement, en alternant les pénétrations profondes, les sorties et les petits coups à l’entrée de son vagin, je la baise, elle semble apprécier notre rapport. Elle noue ses jambes autour de ma taille et me donne sa bouche couverte de ses sucs.
Elle ne tarde pas à jouir une première fois. Je me découple, la retourne et c’est en levrette que je la reprends alors. Son généreux cul m’offre une vue aphrodisiaque. Je vois au-dessus de ma queue, son anus qui palpite. Je sais déjà que je pourrai la prendre par là sans qu’elle ne refuse, mais pour l’instant, je me consacre à sa chatte qui en réclame encore.
La position de ma maîtresse du jour fait que je sens monter ma jouissance. Nous ne risquons rien, aussi je me laisse aller à éjaculer mon foutre gluant dans la chatte enfiévrée alors que Fleuriane jouit à nouveau.
-J’y crois pas ! Me fait-elle un peu plus tard. Au secours, je suis tombée sur un fou !
-Et tu aimes ça le cul !
-Oh oui ! Cela me change de mon mari Baise-moi comme tu veux et… si tu veux… aucun problème !
-J’ai bien vu que ton trou du cul frémissait.
-Non tu n’y pense pas ? Monstre que tu es !
- Vieille salope ! Tu n’as pas honte de faire ça à ton mari ?
-J’adore quand tu me parles comme ça !
-Tiens salope suce ma queue !
-Je n’ai jamais fait ça encore !
-Il y a un début à tout !
-Comment je fais ?
-Tu suces avec ta bouche et tu me branles avec ta main.
Elle s’installe et prend ma queue en main et commence à lécher mon gland tout en branlant la tige. À nouveau bien dur, je la relève et la pousse sur le lit conjugal. D’elle-même, elle se penche, m’offrant la vue de son beau cul. Sans plus attendre, d’une seule poussée, je m’enfonce jusqu’aux couilles dans son vagin. J’agrippe ses hanches pleines et fais claquer mon bas-ventre sur ses fesses blanches. Fleuriane manifeste son plaisir. Je sens sa mouille couler sur ma queue alors que d’une main, elle s’astique le bouton. Encore une fois, elle jouit en poussant un râle profond qui résonne dans la chambre.
Lasse d’avoir donné autant de mon énergie, je m’allonge de tout mon long sur le lit.
-Cochonne ! Lui fais-je.
-Cochon, toi-même !
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bonjour lectrice de 72 ans. Je rêverais de faire ça avec une femme mûre.
Très réaliste et bien écrit j’ai moi même 72 ans et toujours aussi demandeuse
Joli bien écrite et très réaliste ..
J'ai apprécié ce texte qui est le reflet de la vie courante.
Super histoire👍👍👍👍
Femmes…..☺️
Magnifique gemmes mûres ♥️♥️♥️…..