Cocu à sa demande

- Par l'auteur HDS LING17 -
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Cocu à sa demande Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.7 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Cocu à sa demande
Nous sommes un couple reconstitué, tous les deux divorcés, avec de mauvais souvenirs. Heureusement nous nous sommes rencontrés lors d’un match de rugby, grâce à des amis et tout de suite nous avons décidé de vivre ensemble. Nous habitons dans un lieu magnifique à quelques kilomètres d’une grande ville ou j’exerce le métier d’ostéo, y compris dans ce club du top 14. Pas toujours facile pour une femme de se faire respecter, mais j’y suis arrivée. Jean lui exerce le dangereux métier de spéléologue, ce qui l’éloigne parfois quelques jours de la maison, mais surtout me laisse sans nouvelle, ce que j’appréhende beaucoup.
Ce soir, c’est la dernière victoire de la saison et tout le club va fêter notre élogieux classement ; pour ma part, je reste un long moment avec un joueur, lourdement percuté, a qui je viens de remettre l’épaule en place, mais par sécurité, je demande à sa femme de l’emmener passer une radio. Les vestiaires sont déserts maintenant, à part les quatre loustics habituels, qui comme d’habitude, trainasse dans la piscine de récupération. Prise dans mes inquiétudes pour le joueur blessé, je ne me méfie pas et alors que je longe la piscine, une main m’attrape et je me retrouve dans l’eau, avec mes vêtements. Ce n’est pas la première fois, mais j’ai toujours réussi à me dégager rapidement. Trempée, les vêtements me collant, je réalise que si je ne veux pas me retrouver en difficulté, je dois réagir aussitôt ; mais le souvenir d’une soirée avec Jean me revient à l’esprit.
Trois semaines plus tôt.
Il est tard et la fête, bien arrosée, chez notre voisin, éleveur de chevaux, se termine. Jean comme d’habitude quand il a un peu bu est très excité et je dois reconnaitre que moi aussi. Pendant la soirée, j’ai été très courtisée ; l’on me dit belle femme,35 ans, 1.70 m, une belle poitrine bien plantée, les seins bien fermes se passant volontiers de soutien, mais peut-être surtout un visage très souriant. J’ai eu beaucoup de succès, car je dois le reconnaitre, ma tenue était très sexy ; jupe portefeuille assez courte, découvrant un porte jarretelle quand je danse, corsage assez transparent, c’est le plaisir de mon homme de me voir ainsi.
A peine de retour, il m’a renversé sur le lit, écartant les pans de ma jupe, arrachant me minuscule string, et d’une poussée, il a investi, sans aucune difficulté ma chatte bien humide je le reconnais ; nos joutes sont toujours furieuses dans de telles circonstances et un nouvelle fois, il a su me transporter vers une puissante jouissance, avant de me remplir le vagin de sa semence. Heureusement la maison était vide.
Il m’a ensuite pris dans ses bras, les vêtements gisant sur le sol, puis m’embrassant, il m’a fixé droit dans les yeux :« Je peux te demander quelque chose, mais c’est un peu particulier »« Bien sûr, j’espère que tu n’es pas contrarié par la soirée où je le reconnais j’ai joué un peu une belle libertine »« Non pas du tout, au contraire » Puis il se tait et je respecte son silence, puis :« Quand nous faisons l’amour, t’arrive -t-il de penser qu’un autre homme que moi te prend ? »J’avoue que sa demande me surprend, car je ne sais où il veut en venir et cela m’inquiète un peu. Je ne réponds pas, mais il insiste :Cela t’arrive de penser à un autre homme que moi ? et si tu pouvais faire l’amour avec l’un deux, ce serait lequel, un joueur, un voisin, un inconnu répond moi honnêtement »« Si tu veux savoir si j’ai déjà fait l’amour avec un autre homme, c’est non, je te suis fidèle, mais je suis surprise de tes questions et si j’en crois ta nouvelle érection, cela semble t’exciter. Cela te plairait de le savoir, car cela m’étonne »« Je ne doute pas de ta fidélité, mais parfois j’ai envie de te voir te faire prendre par un autre, et t’entendre jouir ; mais n’y pense plus et excuse-moi. « « Non au contraire, en dehors de mon abruti de mari, je n’ai pas connu d’autre hommes que toi. Tu ne serais pas jaloux ? »« Je ne sais pas, mais j’aimerais bien savoir si cela te tente, si comme je te l’ai demandé, tu penses parfois à un homme, où à plusieurs »« Puisque tu me provoques, tant pis pour toi ; oui parfois je pense à d’autres hommes, notre voisin par exemple, qui n’arrête pas de me draguer, ou certains joueurs, très bien membrés, j’ai pu souvent le constater, que je dois régulièrement remettre à leurs places, mais jamais je n’ai pensé à m’offrir à eux, tu le regrettes ?
« Non bien sûr ; mais cela te tente, si je te dis que je suis d’accord ?
« Honnêtement, d’abord je suis surprise mais tu me provoques ; je crois que j’aimerais te faire payer cette envie en te faisant cocu, avec ton accord bien sûr. Paulo (notre voisin) sera sans aucun doute partant pour se faire une belle pouliche, ce qu’il m’a souvent proposée. Tu aimerais que je m’offre à lui ? Mais attention, cela risque de dégénérer ensuite »Il m’embrasse fougueusement, m’empalant sur son vit bien dressé et il ajoute, alors que je viens de jouir et lui aussi :« Oh oui, j’en ai envie »« Tu veux que je le rejoigne maintenant ? ; il comprendra vite et cette nuit tu seras celui que tu souhaites ; un beau cocu, car à ta demande, je vais m’offrir totalement, sans restriction et tu me connais, il sera très satisfait de ce que je vais lui offrir »Sans attendre sa réponse, j’ai revêtu simplement une nuisette transparente et un châle et je me suis rendue chez lui ; tout était éteint, mais quand il m’a aperçu, à moitié nue, il a vite compris. Ce n’est qu’au matin que je suis rentrée, dévastée par les saillies, nombreuses et puissantes mes jouissances étant sans communes mesures avec celle sue j’ai pu connaitre. Jean m’attendais dans la chambre et sur les draps j’ai pu constater qu’il s’était plusieurs fois fait juter.
Me plantant sur son mat qui a vite repris sa dureté quand il a constaté l’état de ma vulve, gluante de sperme, rougie par les pénétrations e fixant dans les yeux pour le provoquer, je lui ai raconté ma nuit.
« Comme tu peux le sentir, je suis pleine de sperme, il vient de me prendre et de me féconder, là juste avant que je revienne et ce n’est qu’une infime partie de notre nuit. Dès mon arrivée, il m’a perforée la matrice, courbée sur le dos de son canapé ; ses coups de butoirs m’ont vite fait jouir, mais lui s’est retenu ; m’entrainant ensuite dans sa chambre, il m’a de nouveau saillie, car comme je te l’avais dit, il avait très envie de me considérer comme ses juments qu’il présente à ses étalons ; là l’étalon, c’était lui ; bien mieux membré que toi, mais aussi bien plus endurant, il m’a baisé un bonne partie de la nuit, jutant profondément en moi, avec pour moi, ..la sensation que sa jute pénétrait mon utérus et qu’il m’ensemençait tellement ses jets étaient puissants.
Mais j’ai voulu te faire cocu jusqu’au bout ; tu sais que je ne suis pas friande de sodomie, mais pour une fois, j’en avais envie ; me mettant à genoux, le visage sur le drap, je lui ai présenté mon sillon et mon petit trou en lui disant : « Vas-y, prend moi ainsi, sodomise-moi, j’ai envie que tu me fasses jouir ainsi » j’ai cru qu’il allait me déchirer l’anneau tellement son enculade a été foudroyante, me dévastant douloureusement mon anneau, avant qu’il réussisse à me faire jouir, jutant dans les entrailles.
Voilà, tu voulais que j’appartienne à un autre homme, c’est fait ; mais le lui ai dit que c’était la seule et inique fois et que je ne voulais plus qu’il me drague. Tu voulais être cocu, tu l’as, et je dois reconnaitre que cela m’a beaucoup excité, d’autant plus maintenant que je constate que toi aussi cela t’a plu, si j’en crois la quantité de sperme que tu viens de mélanger à sa semence ».
Les jours suivant, jean m’a plusieurs fois culbutée, sans tous les endroits de la maison, traduisant à chaque fois son plaisir que je me sois ainsi offerte.
Trois semaines plus tardSi je ne veux pas que cela dégénérer, je dois vite me sortir de ce bain où quatre lascars viennent de m’attirer ; mais le souvenir de ce qui s’est passé et surtout le fait que jean ai pris du plaisir à me savoir saillie par Paulo, retarde ma réaction et le résultat s’abat sur moi, Plusieurs mains s’emparent de moi et je me retrouve au milieu d’eux, sentant rapidement des bâtons le long de mon dos et de mon ventre ; je sais qu’ils sont bien membrés et à ce contact ,je ne peux retenir un gémissement qu’ils perçoivent facilement ; malgré tout ils restent encore courtois, pensant très certainement aux nombreux refus qu’ils ont reçus. Devant ma passivité, ils comprennent enfin que je ne vais pas me défendre et quand l’un deux faits passer mon pull par-dessus ma tête, faisant jaillir mes deux obus dont la pointe est bien saillante, ils comprennent qu’ils ont la partie gagnée. Aussitôt des mains s’emparent de mes globes, triturant mes tétons, malaxant cette poitrine tant convoitée, sous l’eau d’autres essayent de me retirer mon jogging, mais devant la difficulté qu’elles rencontrent, je me relèvent, le baissant moi-même , ainsi que mon string : je suis nue, manifestement offerte ; après un regard d’étonnement entre eux, je me retrouve contre eux dans le bain, un chibre appuyé sur mon sillon, alors qu’un autre se frotte sur mon petit bourgeon, les deux autres s’emparant soit d ma bouche , soit de mes tétons qu’ils continuent à triturer, ce qui m’excite toujours.
Mon désir est énorme ;j’ai a ma disposition quatre béliers qui j’en suis sur vont profiter de mon abandon et c’est ce que j’aspire : être défoncée par ces mandrins .prenant à pleine le chibre qui se frotte sur ma fente, je l’enfourne entre mes petites lèvres, puis d’un coup de rein, je m’empale sur lui ; c’est le début d’une joute qui me laissera sur les rotules, car si deux d’entre eux , après m’avoir baiser, se retirent rapidement, les deux autres, plus désireux de profiter de moi, me font sortir du bain, et m’allongeant à plat ventre , sur le bord de la table de massage, pendant de longues minutes , ils vont profiter de ma chatte, à tour de rôle, s’enfonçant ainsi très profondément dans les entrailles, percutant le fond de ma matrice, avant de me féconder par de puissants jets de sperme , qui s’enfoncent tout au fond de ma matrice. A leur grande surprise, alors qu’ils ont encore la queue bandée, d’où s’écoule un filet de semence, je prends mon téléphone et j’envoie à jean les photos, en ajoutant en texte : c’est deux modèles parmi les quatre qui viennent de me possèder.je rentre bientôt.
« Tu viens de dire à ton mari que l’on vient de te baiser ? »« Oui et je suis sûr que cela doit bien l’exciter »D’ailleurs la confirmation arrive en une photo de son sexe bandé ; les deux lascars ne manquent pas de faire la comparaison et prenant mon téléphone envoie le message suivant« Je comprends mieux pourquoi elle s’est donnée ainsi et la puissance de ses jouissances. Nous allons peut-être la garder avec nous »« Non, venez avec elle, j’ai envie de la voir jouir « Ils se regardent, surpris, mais avec un sourire narquois, il confirme« Ok, nous arrivons, mais tant pis pour vous, je ne suis pas sûr qu’après elle prendra du plaisir avec vous »Nous allions nous revêtir quand le gardien, inquiet de voir encore de la lumière est entré dans le vestiaire, nous découvrant tous les trois nus, leurs tiges à demi bandée, moi, les cuisses pleines de la semence qui s’écoulait de ma chatte, bien remplie par leurs éjaculations. Si la surprise était grande, c’était surtout moi qui attirais ses regards et dans son pantalon, une bosse est vite apparue. M’attrapant à bras le corps l’un des garçons m’a vite allongée ,les jambes pendantes sur la table en lui disant, me maintenant allongée« venez , je suis sur que cela lui plaira, profites-en « Le pantalon sur les chevilles, il s’est emparé de ma cramouille, me baisant lourdement avant de rapidement jouir, sans m’avoir déclenché un orgasme, mais avec le sentiment d’être une belle salope. Avec stupeur, je me suis aperçue qu’il avait filmé la scène et que jean avait dû me voir baiser en direct. Si je ne regrettais rien, sachant que c’était l’une de ses envies pour moi, malgré tout, j’appréhendais le moment où ils allaient prendre possession de mon corps, devant lui, sachant très bien que je ne pourrais retenir la puissances des jouissance qu’ils allaient déclencher.
A suivre selon vos commentaires

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
quelle change moi j'aimerai que ma femme me fasse cocu t pouvoi y assister

Histoire Erotique
Incroyable ! Aucun commentaires, aucun avis sur ce récit pourtant si excitant surtout pour le candauliste que je suis depuis plus de cinq décennies ! Merci pour l'excitation que vous m'avez offerte malgré ces quelques fautes de frappe cette histoire vaut pour moi 9,5/10 ! Didier



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