Coincée
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2022 dans la catégorie Plus on est
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Coincée
Monique, tout juste trentenaire, divorcée, fonctionnaire occupant un emploi de bibliothécaire au Conseil Général du Var, venait de réussir le concours de l'école Nationale des Chartes.
C'est ainsi qu'avec la dizaine d'autres fonctionnaires ayant réussit le fameux concours qui ouvrait la porte d'un stage de trois ans et neuf mois à l'Ecole Nationale des Chartes (école prestigieuse mondialement connue). Stage conclu par la présentation d'une thèse d'établissement (et non thèse d'Etat).
Elle allait rejoindre Paris!
Sur les douze stagiaires, elle était une des plus jeunes (le plus vieux avait près de cinquante ans); et elles n'étaient que deux femmes dans la promotion.
Les stagiaires ne pouvant se loger à Paris avec leur salaire étaient logés par l'Université dans un appartement d'un immeuble appartenant à l'Etat. Ils étaient répartis par sous-groupes, en tant que divorcée, Monique était dans le sous-groupe des "célibataires" (six personnes, dont l'autre femme de la promotion).
Beau brin de fille, Monique, au cours de sa vie estudiantine avait eu une vie sexuelle très active, peu de partenaires car elle était très sélective, les désirant intelligents et cultivés, ce qui avait réduit le nombre des prétendants, mais qui avait fait que les six ou sept partenaires avaient été tous très performants sexuellement (ce qui par comparaison avait fait paraître son mari comme très médiocre, concluant un mariage terne par un divorce réussit).
Avec l'autre femme du groupe (Annie, trente huit ans, le verbe haut, et pouvant être classée dans la catégorie des cougars) elle partageait une chambre avec vue sur le boulevard, les quatre hommes se répartissant dans les deux autres chambres.
Il n'y avait qu'une salle de bain dans laquelle Monique se rendait revêtue d'un kimono de satin blanc. "Revêtue" est un terme excessif, vu qu'il s'arrêtait à la lisière inférieure des fesses, et lorsque la ceinture était serrée, c'est la moitié des fesses qui étaient apparentes;(et lorsque la ceinture n'était pas serrée, les pans du kimono avaient tendance à s'ouvrir, offrant à la vue de tous un sexe parfaitement épilé et une bonne partie d'une paire de seins très provocateurs).
Annie, se trouvant en compétition avec Monique aux yeux des quatre mâles de l'appartement, faisait les déplacements avec uniquement une serviette sur les hanches, les seins (petits mais fermes) à l'air, avait déclaré aux quatre garçons: "on a presque quatre ans à passer ensemble, on ne va pas se faire chier à s'enfermer à tour de rôle dans la salle de bain, et cela ne me gène pas qu'un homme se rase ou se lave les dents lorsque je prends ma douche!"Et c'est ainsi que la salle de bain fut utilisée sans protocole particulier, et l'inévitable arriva.
Un jour une érection matinale d'un des mâles, fut une provocation irrésistible pour Annie, et Monique en allant prendre sa douche dut contourner sa copine agenouillée occupée à une fellation, et ce fut le début s'une période orgiaque; l'homme suivant fut happé par Annie au passage et lorsque Monique sortit de la douche, elle se trouva devant un trio fort occupé. Elle alla tout de même jusqu'au séchoir à cheveux pour permettre à sa chevelure de retrouver un aspect normal; et c'est ainsi, les deux bras levés au-dessus de la tête (et donc les fesses entièrement découvertes) que le colocataire suivant la trouva; il ne put s'empêcher de venir contre elle, dans son dos pour lui caresser les seins (qui étaient forts généreux), la position fit que son pénis en érection se retrouva (lorsque sa serviette tomba par terre) dans la raie des fesses de Monique. Cette dernière arrêta le séchoir à cheveux le temps de dire "pas sans préservatif!"; et lorsque le dernier occupant de l'appartement pénétra dans la salle de bain, il trouva Annie occupée par une double pénétration et Monique accoudée sur le lavabo prise en levrette.
C'est ainsi que le surnom de "coincée" fut attribué à Monique, en effet elle avait fixé des limites: pas de pénétrations sans protections et elle n'avalait pas le sperme lors des fellations; ce qui par opposition à Annie qui "prenait tout" semblait un peu "coincée".
Physiquement Monique était infiniment plus désirable qu'Annie, mais le fait que cette dernière soit en permanence "disponible" et sans limites, équilibrait les chances. Et c'est ainsi que les deux femmes se partagèrent tous les jours les quatre hommes de leur appartement, chacune d'entre elles étant baisées trois à quatre fois par jour, matin et soir.
Et mystérieusement se propagea dans l'immeuble l'information qu'au premier étage il y avait une femme très disponible et une "un peu coincée"; et les célibataires des promotions précédentes (et peut être parmi eux des hommes mariés) passaient sous des prétextes les plus divers, au premier étage, avec l'idée derrière la tête de "décoincer" la fille coincée.
Les deux femmes se retrouvaient côte à côte avec des objectifs particuliers, Annie qui aimait baiser et Monique qui aimait jouir. Elles se partageaient une bonne dizaine d'amants réguliers (avec les promotions précédentes); Annie arrivait à baiser cinq à six fois par jour, tous les jours, et Monique arrivait à jouir quatre à cinq fois par jour, tous les jours!
Au niveau vêtements, Monique, qui adorait être désirée, portait des vêtements très sexy; Annie qui, elle, aimait surtout baiser était plus portée sur des attitudes de provocations.
Assez souvent des hommes appâtés par l'une finissait par faire l'amour avec l'autre.
Monique avait une prédilection pour les cunnilingus et avait un clitoris très gourmand, alors qu'Annie avait besoin dans sa tête, d'avoir des hommes qui voulaient "la prendre", pour elle, la double pénétration était un truc parfait.
Monique aimait bien la mini jupe qui laissait apparaitre la lisière de ses bas, et lors des visites dans les librairies se penchait vers les rayons du bas sans plier les genoux pour montrer aux voyeurs éventuels (qu'elle appelait des "poissons") qu'elle ne portait pas de culotte. Ce faisant elle s'attendait à des effleurements, des attouchements, et parfois à être doigtée ce qui l'excitait et qui la faisait rentrer à l'appartement dans un état paroxysmique d'excitation pour se faire baiser jusqu'à l'orgasme.
Annie, elle, préférait la provocation dans des situations extrêmes; il lui arrivait d'aller dans un sauna mixte et, entièrement nue, de guetter la première érection pour effectuer une fellation, offrant ainsi son sexe et ses fesses à d'éventuelles pénétrations (qui survenaient inévitablement).
Mais assez souvent elles allaient ensemble dans un club libertin et, côte à côte multipliaient les amants d'un soir. Il leur était même arrivé, à plusieurs reprises, d'appâter le même homme sur lequel, après préparation, Annie s'empalait tandis que Monique s'installait en "face-sitting" pour que la langue de l'individu conduise son clitoris à l'extase.
Mais malgrés cette vie débridée Monique conserva durant les quatre années parisiennes, son surnom de "coincée".
C'est ainsi qu'avec la dizaine d'autres fonctionnaires ayant réussit le fameux concours qui ouvrait la porte d'un stage de trois ans et neuf mois à l'Ecole Nationale des Chartes (école prestigieuse mondialement connue). Stage conclu par la présentation d'une thèse d'établissement (et non thèse d'Etat).
Elle allait rejoindre Paris!
Sur les douze stagiaires, elle était une des plus jeunes (le plus vieux avait près de cinquante ans); et elles n'étaient que deux femmes dans la promotion.
Les stagiaires ne pouvant se loger à Paris avec leur salaire étaient logés par l'Université dans un appartement d'un immeuble appartenant à l'Etat. Ils étaient répartis par sous-groupes, en tant que divorcée, Monique était dans le sous-groupe des "célibataires" (six personnes, dont l'autre femme de la promotion).
Beau brin de fille, Monique, au cours de sa vie estudiantine avait eu une vie sexuelle très active, peu de partenaires car elle était très sélective, les désirant intelligents et cultivés, ce qui avait réduit le nombre des prétendants, mais qui avait fait que les six ou sept partenaires avaient été tous très performants sexuellement (ce qui par comparaison avait fait paraître son mari comme très médiocre, concluant un mariage terne par un divorce réussit).
Avec l'autre femme du groupe (Annie, trente huit ans, le verbe haut, et pouvant être classée dans la catégorie des cougars) elle partageait une chambre avec vue sur le boulevard, les quatre hommes se répartissant dans les deux autres chambres.
Il n'y avait qu'une salle de bain dans laquelle Monique se rendait revêtue d'un kimono de satin blanc. "Revêtue" est un terme excessif, vu qu'il s'arrêtait à la lisière inférieure des fesses, et lorsque la ceinture était serrée, c'est la moitié des fesses qui étaient apparentes;(et lorsque la ceinture n'était pas serrée, les pans du kimono avaient tendance à s'ouvrir, offrant à la vue de tous un sexe parfaitement épilé et une bonne partie d'une paire de seins très provocateurs).
Annie, se trouvant en compétition avec Monique aux yeux des quatre mâles de l'appartement, faisait les déplacements avec uniquement une serviette sur les hanches, les seins (petits mais fermes) à l'air, avait déclaré aux quatre garçons: "on a presque quatre ans à passer ensemble, on ne va pas se faire chier à s'enfermer à tour de rôle dans la salle de bain, et cela ne me gène pas qu'un homme se rase ou se lave les dents lorsque je prends ma douche!"Et c'est ainsi que la salle de bain fut utilisée sans protocole particulier, et l'inévitable arriva.
Un jour une érection matinale d'un des mâles, fut une provocation irrésistible pour Annie, et Monique en allant prendre sa douche dut contourner sa copine agenouillée occupée à une fellation, et ce fut le début s'une période orgiaque; l'homme suivant fut happé par Annie au passage et lorsque Monique sortit de la douche, elle se trouva devant un trio fort occupé. Elle alla tout de même jusqu'au séchoir à cheveux pour permettre à sa chevelure de retrouver un aspect normal; et c'est ainsi, les deux bras levés au-dessus de la tête (et donc les fesses entièrement découvertes) que le colocataire suivant la trouva; il ne put s'empêcher de venir contre elle, dans son dos pour lui caresser les seins (qui étaient forts généreux), la position fit que son pénis en érection se retrouva (lorsque sa serviette tomba par terre) dans la raie des fesses de Monique. Cette dernière arrêta le séchoir à cheveux le temps de dire "pas sans préservatif!"; et lorsque le dernier occupant de l'appartement pénétra dans la salle de bain, il trouva Annie occupée par une double pénétration et Monique accoudée sur le lavabo prise en levrette.
C'est ainsi que le surnom de "coincée" fut attribué à Monique, en effet elle avait fixé des limites: pas de pénétrations sans protections et elle n'avalait pas le sperme lors des fellations; ce qui par opposition à Annie qui "prenait tout" semblait un peu "coincée".
Physiquement Monique était infiniment plus désirable qu'Annie, mais le fait que cette dernière soit en permanence "disponible" et sans limites, équilibrait les chances. Et c'est ainsi que les deux femmes se partagèrent tous les jours les quatre hommes de leur appartement, chacune d'entre elles étant baisées trois à quatre fois par jour, matin et soir.
Et mystérieusement se propagea dans l'immeuble l'information qu'au premier étage il y avait une femme très disponible et une "un peu coincée"; et les célibataires des promotions précédentes (et peut être parmi eux des hommes mariés) passaient sous des prétextes les plus divers, au premier étage, avec l'idée derrière la tête de "décoincer" la fille coincée.
Les deux femmes se retrouvaient côte à côte avec des objectifs particuliers, Annie qui aimait baiser et Monique qui aimait jouir. Elles se partageaient une bonne dizaine d'amants réguliers (avec les promotions précédentes); Annie arrivait à baiser cinq à six fois par jour, tous les jours, et Monique arrivait à jouir quatre à cinq fois par jour, tous les jours!
Au niveau vêtements, Monique, qui adorait être désirée, portait des vêtements très sexy; Annie qui, elle, aimait surtout baiser était plus portée sur des attitudes de provocations.
Assez souvent des hommes appâtés par l'une finissait par faire l'amour avec l'autre.
Monique avait une prédilection pour les cunnilingus et avait un clitoris très gourmand, alors qu'Annie avait besoin dans sa tête, d'avoir des hommes qui voulaient "la prendre", pour elle, la double pénétration était un truc parfait.
Monique aimait bien la mini jupe qui laissait apparaitre la lisière de ses bas, et lors des visites dans les librairies se penchait vers les rayons du bas sans plier les genoux pour montrer aux voyeurs éventuels (qu'elle appelait des "poissons") qu'elle ne portait pas de culotte. Ce faisant elle s'attendait à des effleurements, des attouchements, et parfois à être doigtée ce qui l'excitait et qui la faisait rentrer à l'appartement dans un état paroxysmique d'excitation pour se faire baiser jusqu'à l'orgasme.
Annie, elle, préférait la provocation dans des situations extrêmes; il lui arrivait d'aller dans un sauna mixte et, entièrement nue, de guetter la première érection pour effectuer une fellation, offrant ainsi son sexe et ses fesses à d'éventuelles pénétrations (qui survenaient inévitablement).
Mais assez souvent elles allaient ensemble dans un club libertin et, côte à côte multipliaient les amants d'un soir. Il leur était même arrivé, à plusieurs reprises, d'appâter le même homme sur lequel, après préparation, Annie s'empalait tandis que Monique s'installait en "face-sitting" pour que la langue de l'individu conduise son clitoris à l'extase.
Mais malgrés cette vie débridée Monique conserva durant les quatre années parisiennes, son surnom de "coincée".
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