Cocu à sa demande suite 2
Récit érotique écrit par LING17 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Cocu à sa demande suite 2
J’ai passé une très mauvaise nuit, dans la chambre d’ami, profitant des cris qui s’échappaient de notre chambre où Nicole s’offrait à ses deux sportifs, manifestement très ardents si j’en crois la durée de leurs performances, et les cris, par deux fois terribles de Nini. Mais le matin allait être un peu plus douloureux pour mon égo.
Nicole est arrivée totalement nue ; je pouvais voir la trace de semence sur ses cuisses, mais aussi la marque de doigts sur ses seins et ses fesses. Provoquante, elle s’est baissée, me laissant découvrir son sillon, mais surtout son petit trou, encore béant, maculé de traces blanchâtres. J’ai très vite compris : elle leur avait accordé ce qu’elle me refusait. M’embrassant tendrement, mais avec un regard malicieux elle m’a dit :« En me demandant de m’offrir à Paulo, tu as déclenché un volcan ; si tu es et restera mon seul amour, je pense que tu as compris que dorénavant, à chaque fois que j’en aurais la possibilité, tu seras cocu. Tu peux voir que je me suis fait sodomisée cette nuit, à ma demande ; par contre cette offrande ne te concerne pas ; elle restera à la seule disposition de mes amants ; car j’ai envie d’avoir un amant ; rassures toi, pas dans ton dos, sans que tu le saches, mais un homme que je pourrais voir à ma guise ; par contre tu le sauras toujours, ne serais ce que pour que tu puisses bien te sentir ‘cocu’ »Alors qu’elle prenait son café, je ne pouvais que constater qu’elle me faisait terriblement envie alors qu’elle venait de s’offrir sans remords, mais il est vrai suite à mes provocations. Sur mon téléphone, un message :« Venez à 14h au ranch., vous ne serez pas déçu. Paulo »A l’heure prévue, nous nous sommes dirigés vers le ranch. Nicole en robe, manifestement sans soutien-gorge, et je le suppose sans string semblait assez excitée, sans doute le fait de revoir celui à qui elle s’était donnée quelques temps plus tôt. Une certaine effervescence régnait dans la cour. Venant à notre rencontre, embrassant sans hésitation Nicole sur la bouche, l’enserrant dans ses bras, il nous a dit :« Vous allez pouvoir assister à la saillie d’une belle jument, par un étalon très performant ; pour des raisons de sécurité, vous le comprendrez plus tard, nous resterons derrière ce petit muret »Sans une parole pour moi, il l’a entrainé, en effet derrière un muret d’environ 1 mètre, alors que dans la cour, la jument, une très belle pouliche, se faisait excitée par un bourrin, dont le seul rôle était de lui donner envie du futur mâle. Retenu difficilement par deux lads, en effet l’étalon semblait bien excité, les narines largement ouvertes, et surtout un énorme mandrin battant sous son ventre. Impatient, il avait du mal à viser la cible de la vulve d’où s’écoulait un liquide blanchâtre ; prenant tous les risques, l’un des lads lui a pris la tige et l’a déposée à l’entrée de la matrice béante. D’une poussée phénoménale, l’étalon s’est enfoncé totalement dans l’antre offerte.
C’est à ce moment que Nicole a poussé un cri de surprise, mais avec le recul, plutôt de plaisir. Je n’avais pas fait attention, pris par le spectacle, que Paulo s’était placé derrière elle et relevant la robe sur ses reins, il venait de s’empaler en elle, d’une puissante poussée. Me narguant, il a commencé à la pistonner, la faisant gémir, ce qui devait s’entendre car des regards se sont tournés vers nous. Soudain, le cheval a henni, jutant profondément dans le ventre fertile de la jument et se retirant le trop plein de sa semence a jailli sur le sol. C’est le même scénario que je pouvais voir ; Paulo venait de saillir sa pouliche, mais aussi de la féconder ; se retirant rapidement de sa vulve, sa queue a giclé les derniers jets sur le fessier devant lui ; il venait saillir Nicole, comme l’étalon avait sailli la jument, et il me le prouvait en finissant de juter devant moi, sur elle.
« Je pense que tu as compris qu’en m’offrant Nicole, pour satisfaire tes envies de cocu, tu l’as jetée dans mon lit pour l’avenir ; depuis cette nuit, j’ai eu l’occasion de lui prouver que ses jouissances étaient bien supérieures à ce que tu pouvais lui donner. C’est pourquoi je t’ai invité à cette saillie, je parle bien sur de celle que je viens de faire à ta femme.
L’entrainant dans un box, il l’a déshabillée, puis l’allongeant sur sa robe, les cuisses écartelées, il a de nouveau pris possession de sa chatte, sa queue lui bourrant puissamment la matrice, sous mes yeux, mais aussi sous le regard des deux lads qui venaient de remettre l’étalon dans son box. Je ne sais si le fait de se savoir observée ainsi augmentait son plaisir, mais pendant de long moment ses jouissances ont déferlé, alors qu’entre deux râles, elle me provoquait :« Regarde comme il me baise bien ; je lui appartiens depuis 15 jours et il m’a baisé ainsi tous les jours, me faisant jouir, mais aussi me fécondant abondement. A chaque fois, j’avais la sensation que ses gènes remontaient dans mon utérus, pour m’engrosser, comme vient de le faire cet étalon. Je sais que tu y prends plaisir ;je vais te donner satisfaction autant que je le peux. Paulo a des envies très précises pour moi et il va pouvoir aujourd’hui le réaliser en m’offrant à ses deux lads, devant toi, eux qui ont souvent été spectateurs de ses possessions dans les box où il n’hésitait pas à me défoncer devant eux. Impuissant, mais bandant devant ce spectacle, où les deux lads sont venus s’enfoncer dans sa caverne, avant de se retirer, et de jouir, sur ordre de Paolo sur le visage de Nini. En quelques minutes, je venais de découvrir que finalement elle avait omis de me révéler ses incartades., me trompant réellement. Ce qui ne correspondait pas à notre accord.
Le retour a la maison a été très pesant ; je n’avais pas du tout apprécié ce que je venais de découvrir et je me suis empressé de le lui faire savoir :« certes, à ma demande , tu t’es offerte à Paulo, puis ensuite à ses joueurs, sans que j’y trouve à redire, car nous avions un deal ; tu pouvais avoir des rapports, mais je devais toujours le savoir ; tu t’y étais engagée ; or je viens de découvrir, que non seulement tu te comportes en salope, en me cachant que tu couches avec lui , mais que de plus tu acceptes qu’il se serve de toi en te faisant baiser par ses ouvriers. Oui j’ai accepté de te laisser jouer, mais je n’accepte pas que tu me trompes ; donc à toi de savoir ce que tu veux, mais ne compte pas sur moi pour l’accepter ; je suis candauliste et cela semblait te convenir, mais je ne suis pas prêt à accepter que tu me trompes ; tu as le choix ; tu dis m’aimer mais réfléchi bien car tu risques de me perdre car selon ton choix , tu devras quitter la maison » Sans attendre la réponse, j’ai quitté la pièce et prenant ma voiture, j’ai quitté la maison, malgré les nombreux messages reçus, dont celui -çi« le président du club veut me voir , refusant ma démission de mon poste d’ostéo. Je vais y aller, mais dis-moi ce que je dois faire, s’il te plait ».
Si je prenais beaucoup de plaisir à la voir ou la savoir avec un homme, c’était dans le cadre de notre couple et il n’était pas question d’accepter , pour moi, sa relation avec Paulo, d’autant plus que manifestement , il avait des envies qui ne me convenait pas , mais que , de plus, je considérais dangereuse pour elle ; certes j’étais blessé, mais je ne voulais en aucun cas qu’elle prenne des risques et le fait qu’il l’offre à ses lads laissait percevoir des situations beaucoup plus néfastes, je le pensais sincèrement pour elle.
Nicole est arrivée totalement nue ; je pouvais voir la trace de semence sur ses cuisses, mais aussi la marque de doigts sur ses seins et ses fesses. Provoquante, elle s’est baissée, me laissant découvrir son sillon, mais surtout son petit trou, encore béant, maculé de traces blanchâtres. J’ai très vite compris : elle leur avait accordé ce qu’elle me refusait. M’embrassant tendrement, mais avec un regard malicieux elle m’a dit :« En me demandant de m’offrir à Paulo, tu as déclenché un volcan ; si tu es et restera mon seul amour, je pense que tu as compris que dorénavant, à chaque fois que j’en aurais la possibilité, tu seras cocu. Tu peux voir que je me suis fait sodomisée cette nuit, à ma demande ; par contre cette offrande ne te concerne pas ; elle restera à la seule disposition de mes amants ; car j’ai envie d’avoir un amant ; rassures toi, pas dans ton dos, sans que tu le saches, mais un homme que je pourrais voir à ma guise ; par contre tu le sauras toujours, ne serais ce que pour que tu puisses bien te sentir ‘cocu’ »Alors qu’elle prenait son café, je ne pouvais que constater qu’elle me faisait terriblement envie alors qu’elle venait de s’offrir sans remords, mais il est vrai suite à mes provocations. Sur mon téléphone, un message :« Venez à 14h au ranch., vous ne serez pas déçu. Paulo »A l’heure prévue, nous nous sommes dirigés vers le ranch. Nicole en robe, manifestement sans soutien-gorge, et je le suppose sans string semblait assez excitée, sans doute le fait de revoir celui à qui elle s’était donnée quelques temps plus tôt. Une certaine effervescence régnait dans la cour. Venant à notre rencontre, embrassant sans hésitation Nicole sur la bouche, l’enserrant dans ses bras, il nous a dit :« Vous allez pouvoir assister à la saillie d’une belle jument, par un étalon très performant ; pour des raisons de sécurité, vous le comprendrez plus tard, nous resterons derrière ce petit muret »Sans une parole pour moi, il l’a entrainé, en effet derrière un muret d’environ 1 mètre, alors que dans la cour, la jument, une très belle pouliche, se faisait excitée par un bourrin, dont le seul rôle était de lui donner envie du futur mâle. Retenu difficilement par deux lads, en effet l’étalon semblait bien excité, les narines largement ouvertes, et surtout un énorme mandrin battant sous son ventre. Impatient, il avait du mal à viser la cible de la vulve d’où s’écoulait un liquide blanchâtre ; prenant tous les risques, l’un des lads lui a pris la tige et l’a déposée à l’entrée de la matrice béante. D’une poussée phénoménale, l’étalon s’est enfoncé totalement dans l’antre offerte.
C’est à ce moment que Nicole a poussé un cri de surprise, mais avec le recul, plutôt de plaisir. Je n’avais pas fait attention, pris par le spectacle, que Paulo s’était placé derrière elle et relevant la robe sur ses reins, il venait de s’empaler en elle, d’une puissante poussée. Me narguant, il a commencé à la pistonner, la faisant gémir, ce qui devait s’entendre car des regards se sont tournés vers nous. Soudain, le cheval a henni, jutant profondément dans le ventre fertile de la jument et se retirant le trop plein de sa semence a jailli sur le sol. C’est le même scénario que je pouvais voir ; Paulo venait de saillir sa pouliche, mais aussi de la féconder ; se retirant rapidement de sa vulve, sa queue a giclé les derniers jets sur le fessier devant lui ; il venait saillir Nicole, comme l’étalon avait sailli la jument, et il me le prouvait en finissant de juter devant moi, sur elle.
« Je pense que tu as compris qu’en m’offrant Nicole, pour satisfaire tes envies de cocu, tu l’as jetée dans mon lit pour l’avenir ; depuis cette nuit, j’ai eu l’occasion de lui prouver que ses jouissances étaient bien supérieures à ce que tu pouvais lui donner. C’est pourquoi je t’ai invité à cette saillie, je parle bien sur de celle que je viens de faire à ta femme.
L’entrainant dans un box, il l’a déshabillée, puis l’allongeant sur sa robe, les cuisses écartelées, il a de nouveau pris possession de sa chatte, sa queue lui bourrant puissamment la matrice, sous mes yeux, mais aussi sous le regard des deux lads qui venaient de remettre l’étalon dans son box. Je ne sais si le fait de se savoir observée ainsi augmentait son plaisir, mais pendant de long moment ses jouissances ont déferlé, alors qu’entre deux râles, elle me provoquait :« Regarde comme il me baise bien ; je lui appartiens depuis 15 jours et il m’a baisé ainsi tous les jours, me faisant jouir, mais aussi me fécondant abondement. A chaque fois, j’avais la sensation que ses gènes remontaient dans mon utérus, pour m’engrosser, comme vient de le faire cet étalon. Je sais que tu y prends plaisir ;je vais te donner satisfaction autant que je le peux. Paulo a des envies très précises pour moi et il va pouvoir aujourd’hui le réaliser en m’offrant à ses deux lads, devant toi, eux qui ont souvent été spectateurs de ses possessions dans les box où il n’hésitait pas à me défoncer devant eux. Impuissant, mais bandant devant ce spectacle, où les deux lads sont venus s’enfoncer dans sa caverne, avant de se retirer, et de jouir, sur ordre de Paolo sur le visage de Nini. En quelques minutes, je venais de découvrir que finalement elle avait omis de me révéler ses incartades., me trompant réellement. Ce qui ne correspondait pas à notre accord.
Le retour a la maison a été très pesant ; je n’avais pas du tout apprécié ce que je venais de découvrir et je me suis empressé de le lui faire savoir :« certes, à ma demande , tu t’es offerte à Paulo, puis ensuite à ses joueurs, sans que j’y trouve à redire, car nous avions un deal ; tu pouvais avoir des rapports, mais je devais toujours le savoir ; tu t’y étais engagée ; or je viens de découvrir, que non seulement tu te comportes en salope, en me cachant que tu couches avec lui , mais que de plus tu acceptes qu’il se serve de toi en te faisant baiser par ses ouvriers. Oui j’ai accepté de te laisser jouer, mais je n’accepte pas que tu me trompes ; donc à toi de savoir ce que tu veux, mais ne compte pas sur moi pour l’accepter ; je suis candauliste et cela semblait te convenir, mais je ne suis pas prêt à accepter que tu me trompes ; tu as le choix ; tu dis m’aimer mais réfléchi bien car tu risques de me perdre car selon ton choix , tu devras quitter la maison » Sans attendre la réponse, j’ai quitté la pièce et prenant ma voiture, j’ai quitté la maison, malgré les nombreux messages reçus, dont celui -çi« le président du club veut me voir , refusant ma démission de mon poste d’ostéo. Je vais y aller, mais dis-moi ce que je dois faire, s’il te plait ».
Si je prenais beaucoup de plaisir à la voir ou la savoir avec un homme, c’était dans le cadre de notre couple et il n’était pas question d’accepter , pour moi, sa relation avec Paulo, d’autant plus que manifestement , il avait des envies qui ne me convenait pas , mais que , de plus, je considérais dangereuse pour elle ; certes j’étais blessé, mais je ne voulais en aucun cas qu’elle prenne des risques et le fait qu’il l’offre à ses lads laissait percevoir des situations beaucoup plus néfastes, je le pensais sincèrement pour elle.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et voilà toute la problématique. Homme canduliste donne des ailes à sa femme, femme le trompe et le traite comme une sous-merde. Il n'a plus de droit sur son corps et se retrouve comme un soumis cocu à sa maîtresse. Et c'est précisément pour cela que même si j'aimerais de tout cœur vivre ce fantasme, je ne le ferai jamais avec ma femme.
A part les tonnes de fautes d'orthographe, j'aime bien l'histoire. Je me suis vidé plusieurs fois en pensant à ma femme, si elle était dans la même situation.
A part les tonnes de fautes d'orthographe, j'aime bien l'histoire. Je me suis vidé plusieurs fois en pensant à ma femme, si elle était dans la même situation.