Cocu avant mariage 3

- Par l'auteur HDS Accent -
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cocu avant mariage 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cocu avant mariage 3
Cocu avant mariage 3Le doute n’est pas possible

Ce vendredi j'ai travaillé sans souffler, abattu mon boulot comme un forcené. Ma tâche accomplie, j'ai pu quitter le chantier une heure plus tôt que d'habitude. Après une douche rapide, pressé de retrouver Léa et de l'aimer, de lui faire l'amour mieux que dimanche dès ce soir, de lui montrer que je serai un excellent mari, au lit comme amant et partout comme compagnon, j'enfourche ma mobylette et je roule à fond pour ne pas rater sa sortie du boulot. Avec un peu de chance, je pourrai la cueillir devant son magasin à l'heure de la fermeture. Je suis fou de bonheur, rien ne ralentit mon allure, les feux passent au vert quand j'en approche. Cupidon m'aide.. Léa sera ravie de la surprise puisqu'elle n'aura pas à attendre le samedi matin pour m'embrasser.
Il est dix-huit heures cinq quand je me glisse entre deux voitures en stationnement au bord du trottoir. C'est l'heure pile. Léa sort, Léa se précipite dans les bras d'un gaillard. Je le connais, c'est Thomas ! Ils s'enlacent, s'embrassent. Sans perdre de temps Thomas la fait asseoir à l'avant d'une Toyota rouge, prend la place du conducteur et démarre. J'ai mal vu ? Je m'engage à la poursuite de la voiture. Je veux savoir si le jeune homme la reconduit à la maison. Que signifie leur baiser ? Grâce aux limitations de vitesse ma mobylette garde le contact. Où vont-ils? Ils sortent de la ville, je vais les perdre de vue. Non, le clignotant droit indique un changement de direction, les témoins de frein s'allument. l'auto s'engage à droite sur un chemin forestier. Je connais le coin. C'est un cul de sac, une barrière interdit d'aller loin en forêt. C'est bien ça. La voiture est arrêtée à une centaine de mètres. J'abrite ma mobylette derrière un bosquet et je m'avance d'arbre en arbre à travers les fougères à hauteur du véhicule. Le galant fait descendre ma Léa. Et le baiser reprend. Léa avait assuré- JAMAIS il ne me baisera ! Je t'appartiens, à toi, pour toujours.
Eh ! bien, le pensait-elle ou l'a-t-elle oublié. Comment expliquer le revirement qui la livre aux bras et aux lèvres de ce Thomas ? C'est écoeurant. Des portières arrières sortent Josiane et Guy. Ils ouvrent une couverture et vont l'étaler devant la Toyota. Je m'approche au plus près, à l'abri de la végétation pour ne pas être vu, assez près pour voir et pour entendre. Josiane interrompt les embrassades amoureuses.
- Hé, vous deux, vite. Votre couche est prête. Léa n'oublie pas l'heure. Je ne pourrai pas toujours te servir d'alibi auprès de tes vieux.
- Alors on y va. Bon, les filles vous savez comment me mettre rapidement en forme. Comme chaque jour, de la semaine, gouinez-vous un peu, belles salopes, j'adore.
Debout, pour le plaisir du mâle les filles s'étreignent tandis que Guy se poste à l'arrière du véhicule, en sentinelle, tourné vers la route. A pleine bouche Léa et Josiane se bouffent le museau, se tâtent les seins, agitent leurs bras, envoient leurs mains "aux paniers". Je suis effaré de voir la conduite de Léa. Je me répète - Ce 'est pas vrai, je rêve. Elles et Léa se font des papouilles. Les cochonnes.
Hélas, c'est possible et je suis seulement au début de mes découvertes. Elles se laissent tomber sur la" couche", atterrissent bizarrement à l'envers, la tête de chacune entre les cuisses de l'autre. Léa est sous Josiane, dégage le sexe de la copine en écartant la ficelle du string pour se mettre à lécher ardemment l'abricot. Je suppose que Josiane agit de même : toutes deux râlent leur plaisir. Elles se détachent, Josiane change de place, vient croiser avec ses jambes celle de Léa de manière qu'elles semblent former des lames de ciseaux. Ainsi imbriquées les filles rapprochent leurs sexes. En quelques contorsions les deux vulves se tutoient, se choquent et les chairs molles des grandes lèvres écrasées les une contre les autres se déforment. Vulve à vulve, clito contre clito, elles engagent une lutte sauvage pour soumettre la partenaire. Mais elles ne pensent plus à l'homme. Thomas a baissé son pantalon et son slip et se masturbe en les observant, donne forme à un sexe au diamètre effectivement imposant et s'écrie :- Stop, les salopes, occupez-vous de mon chibre. Allez, aux pieds !
Comme deux chiennes obéissantes, les deux femelles soumises s'accroupissent devant le gaillard et se partagent le sexe en érection, le lèchent, le sucent à tour de rôle, comme si elles n'avaient fait que ça pendant leur vie. Une main dans chaque chevelure Thomas guide les mouvements des têtes et se lance dans l'exposé de ses plans.
- Ma petite Léa, tu es douée, naturellement douée. Lundi soir, toute effrayée de ton audace tu ne savais pratiquement rien faire. Ton con de copain t'avait dépucelée mais laissée ignorante. Que de progrès tu as accomplis en quatre courtes séances ici. Lundi mon truc impressionnant t'a élargie malgré de petites douleurs. Après la position du missionnaire, mardi, tu as apprécié le papillon ou la vache et le taureau ou encore la levrette et la cuillère. Te voilà au fait des principales positions. Au programme ce soir il y a la sodomie. C'est la raison de la présence de Guy. Sa flûte est longue et mince. Il sera ton initiateur.
- Oh ! Non, s'il te plaît, pas ça.
La première pénétration anale avec lui ne sera pas trop douloureuse, précise Thomas . Il va respecter une progression Jo, prépare Guy pendant que je révise avec Léa les exercices pratiques de la semaine. dit ThomasCouchée sur le dos, Léa accueille la grosse bite de Thomas. Est-ce pour connaître l'effet de cet engin qu'elle m'a trompé dès lundi alors que je rêvais d'elle, de sa pureté et de sa détermination à m'épouser. Elle geint, ces cris de douleur donnent plus d'ardeur au séducteur. Elle proteste soudain-Thomas tu m'as promis de mettre une capote. Je ne veux pas être enceinte de toi. Que penserait Jean si j'attrapais le gros ventre ?
- Oublie-le un moment. Il a promis de t'épouser, il t'a baisée déjà et te baisera demain samedi et dimanche. Pourquoi ton mouflet ne serait-il pas le sien? D'ailleurs si tu ne lui racontes pas nos rencontres qui pourrait-il soupçonner de t'avoir engrossée ?
- Je veux être honnête avec lui. Je ne lui ferai pas de peine,. je ne lui raconterai pas que j'ai pris des cours de perfectionnement avec toi. Il bénéficiera de tes cours, c'est pour cela que j'ai accepté de souffrir sous toi, d'accueillir en moi ton énorme truc.
- Hé, c'est tout ce que je t'inspire. Tu as bien admis que je suis d'un meilleur niveau que ton futur mari . Ne jouis-tu pas mieux avec moi ?
- C'est vrai- Alors, tu cesseras de m'aimer quand il t'aura épousée ? N'es-tu pas enchantée d'avoir un mari le week-end et un ou des amants la semaine quand le cocu est au travail. Aussi longtemps que tu sauras te taire tu auras une vie sexuelle exaltante. Allez, viens sur moi et au galop.
Thomas sur le dos tient le pieu ferme sur lequel Léa vient planter son vagin. Elle est bien entraînée, galope vivement malgré l'épaisseur de la verge exceptionnelle. Elle est rouge, la sueur perle sur son front. Elle demande :- Tu ne seras pas jaloux si je fais l'amour avec Jean ?
- Au contraire, fais lui profiter de ce que je t'apprends. De toute manière, toi et moi nous ferons ça plus souvent que lui et toi. Et puis, tu le sais, je suis marié. Tourne-toi, regarde mes pieds et montre-moi ton cul, que j'y mette un doigt pour le préparerLéa obéit à l'oeil et au doigt qui fouille son rectum après avoir franchi les sphincters de son anus. Elle a un peu gémi et déclare lorsqu'elle s'habitue:- Jamais je n'oserai demander à Jean d'entrer un doigt ou sa bite dans mon cul.
- Comme ça, j'aurai un domaine réservé, ma chère Léa : ça vaut de l'or d'^être seul à t'enculer. Retourne-toi mais reste à cheval. Appelle Guy et dis lui que tu veux qu'il t'encule.
- Oh ! Non, j'ai honte de dire des choses aussi sales. Mais alors ce ne sera plus ton privilège. Toi, appelle-le.
Elle consent. Elle a honte de dire, elle veut bien y passer pourtant. Elle m'a déçu, elle me dégoûte.
Au premier appel, Guy se présente, bite au vent, raide et prête à inaugurer le trou du cul vierge, à assouplir par l'usage de calibres de plus en plus gros explique le mentor.. Thomas serre le tronc de Léa sur sa poitrine; Elle est immobilisée, attend avec appréhension cette pénétration annoncée et admise. Elle est consentante, cela fait partie de son apprentissage de l'amour et du sexe. Des cours de perfectionnement, selon ce qu'on lui a appris et elle l'aurait cru !
C'est à croire que la râpe volumineuse de Thomas a emporté toutes ses réticences. Il l'a limée lundi, mardi, mercredi, jeudi et ce soir. Le copain de sa copine vient effleurer l'anus. Josiane crache sur la pastille. La tringle pousse, les muscles cèdent, le visage de Léa grimace, elle dit "aie". La verge entre, n'en finit pas d'entrer dans les entrailles. Bientôt le mouvement de bielle débute puis s'accélère, les "aie" se multiplient. Thomas s'inquiète:- Tu pleures, tu as trop mal ?
- Non, je pleure de joie. Ça fait un peu mal, mais c'est supportable. Deux bites en moi, c'est incroyable, pas si terrible. Je n’aurais pas cru. Thomas je n’oublierai jamais ce que tu m’as enseigné. En remerciement, ma porte te seras toujours ouverte.
- Ta porte ? Et ton con et ton cul ? Oui?
- Les jours de semaine seulement, en l’absence de mon mari.Tu es content ?
-Et comment ! Tu as tout compris. Avec l'habitude la douleur passera. Josiane m'a promis de permettre à Guy de recommencer avec toi. la semaine prochaine Guy et moi changerons d'orifice. Ton bonheur est garanti pour longtemps. C'est bon ?
- Euh ! oui. Je vais mourir , formidable Merci, continuez, s’il vous plaît- Ça non plus, ce n'est pas à la portée de ton futur mari. Nous assurerons aussi longtemps que tu le souhaiteras. Maintenant, bouge ton cul de salope, fonce vers le ventre de Guy, bien à fond. Empale-toi, participe . Pour nous aussi c’est fameux. Je lâche les vannes.
-Moi aussi dit GuyJosiane se charge des problèmes d'horaire :- Hé, il est l'heure; il faut rentrer chez toi ou ton père va t'engueuler et t'interdire de faire du lèche-vitrines avec moi après le boulot.. Garde un peu d'envie pour Jean et surtout pour la semaine prochaine. Thomas reviendra, La fin arrive trop vite et cela se lit sur le visage déçu de LéaPendant qu'ils se rhabillent et plient la couverture, je retourne à mon engin. Je suis déçu, pour une autre raison , mais heureusement que j’ai eu la bonne idée de revenir ce soir. J'attends que la voiture rouge s'éloigne. J'enrage et je jure de me venger. Manipulée ou vicieuse, Léa me préparait un sale coup : Je suis cocu avant d’être marié. Cela ne la trouble pas. Attendons demain.

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