Cocu à sa demande suite 2 - histoire érotique

48 h difficiles récit de Nicole.
L’explication avec jean a été douloureuse, difficile et il est parti sans même m’embrasser ; c’est la première fois. Je dois reconnaitre que la vérité qu’il a encaissée alors que Paulo venir de me saillir comme sa pouliche et ensuite m’offrir à ses lads, avait dû le choquer, mais un peu plus tard, j’ai réalisé que c’était parce que je lui avais caché que j’avais appartenu à Paulo, sans le tenir au courant ; il avait pris cela comme de la tromperie et je dois reconnaitre que je le comprenais. Dans mon esprit, je m’étais offerte, dans la suite des envies de jean, sans prendre garde que je ne restais pas dans le cadre de nos jeux ; certes il acceptait que j’aie des aventures, mais pas de cette façon ; avec du recul, je me sentais coupable.
Je ne voulais pas le perdre et toute l’après-midi, j’ai essayé de le joindre, en vain. Mais je me devais d’aller rencontrer le président, pour confirmer ma démission ; en effet il était hors de question que je sois à la merci des joueurs la saison prochaine. J’allais bien voir sa proposition.il avait prévu un repas, j’en ai donc déduit que sa femme serait là ; je ne la connaissais que de vue, car elle ne venait que rarement au match et encore moins à l’après. Même si je n’avais qu’une envie, avoir des nouvelles de jean, je me suis préparée pour la soirée ; une simple, mais élégante robe, des bas retenus par une guêpière en dentelle ; devant la glace, je me suis sentie non seulement présentable, mais très sexy, sans savoir exactement pourquoi.
Leur accueil a été très simple, lui me faisant la bise comme à son habitude, elle me tendant d’abord la main, avant de se raviser et de m’embrasser sur les deux joues, très amicalement. C’était une très belle femme, courtoise, distinguée, d’où émanait une vraie douceur dans le regard. Devant un apéro, la discussion était très chaleureuse, puis devenant plus sérieux, il a commencé à me révéler sa réflexion. Sa femme a voulu se retirer, mais il lui a demandée de rester, sa présence étant très certainement apaisante ; je redoutais le pire« Ma chère Nicole, je sais pourquoi tu veux quitter le club. Après le match j’étais resté à mon bureau pour les documents pour la fédé ; quand je suis sorti, j’ai d’abord vu le gardien sortir des vestiaires, encore allumés, puis ensuite toi, en tenue très osée, entourée des deux joueurs ; j’ai vite compris, mais j’ai été questionner le gardien, puis ce matin j’ai convoqué les joueurs qui ont été honnêtes ; ils m’ont avoué qu’ils étaient les responsables de ton abandon ; donc acte »Je ne savais plus comment me mettre, le fauteuil était devenu inconfortable et je devais être rouge de honte. C’est à ce moment que sa femme s’est approchée et doucement a posé sa main sur la mienne, douce et rassurante, puis s’adressant à son mari :« Est-il nécessaire de lui rappeler ces instants, certes un peu déplacés, sans aucun doute difficile à se remémorer devant nous d’autant plus que ces lascars sont bien connus pour leurs fredaines Mets la plutôt en confiance. »Elle s’est assise sur le bras du fauteuil, gardant ma main dans la sienna« Bref, je pense avoir une solution à te proposer ; le club de basket, à un ostéo masculin, ce qui pose quelques problèmes à ces demoiselles ; je te propose donc l’échange ; ton collègue vient ici et toi, tu retrouves une place avec eux ; le président est enchanté et ton collègue, lui aussi de cette proposition. Par contre, j’ai pris mes précautions concernant le gardien et les joueurs ; tu ne risques aucune indiscrétion »Sans aucune réticence, je lui confirme mon accord tout en le remerciant de sa compréhension. Sa femme m’aide à quitter le fauteuil et nous nous installons sur le canapé« Si je peux me permettre comment en es-tu arrivée là, car si j’en crois mon mari, tu as toujours su te préserver « « Je suis sûr que cela va vous choquer, j’ai du mal à vous dire la vérité ce que je comprends »A nouveau, elle me prend la main « Ce n’est pas pour te juger, simplement pour comprendre, mais rassures toi, nous sommes très ouverts sur ce sujet »Je ne relève pas immédiatement la phrase, mais plus tard, je comprendrais sa signification ; et je me lance« il y a trois semaines jean n’a confié ses envies de caudauliste, terme dont j’ai découvert ensuite la signification ; il a su me convaincre pour que j’aille retrouver notre ami, qui entre nous n’attendait que cela et je lui ai appartenu, sans restriction, m’offrant à lui , tout en pensant à ce que j’allais raconter à jean ensuite ; si moi j’ai pris beaucoup de plaisir, l’homme étant très performant et bien monté, j’ai ensuite bien profité du résultat lorsque je ne suis retrouvé dans les bras de jean. Cela aurait pu en rester là, c’est-à-dire lui faire plaisir en faisant l’amour avec un autre homme, devant ou sans lui, mais en le lui disant, mais Paulo, l’homme avait qui j’avais baisé, car le mot est plus juste, a su me relancer et j’ai craqué plusieurs fois, sans le dire à jean ; ce qui a provoqué son courroux et son départ aujourd’hui, sans que je puisse le joindre »« Ok, mais comment a-t-il été au courant, pour les joueurs et ce Paulo ;« Pour les joueurs, c’est moi qui lui ai raconté , me livrant devant lui à deux d’entre eux, avec beaucoup de jouissance pour lui comme pour moi, par contre , c’est Paulo qui profitant d’une saillie de sa jument, en a profité pour faire de même , devant jean, avec moi, me pourfendant, tout en lui dévoilant mon infidélité, ce que je regrette profondément maintenant »Elle a passé sa main sur mes épaules, me caressant doucement le cou.
« Essaie de le contacter, où envoie lui un message pour lui dire ta présence très agréable parmi nous, tout en sachant que nous comprenons votre démarche »A nouveau cette phrase aurait dû me mettre la puce à l’oreille, mais envoyant le message, trouvant avec eux un peu de réconfort, je n’ai rien vu venir ; Finalement, il a répondu, de façon très courte.
» parfait, bonne soirée, amuses toi bien »Au lieu de me faire du bien, ce message a amené des larmes dans mes yeux, ce qu’elle a vite perçu ; me prenant la tête à deux mains, elle a déposé ses lèvres sur les miennes en disant« allez viens avec moi, cela va te faire oublier un peu ta douleur » C’est dans un petit salon que nous nous sommes installées, elle me prenant dans ses bras, moi essayant de reprendre mon calme. Sa douceur et ses mains qui me caressent les cheveux m’apportaient un peu, beaucoup même de réconfort et quand elle s’est penchée pour me déposer un bisou sur le coin des lèvres, je ne me suis pas dérobée ; je n’ai jamais eu de contact avec une femme ; pour moi, c’était un bisou amical ; par contre devant ma passivité, sa bouche est venu au contact de mes lèvres qui sans avoir pourquoi se sont entrouverte,, sa langue essayant de se frayer un passage entre elles ; laissant sa langue batailler avec la mienne, alors que j’ y répondais,, une douce chaleur m’a doucement envahie.
Ses mains ont quitté ma tête, nos bouches étant toujours jointes en un profond baiser ; quand je me suis rendu compte qu’elle faisait descendre la fermeture éclair de ma robe, j’ai eu un mouvement de recul, mais elle a insisté, me disant de me laisser faire. Sa détermination a eu raison de moi, et bientôt je me suis retrouvée en sous -vêtement devant elle ; elle me toise, me complimentant de ma tenue sexy, qui dit elle lui plait beaucoup ; ses mains sont sur mes seins qu’elle libère des bonnets les couvrant et se penchant, elle vient butiner les tétons qui sous cette langue avide, commencent à durcir, ce qu’elle perçoit »tu aimes mes lèvre sur tes seins ? »Je reste silencieuse, mais quand ses doigts viennent les triturer, je ne peux retenir un frisson« Tu as froid, « . un signe de tête lui signifie que non« ce sont mes caresses qui te font frissonner ainsi et durcir tes tétons ? ; dis-moi, tu as déjà fait l’amour avec une femme ? car moi j’ai très envie de toi. Tu veux que je mette comme toi sans ma robe ?»Elle prend sans doute mon silence pour un accord , car sa robe tombe en corolle à ses pieds et je découvre son corps, juste couvert par un soutien sein, laissant sa forte poitrine libre, de beaux seins, avec un grande auréole et un gros téton au milieu, et par un porte jarretelle vintage, lui enserrant le ventre et tenant ses bas ; par contre l’absence de slip est évidente. Elle prend ma main et la porte sur sa poitrine« Je te plais ? moi j’ai envie de toi, mais si cela te gêne, nous en resterons là. »« non continuez, mais c’est nouveau pour moi et je suis perdue »« Ne t’inquiète pas et laisse-moi faire »Sans réaliser que je prenais le chemin d’une relation lesbienne, je me suis laissée faire et je ne le regrette pas.