Coiffeuse à domicile - Fin

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Coiffeuse à domicile - Fin Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Coiffeuse à domicile - Fin
On est bouche à bouche avec Eva, et je veux continuer à l'honorer tant que je la sens chaude et offerte:
- Tu veux toujours m'offrir ton petit cul?
- Oui, mais elle est grosse votre queue, alors allez y doucement.
- Ne t'inquiètes pas ma chérie, je vais te la mettre en douceur. Mais avant je vais te le bouffer ton putain de fion, tu aimes ça?
- Oui, mais il y a longtemps que ça ne m'est pas arrivé.
- Il ne te bouffe pas le cul ton mari?
- Non, il ne doit pas aimer ça. Mais mon copain d'avant adorait ça, et même plus.
- Plus! C'est à dire?
- Il me fouillait avec ses doigts et sa langue, et il voulait que je lui fasse la même chose.
- Hummmm, ça doit être bon ça. Et toi, ça te plaisait?
- Au début non, et puis j'aimais bien avec l'habitude, surtout que ça le faisait trop bander.
- Tu m'excites Eva, tourne toi, j'ai faim de ton putain de petit trou.
J'ouvre ses fesses, et je lèche son sillon. Ma langue s'attarde sur son œillet et tente de le transpercer. Je l'ai bien lubrifiée de ma salive, et mon doigt peut s'introduire sans aucune résistance. Je tente alors un deuxième, puis un troisième, en alternance avec ma langue exploratrice. Un quatrième doigt, et je la sens prête pour accueillir ma bite.
Je remonte contre elle et plaque mon gland sur sa rondelle dilatée. Je l'enfile avant qu'elle ne se referme, et elle gémit de plaisir:
- Hummm, c'est bon de t'enculer ma salope. Elle te plait ma queue, trainée, et mes insultes! Tu aimes?
- Oui, mais mon copain m'injuriait les yeux dans les yeux, et ça m'excitait encore plus.
- Ok salope, j'ai compris. Tant pis pour tes jolis yeux, mais je vais te dire tout ce que je pense de toi, en te prenant de face. Mais avant je vais te prendre à quatre pattes, met toi en position, putain.
Je me retire, et elle s'installe au bord du lit. Je suis debout derrière elle, et l'enfile à nouveau, sans trop la secouer :
- Hummmmm, ohhhh salope, tu es trop bonne. Ce cul! ce cul que tu as! J'y pense depuis le premier jour que je t'ai vue, à ton cul. Il est magnifique, super bien moulé dans tes pantalons bien serrés. Tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en y pensant. Je t'encule salope, je t'encule, je t'encule, je t'encule et c'est bon.
Je lui met une bonne ramonée, pas trop brutale vu son état. Je me retire et vais la reprendre en l'insultant de face, puisque ça semble être son souhait. Elle prend une couverture, et on va à la salle à manger. Elle se met toute nue, à ma demande, et s'allonge sur la table, sur la couverture, le cul au bord. Je relève ses jambes, pose ses chevilles sur mes épaules, et me réintroduis dans son délicieux trou à bites. Je la fixe dans les yeux, ses yeux magnifiques qui font qu'on lui donnerait le bon dieu sans confession:
- Tu en veux des insultes salope? Tu vas en avoir, comme tu le mérites. Quand je pense à tes copines qui me traitent de vicieux, elles ne savent même pas voir ces connasses, qu'elles ont une putain de salope de chienne d'enculée à côté d'elles. Tu es une vicieuse, autant que moi, une perverse, une chienne lubrique, une catin, une trainée, un trou à bite et même un triple trou, une vide-couilles, un sac à foutre................................. Hummm, c'est bon de te tringler, de t'embrocher comme un morceau de viande.......................... Il est trop bon ton cul ma salope, aussi bon que ta bouche et ta chatte. Je vais jouir et te le remplir, comme j'ai fait avec tes autres putains d'orifices, qu'il n'y ait pas de jaloux..........................
Elle prend son pied et m'encourage à l'enculer plus fort, à l'insulter encore, lui balancer mes obscénités.
- J'aimerais trop de défoncer cochonne, te casser le cul, mais je pense à ton bébé, et je ne peux faire plus fort. C'est dommage, parce que tu as des boîtes à lolo superbes, et je voudrais pouvoir te mettre d'énormes coups de boutoir pour faire sauter tes grosses mamelles dans tous les sens.
Je continue à bien la limer, et je jouis dans son cul, comme promis. Puis elle va avoir droit à une fin hard, comme pour sa chatte. Je lui bouffe le cul, aspire mon sperme pour le récupérer sans l'avaler, et je recrache tout dans sa bouche. Elle boit tout, et je repars nettoyer son cul, puis je lui roule une pelle au foutre. Je tire ensuite la couverture pour ramener sa tête bien au bord, et je lui donne ma queue à nettoyer.
J'ai satisfait chacun de ses trous, on a super bien baisé, et je pense en rester là. Elle doit me couper les cheveux, mais ne s'en sent pas le courage, du moins pas de suite. Elle veut faire la sieste qu'elle n'a pas faite, dormir un peu. On repart au lit, et je reviens contre elle, mon bras par dessus, ma main sur ses seins nus. Elle se love contre moi, comme une chatte, on ne dit rien et on finit par s'assoupir. Son mari l'appelle tous les soirs vers 19h30 quand il est en déplacement, et elle a mis le réveil pour 19h.
On se lève, on s'habille, et je lui annonce que je rentre chez moi. J'ai réfléchis pour la coupe de cheveux, et il est préférable que j'aille au salon voir ses collègues. Maintenant que je sais ce qu'elles pensent de moi, je ne voudrais pas éveiller des soupçons sur notre aventure. Elle me remercie d'y avoir pensé, et avait cette crainte elle aussi. Puis elle me propose de rester, de passer la nuit avec elle:
- Je veux bien, mais si tu espères faire encore l'amour, je te préviens que je suis mort, et qu'il ne faut pas compter sur moi.
- Ne vous en faites pas, je suis lessivée moi aussi, et j'ai eu ma dose pour aujourd'hui. C'est juste que je n'aime pas être seule, et je me sens très bien dans vos bras.
- Je suis très bien avec toi, moi aussi. Bon, mais il va falloir que je passe chez moi pour me prendre des affaires. Je prévois juste ce soir, ou toute la semaine?
- Moi j'aimerais bien la semaine, si ça ne vous dérange pas.
- Mais c'est avec plaisir ma chérie, je ne peux rien te refuser.
Elle me remercie et se pend à mon cou. On échange des bisous, des baisers, et on se roule de longues pelles.
Je lui propose de ramener de quoi manger si elle n'a pas prévu ma présence, et je m'en vais.
Elle ne ferme pas à clé pour que j'entre sans sonner, si jamais elle discute avec son époux, et qu'il ne s'inquiète pas. Elle est effectivement en ligne, me fait signe de ne pas faire de bruit, et je vais à la chambre, sur la pointe des pieds, pour ne pas être indiscret.
Elle a terminé et vient me chercher. On est à la cuisine, je lui donne un coup de main et on passe à table. On discute de choses et autres, mon boulot et celui de son mari, sa grossesse, et on dérape inévitablement sur le sexe. On a fini de diner, de débarrasser, et on reprend notre sujet au salon.
Elle aborde le problème des poils. Elle s'excuse encore de ne pas être rasée, et me dit que son mari aime qu'elle soit bien lisse. Elle n'aime pas trop les poils elle non plus, et il se rase régulièrement. Elle m'avoue aussi qu'elle m'aurait bien bouffé les couilles quand elle m'a sucé, mais que mes poils l'on rebutée. C'est à mon tour de m'excuser:
- Je suis désolé, mais je ne me suis jamais rasé, je ne sais même pas si j'y arriverais.
- Si vous voulez, je peux le faire, à la place des cheveux.
- Oui, pourquoi pas. Ca me fait penser que ça m'est arrivé une fois, c'était une très jolie black.
- Et elle baisait bien?
- J'aurais bien aimé l'essayer, mais c'était une infirmière qui me préparait pour l'opération de l'appendicite.
Ca la fait rire, puis elle m'entraine à la salle à manger, où la couverture est restée. Je m'allonge dessus, cuisses ouvertes, entièrement à poil; c'est le cas de le dire tant qu'il est temps:
- Je vous fais un shampooing?
- Oui, comme tu veux, c'est toi qui vois.
- Ah, vous ne me l'avez pas faite celle-là!
- Parce qu'il avait une blague à faire?
- Et oui, un shampooing aux œufs, vous fatiguez, il va falloir que je vous remonte.
Elle me shampooine avec application, je ferme les yeux et suis au paradis. Puis elle s'attaque à ma forêt vierge. Elle démarre à la tondeuse, puis termine au rasoir à main, avec tendresse et délicatesse, surtout quand elle s'attaque à mes bijoux de famille. Elle semble satisfaite de son boulot:
- Ah, c'est quand même mieux comme ça, vous êtes tout mignon. Quand on a d'aussi belles couilles que les votre, c'est quand même dommage de ne pas les mettre en valeur.
Elle s'excite toute seule, et ne résiste pas à son envie de gober ma paire de boules, vides et fatiguées. Puis elle se ressaisit et me propose un massage, comme elle en prodigue à son mari quand il est tout frais rasé.
Elle me quitte alors quelques instants, et revient avec une fiole d'huile de massage. Elle déverse une bonne dose sur mon sexe, puis s'en met au creux d'une main. Elle pose le flacon, se frotte les mains, et s'empare de ma queue. Ses mains s'activent sur mon manche, de plus en plus fort.:
- C'est ça que tu appelles un massage! moi je dirais que c'est de la masturbation.
- Oui, vous avez raison, j'adore branler les queues, surtout aussi belles.
- Si tu continues, tu vas me faire jouir, salope.
- Mais j'espère bien, mais pas trop vite.
Elle me demande alors de me branler moi-même, pendant qu'elle va s'occuper de mes couilles. Elle me les caresse, les pelote, les pétrit, sans cesser de s'émerveiller et surtout de prononcer le mot "couilles", comme si ça la faisait jouir à chaque fois:
- Ces couilles!!! Ces couilles que vous avez!!!!!!!!!!! Elles sont trop belles vos couilles, jamais vu une paire pareille, vous avez des couilles merveilleuses, des couilles comme je n'en aie jamais vues, des couilles de rêve..................couilles.................couilles.....couilles.........
Elle emploie ce mot en abondance, comme un mot interdit qui la remplit de joie. Je continue à m'astiquer le manche, tandis qu'elle s'occupe de mes valseuses, puis je sens ses doigts glisser dans ma raie. Elle tâte ma rondelle, voit que ça me plait, et n'hésite pas à introduire un doigt. Je gémis, lui dis que c'est trop bon, et l'encourage à bien me fouiller, à me fister, à m'injurier. Elle est hésitante sur ce dernier point, mais j'insiste, lui dit les mots que j'aimerais entendre. Un doigt, puis deux, trois, quatre, et enfin la main entière, profond, jusqu'à moitié bras. Elle est hyper excitée de sa domination de petite jeune sur un vieux comme moi, et déverse un tas d'insultes pour mon plus grand plaisir:
- Vous êtes un vicieux, encore plus que mon deuxième copain. C'est bon votre cul de gros porc, vous êtes un vieux pervers, un chien, un enculé...................
Je prends mon pied, et alors que je me croyais fini, je sens mon plaisir monter. Je lui annonce la bonne nouvelle, et elle cesse de me fouiller pour reprendre mon manche en main. Elle me branle énergiquement, sauvagement, limite douloureusement; c'est trop bon. Elle s'excite, et m'encourage à m'abandonner:
- Je vais vous faire jouir, vous faire éjaculer. Je veux voir le sperme qui gicle de votre pute de queue, le voir se répandre sur votre corps, votre gueule, et dans votre bouche.................
Je lui dit que j'aimerais bien, mais de ne pas trop rêver; j'ai déjà jouis trois fois, et à mon âge c'est exceptionnel. Effectivement mes décharges sont peu abondantes, et ont du mal à atteindre ma poitrine. Je lui dis que je suis désolé de ne pas faire mieux, et elle me répond de ne pas m'en faire, que c'était parfait. Puis elle me suce pour finir de vider mon manche, et lèche mon ventre et mes seins pour bien me nettoyer.
On va à la salle de bain, puis on se couche pour un repos bien mérité.
On discute dans le noir avant de dormir. On se félicite réciproquement pour ces très bonnes heures passées ensemble, puis je lui parle de son deuxième copain, savoir pourquoi ils ne sont plus ensemble alors qu'elle ne parle que de lui. Elle me dit qu'au niveau sexe il était le meilleur, qu'il lui a tout apprit, mais que c'était un salaud. Il était fier de l'avoir éduquée, fier de sa salope, et il voulait l'offrir à ses copains, la partager avec eux, qu'elle soit leur pute à tous. Alors elle l'a quitté.
Elle veut savoir comment je me branle pour elle, à quoi je pense. Je lui avoue que je la traite comme la dernière des traînées, et que j'imagine des plans trop cochons pour les lui répéter. Elle a toujours répondu à toutes mes questions, même les plus indiscrètes, les plus intimes, et me dit que je dois moi aussi tout lui dire. Elle a raison, se dévoile à moi comme un livre ouvert, et je n'ai pas droit de ne pas en faire autant. Je lui confie alors mes pensées les plus cochonnes, en lui demandant pardon d'avance:
J'imagine qu'elle me fouille le cul, qu'elle me le lèche, qu'elle m'encule avec un gode ceinture. Pour ce qui est de me fouiller c'est fait, et très bien fait. Pour le gode, elle n'en a pas, et de toute façon ne pourrait pas s'en appareiller. Pour ce qui est de me bouffer le cul, pas de problème, à partir de demain après m'avoir rasé la raie.
J'imagine lui faire l'amour pendant ses règles. Son deuxième ami, toujours lui, aimait ça aussi et c'est là qu'elle était la plus chaude, la plus réceptive. Mais vu son état, on oublie.
J'imagine enfin un plan pisse, qu'elle m'urine dessus et dans la bouche, sans forcément que j'en fasse autant. Son deuxième mec aimait ça aussi, mais c'était lui qui lui pissait dessus, l'obligeait à boire. Elle aimait sans plus, mais acceptait, et est d'accord aussi, à partir de demain. Il n'y aura qu'elle qui se soulagera, vu que je me refuse à pisser sur son ventre.

On passe une semaine de débauche, à s'aimer comme des bêtes. Son mari s'absente une semaine par mois, et on fixe notre prochaine rencontre. La fois suivante elle me dit que je suis très bien coiffé, et me demande qui j'ai eu pour la remplacer. Je lui dit que c'est Isabelle, qu'elle est très bien, que finalement j'ai eu raison de repartir au salon, et je me demande si elle est aussi salope qu'elle. Elle semble un peu tendue:
- Je vous croyais perdu sans moi, mais je vois que vous vous consolez très vite. Vous vous branlez pour elle?
- Oui, pour elle et pour toi, je nous imagine tous les trois.
- Vous ne doutez de rien. Et c'est qui votre préférée?
- C'est toi ma chérie, je te le jure, tu n'as aucune raison d'être jalouse. Mais reconnais qu'Isabelle est très baisable, et j'aimerais me la faire avec toi. J'aimerais vous voir vous gouiner toutes les deux, et me branler.
- Dans vos rêves, parce que j'aime bien Isabelle comme copine, mais pour la baise je n'aime que les mâles, bien montés comme vous.
On oublie Isabelle, et on pense à nous.
On va se revoir une troisième semaine, juste avant son accouchement. Elle me promet de continuer notre relation, même si ça risque être plus compliqué avec son enfant.

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