Cocu…. Volontaire 8 là elle jouit, c’est merveilleux

- Par l'auteur HDS Accent -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Cocu…. Volontaire  8   là elle jouit, c’est merveilleux Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2016 dans la catégorie Plus on est
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Cocu…. Volontaire 8 là elle jouit, c’est merveilleux
Émilie est stupéfaite, reste bouche bée, se frotte les yeux, examine le dernier arrivant, fixe longuement le milieu de son corps, me regarde puis se tourne vers Angèle, observe de nouveau l’homme nu qui vient d’entrer et s’avance tout doucement, tenant fièrement dans sa main sa bite comme un roi tiendrait son sceptre. Il a conscience de l’importance de son appendice raide et de son influence sur les femmes. Elle paraît un peu surprise; a-t-elle remarqué la ressemblance soulignée plus tôt par Angèle entre René et moi autrefois ?Elle s’écrie enfin :

- Non ! Ce n’est pas vrai. Vous me l’amenez vraiment ? Ce n’était pas une blague. Jean, j’en pleure de joie. Oh, mon Jean chéri, que tu es bon, que je t’aime.


Ouais; est-ce possible, m’aime-t-elle encore ? Une longue habitude a fait de moi « Mon Jean chéri, je t’aime » que même la lassitude n’a pas encore banni. Et peut-elle être aussi joyeuse à la perspective de s’offrir devant moi à ce jeune homme doté d’un braquemart de rêve. En principe nous poursuivons le même but, mais pas par les mêmes moyens. C’est elle qui va se faire mettre le truc et qui va s’envoyer en l’air. Je n’aurai que le plaisir de voir son visage illuminé par les orgasmes qu’elle espère. Elle se dirige vers moi, se jette à mon cou, m’embrasse sur les joues, sur la bouche et termine la phrase commencée :
- Jean, tu es sûr, tu veux pour de bon que je fasse l’amour à cet homme ? Merci mon mari chéri, mille mercis. Je n’osais pas y croire, il est là !Tu ne me ferais pas une farce… Me le montrer puis le renvoyer aussitôt serait trop cruel.

Comme elle sait m’attribuer toute la responsabilité d’un acte dû en réalité à son incapacité à jouir avec moi depuis qu’elle a découvert la virilité de l’amant de sa copine. J’ai tout essayé pour la décoincer. Sans succès pour les méthodes naturelles. J’ai même acheté un flacon de « Héro », gel lubrifiant et chauffant que je comptais utiliser comme adjuvant dès ce soir. Je remets son utilisation à plus tard, après l’expérience qu’Angèle a un peu précipitée. Je viens d’être pris de court. Mais le sort en est jeté. Alors je fanfaronne malgré ma gorge sèche :

- Le renvoyer nu, le sexe raide tourné vers les étoiles ? Comment peux-tu supposer une telle cruauté ? Oui, il est là, il est pour toi, pour t’aider à réaliser ton fantasme et pour se soumettre à tes désirs les plus fous. N’est-il pas magnifique le chevalier de tes rêves? Comme je suis content de voir éclater ta joie, ma femme adorée. Que ne ferais-je pas pour te plaire ?


M’entend-elle, comprend-elle ce que je lui dis. Déjà elle regarde ailleurs hypnotisée par le serpent menaçant qu‘elle attend dans son sexe, puis elle réussit à en détacher le regard pour s‘adresser à sa bienfaitrice, la maîtresse prêteuse :

- Et toi Angèle, tu me livres ton ami, tu me l’amènes à domicile pour qu’il puisse réveiller mes sens endormis. Viens que je t’embrasse aussi. Merci à toi, merci à vous deux.


Elle rayonne de joie et va se jeter toute habillée au pied du chevalier servant:

- Tu es bien René ? Pardon, je n’avais pas bien examiné ton visage. Je m’étais concentrée sur ça. Je reconnais parfaitement ta verge. Tu permets ?


Elle s’empare de la hampe à deux mains au-dessus desquelles émergent quelques centimètres du cylindre impressionnant, surmontés du gland dénudé. Elle entame aussitôt des mouvements sur ce cylindre aux veines saillantes. Son impatience est visible. Toutefois René l’arrête :

- Chère Émilie, ne vois-tu pas une anomalie dans cette salle ?


- Ah ? Une anomalie ? Depuis quand ?,Non. Que devrais-je voir, mon ami ? Moi ? Je ne comprends pas .


- Regarde-nous, puis regarde-toi.


- Oh! Pardon, j’oubliais, mes habits ? Oui, mais qu’attends-tu pour me les enlever?


- Je trouverais fortement symbolique que ce soit ton mari qui te dénude pour t’offrir à moi. Cela marquerait sa volonté de nous voir accomplir le nécessaire pour te délivrer du blocage sexuel qui vous chagrine à juste raison. Ce geste joint à ses paroles serait un signe puissant de son consentement.


- Jean, as-tu entendu ces paroles pleines de sagesse? Viens mon amour de mari, mets moi en état de faire l’amour. Dépouille-moi, pour moi tes gestes seront une invitation à poursuivre l’accomplissement de l’union de nos corps selon tes vœux. Tout ce qui suivra je le vivrai en bonne épouse obéissante. Que ta volonté se fasse.


- Si j’avais des doutes, ils sont levés : le responsable c’est moi. Je ne pourrai m’en prendre qu’à moi si échec il y a.

Angèle s’avance :
- Moi aussi je veux montrer mon consentement. Laissez-moi aider Jean. Comme ça René pourra se livrer sans scrupules à sa fonction de mâle révélateur. Il sera plus productif avec une conscience en paix. Dans de bonnes conditions psychologiques il peut réaliser un miracle.

Je complète :

- Que le ciel t’entende, que ce jeune homme relance la libido de ma femme. Amen.


- Mes enfants, vous avez ma bénédiction. Baisez bien. Jean, allons-y; accorde leur aussi ta bénédiction, qu’ils baisent le cœur léger et qu’ils explorent ensemble avec ardeur les limites extrêmes du plaisir, pour notre plus grande joie.


Angèle y va fort. Les circonstances sont exceptionnelles, mais faut-il vraiment que moi, le mari malheureux,ou le cocu heureux (je ne sais plus trop où j’en suis ), je bénisse l’union de ma femme avec ce garçon à grosse queue et faut-il aussi que je forme des vœux pour que ma femme connaisse des orgasmes fabuleux ? Je cède à la pression ambiante :

- Soyez heureux, je le veux.


Je me sens un peu ridicule, mais que dire d’autre?


J’ouvre les boutons de la blouse, Angèle la retire et laisse apparaître le soutien gorge étroit dont les seins débordent, tétins en avant. Angèle fait tomber la mini jupe. J’appelle René :

- Ceci est la passation de pouvoirs, baissons ensemble ce string.


Le fin tissu glisse le long des jambes, accroche aux genoux, aboutit sur les pieds. Je dégage l’un, René libère l’autre pied juste soulevé, s’empare de la boule et la hume à pleines narines: y puise-t-il une énergie supplémentaire, je vois vibrer sa queue qui tient à l’horizontale toute seule ?


René plonge sa figure sur le sexe dévoilé. Émilie émet un long feulement, le premier d’une interminable série. De la tête perdue dans la broussaille du buisson de poils de son pubis et dans la fourche chaude de ses cuisses qui s’ouvrent légèrement, l’homme, à genoux, pousse ma femme vers le canapé. Sur les genoux il avance, la fait reculer : les coups de langue sur le clitoris annihilent toute volonté de résistance.


- Ho ! Pas si vite, intervient Angèle. Il serait bon de commencer par le commencement. Vous ne vous êtes pas encore embrassés ! Debout. Saluez-vous comme des pigeons amoureux.


Inutile d’insister, d’un bond ils sont debout, s’enlacent, soudent leurs lèvres et restent longuement collés l’un à l’autre de la bouche aux pieds,. Ils cherchent à frotter chaque centimètre carré de peau à la peau du partenaire de ce baiser fou. René n’a besoin de personne pour dégrafer le soutien-gorge et me l’envoyer, avant de serrer Émilie contre sa poitrine encore imberbe de jeune homme, de toute la force de ses bras. Et ma femme écrase avec joie ses seins contre son nouvel homme en se pendant à son cou. Je me suis juré de ne pas être jaloux, mais ma gorge se serre quand je compare la spontanéité de ses élans actuels à son peu d’ardeur lors de nos relations récentes : les mêmes gestes sont si différents selon qu’ils sont inspirés par l’espoir ou le désespoir.


Quand à bout de soufflent ils se détachent et se regardent dans les yeux, Angèle joue au maître de cérémonie :

Un instant, Émilie n’es-tu pas curieuse de relever la différence de tes deux hommes ? Allez les garçons, placez-vous l’un en face de l’autre. Nous les femmes nous nous appliquons à obtenir votre meilleur développement. Émilie choisis le sexe que tu veux voir grandir, je m’occupe de l’autre.


Avec une insouciance pour moi humiliante, mon épouse me relègue entre les mains de son amie. Cette démone est satisfaite, joue avec mon pipeau, le masturbe, souffle sur son extrémité, le lèche du scrotum au méat urinaire, enveloppe le nœud entre ses lèvres, l’enfonce dans sa bouche. Je visite ses gencives, l’intérieur soyeux de ses joues, je fais connaissance du palais avec ma queue et jusqu’au fond de la gorge. Jamais je n’aurais osé ce qu’Angèle impose à mon sexe. Ce n’est pas l’œuvre d’une auxiliaire. Elle accomplit avec délectation un travail d’amante ou de professionnelle et pousse l’avantage jusqu’à s’étouffer en me gardant longuement au plus profond de sa gorge. Quand j’échappe à l’engloutissement, un long filet de salive coule sur le menton de la gloutonne. Je lève les yeux et constate que ma femme a commis les mêmes excès sur la colonne de René, elle aussi bave et se frotte les mâchoires.


- Très bien, conclut Angèle. Je pense que nous avons obtenu la meilleure érection possible, passons à la confrontation. René approche de Jean, bite en avant Lorsque tu toucheras son ventre, arrête-toi. Oui, encore un peu. Stop ! Le contact est établi. Émilie, tiens le horizontalement. Tu constates comme moi que la verge de ton mari n’arrive pas contre René ? Que manque-t-il en longueur ?


- Je peux placer mon index et mon majeur dans l’intervalle sans toucher l’extrémité du gland ou le ventre, ça doit faire trois à quatre centimètres en longueur. Et mis côte à côte ils laissent apparaître une différence de diamètre. C’est tout à fait ce que j’avais observé chez toi le jour où je vous ai vus.


Laquelle veut me rabaisser le plus ? Celle qui a organisé cette comparaison ou celle qui énonce aussi brutalement les résultats. Elles sont satisfaites et Angèle donne le signal du début de l’essai.


- Maintenant à vous de jouer ! Bonne baise.


René reprend position, comme un bélier il pousse de la tête le pubis de sa conquête si facile. Les jambes de ma femme rencontrent le coussin d’assise du canapé, une nouvelle poussée la fait asseoir, jambes pendantes et cuisses grandes ouvertes pour l’accueil de la tête qui prend possession plus complète de son sexe. Il n’a pas décollé du pubis puis de l’écart qui augmentait sous la vulve, René y reste soudé. Il lèche, il suce, il respire des grands coups avant de retourner en apnée dans ce milieu humide. J’entends plus que je ne vois les mouvements de la langue et des lèvres. Je suis debout à côté d’Angèle qui commente :
-Ça est, il la tient, elle va sombrer pour de bon. Déjà le ventre sursaute. Il est capable de garder la position pendant de longues minutes. Le cunnilingus est son plat préféré. Émilie doit aimer ça, écoute-la geindre. Ce n’est que le début, dans quelques minutes elle va le supplier de la prendre.


- Déjà ?


- Oui, il est irrésistible, mais il continuera , elle pleurera de plaisir, agitera ses hanches, tentera d’échapper à la bouche dévoreuse. Le petit sagouin sait chauffer une femme, j’en sais quelque chose. Si on faisait comme eux ?


- Qui ?


- Toi et moi. Je m’assieds sur cette chaise et tu me plantes ta langue dans la chatte. Je suis toute excitée par les gémissements d’Émilie et par ses soubresauts. Elle appuie sur la tête de René. C’est bon signe, elle en réclame davantage et lui se sent vainqueur, il ne lâchera pas le morceau. Écoute le bruit de succion. Mmmmmmmmm, tu , j ai envie de jouir, viens…

- Pas maintenant, je veux tout voir; voir comment il travaille la moule, comment elle réagit, yeux fermés, bouche ouverte pour aspirer de l’air, ou menton tremblant sous la tension des nerfs. Elle est belle hein, là elle jouit, c’est merveilleux.


- Ma parole tu n’as jamais rien vu. Je le répète, ce n’est que le début.

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