Cocu ... volontaire 5
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Cocu ... volontaire 5
- Merci pour ta compréhension et ta générosité. Ma femme aura droit à une bonne baise avec ton godelureau, jouira de nouveau grâce à « ce coup » exceptionnel, nécessaire pour rétablir son équilibre sexuel. Me voilà optimiste. Grâce à toi mon problème de couple sera vite résolu.
- Résolu, d’accord, mais aux dépens de qui ? Nul ne peut prévoir l’issue de cette expérience.
- Que redoutes-tu ? Ton amant t’est fidèle et te reviendra enrichi d’une aventure supplémentaire. Quand Émilie se lance elle ne calcule pas ses efforts, se donne à fond, et pourrait compléter le savoir de ton amant. Tu seras largement récompensée par ce complément de formation pratique. Cependant Émilie a une bonne dose de bon sens et ma femme comprendra que la survie d’un couple n’est pas affaire de centimètres de verge seulement. Et tout rentrera dans l’ordre….A voir ton visage, je commence à me demander si tu n’espères pas perdre René pour le remplacer par un nouvel amant. Quand cesseras-tu ta chasse à l’homme. Avec le retrait de René, tu retrouverais ta liberté et je perdrais Émilie. Ce n’est pas possible, tu dois jouer franc jeu.
- Je serai une observatrice neutre et honnête, ne t’inquiète pas. Reviens ici demain soir entre 18 heures et 19heures, nous ferons le point sur les résultats de mes approches. Ma tâche est double : rien ne peut se faire sans l’assentiment de René ou sans l’accord d’Émilie. Ceci acquis il conviendra d’organiser leur rencontre.
- Il y a un point dont je ne démordrai pas. Émilie est ma femme, je l’offre pour une séance à René, à condition d’assister à leur accouplement.
- Drôle d’idée, mais je leur signalerai ton exigence. Ta présence à cet instant prouvera que tu acceptes et même que tu encourages leur relation sexuelle. Ils pourront donc s’aimer sans crainte de révolte ou de représailles. C’est meilleur pour la réussite de notre plan. La qualité de leur rapport n’en sera que meilleure et plus révélatrice.
- C’est bien ce qu’il faut. Plus René sera efficace, plus forts seront les orgasmes de ma femme et, plus elle retrouvera bonheur et ardeur, plus aussi je serai heureux de l’accompagner dans cette œuvre de clarification. Et puis ce n’est pas tous les jours qu’un mari peut observer la jouissance de son épouse de l’extérieur, sans en être l’auteur. Cette notion a eu du mal à s’installer dans mon esprit; elle y règne maintenant et je veux être le meilleur des maris, préoccupé uniquement par la jouissance d’Émilie.
- Un mari très intéressé par le résultat, mais drôlement voyeur! Je vais briefer René. Le mettre au régime sec : il ne me touchera plus avant de montrer à Émilie les avantages d’une constitution physique exceptionnelle. Crois-moi il bandera ferme et sera performant, je veux la réussite de ce coït. Ce doit être une fête, la grande messe du sexe qui rendra à ta femme le goût des rapports sexuels.
Le lendemain soir je revois Angèle. Elle me reçoit avec un large sourire et me rapporte le résultat de ses deux entretiens. René a été facile à persuader, il a émis une réserve flatteuse pour sa maîtresse. Il voulait avoir l’assurance qu’il ne s’agissait pas d’un renvoi déguisé. Angèle s’en est défendue et m’explique:
-Il est par ailleurs enchanté d’être réclamé pour une tâche aussi noble. « Rendre une épouse à son mari, la faire jouir devant son mari », pour lui c’est inédit et valorisant.
Il est donc dans d’excellentes dispositions, plus sensible à la notion de service à rendre à un couple qu’à la satisfaction d’inscrire une conquête de plus à son palmarès. Prêt à voler au secours d’un mari en détresse plutôt qu’à séduire sa femme.
- C’est l’homme de la situation. Il est bien ton petit.
- Pourquoi serait-il mon amant s’il n’était pas bien ? Généralement je les choisis « bien » en tout point . Il est parfait au lit, hélas il a un défaut qui heureusement ne nuira pas à sa mission. René est plus souvent au chômage qu’au travail. Il a des temps libres dont il use pour entretenir sa forme physique et pour servir les dames généreuses.
- Ah ! Un peu gigolo sur les bords. Effectivement cela n’affectera pas son unique séance de cul avec mon épouse.
- Il fréquente beaucoup les salles de sport, surveille son apparence bien qu’il soit de corpulence moyenne seulement. Il m’arrive, lorsque je l’examine après l’amour, tu sais quand l’homme récupère endormi, détendu et repu, il m’arrive de lui trouver une ressemblance avec ce béguin perdu autrefois et dont je t‘ai parlé précédemment. Est-ce l’existence de certains traits semblables qui m’a poussée à le draguer ? Je ne saurais dire.
- Ce serait une copie de l’homme que tu aimais dans le secret de ton cœur ? Dieu que tu l’as aimé pour chercher comme amant un clone. Méfie-toi, ce pourrait être un frère ou un fils de ton premier amour, auquel cas ta relation avec lui détruirait à jamais l’espoir que tu gardes de retrouver l’original dans une relation qui serait incestueuse, condamnée et condamnable.
- Son frère ? Je ne lui connaissais ni frère ni sœur; il était fils unique. Son fils ? Ce n’est pas possible car René a vingt-trois ans et mon béguin d’alors doit au plus être âgé de 35 à 37 ans à l’heure actuelle.
- Tant mieux pour toi, le risque d’inceste est donc écarté. Me donneras-tu un jour le nom de celui que tu as tant aimé il y a des années et auquel tu penses encore ?
- Ce n’est pas le sujet actuel. Parlons du privilégié qui baisera bientôt ta femme avec ton assentiment, peut-être sous tes applaudissements.
- N’exagérons pas. Tant mieux si ma femme reprend goût à l’amour grâce à cette opération. Je compte la voir jouir, submergée par des vagues successives d’orgasmes Le spectacle et le résultat me procureront une joie immense. Bon, parle-moi du veinard qui la prendra.
- Depuis quelques mois, grâce à la largesse de Victor, je lui verse de quoi payer son loyer et sa nourriture; je tiens à avoir un amant en forme, bien nourri et logé, mais hors de chez moi. Je le soupçonne d’avoir une ou deux autres bienfaitrices. Ce partage des aides permet de les modérer. Pourvu que sa prestation soit bonne quand il me baise, je ne suis pas jalouse de ses autres relations féminines. Du moment qu’il évite les m.s.t. , grand bien lui fasse de se disperser pour améliorer son confort de vie. Aussi longtemps que la qualité est préservée, je ne peux que me réjouir de penser que d’autres femmes partagent avec moi le bénéfice des dons de René. Vois-tu,
- Et s’il s’entichait d’Émilie, je devrais mettre la main à la poche ? C’est un comble que le mari doive entretenir l’amant de sa femme. Cependant, en renonçant à ce fantasme après leur premier rendez-vous, Émilie me mettra à l’abri d’un comportement aussi fâcheux et humiliant.
- Bizarre. Tu offres ta femme à un inconnu, tu prétends ne penser qu’à son bonheur et déjà tu fais marche arrière pour une histoire d’argent. Aimes-tu encore assez ton épouse pour être capable de lui payer l’amant qu’elle désire?
- Pour combien de temps le désirera-t-elle ? Je souhaite qu’il s’accroche à toi et qu’Émilie se rende compte de son erreur avant de reconnaître combien elle peut être heureuse avec moi. J’investis en souhaitant la reconquérir.
- Émilie par contre ne s’est pas précipitée dans l’aventure. Elle craint de te blesser en acceptant de recevoir René. Elle m’a particulièrement surprise lorsque je lui ai fait part de ton désir d’assister à leur union. Finalement elle y a vu, comme toi, une preuve de ton amour pour elle. Elle m’a dit :
-Te rends-tu compte de l’amour de mon homme? Combien de maris permettraient à leur femme de participer à ce genre d’expérience. S’il n’y avait qu’un mari capable de risquer de perdre sa femme, uniquement pour lui donner du bonheur, ce serait mon Jean. Ah ! Quel bon mari, quelle chance j’ai eue de l’épouser.
- Tu vois bien qu’elle ne me méprise pas parce que je suis un peu cocu ou parce que je le serai complètement. Elle m’apprécie et me traite de bon mari. D’ailleurs l’idée de commettre un adultère ne l’aura pas effleurée ! Elle est trop aimante par nature. Cela me conforte dans ma conviction de devoir l’offrir à René. Plus elle l’aimera, plus elle verra qui je suis vraiment. Son estime pour moi ne peut que croître. Finalement l’as-tu convaincue de se donner à ton amant ?
- J’ai été digne de ta confiance. Non seulement Émilie s’est laissée convaincre de la nécessité de l’essai pour redonner force à votre vie conjugale, mais elle m’a vivement remerciée de lui offrir René d’aussi bon cœur. Elle a même insisté pour que je rassure René par ma présence lors de cet essai. Toi et moi serons des observateurs bienveillants de cette passionnante opération.
- C’est magnifique. Ils vont faire l’amour devant nous, le cœur libéré,l’âme sereine. Ils pourront se lâcher, s’unir sans souci, laisser toute latitude aux élans de leur chair, se prendre et se reprendre sans limites, à satiété. Dans ces conditions qui pourra nous traiter de cocus. Nous sommes des esprits éclairés, modernes. Les choses ne se dérouleront pas à notre insu, René et Émilie ne se cacheront pas, ne nous cocufieront pas en agissant en secret. Je suis content, fier de moi et de toi, chère Angèle. Quand la chose doit-elle se faire ?
- Battons le fer tant qu’il est chaud, ne leur laissons pas le temps de revenir en arrière. Il est 19 heures. Rendez-vous est pris chez toi à 21 heures. Va te préparer à vivre un des moments les plus importants de ta vie d’homme marié. Je conduirai moi-même René à ta femme. Prépare une ou deux bonnes bouteilles.
- Ah ? Du champagne ne serait pas déplacé ?
- Que non, mon ami ! Une affaire aussi importante doit se célébrer dignement et le champagne doit couler à flot si ta femme s’envoie en l’air avec délices, si René sait troubler ses sens et l’emplir de sperme en conclusion d’une union charnelle réussie. Ton bonheur d’assister au plaisir d’Émilie vaut bien quelques coupes de champagne. Ne lésine pas sur la dépense, montre à ta femme et à celui qui consent à la saillir, ta joie justifiée. Montre leur aussi que tu apprécies et sais récompenser tous les efforts qu’ils feront pour te donner la satisfaction d’observer un couple épanoui et brûlant de passion, lancé à la conquête de l’amour.
-Non de l’amour, mais débordant de plaisir et de liqueurs sexuelles. Il ne faut pas oublier le caractère exclusivement sexuel de cet acte.
- Tu as raison. Va préparer la fête.
- Résolu, d’accord, mais aux dépens de qui ? Nul ne peut prévoir l’issue de cette expérience.
- Que redoutes-tu ? Ton amant t’est fidèle et te reviendra enrichi d’une aventure supplémentaire. Quand Émilie se lance elle ne calcule pas ses efforts, se donne à fond, et pourrait compléter le savoir de ton amant. Tu seras largement récompensée par ce complément de formation pratique. Cependant Émilie a une bonne dose de bon sens et ma femme comprendra que la survie d’un couple n’est pas affaire de centimètres de verge seulement. Et tout rentrera dans l’ordre….A voir ton visage, je commence à me demander si tu n’espères pas perdre René pour le remplacer par un nouvel amant. Quand cesseras-tu ta chasse à l’homme. Avec le retrait de René, tu retrouverais ta liberté et je perdrais Émilie. Ce n’est pas possible, tu dois jouer franc jeu.
- Je serai une observatrice neutre et honnête, ne t’inquiète pas. Reviens ici demain soir entre 18 heures et 19heures, nous ferons le point sur les résultats de mes approches. Ma tâche est double : rien ne peut se faire sans l’assentiment de René ou sans l’accord d’Émilie. Ceci acquis il conviendra d’organiser leur rencontre.
- Il y a un point dont je ne démordrai pas. Émilie est ma femme, je l’offre pour une séance à René, à condition d’assister à leur accouplement.
- Drôle d’idée, mais je leur signalerai ton exigence. Ta présence à cet instant prouvera que tu acceptes et même que tu encourages leur relation sexuelle. Ils pourront donc s’aimer sans crainte de révolte ou de représailles. C’est meilleur pour la réussite de notre plan. La qualité de leur rapport n’en sera que meilleure et plus révélatrice.
- C’est bien ce qu’il faut. Plus René sera efficace, plus forts seront les orgasmes de ma femme et, plus elle retrouvera bonheur et ardeur, plus aussi je serai heureux de l’accompagner dans cette œuvre de clarification. Et puis ce n’est pas tous les jours qu’un mari peut observer la jouissance de son épouse de l’extérieur, sans en être l’auteur. Cette notion a eu du mal à s’installer dans mon esprit; elle y règne maintenant et je veux être le meilleur des maris, préoccupé uniquement par la jouissance d’Émilie.
- Un mari très intéressé par le résultat, mais drôlement voyeur! Je vais briefer René. Le mettre au régime sec : il ne me touchera plus avant de montrer à Émilie les avantages d’une constitution physique exceptionnelle. Crois-moi il bandera ferme et sera performant, je veux la réussite de ce coït. Ce doit être une fête, la grande messe du sexe qui rendra à ta femme le goût des rapports sexuels.
Le lendemain soir je revois Angèle. Elle me reçoit avec un large sourire et me rapporte le résultat de ses deux entretiens. René a été facile à persuader, il a émis une réserve flatteuse pour sa maîtresse. Il voulait avoir l’assurance qu’il ne s’agissait pas d’un renvoi déguisé. Angèle s’en est défendue et m’explique:
-Il est par ailleurs enchanté d’être réclamé pour une tâche aussi noble. « Rendre une épouse à son mari, la faire jouir devant son mari », pour lui c’est inédit et valorisant.
Il est donc dans d’excellentes dispositions, plus sensible à la notion de service à rendre à un couple qu’à la satisfaction d’inscrire une conquête de plus à son palmarès. Prêt à voler au secours d’un mari en détresse plutôt qu’à séduire sa femme.
- C’est l’homme de la situation. Il est bien ton petit.
- Pourquoi serait-il mon amant s’il n’était pas bien ? Généralement je les choisis « bien » en tout point . Il est parfait au lit, hélas il a un défaut qui heureusement ne nuira pas à sa mission. René est plus souvent au chômage qu’au travail. Il a des temps libres dont il use pour entretenir sa forme physique et pour servir les dames généreuses.
- Ah ! Un peu gigolo sur les bords. Effectivement cela n’affectera pas son unique séance de cul avec mon épouse.
- Il fréquente beaucoup les salles de sport, surveille son apparence bien qu’il soit de corpulence moyenne seulement. Il m’arrive, lorsque je l’examine après l’amour, tu sais quand l’homme récupère endormi, détendu et repu, il m’arrive de lui trouver une ressemblance avec ce béguin perdu autrefois et dont je t‘ai parlé précédemment. Est-ce l’existence de certains traits semblables qui m’a poussée à le draguer ? Je ne saurais dire.
- Ce serait une copie de l’homme que tu aimais dans le secret de ton cœur ? Dieu que tu l’as aimé pour chercher comme amant un clone. Méfie-toi, ce pourrait être un frère ou un fils de ton premier amour, auquel cas ta relation avec lui détruirait à jamais l’espoir que tu gardes de retrouver l’original dans une relation qui serait incestueuse, condamnée et condamnable.
- Son frère ? Je ne lui connaissais ni frère ni sœur; il était fils unique. Son fils ? Ce n’est pas possible car René a vingt-trois ans et mon béguin d’alors doit au plus être âgé de 35 à 37 ans à l’heure actuelle.
- Tant mieux pour toi, le risque d’inceste est donc écarté. Me donneras-tu un jour le nom de celui que tu as tant aimé il y a des années et auquel tu penses encore ?
- Ce n’est pas le sujet actuel. Parlons du privilégié qui baisera bientôt ta femme avec ton assentiment, peut-être sous tes applaudissements.
- N’exagérons pas. Tant mieux si ma femme reprend goût à l’amour grâce à cette opération. Je compte la voir jouir, submergée par des vagues successives d’orgasmes Le spectacle et le résultat me procureront une joie immense. Bon, parle-moi du veinard qui la prendra.
- Depuis quelques mois, grâce à la largesse de Victor, je lui verse de quoi payer son loyer et sa nourriture; je tiens à avoir un amant en forme, bien nourri et logé, mais hors de chez moi. Je le soupçonne d’avoir une ou deux autres bienfaitrices. Ce partage des aides permet de les modérer. Pourvu que sa prestation soit bonne quand il me baise, je ne suis pas jalouse de ses autres relations féminines. Du moment qu’il évite les m.s.t. , grand bien lui fasse de se disperser pour améliorer son confort de vie. Aussi longtemps que la qualité est préservée, je ne peux que me réjouir de penser que d’autres femmes partagent avec moi le bénéfice des dons de René. Vois-tu,
- Et s’il s’entichait d’Émilie, je devrais mettre la main à la poche ? C’est un comble que le mari doive entretenir l’amant de sa femme. Cependant, en renonçant à ce fantasme après leur premier rendez-vous, Émilie me mettra à l’abri d’un comportement aussi fâcheux et humiliant.
- Bizarre. Tu offres ta femme à un inconnu, tu prétends ne penser qu’à son bonheur et déjà tu fais marche arrière pour une histoire d’argent. Aimes-tu encore assez ton épouse pour être capable de lui payer l’amant qu’elle désire?
- Pour combien de temps le désirera-t-elle ? Je souhaite qu’il s’accroche à toi et qu’Émilie se rende compte de son erreur avant de reconnaître combien elle peut être heureuse avec moi. J’investis en souhaitant la reconquérir.
- Émilie par contre ne s’est pas précipitée dans l’aventure. Elle craint de te blesser en acceptant de recevoir René. Elle m’a particulièrement surprise lorsque je lui ai fait part de ton désir d’assister à leur union. Finalement elle y a vu, comme toi, une preuve de ton amour pour elle. Elle m’a dit :
-Te rends-tu compte de l’amour de mon homme? Combien de maris permettraient à leur femme de participer à ce genre d’expérience. S’il n’y avait qu’un mari capable de risquer de perdre sa femme, uniquement pour lui donner du bonheur, ce serait mon Jean. Ah ! Quel bon mari, quelle chance j’ai eue de l’épouser.
- Tu vois bien qu’elle ne me méprise pas parce que je suis un peu cocu ou parce que je le serai complètement. Elle m’apprécie et me traite de bon mari. D’ailleurs l’idée de commettre un adultère ne l’aura pas effleurée ! Elle est trop aimante par nature. Cela me conforte dans ma conviction de devoir l’offrir à René. Plus elle l’aimera, plus elle verra qui je suis vraiment. Son estime pour moi ne peut que croître. Finalement l’as-tu convaincue de se donner à ton amant ?
- J’ai été digne de ta confiance. Non seulement Émilie s’est laissée convaincre de la nécessité de l’essai pour redonner force à votre vie conjugale, mais elle m’a vivement remerciée de lui offrir René d’aussi bon cœur. Elle a même insisté pour que je rassure René par ma présence lors de cet essai. Toi et moi serons des observateurs bienveillants de cette passionnante opération.
- C’est magnifique. Ils vont faire l’amour devant nous, le cœur libéré,l’âme sereine. Ils pourront se lâcher, s’unir sans souci, laisser toute latitude aux élans de leur chair, se prendre et se reprendre sans limites, à satiété. Dans ces conditions qui pourra nous traiter de cocus. Nous sommes des esprits éclairés, modernes. Les choses ne se dérouleront pas à notre insu, René et Émilie ne se cacheront pas, ne nous cocufieront pas en agissant en secret. Je suis content, fier de moi et de toi, chère Angèle. Quand la chose doit-elle se faire ?
- Battons le fer tant qu’il est chaud, ne leur laissons pas le temps de revenir en arrière. Il est 19 heures. Rendez-vous est pris chez toi à 21 heures. Va te préparer à vivre un des moments les plus importants de ta vie d’homme marié. Je conduirai moi-même René à ta femme. Prépare une ou deux bonnes bouteilles.
- Ah ? Du champagne ne serait pas déplacé ?
- Que non, mon ami ! Une affaire aussi importante doit se célébrer dignement et le champagne doit couler à flot si ta femme s’envoie en l’air avec délices, si René sait troubler ses sens et l’emplir de sperme en conclusion d’une union charnelle réussie. Ton bonheur d’assister au plaisir d’Émilie vaut bien quelques coupes de champagne. Ne lésine pas sur la dépense, montre à ta femme et à celui qui consent à la saillir, ta joie justifiée. Montre leur aussi que tu apprécies et sais récompenser tous les efforts qu’ils feront pour te donner la satisfaction d’observer un couple épanoui et brûlant de passion, lancé à la conquête de l’amour.
-Non de l’amour, mais débordant de plaisir et de liqueurs sexuelles. Il ne faut pas oublier le caractère exclusivement sexuel de cet acte.
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